[PDF] Mise en page 1 Rénovation de la Place





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Mar 15 2014 Le cinéma le Concorde organisait ... d'une subvention de la région Île-de-France à hauteur de ... ne verra pas le jour avant 2015 ».





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est l'histoire” Anatole France : “Ce n'est qu'avec le passé mes meilleurs vœux pour 2015 à partager avec vos familles



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Rénovation de la Place BAVEREL - Réunion du 15 septembre 2015. Etaient présents : sion du 30e anniversaire de la Libération de la France le 8 mai.

Edito:Si chacun balayait devant sa porte...

Maquette : Frédéric Gilly

I llustration : Anne-Marie Orsatelli-Leduc

Bulletin d"information

du Comité d"intérêts d e Quartier des Associations et Groupements de Sainte-Anne

Permanences du CIQ :

Tous les lundis à 18h30

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Tél. 04 91 76 66 39

Réunion du Conseil tous les 1er lundis

du mois à 18h30 site : www.ciq-sainteanne.fr I l s"agit là d"un très vieux consensus, remontant peut-être au

Moyen Âge, et qui est devenu un dicton :

On peut lui donner deux sens :

• Que chacun s"occupe de ses propres affaires, sous-entendu, plutôt que de celles des autres... • Mais on peut, et même je dirais on doit le prendre dans un sens plus positif : "si, au lieu de critiquer toujours les autres, les pou- voirs publics, mairie ou autres collectivités publiques locales, ré- gionales, nationales, ses propres voisins, chacun faisait son devoir, assumait ses responsabilités, on constaterait immédiate- ment une amélioration générale." Bien sûr, les rues seraient plus propres c"est-à-dire l"extérieur, l"espace public, mais au travers de cette image il s"agit de principes plus généraux. "Si chacun balayait devant sa porte...le monde serait plus propre" Nos comportements ont changé pour de multiples raisons. Si on s"en tient à l"acception précise du trottoir, on peut citer certains facteurs : l"habitat collectif au lieu de la maison individuelle en bordure de rue, le sentiment de ne plus avoir son bout de trottoir bien à soi puisqu"il est partagé et encombré de véhicules, d"au- tres objets ou déchets, mais si on élargit cette maxime en la pre- nant dans un sens plus général, c"est la montée de l"individua- lisme poussé à l"extrême qui fait qu"on néglige tout ce qui n"est

pas son bien personnel, vraiment à soi, sa propriété, c"est la di-minution corrélative du sentiment de responsabilité vis-à-vis des

autres et de la collectivité. Balayer devant sa porte c"est examiner sa propre responsabilité. Paradoxalement, cette diminution du sentiment de responsabilité que l"on constate est à contre-courant de la responsabilité réelle de l"homme moderne, actuel qui est et sera de plus en plus lourde, pour la vie présente mais surtout pour les générations à venir. C"est la question essentielle que nous devons nous poser en permanence :" quel monde allons-nous laisser aux généra- tions futures ?" Dans cette perspective, la responsabilité est de plus en plus un sujet d"actualité et toutes les dimensions de la vie sociale sont centrées sur cette interrogation. "L"homme est désormais le père de cette vie dont il avait été jusqu"à ce jour l"enfant prodigue" Vous voyez que la réflexion sur les trottoirs nous entraîne bien loin. Le "local" conduit au "global." Mais rassurez-vous, le CIQ de Sainte-Anne continuera à interve- nir auprès des pouvoirs publics pour obtenir des améliorations, pour les trottoirs, pour la voirie, pour la circulation etc. Il n"em- pêche que le comportement et l"engagement de chacun consti- tuent l"élément principal du "mieux vivre ensemble" auquel nous aspirons tous.Claude GUILHEM

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le courage de changer ce qui peut l"être et la sagesse de faire la distinction entre les deux". Marc Aurèle

