Les métiers de la finance dentreprise et de la comptabilité
Toutes ces évolutions ont eu des conséquences sur les métiers de la finance et de la comp- Dans les PME-PMI le responsable comptable dispose.
Catalogue Djem Formation
Etre capable de choisir en toute autonomie un ordinateur en fonction de ses besoins. Tenir la comptabilité d'une PME/PMI sur Sage Ciel comptabilité.
BTS Gestion de la PME Référentiel de formation
13 févr. 2018 son utilisation dans le cadre de la formation tout au long de la vie. ... titulaire du BTS « Comptabilité et gestion ».
Fonction-Finance-140-innovations-au-service-de-la-croissance.pdf
les conseils de la Fonction Finance (experts-comptables commissaires aux comptes
Différenciation et intégration des systèmes comptables: Une étude
7 janv. 2013 Enfin les PME/PMI de moins de 50 employés sont équipées à 25 %. ... ayant un faible degré d'intégration (Ciel par exemple).
DOSSIER DE PRESSE
1 oct. 2014 ERP'2014 : 17ème édition du salon des progiciels de gestion intégrés pour les grandes entreprises et les PME/PMI.
passerelle-2005.pdf
Faute de pouvoir se tenir dans le sud de la France le Teknival du 15 août de vertige
Les métiers des systèmes dinformation
répand également dans les PME/PMI du fait de la mul- La fonction informatique existe dans toutes les entre- ... Vous savez travailler en autonomie. La.
Tenir la comptabilité d’une PME/PMI Code CIELCO 015 sur Sage
• Poser les bases d’une organisation administrative et comptable performante • Comprendre les fonctions du logiciel Ciel comptabilité • Créer paramétrer et gérer un dossier d’entreprise • Imputer saisir contrôler les écritures classiques d’une entreprise • Établir la déclaration de TVA
![Différenciation et intégration des systèmes comptables: Une étude Différenciation et intégration des systèmes comptables: Une étude](https://pdfprof.com/Listes/21/2097-21document.pdf.jpg)
ECOLE DOCTORALE ABBÉ GRÉGOIRE
Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche en Sciences de l'ActionChaire de Comptabilité Financière et Audit
THESE présentée par :
Lazhar EL ORF
soutenue publiquement le : 25 octobre 2012 pour obtenir le grade de : Docteur du Conservatoire National des Arts et Métiers Discipline/ Spécialité : sciences de gestionTHÈSE dirigée par :
Monsieur Didier LECLÈRE Professeur des Universités au CNAMRAPPORTEURS :
Monsieur Jean-Guy DEGOS Professeur à l'Université de Bordeaux IV Monsieur Gérald AUGUSTIN Professeur à l'Université Paris V- DescartesJURY :
Monsieur Patrick BOISSELIER Professeur des Universités au CNAMDirecteur du Département Comptabilité,
Contrôle, Audit.
Monsieur Didier LECLÈRE Professeur des Universités au CNAM Monsieur Jean-Guy DEGOS Professeur à l'Université de Bordeaux IV Monsieur Gérald AUGUSTIN Professeur à l'Université Paris V- Descartes Monsieur Tarek SAMARA Manager en systèmes d'informationDocteur en sciences de gestion
DIFFÉRENCIATION ET INTÉGRATION DES SYSTÈMESCOMPTABLES : UNE ÉTUDE TYPOLOGIQUE
2Remerciements
Je tiens à remercier, en premier lieu, le professeur Didier Leclère pour la confiance qu'il m'a
témoignée en acceptant de diriger ma recherche et pour le soutien indéfectible dont il m'aassuré, en toutes circonstances, tout au long du déroulement de celle-ci. Je remercie ensuite les
professeurs Guy Degos, Gérald Augustin et Patrick Boisselier mais aussi Tarek Samara, manager en systèmes d'information, de m'avoir fait l'honneur de participer à mon jury et d'évaluer mon travail. Cette thèse doit aussi beaucoup aux personnes, dans les entreprises, qui ont bien voulu me consacrer quelques moments de leur temps précieux pour valider ma recherche. Je les remercie également, ainsi que mes autres compagnons de route de la première heure, Isabelle Chambost, Larry Bensimhon, Philippe Eynaud, Mohammed Sellami, Abdel Yassaidi, pourleur présence et toutes les discussions que nous avons pu avoir, notamment lors de nos
réunions informelles. Merci à Raoudha Meftahi et à Jean-Luc Moriceau pour leurs relectures et leurs suggestions.Merci enfin à ma famille qui n'a cessé de m'encourager et qui m'est restée si proche malgré
mon éloignement. Merci enfin à Malika d'avoir toujours été présente. 3Á ma Mère, Khamssa, Idriss,
Monia et Thouraya.
