LE BRASSAGE ALLÉLIQUE INDUIT PAR LA MÉIOSE
affirmation en considérant uniquement le brassage allélique induit par la méiose. Vous vous limiterez à trois gènes situés sur deux paires de chromosomes
Bac Blanc Noel 2007 - CORRIGÉ DU SUJET 1
Justifiez cette affirmation en considérant le brassage allélique induit uniquement par la méiose. Vous vous limiterez à trois gènes situés sur deux paires
chapitre-4_-meiose-fécondation.pdf
Le brassage intrachromosomique induit une recombinaison entre allèles : les allèles ou loci d'un même chromosome sont partiellement liés entre eux et les
GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION
Justifier cette affirmation en considérant uniquement le brassage allélique induit par la méiose. Votre raisonnement sera illustré par des schémas
Effets chromosomique génétique et épigénétique
sent une division spéciale nommée méiose qui permet le brassage allélique de mentales (en particulier durant la gestation) peuvent induire des modifica ...
Effets chromosomique génétique et épigénétique
sent une division spéciale nommée méiose qui permet le brassage allélique de mentales (en particulier durant la gestation) peuvent induire des modifica ...
Liban 2016 - Partie 1 Le brassage génétique La reproduction
Justifier cette affirmation en considérant uniquement le brassage allélique induit par la méiose. Votre raisonnement sera illustré par des schémas
Corrigé du bac 2016 : SVT obligatoire Série S – Liban
1. Le brassage allélique lors de la prophase de première division de méiose. Chez les individus diploïdes à l'état adulte (2n chromosomes) comme tous les.
Sujet BAC 2016 Liban SVT
Justifier cette affirmation en considérant uniquement le brassage allélique induit par la méiose. Votre raisonnement sera illustré par des schémas
Sujet du bac S SVT Spécialité 2016 - Liban
Justifier cette affirmation en considérant uniquement le brassage allélique induit par la méiose. Votre raisonnement sera illustré par des schémas successifs en
[PDF] LE BRASSAGE ALLÉLIQUE INDUIT PAR LA MÉIOSE
affirmation en considérant uniquement le brassage allélique induit par la méiose Vous vous limiterez à trois gènes situés sur deux paires de chromosomes
[PDF] (G //G) (G //b) (b //b)
III/Méiose et brassage génétique Dans une cellule diploïde Les gènes pouvant exister sous plusieurs formes allèliques les individus sont soit
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[PDF] Le brassage génétique et sa contribution à la diversit - leursvt
La reproduction sexuée est source de diversité génétique Justifier cette affirmation en considérant uniquement le brassage allélique induit par la méiose
[PDF] Corrigé du bac 2016 : SVT obligatoire Série S – Liban
1 Le brassage allélique lors de la prophase de première division de méiose Chez les individus diploïdes à l'état adulte (2n chromosomes) comme tous les
[PDF] Thème IA1 – Méiose brassage génétique et diversité des génomes
Origine de la diversité d'une espèce La mitose est une division cellulaire qui se déroule en quatre phases : prophase métaphase anaphase et télophase
[PDF] La reproduction sexuée et le brassage génétique - AlloSchool
La méiose produit ainsi des gamètes avec la moitie du nombre de chromosomes et la moitie de la quantité d'ADN 3- Voir le graphe Page 7 KAMMAH MOHAMED Page
[PDF] LEBANESE UNIVERSITY
Au cours de la méiose le brassage interchromosomique : a- résulte d'un échange de fragment de c- induit une diversité génétique des gamètes produits
Qu'est-ce que le brassage allélique ?
Brassage allélique au moment de la fécondation. Au moment de la fécondation, il y a sélection au hasard de deux gamètes (un maternel et un paternel quelle que soit l'esp? animale) parmi des millions de combinaisons. Gr? au brassage méiotique, chaque individu forme des millions de gamètes différents.Pourquoi la méiose permet un brassage des allèles ?
Le brassage génétique pendant la méiose
En anaphase I de méiose, chaque chromosome d'une paire d'homologues va migrer de façon aléatoire et indépendante pour chaque paire vers l'un ou vers l'autre pôle cellulaire. C'est le brassage interchromosomique.Comment la méiose permet la diversité génétique des gamètes ?
La diversité des gamètes est alors infinie. Ainsi, la méiose est à l'origine de gamètes haplo?s, possédant une combinaison d'allèles unique de par les 2 brassages qui interviennent au cours de la méiose. La première division aboutit donc à des cellules possédant chacune une combinaison de chromosomes unique.Les différentes étapes
Prophase I.Prométaphase I.Métaphase I.Anaphase I.Télophase I et Cytodiérèse I.Prophase II.Métaphase II.Anaphase II.