Les Echos

de Sainte Anne

N° 80 - OCTOBRE 2015

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B aptème - Mariage - Comité d"Entreprise - Anniversaires.... Pièces montées - Entremets - Gâteau d"anniversaire Gâteaux de soirées - Plaque Pizza & Quiche... Nombreux sont ceux qui ont conscience que notre monde actuel, au plus près ou au plus loin, est plein de morbidité et de dangers. Ils voudraient agir pour essayer de l"améliorer, oui mais voilà com- ment faire ? La tâche paraît impossible, et devant cette consta- tation, la bonne volonté ne suffit pas et l"intention première est vite stoppée par ce qui paraît une évidence pour tout un chacun. Le monde est plein de paradoxes : nous sommes en train de comprendre que malgré notre "intelligence", nous sommes fra- giles et dépendants. Dépendants les uns des autres et dépen- dants de la nature dont on s"est trop écarté depuis de nombreuses années. Cette prise de conscience de notre fragilité et des nombreux dangers qui nous guettent pourrait bien nous sauver. Continuons dans les paradoxes : nous avons la chance de vivre une époque extrêmement riche et passionnante au cours de la-

quelle nous avons compris ce qu"auparavant nous qualifiions de"mystère" et qui donnait lieu à des croyances de toutes sortes

que l"on considère maintenant comme des obscurantismes. Mais la marge est encore grande sinon infinie pour élucider toutes les énigmes de notre univers et de nos vies. Tant mieux ! Et les obscurantistes sont loin d"avoir disparus de notre globe. Hélas ! Raison de plus, pour essayer de comprendre notre environne- ment et constater toutes les pollutions de nos esprits, de nos coeurs, de nos valeurs qui nous paralysent dans nos actions ou réactions. Le changement ce n"est pas seulement détruire ce qui ne va pas mais construire ce que l"on veut voir émerger. "En portant l"humanité en lui, chaque être humain en est respon- sable à sa mesure" nous dit Edgar MORIN. Autre citation : "nous sommes le monde, nous changer, revient donc déjà à changer une partie du monde, certes infime mais existante et importante."

CHRONIQUES

Note de la rédaction

Ces ou expriment des observa-

tions, des remarques, des opinions bien marquées, sur des sujets très divers, qui peuvent être des préoccupations de tous les jours, des questions concernant notre environnement, notre façon de vivre en société, pouvant faire référence à des notions de morale ou de philosophie. Les lecteurs peuvent réagir à ces textes, soit pour donner d"autres points de vue, ou pour insister sur d"autres aspects auxquels ils leur auront fait penser. Ces interventions en retour permettront d"enrichir et de développer notre réflexion. ...(Suite page 3)

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Quand finit la classe...

Je suis devant l"école publique du quartier. La journée de classe s"achève. Franchir le portail de l"école, c"est, pour les élèves, un autre m onde qui s"offre à eux. Ils ont des tas de choses à se dire, les conversations se font à haute voix, chacun parle pour tous et personne n"écoute. Je songe. Je me vois franchissant le seuil de l"école que je fré- quentais il y a quelques "lustres ". La bousculade de la sortie était la même qu"ici et les propos échangés avaient certaine- ment le même intérêt, mais qu"en est-il de l"après sortie... ? C"est simple, je vais vous raconter l"après-midi de l"époque et ainsi vous vous ferez une opinion. D"abord, autant vous le dire tout de suite : peu de parents pour nous attendre (en fait aucun) et pas de voitures. Nous avions fait nos devoirs à "l"étude". Le coeur léger, par pe- tits groupes nous rejoignions nos maisons. En route, nos pro- pos sont alimentés par le rappel d"incidents strictement scolaires : punitions ou bagarres à la récréation. Arrivé devant mamaison, je quitte mes camarades. J"entre chez moi, je jette mon cartable dans un coin. Maman fait les gros yeux : j"obtempère, je range le cartable et j"attends le goûter. Aujourd"hui c"est comme hier, pain chocolat, demain ce sera pareil (la grande surface n"est pas encore arrivée jusqu"à nous).

J"attends le... "VA JOUER DEHORS !"

Je ne me le fais pas dire deux fois : c"est ma deuxième libéra- tion de la journée. S"il n"y a pas eu de conflit de générations, filles et garçons sont tous dans la rue. À partir de ce moment, "autres temps autres moeurs", les filles colonisent la chaussée pour les marelles et la corde à sauter qu"elles pratiquent en chantant "l"autre jour dans ma cham- brette ", tout ça sous l"oeil maternel. Les garçons ont droit au trottoir, mais ils préfèrent jouer au ballon sur la place ou enta- mer un "délivrer", jeu très compliqué, genre "gendarmes et vo- leurs" : on se court après dans tout le quartier et au bout d"une demi-heure de jeu on ne sait plus qui est qui... C"est nul mais c"est marrant.