4Résumé
L'objectif de notre thèse est de comprendre et d'expliquer les modes d'intégration des
systèmes comptables des entreprises à partir de quatre cas (deux grandes entreprises et deuxentreprises moyennes). Nous nous sommes appuyés sur la théorie de la différenciation-
intégration de Lawrence et Lorsch (1967) pour interpréter les situations d'intégration étudiées.
Cette théorie montre que les entreprises ayant des structures très différenciées disposent des
mécanismes d'intégration sophistiqués tandis que celles dont les structures sont peu
différenciées ont des mécanismes de coordination rudimentaires. Nous avons également
mobilisé l'approche événementielle et multidimensionnelle de Sorter (1969) qui propose un cadre théorique de l'intégration informatico-comptable. Les progiciels ERP constituent une application très concrète de cette approche.Notre analyse qualitative de quatre cas en termes de similitudes et de différences, appuyée sur
la théorie de la différenciation-intégration, a permis d'expliquer les situations d'intégration des
sous-systèmes comptables observées mais aussi de montrer la pertinence de l'approche événementielle, comme cadre de conception du système d'information de structuresdiversifiées et différenciées. Nos résultats montrent, à l'instar de Lawrence et Lorsch, qu'il
existe des modes différents d'intégration des systèmes comptables adaptés à des contextes
différents. Nous avons ébauché une typologie de quatre configurations types des systèmes comptables (quatre situations d'intégration-différenciation) : (1) Système classiquebidimensionnel, (2) Système quasi-intégré centralisé, (3) Système intégré, (4) Système
multidimensionnel.La stratégie et la taille paraissent être, au-delà de toutes autres considérations, les principaux
déterminants de l'intégration comptable ; viennent ensuite, l'environnement et certains autreséléments du contexte tels que la structure de gestion et le système de contrôle. Cependant,
l'impact de la taille diffère d'une entreprise à l'autre. Lorsque la taille est combinée à une
stratégie de diversification (et par extension à des environnements variés et dynamiques) son
effet différenciateur sur l'organisation (et le système comptable) est très important, ce qui
nécessite des mécanismes compensateurs d'intégration développés. Les deux entreprises
diversifiées (POULINA et MEDDEB) ont mis en place un système comptable intégré voiremultidimensionnel pour maitriser leurs sous-systèmes différenciés. Lorsque la taille est la
conséquence d'un simple développement d'une activité unique (monoactivité) son effet
différenciateur-intégrateur sur l'organisation et le système comptable est moins important. Les
deux entreprises ayant des activités et des structures homogènes (SONEDE et SME) se sont contentées d'un système comptable peu intégré voire bidimensionnel.Mots-clés
Théorie de la différenciation-intégration, approche événementielle, progiciel ERP, système
bidimensionnel, système quasi-intégré, système intégré, système multidimensionnel.
