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BurkinaFaso
MinistèredesEnseignementsSecondaire,
Supérieuret de laRechercheScientifique
UniversitédeOuagadougou
InstitutdeDéveloppementrural
(I.D.R)Ministèredel'Eau
DirectiondesEtudeset
de laPlanification
ProjetPetitsBarragesdu
Sud-OuesllGTZ
MEMOIREDEFIND'ETUDEPRESENTEAL'OBIENTION
DUDIPLOMED'INGENIEURDUDEVELOPPEMENT
RURALOPTIONAGRONOMIE
PAR:DabouoKAMBOU
TIIEME:SYSTEMEDECULTUREETRENTABILITE
ECONOMIqUEDUmz:ETUDECOMPARATIVE
SURqUELqUESEXPLOITATIONSDE
TIEFORAETSIDERADOUGOU
Directeurdemémoire:PhalMEY
MaÎtredestage:Sa SylvanusTRAORE
Juin1995
RESUME
Le riz est unecéréaled'une extrême importance pourl'économieburkinabé.Sa place ne cesse de croître dans labalancecommerciale du pays etl'accrcissementde sa production estindispensableà unemeilleuresanté de cette balance. LadévaluationdufrancCFA aura sans doute pourconséquenced'aggraverle déficit de la balancecommercialecausé par les importationsexcessives cecette culture.C'est dans un telcontexteque nous nous sommes
intéressésà l'étude de systèmes de culture d'une part à base decéréaleset d'autre part à base decéréalesplus coton. Cetteétudecomparativequi a été menée dansdeuxvillagesde laprovincede la Comoé (Tiéfora etSidéradougou)et qui a pourobjectifdeprésenterlecontrasteentredeux systèmes de culturedifférentsa été couplée àune étudeéconomique.Toutceci a permis de relever lescontraintesliées à la production nationale du riz.Il ressort
que:- Le coton estmieuxintégrédans le système de culture ayantservi demoteuràla mécanisationagricoleque le riz qui est cultivé de façon marginale. - Hormis lesconditionsclimatiques et les pratiquespaysannes:les autres contraintes entravantlaproductiondu rizsont:l'inorganisation de la fLère-comparativementà celle du coton. - Du point devueéconomique,les niveaux derendements cntpermis à 69%des producteursde seprocurerdes revenus nets positifs. Cependantquandon regarde de plus près les résultatsécoromiques,ilapparaîtque c'est au niveau desproducteursde riz que les revenus nets et les irdicesdeproductivitédu capital sont plusélevés.Lescoefficientsde variation une certainehomogénéitéde ces variables. Malgré lescontraintesliées à la production du riz, celle-ci demeureplus rentable que celle du maïs et du coton. La prise encomptede cette situation a permis laformulationdepropositionstournant autour de la créationd'unestructure qui se chargera de laproducticnet de la commercialisation du riz. Celapermettrad'augmenterla production nationale et parccnséquentde réduire notre dépendancevis-à-visdel'extérieuren riz.Mots clés
Tiéfora -Sidéradougou-systèmede culture
-riz - coton - autrescéréales-contraintes rentabilitééconomique.A.H.T:
C.G.P. :
C.O. :
CRPA:C.S. :
C.V. :
E.R.P.A.D:
GTZ: GVR: MS: MD:PESASO:
SOFITEX:
SONACOR:
LISTEDES SIGLES ETABREVIATIONS
Agrar- und - Hydrotechnick G.mbH.
CaisseGénérale de Péréquation
Chargesopérationnelles
CentreRégional de PromotionAgro-pastorale
Chargesde Structure
Coéfficientde Variation
Etudeset Réalisation de Projetsd'Aménagementet deDéveloppementGesellschaftfür TechnischeZusammenarbeitmbH.
