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denombrabilite.pdf

May 14 2005 Comme R n'est pas dénombrable (théor`eme 1)



D.M. 15 (?) (parfois (??)) : introduction `a la topologie de R

Définition : Un ensemble E est dit dénombrable s'il existe une bijection ? c) Plus nouveau : nous allons montrer que R n'est pas dénombrable et cela de ...



Sans titre

A étant une partie de R et f une fonction de R dans R n'est pas forcément le même ... Nous démontrons que l'ensemble infini R n'est pas dénombrable.



Chapitre 1 :Ensembles dénombrables topologie de R

https://melusine.eu.org/syracuse/immae/mp/mathematiques/01.pdf



On the distribution of prime numbers which are of the form x2+y2+l

Jp (2t) est convergent et n'est donc pas nul si tes. Travaux cités Namely we must prove the uniformity of the value r(n) in an arithmetical.



1 Introduction 2 Dénombrabilité

Jan 4 2014 (Cantor). Corollaire 31. L'ensemble des irrationnels n'est pas dénombrable. Exemple 32. ]0



Colle semaine 1

Sep 17 2020 Montrer que R n'est pas dénombrable. Cours 3. Montrer que pour K un corps



DÉNOMBRABLE OU CONTINU

Un ensemble E est dit « dénombrable » s'il existe une bijection de ` sur E Pour montrer que ] 0 ; 1 [ [ n'est pas dénombrable on raisonne par l'absurde ...



Annexe A - Ensembles dénombrables

n'est pas unique s'il y a au moins deux pommes mais l'entier n que l'on On dit d'un ensemble qu'il est dénombrable s'il est en bijection avec une.



Introduction 1 Les infinis dénombrables 2 La théorie de Zermelo

ensemble infini avant de chercher les ensembles en bijection avec R. La derni` d'apr`es le théor`eme de Cantor P(N) n'est pas dénombrable donc R n'est.



[PDF] DENOMBRABILITE

14 mai 2005 · Fin du cours n09 Corollaire 11 L'ensemble des nombres irrationnels n'est pas dénombrable Preuve Par l'absurde Comme Q est dénombrable si R 



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On a alors défini une bijection entre l'ensemble des pommes du panier et l'ensemble [1n] Cette bijection n'est pas unique s'il y a au moins deux pommes mais 



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DÉNOMBRABLE OU CONTINU ? Objectif Déterminer pour divers ensembles simples s'ils sont dénombrables ou continus Démontrer que ` et \ ne sont pas 



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ensembles étaient dénombrables puisque Z est dé- nombrable et même Q l'est Cependant nous allons voir que R lui ne l'est pas



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Attention ce n'est pas l'ensemble R puisque c'est un ensemble fini (il n'y a que Les ensembles infinis dénombrables en bijection avec IN de cardinal



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Donc f n'est pas surjective Corollaire : N n'est pas équipotent à )( N P Exemple : L'ensemble R n'est pas dénombrable (démonstration de Cantor) :



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5 déc 2014 · Conclu- sion ? (4 ) Montrer que R n'est pas dénombrable (5 ) Montrer que l'ensemble des irrationnels n' 



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Démontrer que ?? n'est pas dénombrable (sauf si ? est un singleton) Solution: En utilisant le théorème de Cantor Bernstein démontrer que NN et R sont 



Exercices corrigés -Ensembles dénombrables ensembles équipotents

En déduire que l'ensemble des applications de N N dans N N n'est pas dénombrable Indication Corrigé

  • Pourquoi l'ensemble R n'est pas dénombrable ?

    Pour démontrer que ? est non dénombrable, il suffit de démontrer la non-dénombrabilité du sous-ensemble [0, 1[ de ?, donc de construire, pour toute partie dénombrable D de [0, 1[, un élément de [0, 1[ n'appartenant pas à D. Soit donc une partie dénombrable de [0, 1[ énumérée à l'aide d'une suite r = (r1, r2, r3, … ).
  • Est-ce que R est dénombrable ?

    R n'est pas dénombrable. Il suffit de montrer que le segment [0,1[ ne l'est pas. Pour cela, on applique une méthode connue sous le nom de procédé diagonal de Cantor.
  • Comment montrer qu'un ensemble n'est pas dénombrable ?

    Alors ?n ? 1, x = xn car an = an,n, ce qui est une contradiction. Un sous-ensemble A ? R tel que ? A = 0, n'est pas dénombrable. R n'est pas dénombrable. L'ensemble des nombres réels irrationnels n'est pas dénombrable (si tel n'´tait pas le cas, R = (R ? Q) ? Q) serait dénombrable).
  • En mathématiques, un ensemble est dit dénombrable, ou infini dénombrable, lorsque ses éléments peuvent être listés sans omission ni répétition dans une suite indexée par les entiers.