5Abstract
The objective of this thesis is to understand and explain the modes of integration of accounting systems of companies from four cases (two big and two medium-sized enterprises). We relied on the theory of differentiation-integration of Lawrence and Lorsch (1967) to interpret the studied integration situations. This theory shows that companies with very different structures have sophisticated mechanisms for integration while those whose structures are poorly differentiated have rudimentary coordination mechanisms. We have also mobilized the event and multidimensional approach of Sorter (1969) who proposes a theoretical framework for the accountant integration. The ERP is a highly practical application of this approach. Our qualitative analysis of four cases study in terms of similarities and differences, supported on the theory of the differentiation-integration, helped to explain the observed situations of integration of accounting subsystems but also to show the relevance of the event-based approach, as part of system design information structures diversified and differentiated. Our results show, like Lawrence and Lorsch, that there are different modes of integration of accounting systems tailored to different contexts. We have developed a typology consisting of four configurations of accounting systems (four situations integration-differentiation): (1) Conventional two-dimensional system, (2) Quasi-integrated centralized system, (3) Integrated system,(4) ,Multidimensional,system. Strategy and size appear to be, beyond all other considerations, the main determinants of the accounting, followed, environment and other elements of the context of the accounting system such as the management structure and system management control. However, the impact of the size differs from one company to another. When the size is combined with a strategy of diversification (and by extension to various and dynamic environments) its differentiating effect on the organization (and the accounting system) is very important, requiring developed integration compensatory mechanisms. Both diversified firms (POULINA and MEDDEB) have implemented an integrated accounting system to unify their subsystems differentiated. When the size is the result of a simple development of a single activity (monoactivity) its integrator-differentiator effect on the organization and the accounting system is less important. Companies with activities and homogeneous structures (SONEDE and SME) have been content to a poorly integrated accounting system or two-dimensional.Key-words
Theory of differentiation-integration, event-based approach, ERP, two-dimensional system, quasi-integrated system, integrated system, multidimensional system. 6TABLE DES MATIERES
2 3 4 5Table des matières..................................................................................
6Liste des tableaux...................................................................................
18Liste des figures.....................................................................................
20Liste des annexes........................................................................................... 22
INTRODUCTION GENERALE.................................................................. 23PREMIERE PARTIE : CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE DE LA RECHERCHE ................................................................................. 41
CHAPITRE I : L'APPROCHE EVENEMENTIELLE : DU CONCEPT D'EVENEMENT AU PROGICIEL ERP...................................................... 43
SECTION I : L'ECOLE AMERICAINE ET SES APPORTS.............................. 45
1. LES APPORTS CONCEPTUELS DE L'ECOLE AMERICAINE........................ 45
1.1. Ijiri (1967) : la notion de l'événement...................................................... 45
1.2. Sorter (1969) : la pertinence de l'événement (événement versus valeur)............... 46
1.3. Johnson (1970) : la définition du concept d'événement.................................. 47
1.4. Les développements de la théorie............................................................ 49
1.4.1. Colantoni (1971)............................................................................. 49
1.4.2. Liberman et Whinston (1975).............................................................. 49
1.5. Les liens avec la théorie de la décision..................................................... 51
1.5.1. La différenciation des modèles décisionnels.............................................. 51
1.5.2. L'utilité prédictive des événements....................................................... 52
1.6. Les liens avec les approches informatiques ................................................ 53
1.6.1. La théorie de la valeur correspond à l'approche d'informatisation processus par
537
1.6.2. La théorie des événements correspond à l'approche base de données................ 55
2. LES TENTATIVES DE MODELISATION DE LA COMPTABILITE DES
EVENEMENTS A L'AIDE DES MODELES DE BASES DE DONNEES................ 592.1. Le modèle hiérarchique........................................................................ 59
2.2. Le modèle réseau............................................................................... 61
2.3. Le modèle relationnel......................................................................... 62
2.4. Le modèle Entité-Relation................................................................... 64
SECTION II : LES CONTRIBUTIONS DE L'ECOLE FRANCAISE ................ 671. LA THESE DE STEPNIEWSKI................................................................. 67
1.1. La définition du concept d'événement........................................................ 68
1.2. La définition du concept de dimension comptable......................................... 70
1.3. Le temps comme troisième dimension...................................................... 70