GroupementVillageois Rizicole
MargeBrute
MargeDirecte
PetitsBarragesdu Sud-Ouest
Sociétéde Fibres et Textiles
SociétéNationale de Collecte et dutraitementdu RizLISTE DESSCHEMAS
Schéma n°
1 - Différents niveaux demarges
LISTEDeSFIGURES
Figure n°
1 -Pluviométries mensuelles deTiéforaannée19932 - Pluviométries mensuelles deTiéforaannée1994
3 - Pluviométries mensuelles deSidéradougouannée 1993
4 - PluviométriesmensuellesdeSidéradougouannée 1994
5 - Niveaux de rendementsmoyenspar culture
6 - Marges brutesmoyennesparculture
7 - Marges directesmoyennespar culture
LISTE DES CARTES
1 - Localisation des zonesd'étude
2 - Végétation et occupation du solautourdu barrage de TiéforaPage
65Page 18 19 24
25
61
72
77
Page 14 17
LISTEDES TABLEAUX
Tableau n°Page
1 - Evolution de l'exportation du coton9
2 - Evolution de l'importation du riz9
3 - Indicateurs de suivi et variables de mesure13
4 - Répartition desdifférentes ethnies dans le village de Tiéfora15
5 - Pluviométries mensuelles de Tiéfora année 199318
6 - Pluviométries mensuelles de Tiéfora année 199419
7 - Pluviométries mensuelles deSidéradougouannée 199323
8 - Pluviométries mensuelles deSidéradougouannée 199424
9 - Inventaire du matériel agricole modeme dans le système
àbase de céréales28
10 - Surfaces cultivées dans le système
àbase de céréales29
11 -Ratios:riz/autrescéréales dans le système
àbase de céréales30
12 - Surfaces cultivées/bouche
ànourrir dans le systèmeàbase de céréales3113 - Successions culturales
3114 - Age des plantsau repiquage34
15 -Calendrierculturaldu riz irrigué3916 - Calendrier agricole/culture au niveau du système de culture
àbase de céréales 43
17 - Matérielagricoleau niveau du système de culture
àbase de céréale+coton 44
18 - Surfaces cultivées au niveau du système de culture
àbase de céréale+coton 45
19 - Ration R
=coton/céréales au niveau du système de cultureàbase de céréale+coton 4620 - Surfaces cultivées/bouches
ànourrir du système de cultureàbase de céréale + coton 4721- Calendrier agricole/culture54
22 - Rendement des différentescultures/exploitant60
23 - Part moyennede chaque céréale dans la consommation annuelle céréalière par
personne et parstrate6224 - Charges et produitspar spéculation64
25 - MS et
MS/sommedes charges par exploitant dans le cas du riz pluvial6726 - MS et
MS/sommedes charges parexploitantdans le cas du riz irrigué6827 - MS et
MS/sommedes charges par exploitant dans le cas du coton6928 - MS etMS/sommedes charges par exploitant dans le cas du maïs70
29 - MD et
MD/sommedes charges par exploitant dans le cas du riz pluvial7330 - MD et
MD/sommedes charges par exploitant dans le cas du riz irrigué7331 - MD et
MD/sommedes charges par exploitant dans le cas du coton7432 - MD etMD/sommedes charges par exploitant dans le cas du maïs75
REMERCIEMENTS
Ce mémoire quicouronnedixmois de stagepratiquen'auraitpu êtreréalisésans la contribution,combienlouable,de notreentourage.Qu'il nous soitpermis
àtraverscesquelqueslignes deprésenternossincères remerciements réalisation de cetravail.Nosremerciements
vontparticulièrementàl'endroitde : - Dr Rolf lastructure; M.Phal MEY,enseignantàl'IDR etdirecteurdemémoiredontlesconseilsm'ontété d'un réelapport danslacollecteettraitementdesdonnées; - M. SâSylvanusTRAORE,responsablede la celluleagronomiqueduprojet PEBASO/GTZetmaîtrede stagepoursagrandedisponibilité dansl'organisation matérielleetdidactiquedu stage; - M.SouleymaneSANOU,responsablede la celluleorganisationpaysanneauprojetPEBASO/GTZ
poursafranchecollaboration; - Ms. MarcLACHARMEetFrédéricFAYEenseignantsà l'IDR pourlesconseilsreçus; - M. Félix COULIBALYetMadamenéeLOMPOCélineagentsde laplainedeTiéfora pour leurcollaborationsur le terrain.Nous nesaurionsterminersansadresserungrand
merci; - AuxvaleureuxpaysansdeTiéforaet deSidéradougoupourleurconstante disponibilité toutle long de notreséjoursurleterrain;àMmeBOLEHODelphine secrétaire-comptableauprojetPEBASO/GTZpour sonconcoursàlasaisiede ce
document;àM. N.JeanBoscoKAMBOU,pournousavoirhébergéduranttoutela phase derédactionde ce mémoire.A tous, jeréitèremaprofondegratitude.