FA2 CORRECTION
III/Méiose et brassage génétique.
Dans une cellule diploïde, chaque caractère est gouverné par au moins un gène situé à un locus
précis sur un chromosome mais présent à 2 exemplaires puisque les chromosomes sont présents par
paires (un exemplaire d'origine paternelle, un d'origine maternelle). Les gènes pouvant exister sous plusieurs formes allèliques, les individus sont soit - Homozygotes : 2 allèles identiques. - Héterozygotes : 2 allèles différents Certains allèles ne s'expriment qu'à l'état homozygote : récessifs D'autres à l'état homo ou hétérozygote : dominants Lorsque les 2 s'expriment, produisant un phénotype " intermédiaire», on parle de codominance.
Ainsi l'accès au génotype des individus est complexe et n'est pas donné par l'observation du
phénotype. L'étude de la transmission des caractères au cours de la reproduction sexuée permet de
comprendre l'origine de la diversification des phénotypes. PB : Comment la méiose participe-t-elle à la diversification des individus.1) Etude de la transmission d'un caractère
: première approche des conséquences de la méiose.H Doc 1 page 20
Caractère étudié
: couleur du pelage.Phénotypes observés
: [gris] [blanc]Génotypes
1 gène, 2 allèles
: - 1 couleur grise - 1 couleur blancheRapport de dominance
F1 = 100% de souris grises, or, les parents
étant de race pure, homozygotes, les
individus de F1 sont obligatoirement hétérozygotes et n'expriment que l'allèle gris qui est donc dominant. G>b (- Les " barres » matérialisent les 2 chromosomes homologues portant les allèles du gène étudié). (G //G) (G //b) (b //b)Réalisons un tableau (ou échiquier) de croisement : c'est un tableau à double entrée où on liste les
gamètes produits par chaque individu (allèles transmis) puis où on réalise toutes les rencontres
possibles.Parent1 [G]
Parent 2 [b]
(G)(G) (b)(b//G) [G] (b//G) [G] (b) (b//G) [G] (b//G) [G]Résultats
: 100% d'individus [G] NB : (exercice 11 page 36).Cet exemple permet de mettre en évidence une codominance entre des allèles : les 2 allèles s'expriment à
l'état hétérozygote et permettent la mise en place d'un phénotype " intermédiaire »
Caractère étudié
: couleur du plumagePhénotypes observés
: [noir] [blanc] [bleu]* * Phénotype " intermédiaireGénotypes
1 gène couleur ; 2 allèles :1 blanc B
1 noir N
Rapport de dominance
La F1 est homogène : 100% d'un phénotype intermédiaire, [bleu], les parents étant homozygotes, les individus de F1 sont obligatoirement hétérozygotes, mais expriment les 2 allèles : ils sont codominants.On notera alors les 2 allèles B et N
B=N L'individu [bleu] est obligatoirement hétérozygote, il produit 2 types de gamètes : (B) ; (N) L'individu [blanc] est homozygote, il ne produit qu'un type de gamète : (B) [bleu] [blanc] (B)(N) (B)(B//B) [blanc] (B//N) [bleu]Phénotypes50 % [blanc]50 % [bleu]
Les résultats vérifient bien l'hypothèse précédente.Gamètes produits par P1
Gamètes produits par P2
Génotype
Phénotype
H Imaginons que vous trouvez une souris grise, en liberté dans votre laboratoire...Une souris grise [G] peut être
- Homozygote G//G - Hétérozygote G//bPour le savoir, nous pouvons réaliser un croisement avec un homozygote récessif, en effet, celui-ci ne
transmettra que des allèles récessifs qui laisseront les allèles de la souris dont on recherche le génotype
s'exprimer2 hypothèses
[G] est homozygote, il produit 100% de gamètes (G)[G] est hétérozygote, il produit 50% de gamètes (G)
et 50% de (b) [G] à testerP2 [b]
(G)(G) [G] à testerP2 [b]
(G)(b) (b) (G//b) [G] (G//b) [G] (b) (G//b) [G] (b//b) [b] (b) (G//b) [G] (G//b) [G] (b) (G//b) [G] (b//b) [b]Phénotypes100% [G]Phénotypes50% [G]50% [b]
On constate que le % des phénotypes obtenus correspond au% de gamètes produits par l'individu testé : il s'agit d'un croisement test qui permet donc d'élucider un génotype inconnu.Dans notre exemple, on obtient 50% de [G] et 50 % de [b] ce qui valide l'hypothèse 2 : la souris est
hétérozygote.Croisement test
: croisement d'un individu dont on recherche le génotype avec un homozygote récessif,les gamètes produits par cet individu ne contenant que des allèles récessifs, ils laisseront les allèles
contenus par les gamètes produits par l'individu à tester s'exprimer, ainsiLe % des phénotypes observés correspond au % des gamètes produits par l'individu à tester
Ainsi, la méiose disjoint les allèles d'un gène portés par une paire de chromosomes homologues,
au cours de l'anaphase.La fécondation en réunissant au hasard les gamètes produits par 2 individus, réassocie les allèles
et induit une diversité dans les descendances.Pour illustrer de façon plus précise cette diversification prenons en compte la transmission de 2
caractères2) Etude de la transmission de 2 caractères
: la mise en évidence de brassages génétiques.C'est Morgan qui
généralise l'utilisation de la drosophile comme modèle génétique.Ces travaux lui
vaudront le prixNobel en 1933.
