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7 Produire pour le marché
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2 CBC Ruphine. Batumike N
1, Elois Cinyabuguma L 1, JC Mongana E 1, A. Bolakonga N 1,
Charles
Mutagoma B
3, Xavier Baderhekuguma N2, Moise Musakamba M 1, Aline
CIBALONZA M
1, Marius Murhula M3, Guillaume Bidubula J4, Jean Walangululu M 4
1 .-Mulungu, RD
Congo,
2. Centre de recherche pour les sciences naturelles, CRSN-Lwiro, RD Congo,
3. Institut supérieur de techniques de développement, ISTD-Mulungu, RD Congo, 4.Université catholique de Bukavu, UCB, RD Congo
Résumé
pomme de terre dans le groupement deMudaka en territoire de Kabare en vue de
déceler la culture qui soit plus rentable pour améliorer le revenu des producteurs. Pour ce faire, une enquête a été menée auprès des paysans producteurs pour récolter les différentes informations nécessaires au calcul de la rentabilité financière de ces deux cultures par ha. rapport à la pomme de terre; la pomme de terre occupe la plus grande superficie par pomme de terre était nettement élevé (998,34$ par ha) et correspondait au double semences, les produits phytosanitaires, ct. ; En ce qui concerne le taux de rentabilité financière, il est ressorti de cette étude que la pomme de terre était plus rentable malgré les coûts élevés de production Mots clés : Rentabilité différentielle, oignon, pomme de terreGSJ: Volume 7, Issue 8, August 2019
ISSN 2320-9186 1501GSJ© 2019
www.globalscientificjournal.comAbstract
The objective of this study was to evaluate the financial profitability of onion and potato in the group Mudaka in Kabare to detect the culture that is more profitable to improve the income of producers. To do this, a survey was conducted among peasant producers to harvest all information needed to calculate the profitability of these two crops per ha.Onion cultivation was the most practiced
over the potato potato occupies the largest area compared at onion is 0.522065 0.14213 ha against͒However, the cost of production
of potato was significantly higher ($ 998.34 per ha) and corresponded to twice that required to produce onion ($ 576.63 per ha) following the acquisition of seeds, pesticides, ct. ;͒Regarding the financial rate of return, it is clear from this study that the potato was more profitable (105.78%) compared to the onion (52.95%) despite high production costs.Keywords: Incremental cost-effectiveness,
onion, potatoINTRODUCTION
Le développement de la production
agricole dans le pays en développement se heurte à des contraintes climatiques, édaphiques et végétales, lesquelles, si elles sont jointes à une croissance rapidede la population, à une détérioration accélérée des ressources naturelles non
renouvelables, à une désertification dans le secteur agricole, posent de véritables et sérieux problèmes à agricole et rural durables (Nathal, 1998).De ce fait, un investissement doit
terme et ceci ; en incluant toutes les dépenses(y compris les frais financiers) entraînées par cet investissement ; des ventes ; il suffit que les réductions de coût liées aux gains de productivité(en supérieures aux prix de revient annuel(y ( Metrick,1994) .Cet investissement, orienté dans le cadre
de cultures comme la pomme de terre en raison du luxe qui lui est attribué dans le dans le monde, peut concourir dans une certaine mesure au développement agricole. En effet, Douglas, cité parMusakamba (1996) affirme que la
pomme de terre a un potentiel élevé pour augmenter la production vivrière et lesGSJ: Volume 7, Issue 8, August 2019
ISSN 2320-9186 1502GSJ© 2019
www.globalscientificjournal.com revenus des agriculteurs dans les pays en voie de développement. Quant à oignon, en volume de production mondiale, les oignons se placent en second rang parmi les légumes, après les tomates (Lesley et al ,1993). moyens qui contribuerait pour les petits exploitants agricoles à la poursuite de leurs objectifs. Quoique sujette à un certain nombre de contraintes, la culture revenus des ménages. On trouve une diversité des cultures vivrières entre autre la tomate, le haricot, le soja, le bananier, la canne à sucre, la pomme de pratiquées dans plusieurs milieux pomme de terre étant considérée comme source importante de protéines et de vitamine c, elle produit suffisamment de calories et de protéines.Mais aussi la consommation régulière de
importance car il apporte les sels minéraux, et les vitamines qui améliorent la santé (Dupriez et Deleener,1983).