SOMMAIRE
Première partie
GENERALITES
1.1introductiongénérale
1.3résultatsattendus
1.4méthodologie
1.5cadre del'étude
1.6présentationdu
projetPEBASO/GTZDeuxièmepartie
SYSTEMESDE
CULTURE
(2.1Introduction
'L1 2.3Systèmedecultureàbasedecéréales+ ceton7:\ 2.4Conclusionsur lessystèmesdeculture
Troisièmepartie
RENTABILITE
ECONOMIQUEDESDIFFERENTESSPECULATIONS
3.1Introduction
3.2Niveauxderendements
3.3Chargesetproduitsparspéculation
3.4Lesdifférentsniveauxdemarge
3.5Conclusion
QuatrièmepartiePage
7 8 10 10 13 2527
26
44
56
58
59
63
64
77
IMPACT DU PRO.JET ETPROBLEMESLIESp.,UPERIMETREIRRIGUEDETIEFORA
4.1Introduction
4.2 Au planagricole
4.3Au planorganisationnel
4.4 Au plancommercial
4.5Problèmeliés au
périmètreirriguéde TiéforaCinquième
partie:CONCLUSIONGENERALE
7979
79
80
81
83
PREMIEREPARTIE:
GENERALITES
71.1 •Introductiongénérale
Confrontés depuislongtempsàde multiples calamités telles que lasècoeresse.les invasionsacridiennes, lesinondations..., les pays d'Afriquesubsahariennesontàla recherche
d'une voie pouvantamener àleurdécollageéconomique. Mais avec unedémographie galopante.l'autosuffisancealimentairereste de loin la priorité des priorités. Malgré de groseffortsmenésça et là par les structuresnationalesderechercheet de production auxquelss'ajoutel'action conjuguéede plusieurs organismesintemationaux,la sécuritéalimentairedemeureencoreunobjectifàatteindre pour bonnombrede paysafricains sahéliens (CILSS, 1988). Partant du constat quel'agriculturepluviale est vulnérable mêmedansleszonesoù la pluviométrieest suffisante, denombreuxefforts sont déployés pour unemaîtrisepartielleou totale de l'eau.C'est pourquoi lesnouvellesorientationsdu
BUrXinaFaso enmatièred'agriculture
consistent àmettre l'accent sur ledéveloppementdes aménagementshydroaç-cotes.L'action gouvemementaleest defavoriserledéveloppementde l'agricultureirriguéeàpartirde la mise
en ceuvre d'un vasteprogrammedevalorisationdu potentiel hydroagricole. La culture irriguées'avèreêtre une voie essentielle qu'il fautpromouvoir pourintensifier l'agriculture. Elle contribue àlaréductiondu chômage. par la créationd'emploisplusou moins permanents tant en amont qu'enavalde l'irrigation par la collecte, letransport etla commercialisation des produits (IIMI Mars 1994). Malheureusement,lorsquel'onexamineles résultats obtenusàcejour.:;apparaîtque
cet ér.ormepotentiel reste sousexploitésinon mal exploité et que lesmtrastruca.ressont dans unétatde dégradation fortavancé.
Pour remédier
àcetétatdechose,les périmètresdevraientpouvoirêtrerentabilisés. Cependantselon unconstatdeDembélé(1988), la filièrerizn'était pasrentable.orsquel'on restait dans des fourchettes derendementde 4à5 tonnes par hectare. Cestypesde
conclusion ont fait quependantlongtempson s'est interrogé sur lanécessitédepromouvoir cette filière, donc la rentabilitééconomiquepour les producteurs, même si la filièreétait rentable, l'entretien desinfrastructuresreste l'autre composante d'uneexploitationjusticieuse de ce potentiel hydriqueindispensableàl'intensificationde l'agriculture.
Cet ensemble deréalitésnousamène
ànous interroger sur larentabilitéces petitspérimètres irrigués en général etceluide Tiéfora en particulier. Ladéterminationde la
rentabilité est nécessairequandonsaitque dans le contexte actuel, onprônelagestiondespérimètres par les producteurseux-mêmeset surtout la pérennité de cetteautogestion.Cette
demièrene sera effective que si lesgroupescibles ont reçu unencadrement eff.dent.C'est pour atteindre cet objectif que leprojetPEBASO/GTZtravaille depuis trois ansdansla plaine rizicole de Tiéfora. 8 Notreétude dont lethèmeest"Systèmede culture et rentabilitééconomiquedu riz" ne sera significative nous lepensons,que si comparées entre elles (riz,grandescéréaleset coton).Notre objectif principal
est: - D'une part dedécrirelesdifférentssystèmesde culture afin dereleverlescontraintes liéesàla culture du riz.
- Et d'autre partd'analyserlarentabilitééconomiquede laproductiondu riz.Pour ce faire, nousnousproposonsde
décrirelesdifférentespratiquesculturaleset de calculer lesniveauxdemargeliésàchacunedesspéculations..