Chapitre 1

Logique, ensembles, arithm´etique

La logique math´ematique prend naissance avec George Boole au milieu duXIX e si`ecle et se formalise aux alentours de 1900 alors qu"apparaˆıt la th´eorie des ensembles sous l"impulsion de Georg Cantor (1845-1918) et Richard Dedekind (1831-1916). Elle permet de fonder rigoureusement les math´ematiques, tˆache qui devient n´ecessaire lorsque les math´ematiques se d´etachent de la physique. Quant `a l"arithm´etique, elle est aussi ancienne que les math´ematiques puisqu"elle d´ebute d`es

l"Antiquit´e; certaines conjectures en arithm´etique se sont r´ev´el´ees fausses, comme

nous le verrons grˆace `a quelques contre-exemples.?Logique des pr´edicats du premier ordre Les math´ematiques se fondent en particulier sur la logique des pr´edicats du premier ordre, construite `a l"aide des connecteurs propositionnels ??non et ou implique et

´equivalent

, de variablesx,y,z..., de propositions, de pr´edicats P(x),Q(x,y)...et des quantificateurs existentiel?et universel?. Si l"on souhaite utiliser des quantificateurs dans un texte math´ematique -ce n"est jamais indispensable...-, leur maniement doit se faire avec soin. On peut intervertir deux quantificateurs de mˆeme nature se suivant dans une formule, mais

il n"en est pas de mˆeme pour deux quantificateurs de natures diff´erentes.1.1. Exemple o`u la proposition?x?y?P(x,y)?est vraie alors que

l"assertion?y?x?P(x,y)?est fausse. Nous prenonsNcomme ensemble de r´ef´erence et nous symbolisons parP(x,y) l"assertion :xest inf´erieur ou ´egal `ay. Alors, pour tout entier naturelx, si l"on choisit un entier naturelysup´erieur ou ´egal `ax, l"assertionP(x,y) est vraie; la proposition?x?y?P(x,y)?est donc vraie. Par contre,Nn"ayant pas de plus grand ´el´ement, l"assertion?y?x?P(x,y)?est fausse.? Remarquons que si la deuxi`eme des formules de l"exemple 1.1 est vraie, alors la premi`ere l"est, c"est-`a-dire que l"implication?y?x?P(x,y)?=??x?y?P(x,y)? est universellement valide; intuitivement nous voyons que dans le terme de gauche yne d´epend pas dex, alors que dans celui de droite il peut en d´ependre : la condition est donc moins forte. C"est ainsi qu"une utilisation de l"interversion de quantificateurs de natures diff´erentes est faite pour passer de la continuit´e`ala1

2 Chapitre 1 - Logique, ensembles, arithm´etique

continuit´e uniforme 1 :A´etant une partie deRetfune fonction deRdansR d´efinie surA, la continuit´edefsurAs"exprime par la proposition : et la continuit´e uniforme defsurApar l"assertion :

Les connecteurs

et et ou ´etant symbolis´es respectivement par?et?, les propositions?x?P(x)?Q(x)?et?x?P(x)???x?Q(x)?sont ´equivalentes, de mˆeme que les assertions?x?P(x)?Q(x)?et?x?P(x)???x?Q(x)?.

1.2. Exemple o`u l"assertion?x?P(x)?Q(x)?est vraie alors que la

proposition?x?P(x)???x?Q(x)?est fausse. Nous prenons de nouveauNcomme ensemble de r´ef´erence et nous symbolisons, pour tout entier naturelx, parP(x) l"assertion :xest pair, et parQ(x) la propo- sition :xest impair. Alors?x?P(x)?Q(x)?exprime que tout entier naturel est pair ou impair, ce qui est vrai; par contre?x?P(x)???x?Q(x)?exprime que soit tous les entiers sont pairs, soit ils sont tous impairs, ce qui est bien sˆur faux.?

1.3. Exemple o`u la proposition?x?P(x)???x?Q(x)?est vraie alors

que l"assertion?x?P(x)?Q(x)?est fausse. Les hypoth`eses sont celles l"exemple 1.2. Alors?x?P(x)???x?Q(x))?exprime qu"il existe (au moins) un entier pair et (au moins) un entier impair, alors que ?x?P(x)?Q(x)?exprime qu"il existe un entier simultan´ement pair et impair.? Remarquons que dans la premi`ere des propositions de l"exemple pr´ec´edent 1.3, on peut remplacer la deuxi`eme occurrence dexpary, carxest ici une variable muette, et que donc un ´el´ement qui v´erifie?x?P(x)?n"est pas forc´ement le mˆeme qu"un ´el´ement v´erifiant?x?Q(x)?; par contre, dans la deuxi`eme proposition, c"est le mˆeme ´el´ement qui doit remplir les deux conditions. ?Paradoxes de la th´eorie "na¨ıve" des ensembles La th´eorie des ensembles, œuvre des math´ematiciens allemands Georg Cantor et

Richard Dedekind, apparaˆıt `alafinduxix

e si`ecle. Dans cette premi`ere approche, que l"on qualifie maintenant de na¨ıve , on appelle ensemble n"importe quelle collection d"objets 2 , ce qui conduit `a des paradoxes.