a) Un brassage aléatoire, interchromosomique.Caractères étudiés
Couleur du corps
; forme des ailes.Phénotypes observés
[ailes longues, corps gris] ; [ailes vestigiales , corps ébène] (on notera que ces phénotypes correspondent aux associations de caractères qui existaient chez les parents dont sont issus les F1 : parentaux ») [ailes longues, corps ébène] ; [ailes vestigiales, corps gris] (on notera que ces phénotypes correspondent à de nouvelles combinaisons de caractères, qui n'existait pas chez les parents : recombinés»)Génotypes
1 gène "
ailes » 2 allèles (longues) vg+ (vestigiales) vg1 gène "
corps » 2 allèles (gris) eb+ (ébène) ebRapport de dominance.
Les parents étaient homozygotes, donc les individus de F1 sont hétérozygotes or ils n'expriment que les allèles longues» et "
gris», ceux ci sont donc dominants
- vg+ et eb+ vestigiales» et "
ébène
» sont donc récessifs
- vg et eb vg+ > vg eb+ > ebIl s'agit d'un croisement test, l'individu étudié (F1) est croisé avec un homozygote récessif (qui ne
transmettra que des allèles récessifs : vg, eb) (vg+, eb+)(vg, eb)(vg+, eb)(vg, eb+)F1 [vg+, eb+]
Parent [vg, eb]
Gamètes "
parentaux»Gamètes " recombinés»
(vg, eb)(Vg+//vg,eb+//eb)(Vg//vg, eb//eb)(Vg+//vg, eb//eb)(Vg//vg, eb+//eb)25% [vg+, eb+]25% [vg, eb]25% [vg+, eb]25% [vg, eb+]
Phénotypes
Phénotypes parentauxPhénotypes recombinés- On note que nouveaux phénotypes apparaissent, recombinaison des caractères associés chez les
parents la reproduction sexuée est bien source de diversité- Ces recombinaisons correspondent à une recombinaison des allèles qui étaient présents chez les
parents- Le % des phénotypes obtenus suite au croisement-test correspond au % des gamètes produits, on voit
donc que ce sont les événements de la méiose qui ont conduit à ces recombinaisons. - Nous savons qu'au cours de la méiose, les chromosomes homologues, appariés en prophase, seséparent en anaphase 1, ce qui entraîne une disjonction des allèles qu'ils portent : c'est au cours de cet
événement que nous devons rechercher l'origine des gamètes produits par F1 L'étude du comportement des chromosomes au cours de la méiose, nous permet de comprendre l'apparition des phénotypes recombinés, donc l'origine de la diversitéMéiose chez F1
En métaphase 1 les chromosomes
homologues appariés se positionnent au niveau du plan équatorial.Il existe 2 possibilités équiprobables
de positionnement.Au cours de l'anaphase 1, en fonction
du positionnement des 2 paires de chromosomes étudiés, les chromosomes, en migrant vers les pôles de la cellule, disjoignent les allèles et ceux-ci se trouvent réassociés de façon aléatoireSuite à la télophase 2, 4 gamètes
différents ont été produits - 2 de type parental - 2 de type recombiné On dit que les allèles sont brassés grâce à un brassage " entre les chromosomes » : interchromosomique.Les % équiprobables des 4 gamètes produits indiquent bien que c'est le résultat d'un mécanisme
totalement aléatoire, en métaphase 1 : positionnement des paires de chromosomes homologues, puis
disjonction en anaphase 1.Si on considère qu'il existe 2 possibilités équiprobables pour chaque paire de chromosomes, il
existe donc, chez l'homme, 2 23combinaisons possibles, donc 2 23
gamètes différents possibles (en ne considérant que le brassage interchromosomique).
Mais cela implique que les 2 gènes étudiés sont situés sur 2 chromosomes différents (on parle de
gènes indépendants)...On peut se demander comment intervient la méiose lorsque les gènes sont situés
sur le même chromosome (gènes liés).Schéma bilan ci-dessous
b) Un brassage intrachromsomique remanie les chromosomes en prophase 1Voir TP2 correction
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