Soudain un cri !

C"est l"heure ! D"une fenêtre jaillit l"appel "A table !" C"est fini pour aujourd"hui. À mon avis, dans cette partie "post-scolaire" réside la diffé- rence entre la vie d"un écolier IIIe République et celle d"un éco- lier du XXIe siècle. Dans notre quartier, hors les jours de classe on ne voit aucun enfant et très peu d"adolescents. Je me demande :" les filles jouent-elles encore à la marelle et les garçons à "délivrer". ? Pourquoi ces questions ?... Pour connaître les raisons pour les- quelles les seuls rires d"enfants que l"on entend à Sainte-Anne viennent des cours de récréation. R.D

Plaidoyer pour les marchés

Tous les mardis, sur l"esplanade de l"Hôtel du Département à St Just, se tient un marché paysan réservé aux producteurs. On y trouve des fruits, des légumes, du fromage, de la boulangerie, de la pâtisserie, de la charcuterie artisanale et même une plan- cha pour déguster des brochettes. Chez nous dans le Sud de la ville, depuis longtemps il n"y a plus d e producteurs. Ils ont été remplacés par du béton et du gou- dron qui, même avec une bonne sauce, n"est pas bon à man- ger. Quant aux marchés en plein air, ils ont pratiquement tous disparu et le peu qu"il en reste, comme celui de Michelet, ce sont de simples revendeurs de produits venus d"ailleurs. Pour- quoi les producteurs qui viennent à Saint-Just ne viennent-ils pas jusque chez nous ? J"ai posé la question. Les raisons sont très simples : faute de voirie il y a d"énormes encombrements qui font perdre trop de temps, il n"y a pas chez nous un large emplacement pour recevoir un marché et il faut beaucoup de "forains" pour couvrir toute la gamme des produits, enfin, les autoroutes locales n"ont jamais envisagé de faciliter la venue des producteurs. Une fois encore on constate que le sud de la ville est isolé et que c"est le bout du monde. Quand va-t-on enfin désenclaver cette partie de la ville ?

Charles AZAN

Plusieurs références dans nos précédents numéros ont été faites à la "légende du colibri" popularisée et diffusée par l"écrivain phi- losophe Pierre RABHI, la voici résumée ci-après : "Un jour, dit la légende amérindienne, il y eut un immense incen- d ie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient im- puissants le désastre. Seul le petit colibri s"activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après unm oment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit :" Co- libri ! Tu n"es pas fou ? Ce n"est pas avec ces gouttes d"eau que tu vas éteindre le feu !" Le colibri le regarde droit dans les yeux et lui répond : "Je le sais, mais je fais ma part.". P uisse cette légende merveilleuse nous inspirer tous les jours dans notre vie.

Claude GUILHEM

HISTOIRE ET TEMOIGNAGES

Page 4- CIQ STE-ANNE - site : www.ciq-sainteanne.fr

Sainte-Anne il y a 2000 ans.

En ce temps là, c"est toujours comme cela que commencent les belles histoires. Donc en ce temps là, Sainte-Anne n"existait pas.

C"était une campagne avec juste quelques huttes, mais il y avait cependant quelque chose d"intéressant et d"inattendu. À cette

époque les romains allaient à Cassis depuis Marseille. Ce n"était ni pour se baigner ni pour jouer au casino. Ils allaient chercher le co-

rail que les pêcheurs trouvaient en abondance et qui partait à Rome pour faire des bijoux. Les romains allaient aussi sur le plateau de

Carpiagne et de la Gardiole pour ramener des moutons et des chèvres que l"on élevait en ces lieux.

A

ujourd"hui, on imagine que les romains, comme nous maintenant, passaient par le col de la Gineste. Erreur. Le nom de Redon signi-

fie, paraît-il, le rond où l"on retourne. C"était au cours du chemin une place assez large pour que les chariots puissent faire demi-tour

et revenir en sens inverse. Quant au chemin de la Gineste il sera créé au XVIe siècle lorsque on installera des fours à chaux à Vaufrèges