1.4. Paradoxe de Russel

3 Nous consid´erons l"ensembleA={X|X/?X}. Alorsl"objetAappartient ou bien n"appartient pas `al"ensembleA.SiAappartient `aA, alors, par d´efinition deA, on obtient queAn"appartient `a pasA;siAn"appartient pas `aA, cette mˆeme

1. Voir le chapitre 8, page 144.

2. Georg Cantor d´ebute son m´emoire de mars 1895, publi´e dans lesMathematische Annalen,

ainsi : ??Nous appelons "ensemble" toute r´eunionMd"objets de notre conceptionm,d´etermin´es et bien distincts, et que nous appelons "´el´ements" deM.

3. Il est ´enonc´e en 1905 par le math´ematicien et philosophe anglais Bertrand Russel (1872-1970).

2 Image directe et image r´eciproque d"une partie 3 d´efinition nous permet d"affirmer queAappartient `aA. Ainsi les deux assertions

Aappartient `aA

et

An"appartient pas `aA

sont simultan´ement vraies...? Nous rappelons que l"ensemble des parties d"un ensembleEest not´eP(E). TH

´EOR`EME 1.1. - Th´eor`eme de Cantor.

SiEest un ensemble, il n"existe aucune injection deP(E)dansE.

1.5. Paradoxe de Cantor.

En notantEl"ensemble de tous les ensembles, l"ensembleP(E) est inclus dansE donc l"injection canonique deP(E) dansEcontredit le th´eor`eme de Cantor.? Pour rem´edier `a de tels paradoxes, une th´eorie axiomatique des ensembles a ´et´e ´elabor´ee. C"est la th´eorie des ensembles Zermelo-Fraenkel, en abr´eg´e ZF, ainsi d´enomm´ee car elle a ´et´e con¸cue par Ernst Zermelo 4 en 1908 -il l"expose dans sesRecherches sur les fondements de la th´eorie des ensembles- et modifi´ee par

Abraham Fraenkel

5 en 1921 et 1922. La th´eorie ZF sert depuis cette ´epoque de fondement aux math´ematiques, dont elle permet une construction rigoureuse, mˆeme si sa consistance, c"est-`a-dire l"absence de paradoxes, ne pourra jamais ˆetre prouv´ee, comme le montre Kurt Godel 6 en 1931. Les math´ematiciens d"aujourd"hui font le pari de cette consistance et fondent les math´ematiques sur la th´eorie ZF. ?Image directe et image r´eciproque d"une partie Ayant surtout en vue de l"´etude de la notion de cardinal, Georg Cantor utilise essentiellement des correspondances biunivoques entres les ensembles, ce que nous appelons maintenant des bijections, alors que Richard Dedekind introduit dans toute sa g´en´eralit´e la notion d"application d"un ensemble dans un autre. Soitfune application d"un ensembleEdans un ensembleF. SiAest une partie de l"ensembleE, l"image directe deAparfest la partie f(A)={f(x)|x?A}deFet, siMest une partie deF, l"image r´eciproque de

Mparfest la partief

-1 (M)={x?E|f(x)?M}deE. SiAetBsont des parties deE, alorsf(A?B)=f(A)?f(B), mais en g´en´eral on a seulement l"inclusionf(A∩B)?f(A)∩f(B). Cependant, si l"applicationf est injective, cette inclusion devient une ´egalit´e.

1.6. PartiesAetBdeEtelles quef(A∩B)?=f(A)∩f(B).

Nous introduisons l"applicationf:n?→f(n)=|n|deZdansZet les parties A=NetB=-NdeZ. AlorsA∩B={0}doncf(A∩B)={0}. Par contre f(A)=f(B)=Ndoncf(A)∩f(B)=N.? Pour une partieAdeE, une partieBdeFet une applicationfdeEdansF,on a les inclusionsA?f -1 ?f(A)?etf?f -1 (B)??B. La premi`ere est une ´egalit´esi fest injective et la seconde sifest une surjection deEsurF.

4. Math´ematicien et logicien allemand (1871-1953).

5. Math´ematicien et logicien isra´elien d"origine allemande (1891-1965).

6. Math´ematicien et logicien autrichien (1906-1978).

3

4 Chapitre 1 - Logique, ensembles, arithm´etique

1.7. PartieAdeEtelle queA?=f

-1 ?f(A)?. Nous utilisons de nouveau l"applicationf:n?→f(n)=|n|deZdansZet nous posonsA=N. Alorsf(A)=N=f(Z) doncf -1 ?f(A)?=Z?=A.?