1.4. L'automatisation de l'imputation comptable............................................... 72
1.4.1. Le recours à l'intelligence artificielle..................................................... 74
2.LE PROLONGEMENT ET L'ENRICHISSEMENT DU CONCEPT
D'EVENEMENT : L'ATOME COMPTABLE................................................. 763.LES APPLICATIONS CONCRETES DE LA COMPTABILITE
783.1. L'application de Stepniewski et Melyon................................................... 78
3.1.1. L'organisation du système mis en place.................................................. 79
3.1.2. L'impact organisationnel du système mis en place..................................... 81
SECTION III : LES PROGICIELS ERP, CONCRETISATION DE L'APPROCHE EVENEMENTIELLE........................................................ 821. L'EVOLUTION DU MARCHE DE L'ERP DANS LE MONDE........................ 85
2. DEFINITIONS DES PROGICIELS ERP..................................................... 87
3. LE PROGICIEL ERP, CONCRETISATION DES PRINCIPES DE LA THEORIE
954. LES SPECIFICITES D'UN PROJET ERP..................................................... 101
4.1. Les étapes de l'implantation d'un ERP...................................................... 101
4.2. L'impact prévisible sur l'organisation de l'entreprise...................................... 102
4.3. L'impact prévisible sur l'organisation comptable ......................................... 103
4.4. Les risques liés au projet ERP................................................................ 104
8 CHAPITRE II : LA TRANSPOSITION DE LA THEORIE DE LA DIFFERENCIATION-INTEGRATION EN ORGANISATION COMPTABLE..... 108SECTION I : DE L'INTEGRATION DES SOUS-SYSTEMES ORGANISATIONNELS A L'INTEGRATION DES SOUS-SYSTEMES COMPTABLES .................................................................................... 110
1. LES ASPECTS CLES DE LA THESE DE LAWRENCE ET LORSCH................. 112
1.1. Les états de différenciation et d'intégration du système d'organisation................ 113
1.1.1. La différenciation des sous-systèmes sociaux............................................ 115
1.1.2. Les risques de balkanisation.................................................................. 117
1.1.3. L'intégration des sous-systèmes différenciés............................................. 117
1.1.4. L'hétérogénéité et le dynamisme des secteurs d'environnement....................... 119
1.1.5. L'importance de l'acteur social............................................................ 120
1.2. Les principaux résultats de l'étude ............................................................ 121
1.3. Le prolongement de la théorie de Lawrence et Lorsch ................................... 126
1.3.1. Blau (1970).................................................................................... 126
1.3.2. Kalika (1988) ................................................................................. 126
1.3.3. Mintzberg (1982)............................................................................. 127
2.LE SYSTEME COMPTABLE, ELEMENT DES MECANISMES DE
DIFFERENCIATION ET D'INTEGRATION................................................... 1292.1. Le système comptable, outil d'intégration des unités différenciées....................... 130
2.1.1. Exemples d'outils d'intégration comptables................................................ 132
a. Les budgets........................................................................................ 132
b. Les pièces circulantes............................................................................ 133
c. Les comptabilités auxiliaires.................................................................... 134
2.2. La nécessaire différenciation des systèmes comptables................................... 134
2.3. Le risque de balkanisation du système d'information..................................... 137
2.4. Le système comptable objet d'intégration informatique.................................. 138
2.4.1. Les définitions centrées sur le périmètre de l'intégration .............................. 139
2.4.2. Les définitions décrivant les spécificités techniques d'un système comptable
intégré : l'approche événementielle...............................................................
1402.4.3. Le cadre conceptuel d'un système comptable intégré (Kipfer 1991) ................ 141
92.4.4. Les définitions mettant l'accent sur le processus d'intégration et son
1422.4.5. Les définitions mettant l'accent sur les dispositifs techniques de l'intégration....... 144
2.4.6. Proposition d'une définition de l'intégration des systèmes comptables.............. 146
SECTION II : PRESENTATION DES TYPOLOGIES D'INTEGRATION DES SYSTEMES COMPTABLES.................................................................... 1491. LA TYPOLOGIE DE BEAUVOIR ET FLATERS (1995)................................. 150
a- la comptabilité autonome................................................................................ 150
b- la comptabilité semi-intégrée........................................................................... 150
c- la comptabilité intégrée................................................................................... 151
2. LA TYPOLOGIE DE TORT (2003)........................................................... 152
3. LA TYPOLOGIE DE BIDAN (2003.......................................................... 153
a- Catégorie 1 (" non-intégration des applications »)............................................... 153
b- Catégorie 2 (" intégration »)........................................................................... 153
c- Catégorie 3 (" hybride »)................................................................................. 154
4. TYPOLOGIE DE DAS ET AL. (1991)....................................................... 155
5. LA TYPOLOGIE DE SAMARA (2004)...................................................... 158
a- le système d'information bidimensionnel............................................................ 158
