DOCUMENT DE REFERENCE RELATIF A LEXERCICE 2019 & AU
1 jan. 2020 BDC. Bons De Caisse. BMAO. Banque Marocaine pour l'Afrique et l'Orient. BMCE BANK ... La cession des parts du CAM dans AGRO-CONCEPT ;.
MANUEL DE MISE EN ŒUVRE DES PARCS ÉCO-INDUSTRIELS
le concept des PEI en Tunisie ciblant deux parcs indus- au cours de la pré-évaluation d'un nouveau parc agro-industriel. ... https://www.bdc.ca.
INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE ET STRATÉGIE DES ENTREPRISES
6 "L'influence" est partie intégrante du concept britannique d'intelligence économique donc beaucoup plus riche que celui de simple "information" ou de
Plan AGRO 2003-2015 pour lagriculture et la vie rurale dans les
matrice AGRO qui résume cette conception renouvelée de l'agriculture et de la vie rurale économique (BCIE)
Intelligence économique et stratégie des entreprises
BasedeConnaissanceAEGE:http://www.bdc.aege.fr. INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE ET Des conceptions nationales de l'intelligence ? CHAPITRE II - L'INTELLIGENCE ...
DOCUMENT DE RÉFÉRENCE RELATIF A LEXERCICE 2020 AU
BDC. Bons De Caisse. BMAO. Banque Marocaine pour l'Afrique et l'Orient. BOA. Banque Of Africa La cession des parts du CAM dans AGRO-CONCEPT ;.
Alimentation en milieu hospitalier
104 Guide pratique Favoriser l'approvisionnement local et de qualité en restauration collective
Le prix dans les marchés publics
19 avr. 2013 En effet l'optimisation de la conception du générateur
RÉPERTOIRE DE SITES INTERNET EN AGRICULTURE ET
Site d'Agriculture et Agroalimentaire Canada où l'on retrouve les liens à la La BDC offre également des services de consultation pouvant aider ...
Guide des ressources
conception de logiciels et d'outils adaptés. 418 835-1421 d'études en agriculture et agroalimentaire. ... 40 000 $ en partenariat avec la BDC.
Commissariat Général du Plan
INTELLIGENCE
ÉCONOMIQUE ET
STRATÉGIE DES
ENTREPRISES
Travaux du groupe présidé
par Henri MartreLa Documentation Française
Commissariat général du Plan
Rapport du Groupe
" Intelligence économique et stratégie des entreprises »Président : Henri Martre
Président de l'AFNOR
Président d'honneur d'Aérospatiale
_______________Rapporteur général : Philippe Clerc
Commissariat général du Plan
_______________Conseiller : Christian Harbulot
Institut d'étude et de stratégie de l'intelligence économique ________________Rapporteurs :
Philippe Baumard
New York Université
Bernard Fleury
Commissariat général du Plan
Didier Violle
Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergieFévrier1994
AVANT-PROPOS
parJean Baptiste de Foucauld
Commissaire au Plan
Le groupe de travail "Intelligence économique et stratégie des entreprises", présidé par Henri
Martre, se situe dans la continuité des réflexions conduites par le Commissariat général du
Plan au cours des années passées sur les facteurs immatériels de la compétitivité. Il prolonge ainsi utilement les travaux menés par le groupe "Information et compétitivité", ainsi que ceux plus récents de la commission "Compétitivité française" du XIe Plan. Le rapport met en valeur l'importance de l'intelligence économique comme outil decompréhension de réorganisation des économies des pays tiers, indispensable à la définition
de stratégies industrielles adaptées, réactives et performantes. La gestion stratégique de l'information économique est devenue l'un des moteurs essentiels de la performance globale des entreprises et des nations. En effet, le processus de mondialisation des marchés contraint les agents économiques à s'adapter aux nouveaux équilibres qui s'établissent entre concurrence et coopération. Désormais, la conduite des stratégies industrielles repose largement sur la capacité des entreprises à accéder aux informations stratégiques pour mieux anticiper les marchés à venir et les stratégies des concurrents. L'analyse comparée de la pratique de l'intelligence économique dans les économies les plus compétitives fait apparaître que certains pays, tels l'Allemagne, le Japon ou la Suède, ont depuis longtemps développé des "systèmes d'intelligence économique" qui leur ont permis d'accroître leurs parts de marchés tout en préservant leurs emplois.Ces organisations nationales reposent précisément sur une maîtrise collective de l'information