Le présent mémoire,aprèsunexposéde la problématique, deshypothèsesd'étude, des résultats attendus et de laméthodologieappliquée,traite troisgrandespartiesqui sont: - La présentation ducadred'étude, - Les systèmes de culture, - La rentabilitééconomiquedesdifférentescultures.Nous terminerons
parl'impactduprojetPEBASO/GTZdans laplainedeTiéfora.1.2 -Problématique-hypothèsesdel'étude
*Problématique L'introduction du coton apermisauxproducteursd'acquérirunnouveléquipement.Grâce
àun circuit decommercialisationbien organisé, le coton a pujouerun rôle de catalyseur dans ledéveloppementdu monde rural. Et si cettespéculationa pu jouerce rôle, c'est grâce àla politiqueincitatriceàtraverslagarantiede lacommercialisationet aussià l'approvisionnement desintrantsàcréditpar la SOFITEX. Par contre, d'autresspéculationsn'ontpas bénéficié depolitiquesidentiques.C'estle cas du riz. Cette culture est peudéveloppéeau Burkina Faso bienqu'ellesoitconnuedepuis de longues années déjà. Mais ils'agitd'une céréale d'une extrêmeimportance pourl'économie burkinabé. Malheureusement,cettespéculationn'a pas rencontré desconditionsdemarché aussi favorable et n'a pasbénéficiéd'appuiàla production etàlacommercialisationaussi
efficace que le coton. Ainsi lesquantitéslocalesproduitesrestentfaibles par rapportàlademande.La
production nationale du riz necouvredoncqu'unefaible partie des besoins. Enmoyenne, cette proportion est de 26 %environentre 1985 et 1991 alors qu'elleétaitde près de 46% entre 1979 et 1985. De 1979à1990,l'accroissementmoyen desimportationsdu riz est d'environ 44,4 %ce quitraduitl'ampleurduphénomène(DIALLO, 1990). Ceci a pourconséquencededéséquilibrerla balance commerciale.Les tableauxsuivants
donnentla part del'exportationdu coton et celle del'importation du riz dans la balancecommercialede 1989à1994.
9 Tableaun° 1 : Evolution del'exportationdu coton.AnnéeQuantités (en
t)Valeursenr=CFA(x1000) 198957.06720.759.712
199058.121
22A20.094
199183.33528.739.163
199262.21919.987.704
1993N.D.N.D.
199453.79924.553.147
Source:SOFITEX(Bobo)
Tableau n° 2 :Evolutiondel'importancedu riz.
Année
Quantité(en t)Valeur
enFCFA198984.882,9011.99ï.ô03.498
199095.062
11.552916.234
199189.88811.25C.782.435
1992N.D.
199376.64211.649280.040
199453.385
Source:C.G.P. (Ouaga)
NB: -Auniveaudutableaun° 1, nous avonsconsidéréuniquementlesexportations.les quantitésvendueslocalementne sont pas prises en compte. -Toujoursauniveaudu même tableau, lesvaleurssont cellesdéduites desvaleurs des intrantsimportées. N.D. =donnéesnon disponibles. Lesquantitésde coton exportées sontfluctuantes.En1989,laquantitéétait de57.067
tonnesavecunevaleurde20.759.712.000FCFA. Parcontrecettequantitéer:1994était de Quantau riz, lesquantitésimportéesévoluent"endentsde scie". Ainsi avec une quantitéde84.882,90tonnesen1989et unevaleurde11.997.603.498FCFA on passe en
1994àunequantitéplus faible de53.385tonnes maisavecunevaleurde10.544.489.374
FCFA.Celas'explique
parlechangementde la parité dufrancCFAintervenu'e 11janvier1994.Aucourrdoncde ces sixdemièresannées, lesimportationsde riz ontreprésentéenviron
50%desexportationsde cotonfaisantainsi perdre autrésorpublicquelque57milliards de
francs CFA.Aveclechangementde parité entre le CFA et le FF, lesimportationsdu riz vont coûterplus chères lesannéesàvenir.
10 Dans cesconditions,nepourrait-onpas mieux organiser laproductionnationaledu riz afin de pallier auximportations excessives?Le riz ne pourrait-il paslouerle même rôle que le coton dans lefinancementdel'intensificationde notreagriculture? *Hypothèsesd'étude. En vue derépondreauxquestionsprécédentes, notreanalysepart de laconviction que: - Une description dessystèmesde culture permet detrouver dessolutionsaux problèmes liés à laproductiondu riz. - L'analyse de larentabilitééconomiquedes différentes spècusationsestnécessaire pour contribuer à larecherchede solutions aux contraintesliéesàl'organisationde la productionnationaledu riz ; surtout au système de crédits etd'approvisionnementen intrants. - Par ailleurs, unedescriptionsommaire du projet et de sesservices peut nouspermettredefaireune évaluation après trois campagnesd'activitéet ainsi de voir qu'il estpossibledeleverles contraintes de la filière.1.3·Résultats attendus.
Après cette étude, lesrésultatsauxquels nous devons aboutir sont lessuivants: - Juger la rentabilitééconomiquede la culture du riz parrappcrtauxautres spéculations. Cela vanouspermettred'avoirdes éléments ceréflexionquivont permettre auprojetderenforcerle processus de la gestionquotesdbs_dbs14.pdfusesText_20[PDF] culture maïs ensilage
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