(vent froid) et qu"il faudra évacuer la production vers Cassis et la Ciotat. Mais alors, nos romains par où passaient-ils ? Les historiens

se sont basés sur le parcours le plus logique en évitant les zones marécageuses ou difficiles. En quittant la ville, nous empruntons le

vallon de l"actuelle rue de Rome puis nous suivons le bas de la colline jusqu"à Saint Giniez. Nous évitons le vallon de Michelet qui est

un marécage et celui de Bonneveine actuellement bd de Hambourg pour cheminer à l"aise au sommet de la butte (actuelle avenue de

Mazargues) en passant bien entendu par le futur Sainte-Anne. Passé ce lieu, la voie oblique légèrement pour traverser l"actuel stade

du Cesne puis continue vers le cimetière anglais et traverse l"actuelle école privée qui est en face. Nous atteignons ainsi le vallon de

la Gouffonne où l"on trouve aujourd"hui la zone d"activité. Nous passons devant le magasin casino pour rejoindre le tracé de la route

actuelle jusqu"à l"entrée du vallon de Luminy. Ce grand domaine a appartenu à la famille Fabreavant de devenir domaine public. L"un

des membres de cette famille Henri FABREest l"inventeur de l"hydravion. Mais revenons sur notre voie romaine qui, presque au bout

du vallon, tourne pour grimper en pente douce jusqu"au plateau de la Gardiole. Dans cette zone, il existe encore de nos jours de larges

parties de cette route qui sont très bien conservées. Puis naturellement on descend sur Cassis.

Heureusement que nous avons fait le voyage sur-un-char romain, car, à pied la route aurait été longue et fatigante.Charles AZAN

P.S : Pourquoi ne pas envisager une plaque au bord de notre Place Baverel avec l"inscription "ici passait la route romaine de Marseille à Cassis" ?

Inauguration groupe scolaire de Sainte-Anne en 1954. Il y a 60 ans... passés Il y a eu 60 ans en septembre 2014 que le groupe scolaire de Sainte- Anne regroupant toutes les Ecoles Elémentaires Publiques était inauguré par le Président de la République de l"époque René COTY et le Maire Gaston DEFFERRE. Le Journal Le Provençal, dont on a pu sauvegarder des extraits le relate de manière enthousiaste.

C"était donc le 17 septembre 1954.

Au lendemain de la dernière guerre, les élèves des écoles de Sainte- Anne suivaient leur instruction dans des baraques préfabriquées, faute de place dans les anciens bâtiments. À cette époque, le Mi- nistère de la Reconstruction et les Autorités de la Ville voulaient à tout prix des constructions rapides pour loger les élèves. Heureu- sement Monsieur DEFFERRE a refusé les préfabriqués de type Pail- leron de triste mémoire (incendie et morts). M.EGGER Architecte

largement impliqué dans la reconstruction du Vieux-Port a conçuun module standardisé en véritable maçonnerie avec même de la

pierre de Rogne. 60 ans après on peut constater la justesse de la conception. Le module établi, tout alla très vite, car toutes les pierres de Rogne étaient identiques et donc coupées en série. Revenons au début. Monsieur MATALON Conseiller Municipal du quartier obtient l"accord pour la construction de l"école. La Munici- palité achète le terrain à M. MONTMORY. Sur la lancée le projet dé- marre, la construction dure trois mois et 23 jours. Depuis le début il a fallu moins d"un an pour arriver à l"inauguration et l"ouver- ture le 17 septembre 1954. Outre la qualité de la construction on peut constater la qualité ar- chitecturale de l"immeuble qui, 60 ans après, reste parfaitement agréable au regard.Charles AZAN

Extrait de l"article du Provençal pour

l"inauguration du Groupe scolaire de Ste Anne le 17 septembre 1954 (À défaut de photos que nous ne pouvons vous proposer) "A Sainte-Anne ou l"enthousiasme était véritablement délirant c"est toute une succession d"images claires qui furent offertes à

Monsieur COTY.

Qu"elle était jolie avec ses longs cheveux blonds cette petite fille qui récita un compliment. Qu"elle était fraîche et pure cette "Mar- seillaise" chantée par les élèves. Mais qu"elles sont nettes aussi, et gaies, et toutes pleines de soleil, ces salles de classe. C"est simple. Il me semblait visiter une école danoise, qui est, on le sait, le modèle du genre. Seconde entorse au programme : le Président qui devait simple- ment féliciter le petit Colonna-jeune sauveteur de trois de ses ca- marades-décida de le décorer de la médaille du sauvetage et du dévouement, lui offrant de surcroît 10 000 Fr. à inscrire sur son li- vret de Caisse d"Epargne. Cette décision nous fut d"autant plus sensible que, nous dit la Présidence, c"est en lisant le Provençal que Monsieur COTY l"apprit." a site : www.ciq-sainteanne.fr - CIQ STE-ANNE - Page 5

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Rénovation de la Place BAVEREL - Réunion du 15 septembre 2015

Etaient présents :

Pour la Mairie 6/8 : Mme Jackie TEGLIA-Architecte Responsable des Services Techniques. Pour M.P.M : M. Bernard SOUCHET Responsable Technique.