ouverte par l'ensemble des acteurs économiques. L'État joue un rôle essentiel à la fois dans le développement du système national d'information en liaison avec le secteur privé et dans la définition des grandes orientations stratégiques du pays, indispensables aux entreprises dans la définition de leurs actions et de leurs prévisions.Un certain nombre d'entreprises françaises ont pris des initiatives et déployé des efforts dans
le domaine de l'intelligence économique, en particulier en ce qui concerne la veille technologique.Toutefois, l'évaluation de la pratique française, à partir de nombreuses études de cas, fait
apparaître clairement l'ampleur des progrès qu'il convient encore d'accomplir au regard desexpériences étrangères. Cela suppose ce particulier un décloisonnement de notre système
socio-productif et de nos administrations, afin d'accroître la concertation à tous les niveaux, et
en particulier su sein des entreprises.Des actions doivent être menées pour développer des systèmes de gestion stratégique de
l'information économique permettant à la France d'appréhender efficacement les opportunités
et les risques liés à la mondialisation des échanges. Dans ce contexte, notre système public
doit poursuivre l'amélioration de l'accès à l'information publique et participer à l'efficacité
collective par la définition d'orientations et d'objectifs stratégiques clairs. II s'agit en effet de s'engager résolument dans une mobilisation collective des compétences pluridisciplinaires pour la mise en oeuvre d'un système d'intelligence économique au service de la performance globale.Pour ce travail de qualité, je tiens à remercier le président Henri Martre, le rapporteur général
Philippe Clerc, les rapporteurs (Philippe Baumard, Bernard Fleury, Christian Harbulot, DidierViolle) et l'ensemble des membres du groupe.
PRÉFACE
par Henri Martre président de l'AFNOR, président d'honneur d'Aérospatiale L'entreprise ! On attend beaucoup de sa vitalité pour assurer le dynamisme de notre économieet le bien-être du corps social. Elle doit, et c'est son rôle, prendre des initiatives, innover,
investir, embaucher, se montrer compétitive et vendre. Pour remplir sa fonction elle doit bien connaître son métier de base et ses clients, mais aussi ses concurrents, ses fournisseurs, ses personnels, et tenir compte de toutes les contraintes de son environnement. Pour la conduire,l'entreprise, il faut s'informer, analyser, prévoir, organiser, établir des projets, des stratégies,
lancer des actions, en un mot décider et décider sans cesse. Ce qui rend cet exercice de plus en plus difficile, c'est que son champ a changé de dimensions : la globalisation progressive des marchés multiplie à la fois le nombre des acteurs, leurdiversité et les types de contraintes ; l'accélération des communications change le rythme des
événements et impose des réactions rapides. Ces phénomènes sont d'une ampleur telle que
leur évolution ne peut plus être maîtrisée dans le cadre des organisations classiques. Constatant le nombre élevé des facteurs et de leurs relations, admettant que beaucoup ne pourront être appréhendés au moment de la décision, on établit la complexité comme dominante essentielle du management, ce qui impose une révision profonde des modes de réflexion, des méthodes d'approche et des comportements. Cela pose en particulier leproblème du niveau des connaissances apportées au décideur et de leur adéquation à ses
besoins. On pourrait le croire facile à résoudre en raison de l'extraordinaire masse d'informations disponibles dans le monde sur tous les sujets, et des progrès techniquesfantastiques qui ont été réalisés pour transmettre et traiter ces informations. L'expérience
montre qu'il n'en est rien et que les systèmes d'information, compte tenu de leur richesse et deleur diversité, sont en eux-mêmes des éléments de la complexité qui s'impose à l'entreprise.