b- le système d'information multidimensionnel........................................................ 158
c- le système d'information hybride.............................................................. 159
6. LA TYPOLOGIE DE LECLERE (1995)..................................................... 160
a- Cas n° 1 (disjonction)...................................................................................... 160
b- Cas n° 2 (modularisation)............................................................................... 160
c- Cas n° 3 (articulation)............................................................................... .... 161
d- Cas n° 4 (intégration) ........................................................................... 161
CHAPITRE III : EPISTEMOLOGIE ET METHODOLOGIE DE LA 163SECTION I : UNE RECHERCHE INTERPRETATIVE FONDEE SUR UNE DEMARCHE QUALITATIVE................................................................. 165
1. LE POSITIVISME ................................................................................ 165
1.1. Limites du positivisme en sciences de l'organisation..................................... 167
102. LE CONSTRUCTIVISME ..................................................................... 169
3. LE CHOIX D'UNE APPROCHE INTERMEDIAIRE...................................... 172
SECTION II : UNE RECHERCHE PAR DES ETUDES DE CAS...................... 1791. DEFINITION DES ETUDES DE CAS........................................................ 182
2. OBJECTIFS DES ETUDES DE CAS......................................................... 183
3. ETUDE DE CAS ET PROBLEMATIQUE DE RECHERCHE............................. 184
4. ETUDE DE CAS ET NATURE DE L'OBJET DE RECHERCHE ...................... 185
5. CRITERES DE VALIDITE DES ETUDES DE CAS....................................... 187
SECTION III : PROTOCOLE GENERAL DE LA RECHERCHE.................... 1891. LE CHOIX DES CAS ........................................................................... 189
1.1. Les modalités et conditions d'introduction aux entreprises................................ 192
2. LA COLLECTE DES DONNEES............................................................. 194
2.1. Les entretiens................................................................................... 195
2.2. Les autres sources de collecte des données................................................. 196
2.3. Les populations rencontrées.................................................................... 196
3. L'ANALYSE DES DONNEES ................................................................. 200
3.1. La stratégie de recherche de liens entre les variables ..................................... 201
3.2. La stratégie d'analyse comparative.......................................................... 203
4. L'ETUDE DES CONCEPTS ET LE CODAGE DES DONNEES........................ 205
4.1. La taille.......................................................................................... 206
4.2. L'environnement ................................................................................ 206
4.3. La stratégie...................................................................................... 207
a. les stratégies d'entreprise........................................................................... .... 208
b. les stratégies d'activité ................................................................................... 209
4.3. La structure...................................................................................... 210
4.4. Les systèmes de contrôle...................................................................... 213
4.5. La culture de gestion des dirigeants........................................................... 216
4.6. L'importance de la comptabilité dans l'activité de l'entreprise.......................... 217
4.7. La différenciation des sous-systèmes comptables ......................................... 219
4.8. L'intégration des systèmes comptables ..................................................... 220
11 DEUXIEME PARTIE : ETUDE EMPIRIQUE DE LA RELATION DIFFERENCIATION-INTEGRATION A PARTIR DE QUATRE CAS 224CHAPITRE I : PRESENTATION DES MODALITES D'INTEGRATION DANS DEUX GRANDES ENTREPRISES............................................................ 227
SECTION I : LE GROUPE POULINA....................................................... 229
1. UNE STRUCTURE DIFFERENCIEE POUR GERER DES ACTIVITES TRES
2301.1.Les activités et les produits de POULINA................................................... 230
1.1.1. Le secteur avicole............................................................................ 230
1.1.2. Le secteur de l'agro-alimentaire ........................................................... 231
1.1.3. Le secteur industriel.......................................................................... 231
1.1.4. Le secteur des services ........................................................................ 231
1.1.Les entités juridiques du groupe............................................................... 232
1.3. Des mécanismes de coordination variés pour assurer la cohésion du groupe.......... 233
1.3.1. La structure matricielle ....................................................................... 233
1.3.2. Les réunions et les comités ................................................................. 234
1.3.3. Les procédures et règles de gestion........................................................ 235
1.3.4. Les systèmes d'information ................................................................. 235
2.EVOLUTION DE LA STRATEGIE ET DE L'ENVIRONNEMENT DU
236a- la naissance de la société POULINA (1967-1970)........................................... 237
b- la logique d'intégration horizontale et verticale (1970-1980)................................. 237
c- la période de changements (1980-1990).............................................................