Pour le CIQ Ste Anne : Mmes Lily BOLAGE, Michèle DIDON, Nicole GUYARD, Monique MARIN, Huguette PEYROL, Monique

ORELUT, Mireille SANCHEZ, Mireille et Rosette STRAVATO, Simone VERDOT, MM BOSSARD, GUYARD, QUIRICO, MENARD,

VOLAND, GUILHEM.

Le 11 mai 2009 dans une lettre envoyée à Madame Laure Agnès CARADEC Adjointe à la Mairie Centrale, je for-

mulais, pour la première fois au nom du CIQ de Sainte-Anne la demande de rénovation de la Place Baverel. Elle

me répondait d"ailleurs le 17 avril 2012 : "quant à un éventuel projet de reprise générale de la Place, il sera de-

mandé à la Communauté Urbaine Marseille-Provence Métropole, d"engager une étude à ce sujet.

Le temps administratif est assez long, mais il aboutit parfois à condition d"être patient et persévérant.

Nous étions donc réunis pour parler de cette rénovation. Elle interviendra, nous l"espérons, mais il faudra attendre

e ncore plusieurs mois...

Principaux points abordés : nous avons envisagé des bornes rétractables manuelles au débouché Rue Thieux

vers les Ecoles/le pavement sera en pierre naturelle calcaire/vu la pente (plus de 2%) les normes actuelles (PMR)

imposent des plans-espaliers/l"Eglise disposera d"un accès à mobilité réduite comme la loi l"impose désormais/les

entourages des arbres construits en briques disparaîtront ce qui permettra l"agrandissement de l"espace/un par-

king 2 roues pourra être envisagé/Une fontaine wallace remplacera la fontaine actuelle (voir la photo ci-dessous

de celle de Montmartre à Paris)-Il s"agit d"un petit édicule en fonte :point d"eau potable. Ainsi le problème de

l"écoulement sur la Place serait supprimé

En attendant cette grande réfection, sans doute souhaitée par tous les habitants du quartier, il conviendrait de

remplacer les bornes amovibles d"accès,de rénover les bancs en bois, de permettre l"écoulement actuel

de l"eau de la fontaine jusqu"au caniveau,alors que par suite d"une malfaçon au cours de travaux une petite

flaque d"eau subsiste en permanence.

C"est le moment pour tous ceux qui s"intéressent à cet espace, "fleuron de notre Quartier", de nous faire part de

leurs réflexions et de leurs suggestions.

Claude GUILHEM

Page 6- CIQ STE-ANNE - site : www.ciq-sainteanne.fr

VIE DU QUARTIER

C"est par un temps estival que nous avons mis le cap vers l"Abbaye de Montmajour, première escale de notre journée. Ce magnifique

et imposant bâtiment a été érigé en 948 et régulièrement agrandi jusqu"à la fin du 13

ème

siècle. Montmajour, littéralement "le plus Grand Mont", était en fait une "île" émergeant alors d"un environnement d"eaux mortes et accessible seulement par barque. A la suite d"Isabelle, notre guide du jour, nous visitons la crypte, le déambulatoire desservant 5 chapelles, puis nous nous rendons sur ce qui fut la nécropole des moines, où subsistent encore les tombes creusées dans le calcaire. Nous aperce- vons à 200 m environ, la chapelle Sainte Croix, bâtie au 12

ème

siècle, dans laquelle les pèlerins venaient de tous horizons demander le Pardon de Montmajour, en ré- mission de leurs péchés. On en compta jusqu"à 150.000 en 1409. L"abbaye était alors au faîte de sa noto- riété.

Puis, à partir du 16

ème

siècle elle connut un lent déclin, et fut rachetée en 1838 par la ville d"Arles.