La réflexion proposée à notre groupe de travail par le Commissaire au Plan n'avait pas pourambition d'étudier l'ensemble des problèmes relatifs à l'analyse stratégique des entreprises et
aux systèmes d'informations qui immergent notre économie, mais, tenant compte des travaux antérieurs 1 et de l'expérience, de prêter une attention plus particulière à l'exploitation de l'intelligence économique dans la conduite des entreprises. A cet effet le groupe rassemblait un ensemble de praticiens venus de tous les horizons : administration, collectivités locales, industrie, services, organismes consulaires, syndicats, consultants, formant un échantillonreprésentatif de la communauté de l'intelligence économique, riche d'une somme considérable
d'expériences diversifiées, vécues et actuelles.L'approche suivie a été essentiellement pragmatique : il ne s'agissait pas de se livrer à une
analyse systémique et de bâtir de nouvelles organisations, mais plutôt de dresser une imagedes réalités mondiales et nationales et de tracer quelques pistes pratiques et réalistes de nature
1) Il convient de citer en particulier le rapport "Information et compétitivité» du Comité
"Information professionnelle et compétitivité" créé par le Commissariat général du Plan et présidé par René Mayer. à redresser une situation que l'on sait peu satisfaisante dans son ensemble. Ce fut un travail d'équipe, chacun apportant sa vision, ses exemples et ses suggestions. De nombreuses études de cas ont été réalisées, dont certaines restent confidentielles compte tenu de leur caractère exceptionnel et caricatural. Le tableau qui en résulte est fait de coups de projecteurs mettant en lumière des situations, des usages, des comportements, et a de ce fait un caractère quelque peu impressionniste : c'est en soi un bon exemple d'intelligence économique. On ne peut évidemment résumer en quelques phrases un rapport aussi riche de diversités, mais on peut dégager quelques traits essentiels. Tout d'abord, on ne traite dans ce domaine que l'exploitation de l'information ouverte, c'est-à-dire celle qui est obtenue par des moyens légaux, même si elle est parfois difficile d'accès. On observe ensuite que les organisations et les pratiques ont un caractère national, que les systèmes soient fragmentés comme aux États-Unis ou établis en réseau comme au Japon. Elles trouvent en fait leurs racines dans l'histoire et la culture et sont le plus souvent l'expression d'une ambition et d'une solidarité nationales. A l'origine on trouve de grandes
aventures extérieures d'ordre colonial, ou d'ordre industriel et commercial. Les grands empires ont tous pratiqué et pratiquent l'intelligence économique. Enfin, la France devrait disposer d'un excellent réseau d'intelligence économique, compte tenu de son histoire, de son rayonnement dans le monde et de sa position de quatrième puissance exportatrice.Il n'en est rien en raison des cloisonnements de la société française et de l'individualisme de
ses citoyens. Malgré quelques réalisations de grande qualité, cela reste une grande lacune. La
combler est certes une oeuvre de longue haleine, non pas que les moyens à mettre en place soient gigantesques, mais simplement parce qu'il faut changer les états d'esprit et les comportements. Puisse ce rapport y contribuer !Sommaire
INTRODUCTION
CHAPITRE PREMIER - ANALYSE COMPARÉE DES
SYS T ÈM ES D'INT
ELLIGENCE ÉCON
O MIQUE DANS
LE MONDE
1. Méthodologie
2. Émergence et histoire
3. Deux systèmes précurseurs
3.1. Le cas de la Grande-Bretagne
3.2. Le cas de la Suède
4. Tendances et mouvements de convergence
4.1. L
intelligence écono m ique, critère de compétitivité4.2. L
intelligence écono m ique, m a tière pr e m ière d une nouvelle industrie4.3. L
intelligence écono m ique, fonde m ent d'une culture écrite4.4. L'intelligence économique, source de concertation
État/entreprises/collectivités territoriales4.5. L
intelligence écono m ique et la d fense de l intérêt national5. Les grands systèmes contemporains
5.1. Japon
5.2. États-Unis
53. Alle
m a gne6. Analyses comparées et synthèse
6.1. Pourquoi les entreprises pratiquent-ell
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