2383.UNE STRUCTURE FAVORISANT LA DECENTRALISATION DU
2394. UN SYSTÈME DE CONTRÔLE DE GESTION SOPHISTIQUÉ........................ 240
4.1. Un découpage en centres de responsabilité très poussé .................................. 241
4.2. Un système de facturation interne développé pour optimiser les processus internes
du groupe.............................................................................................
2434.3. Un système d'évaluation basé sur " la mise à mille »..................................... 244
124.3.1. " La mise à mille », un système de contrôle de gestion multicritère ................. 244
4.3.2. " La mise à mille », un système d'incitation des salariés .............................. 245
4.4. Le système de tableaux de bord, support de "la mise à mille ».......................... 246
5. UN SYSTÈME COMPTABLE MULTIDIMENSIONNEL FORTEMENT
DIFFÉRENCIÉ ET INTÉGRÉ....................................................................
2485.1. L'intégration intra-filiale...................................................................... 249
5.1.1. Le système ERP.............................................................................. 250
5.1.2. Le système DATA WAREHOUSE........................................................ 251
5.1.3. Les progiciels et applications spécifiques ................................................ 251
5.1.4. L'évolution récente du système d'information du groupe.............................. 254
a- L'ERP pour le stockage des données brutes.................................................. 254
b- Le DATA WAREHOUSE pour l'interrogation multicritère.............................. 2555. 2. L'intégration filiales-holding................................................................. 256
5.3. Les autres systèmes d'information développés par le groupe ............................. 258
5.3.1. Le SICMAC .................................................................................... 258
5.3.2. Le système Intranet........................................................................... 259
SECTION II : L'ENTREPRISE SONEDE................................................... 2631. LES ACTIVITÉS DE LA SONEDE........................................................... 264
1.1. L'étude............................................................................................ 264
1.2. La production .................................................................................. 264
1.3. Les travaux neufs................................................................................ 264
1.4. L'exploitation................................................................................... 265
2. UNE STRUCTURE DÉVELOPPÉE, MAIS CENTRALISÉE ET PEU
2652.1. Structures régionales très homogènes....................................................... 266
2.2. Structures fortement centralisées.............................................................. 267
2.3. Principaux mécanismes de coordination.................................................... 267
1- le conseil d'administration.............................................................................. 267
2- les réunions mensuelles.................................................................................. 268
3 - les réunions budgétaires................................................................................ 268
4- les comités de travail..................................................................................... 268
5 - le manuel des procédures.............................................................................. 269
133. UN ENVIRONNEMENT STABLE FAIT DE FORTES CONTRAINTES
2694. UNE STRATEGIE CENTRÉE SUR LA RÉALISATION DES OBJECTIFS
SOCIAUX DÉFINIS PAR L'ETAT.............................................................. 2704.1. La réalisation des objectifs sociaux.......................................................... 270
4.2. Les évolutions récentes ....................................................................... 271
5. UN SYSTÈME DE CONTRÔLE CENTRÉ SUR LE SUIVI DE REALISATION
DES PROJETS D'INFRASTRUCTURES HYDRAULIQUES................................ 2735.1. Absence d'un découpage par centre de responsabilité .................................... 275
5.2. Absence d'un système d'incitation.......................................................... 275
5.3. Le système budgétaire........................................................................ 276
a) Un budget d'exploitation global, centralisé et non utilisé...................................... 276
b) Un budget d'investissement décentralisé et fait pour le suivi des projets.................. 278
5.4. Un tableau de bord trimestriel à forte connotation technique ............................ 279
5.5. Le plan quinquennal de développement..................................................... 280
5.6. Le contrat programme......................................................................... 280
5.7. Le rapport d'activité annuel................................................................... 280
5.8. Le compte rendu mensuel d'activités ....................................................... 281
5.9. Le compte de gestion annuel pour la Banque Mondiale.................................. 281
6. UN SYSTÈME COMPTABLE CENTRALISÉ ET PARTIELLEMENT
2826.1. Un système comptable centré sur l'exécution des tâches courantes produisant des
données très volumineuses.........................................................................