Isabellenous entrainait ensuite dans le magnifique cloître riche en sculptures de toutes sortes puis sur le parvis pour admirer le monastère

Saint Maur, où vivait, notamment l"abbé, puis la Tour Pons de l"Orme qui, avec ses 26 m, domine tout l"ensemble. La visite terminée nous

nous rendons, pas très loin de là, au village des Baux pour nous restaurer.

Repas correct dans un restaurant agréable et surtout à proximité immédiate de notre deuxième

étape de la journée : le Château des Baux. C"est une autre guide, Kathérina, qui nous prenait

en charge pour nous conter l"histoire mouvementée de cette place forte, où l"on peut encore voir,

parfaitement restaurés et entretenus les engins de guerre de l"époque : trébuchet, baliste et ca-

tapulte.

Edifié au 11

ème

siècle, cette forteresse était propriété des seigneurs des Baux, se réclamant du roi mage Balthazard qui se serait arrêté là, lors de son voyage vers Bethléem.

Narratrice très originale Kathérina, passionnait son auditoire par ses anecdotes croustillantes,

auxquelles elle faisait participer quelques uns des visiteurs, jouant, l"espace d"un instant, le rôle

de gentes dames et gentils damoiseaux..... L"heure tournant, nous nous transportions alors à quelques tours de roues de car, pour décou-

vrir le nouveau spectacle des Carrières de Lumière, baptisé " les Géants de la Renaissance » que furent Michel-Ange, RaphaÎl et Léo-

nard de Vinci. Nous pénétrons donc dans les entrailles de la terre, pour découvrir un spectacle

féérique unique au monde. Contrairement à l"ancienne technique qui se limitait à la projec-

tion de diapositives fixes, le nouveau procédé est à la pointe de la technologie. Ce sont 70 vidéoprojecteurs qui désormais diffusent les images sur 6000 m2 de surface. Le spectateur est totalement immergé dans ce bain de lumière qui couvre les parois de 14 m de haut, mais aussi le plafond et le sol. Transportés par la profusion de tableaux et une musique omniprésente, nous déambulons pendant trois quart d"heure dans cet univers surréaliste. La journée se terminait sur cette apothéose et nous rentrions alors sur Marseille plus riches de culture et de savoir.Robert ZANONI Compte-rendu de la sortie du C.I.Qle 28 mai 2015 aux Baux de Provence

L"abbaye de Montmajour

Engins de défense

Spectacle dans les carrières

Présentation du livre de Charles AZAN le 30 mai 2015 au Tempo et nouvelle projection plus courte du DVD de Robert ZANONI et Gilbert CALBOU "Si Ste Anne m"était raconté"

La salle était pleine pour écouter notre

ami nous présenter son livre histoire et petites histoires de Sainte-Anne et de ses environs".

Pour commencer on a pu voir une nou-

velle projection du film DVD réalisé par

Robert ZANONI et Gilbert CALBOU à

partir de témoignages d"habitants du quartier. Cette deuxième version rac- courcie était centrée sur les interviews de

Charles AZAN et de Marie Anne GINIER.

Tous nos remerciements renouvelés pour

cette réalisation remarquable et si utile pour sauvegarder la mémoire du temps passé et de notre quartier. Ensuite M. Charles AZAN nous a présenté son livre en évoquant à sa façon toujours très originale des épisodes ou anecdotes qui pour la plupart d"ailleurs ne faisaient pas partie de son ouvrage : c"est dire l"étendue de ses connaissances et de sa passion dans la recherche des causes et des déterminants à l"origine des évé- nements marquants qui ont jalonné notre histoire et qui permet- tent de mieux comprendre notre actualité présente.

Il était passionnant et intarissable avec des qualités de conteurque toute l"assistance a pu constater.

La séance a été de ce fait prolongée avec des auditeurs qui voulaient en savoir da- vantage et qui ont posé beaucoup de ques- tions. On a même eu droit à une petite polémique (pour ne pas être en reste à

Sainte-Anne par rapport aux polémiques

nationales politiques qui font notre quoti- dien dans les médias) sur l"origine du nom

BONNEVEINE que certains imputent au

nom de la céréale "avoine" qui aurait été cultivée dans ce quartier, version qui, selon

Thierry GARCIA, le Président du CIQ du

Roy d"Espagne, très intéressé par tous cesquotesdbs_dbs26.pdfusesText_32
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