1.8. PartieMdeFtelle queM?=f?f

-1 (M)?. Pour l"applicationf:n?→f(n)=|n|deZdansZetM=-N,f -1 (M)={0} -seul 0 s"envoit sur un ´el´ement de-N-, doncf?f -1 (M)?={0}?=M.?

On a, pour toute partieMdeF,f

-1 F M?=? E f -1 (M). Ceci est faux pour l"image directe et il n"y a dans ce cas d"inclusion ni dans un sens, ni dans l"autre.

1.9. PartieAdeEtelle quef??

E A??=? F f(A). Nous consid´erons de nouveau l"applicationf:n?→f(n)=|n|deZdansZet nous posonsA=N. Alors? Z A=-N , ensemble des entiers strictement n´egatifs, doncf?? Z A?=N . Par ailleursf(A)=N, donc? Z f(A)=-N ; non seulement les deux ensembles diff`erent mais ils sont disjoints.? ?Ensembles ´equipotents D´EFINITION 1.1. -SiEetFsont des ensembles,Eest ´equipotent `aFs"il existe une bijection deEsurF. La relation d"´equipotence, symbolis´ee parEq, est une relation r´eflexive, transitive et sym´etrique sur la classe -et non l"ensemble, voir l"exemple 1.5- de tous les ensembles, ce qui signifie que, quels que soient les ensemblesX,YetZ,XEqX (r´eflexivit´e),XEqYetYEqZentraˆınentXEqZ(transitivit´e), etXEqY entraˆıneYEqX(sym´etrie). Compte tenu de la sym´etrie, on dit que les ensembles EetFsont ´equipotents pour exprimer queE(ouF) est ´equipotent `aF(ou `aE). Intuitivement, des ensemblesEetFsont ´equipotents s"ils ont le mˆeme nombre d"´el´ements , ce qui conduit `a la notion de cardinal d"un ensemble, d´evelopp´ee par Cantor parall`element `a la notion d"ordinal -les cardinaux servent `a compter le nombre des ´el´ements d"un ensemble et les ordinaux `a les num´eroter Tous les ensembles ont un cardinal, des ensembles sont ´equipotents si, et seule- ment si, ils ont le mˆeme cardinal et le cardinal d"un ensemble fini est le nombre de ses ´el´ements au sens traditionnel. Le cardinal d"un ensembleEse note card(E).

Euclide cite parmi ses axiomes :

La partie est toujours plus petite que le tout

Ce n"est en fait vrai que pour les ensembles finis : dans un ensemble infiniE, il existe une partie stricte de mˆeme cardinal queE, c"est-`a-dire ´equipotente `aE.

1.10. Partie stricte deN´equipotente `aN.

L"ensemblePdes nombres entiers naturels pairs est une partie stricte deNet l"applicationf:n?→f(n)=2nune bijection deNsurP, doncNetPsont des ensembles ´equipotents 7

7. Galil´ee avait d´ej`a remarqu´e que l"application?:n?→?(n)=n

2 deNdansNest une bijection deNsur l"ensembleCdes carr´es d"entiers naturels, partie stricte deN. 4

Ensembles ´equipotents 5

1.11. Partie stricte deR´equipotente `aR.

Pour tout r´eelx,???

x 1+|x| |x| 1+|x| <1, ce qui justifie l"existence de l"application : ?????f:R-→]-1,1[ x?-→f(x)= x 1+|x| Nous remarquons que, pour tout r´eelx, les r´eelsxetf(x) sont de mˆeme signe. Sixetysont des nombres r´eels et sif(x)=f(y),xetysont de mˆeme signe donc, six?0,x/(1 +x)=y/(1 +y) et, six<0,x/(1-x)=y/(1-y), d"o`u l"on d´eduit quex=y.Sicappartient `a l"intervalle ouvert]-1,1[, alors, en notanta la solution de l"´equationx/(1 +x)=csic?0 et la solution dex/(1-x)=c sic<0,aest un ant´ec´edent decparf . Ainsifest une bijection deRsur]-1,1[. En conclusion, la partie stricte]-1,1[deRest ´equipotente `aR.? Remarquons que siaetbsont des r´eels et siaL"ensembleNparaˆıt avoir moins d"´el´ements queN 2 . En fait il n"en est rien : ces ensembles sont ´equipotents.

1.12. Bijection deN

2 surN.

Nous introduisons la suite (a

n n?N d"entiers naturels, de terme g´en´eral : a n n i=0 i=1+2+···+n= n(n+1) 2 (quotient exact).

On a, pour tout entier natureln,a

n+1 =a n +(n+1); en particulier, (a nquotesdbs_dbs27.pdfusesText_33
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