2836.2. Une comptabilité analytique faiblement exploitée en interne............................ 284
6.3. Une organisation comptable fortement centralisée........................................ 285
6.3.1. La centralisation des activités comptables................................................. 285
6.3.2. La centralisation des applications.......................................................... 285
6.4. Une organisation comptable faite d'applications hétérogènes et partiellement
2876.4.1. Le progiciel ERP.............................................................................. 287
6.4.2. Les applications autonomes................................................................. 288
14 CHAPITRE II : PRESENTATION DES MODALITES D'INTEGRATION DANS DEUX ENTREPRISES FAMILIALES DE TAILLE MOYENNE...................... 293SECTION I : L'ENTREPRISE MEDDEB..................................................... 295
1. L'ACTIVITE...................................................................................... 296
1.1. La production des laits et produits dérivés ................................................. 296
1.2. La production des jus de fruits ................................................................ 297
1.3. La production des boissons gazeuses ....................................................... 297
1.4. La distribution .................................................................................. 297
2. LA STRUCTURE................................................................................. 297
2.1. le holding................................................................................................... 298
2.2. les filiales ....................................................................................... 298
2.3. le comité des directeurs (CODI) .............................................................. 298
2.4. le comité de développement (CODEV)............................................................ 300
2.5. la réunion industrielle................................................................................... 300
2.6. les réunions spécifiques................................................................................ 300
3. L'ENVIRONNEMENT.......................................................................... 300
4. LA STRATEGIE................................................................................... 302
4.1. La diversification dans des produits à forte valeur ajoutée............................... 302
4.2. La compression des coûts....................................................................... 303
4.3. La stratégie de différenciation des produits .................................................. 304
5. UN SYSTÈME DE CONTRÔLE DE GESTION SOPHISTIQUÉ........................ 306
1- Le rapport d'activité mensuel........................................................................... 307
2 - Le suivi journalier ........................................................................................ 307
3 - Les centres de responsabilité .......................................................................... 308
4- La forte culture de gestion des dirigeants et de leurs collaborateurs....................... 309
6. UN SYSTÈME COMPTABLE INTÉGRÉ POUR CONTROLER LA GESTION
DES STRUCTURES DE L'ENTREPRISE..................................................... 3106.1. Un système comptable fait d'applications intégrées...................................... 310
6.2. Les possibilités d'extraction des états différenciés............................ ........... 313
6.2. Un système comptable fait pour alimenter le système de contrôle de gestion........... 315
6.3. Un système comptable jouant un rôle actif dans la réalisation de la stratégie........... 316
15 SECTION II : L'ENTREPRISE SME......................................................... 3191. LA STRUCTURE................................................................................. 319
1 - le chef de projet............................................................................................ 320
2 - le chef de chantier......................................................................................... 320
3 - le métreur.................................................................................................... 321
quotesdbs_dbs31.pdfusesText_37[PDF] Modalités d examen Session 2016
[PDF] DOSSIER'D'INSCRIPTION' '' A'L'ORDRE'DES'VETERINAIRES'' ' DE'LA'REGION'ALSACE'
[PDF] Décision n 11-DCC-186 du 14 décembre 2011 relative à l affiliation de la Mutuelle Civile de la Défense à l union mutualiste de groupe Istya
[PDF] Mener à bien son projet de rénovation thermique en copropriété
[PDF] Enrichir les pratiques enrichir le développement de l enfantl
[PDF] Le Traitement des Données Personnelles au sein d une Association
[PDF] BAREME DES TRAITEMENTS AU 1 ER JUILLET 2016
[PDF] Résoudre des problèmes mathématiques à l'ecole Maternelle
[PDF] Engagement actif, défense moderne Concept stratégique
[PDF] Comment les copropriétés peuvent-elles se mobiliser pour répondre aux enjeux énergétiques?
[PDF] TESA VENDANGES WEB. www.msalanguedoc.fr
[PDF] La valorisation des garages et autres annexes dans les prix de vente des appartements
[PDF] SUD éducation. Mouvement intra-académique 2014. Ordre du jour :
[PDF] APPORT PÉDAGOGIQUE DES JEUX POUR L'APPRENTISSAGE DES MATHÉMATIQUES. Joëlle Lamon