cultivés sur une grande partie et constituent une source de revenus considérables pour les agriculteurs. Le groupement de Mudaka, dans le territoire de Kabare, est reconnu parmi les milieux qui pratiquent largement ces deux cultures (IPAPEL,2007) .Malheureusement, ce groupement
demeure une région pauvre et sa population fait face à des difficultés de base. Ainsi, la malnutrition, le taux aux soins de santé reste faible suite àSelon le rapport du PNRT(2008), la
de terre sont parmi les principales sources de revenus de monétaires pour les agriculteurs dans le groupement deMudaka. On observe ,en effet, un
mouvement journalier et régulier des paysans(paysannes) qui vont au marché de Mudaka avec des sacs chargés de destinés principalement aux marchés deBukavu.
production de la pomme de terre et deISSN 2320-9186 1503GSJ© 2019
www.globalscientificjournal.com rentabilité au niveau local dans le but peuvent jouer dans la réduction de la pauvreté au niveau de ce groupement vu la pomme de terre dans la province du travail.MILIEU, MATERIEL ET
METHODES
Cette étude a été réalisée dans leTerritoire de Kabare, spécialement dans
le groupement de Mudaka. Le choix de fait partie des milieux (kalehe, walungu, et de la pomme de terre. partie septentrionale du Bushi. Il estSon relief est caractérisé par des
montagnes et des collines localisées la présence des marais où les paysans cultivent des maraîchers et la canne à sucre. La grande superficie du sol est occupée par une terre brune et rouge qui, en général très profonde, lourde mais fertile. Il a un climat tropical humide proche du type Cf de la classification deKoppen; la température moyenne
annuelle est de 22,6 ° C et les précipitations moyennes annuelles sontLe groupement de Mudaka qui fait partie
du territoire de Kabare a été pris comme tour comprend huit localités dont :Cituzo, Kashasha, Kajeje, Cibumbiro,
Cirhogole, Kashunguri, Cinjoma et
Mubumbu.
2008.METHODOLOGIE
La méthodologie utilisée a été celle de paysans producteurs de groupement deMudaka.
Cette enquête avait été précédée par une pré-enquête et par des recherches quest ionnaire. GSJ: Volume 7, Issue 8, August 2019ISSN 2320-9186 1504GSJ© 2019
www.globalscientificjournal.comEtant donné que ce groupement de
Mudaka comprend huit localités, toutes
ces dernières ont été prises en compte pour la réalisation de cette étude. composé de dix ménages agricoles choisis au hasard. Ce choix a été dicté par les ménages pratiquant la culture deDans ces huit localités, un total de
quatre-vingt ménages a été enquêté. questions (ouverte et fermée) aux la pomme de terre afin de valider ou a été utilisé aidé à savoir par exemple, la dépenses (intrants) effectuées sur ses superficies et la vente de produits récoltés, les dépenses engagées et opérations effectuées des cultures, les coûts de la taxe lors de la vente, lieu questionnaire facilitera la récolte des données.Pij=quantité produite par le paysan i,
pour la culture j ; PCij=la quantité j commercialisée par le paysan i ;Pij=le prix auquel le paysan i déclare
avoir vendu sa production ;La recette totale du paysan i (RTi) peut
alors être calculée par la formule suivante :RTij=pij * PCij
(1)Alors la production totale en valeur sera :
PTij=pij * Pij
(2)La relation (2)-(1) donne la production
autoconsommée en unités monétaires (Pcons)Pcons=pij(Pij
-PCij) (3) par le paysan i pour la culture j sera : P h=ptij/Sij = pij*Pij/Sij (4)De même, on pose que :CFij = les charges
fixes (en FC) supportées par les paysan i pour la culture j ;CVij = les charges variables (en FC)
supportées par le paysan i pour la culture j ;Sij = la superficie emblavée par le paysan
i pour la culture j.Ainsi, le cout total supporté par le paysan
i pour la culture j sera :CTij = CFij + CV ij
(5)GSJ: Volume 7, Issue 8, August 2019
ISSN 2320-9186 1505GSJ© 2019
www.globalscientificjournal.comLe revenu global net (RGN) ou le gain
réalisé par le paysan i sur la culture j sera alors :RGNij = PTij ± CTij *Pij * Pij ± ( CFij +
CVij) (6)
Avec CVij = a
j * Pij (7)La constante a représente le cout variable
sait que le cout moyen ( par unité produite) est égal à la somme du cout variable moyen et du cout fixe moyen. C moyen = CT/Pij = CFij/Pij + aj (8) la relation suivante : ij = (Pij * pij ± CFij ± CV ij) / Sijquotesdbs_dbs14.pdfusesText_20[PDF] culture maïs ensilage
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