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Journal des anthropologues 134-135
15 oct. 2013 Les lettres les langues anciennes
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Journal des anthropologues
Association française des anthropologues
134-135 | 2013
Le noeud architectural
Édition
électronique
URL : http://journals.openedition.org/jda/4709
DOI : 10.4000/jda.4709
ISSN : 2114-2203
Éditeur
Association française des anthropologues
Édition
impriméeDate de publication : 15 octobre 2013
ISSN : 1156-0428
Référence
électronique
Journal des anthropologues
, 134-1352013, "
Le noeud architectural
» [En ligne], mis en ligne le 15
octobre 2015, consulté le 28 septembre 2020. URL : http://journals.openedition.org/jda/4709 ; DOI https://doi.org/10.4000/jda.4709 Ce document a été généré automatiquement le 28 septembre 2020.Journal des anthropologues
SOMMAIREÉditorialJudith Hayem
DossierLe noeud architecturalCatherine Deschamps et Bruno ProthPenser le 6e sens Entretien avec Emmanuel Choupis, réalisé par Catherine DeschampsEmmanuel Choupis et Catherine Deschamps
Le savant et le domestique : habiter dans les maisons en bande de Alvar AaltoRainier Hoddé
Quand les architectes exposent des intérieurs habités Représentations d'un dialogue entre architecture et anthropologie ?Anne Debarre
L'architecture comme expérience sensorielle, culturelle et socialeAu sujet de quelques projets de Naito Hiroshi
Catherine Grout
Espace pensé, espace rêvé
La relation à l'espace dans les projets émergents de cohabitatAnnalisa Iorio
Le durable sur Écran pour atteindre les cieux
Le travail de conception architecturale dans un bureau d'études en environnement à BombayDerya Ozel
Oscar Niemeyer et le Brésil : précédents et influences d'un contexte de créationCécile Bourgade
Rêves et paradoxes d'un édifice rituel au coeur d'un quartier d'affaires de Santiago (Chili)Angel Aedo
Architecture vernaculaire et paysages
Les enjeux culturels de la transition énergétique à Ungersheim (Alsace)Marc Grodwohl
Lorsque ethnologie et architecture croisent leur regard dans un projet " d'écodéveloppement territorial »L'expérience de Roquefort-sur-Soulzon
Katia Fersing
Habiter le dortoir
Cristian Campagnaro et Valentina Porcellana
Hommage à Colette Pétonnet (1929-2012)
L'empirisme irréductible de Colette PétonnetYves Lacascade
Journal des anthropologues, 134-135 | 20131
Ma rencontre avec ColetteLouis Moreau de BellaingAutobiographie au pas de charge d'une anthropologue urbaineColette PétonnetRecherches et débatsTous (dé)missionnairesApôtre et anthropologue - même combat !Michaël SingletonArchitecture sociale et logiques capitalistesEntretien avec Jean-Pierre Garnier réalisé par Sophie AccolasJean-Pierre Garnier et Sophie AccolasAnthropologies actuellesExtrémisme hindouiste en IndeLa mort d'un chefDjallal G. HeuzéAnthropologie visuelleLe cinéma au Musée de l'Homme : la construction d'un patrimoine, l'invention d'uneculture ?Première partie : 1937-1960Alice GalloisAnthopologies libres - Libre anthropologieLa substitutionAppropriation de la nature, recherche sur le terrain, expérimentation autobiographique, perductionNadia BredaÉchos d'ici et d'ailleursCompte rendu du colloque international autour de Edgar Morin " Comment peut-on être socio-anthropologues aujourd'hui ? » Grenoble, 20-21 janvier 2012Stéphane Alvarez, Cyril Brizard, Marlen Mendoza-Morteo et Nelson Rodrigo
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Activités de l'AFASéminaire de l'AFA" Anthropologie, psychanalyse et politique. Regards sur les terrains » 2012-2013Marie BonnetSéminaire de l'AFAAnthropologie, psychanalyse et politique. Regards sur les terrains. Année 2013-2014Un nouveau site internet pour l'AFA
Journal des anthropologues, 134-135 | 20133
ÉditorialJudith Hayem
1 Il y a au moins une bonne raison de se réjouir en cette rentrée 2013. Malgré la
conjoncture économique et politique détestable au plan national (montée des propos xénophobes et racistes1, expulsions quotidiennes des Roms et destructions brutales des
bidonvilles, renforcement des lois d'exception pour les personnes sans papiers 2, légitimation de l'usage individuel des armes à feu après la mort d'un jeune braqueur sous les balles d'un bijoutier armé, etc.) et international (usage d'armes chimiques en Syrie au mois d'août, écrasement de la population par les militaires en Égypte au même moment, assassinat d'un rappeur par l'extrême droite en Grèce en septembre, etc.) etles difficultés qui n'épargnent pas la rentrée universitaire : la mobilisation menée par le
Conseil national des universités (CNU) pour le maintien de la mention ethnologie- anthropologie3 dans les référentiels de licence de l'université française a été efficace.
2 Initiée avant l'été, la pétition lancée par Dejan Dimitrijevic et Patrick Deshayes a
recueilli de nombreuses signatures émanant tant de chercheurs reconnus que d'universitaires plus discrets, d'étudiants, de collègues d'autres disciplines ou encore de simples citoyens, alertés par la menace de voir disparaître du champ universitaire un pan entier de la connaissance.3 Le succès de la pétition a permis d'entrer dans de bonnes conditions en négociation
avec le ministère de l'Enseignement supérieur en septembre et de convaincre nos interlocuteurs de l'importance du maintien de cet intitulé.4 En effet, ne plus afficher la mention ethnologie-anthropologie comme intitulé des
formations dispensées à l'université mais l'inclure dans le cadre beaucoup trop vaste d'une licence en sciences sociales aurait eu des conséquences non seulement symboliques mais encore pratiques et intellectuelles pour les enseignants-chercheurs et les chercheurs comme pour les étudiants. Cela aurait encore accentué la difficulté de repérage des formations en anthropologie relevée par le Journal des anthropologues dans son numéro " Formations et devenirs en anthropologie », invalidé la formation en cours d'étudiants inscrits en ethnologie-anthropologieet surtout ouvert la porte à l'effacement progressif de notre discipline à l'instar d'autres, jugées mineures par le gouvernement. Les lettres, les langues anciennes, la philosophie, l'anthropologie et même la sociologie, se voient en effet menacées de fusion ou d'absorption dans d'autresJournal des anthropologues, 134-135 | 20134
disciplines, quand ce n'est pas de disparition pure et simple, pour des motifs budgétaires et idéologiques : L'argent manque dans les nouvelles universités soi-disant autonomes, victimes de la mise en place de la LRU4, et des raisonnements quantitatifs ne tenant compte que du nombre
d'étudiants inscrits président désormais à l'existence ou non de diplômes et de
départements entiers. Ouvert par l'attaque de Nicolas Sarkozy contre l'étude de La princesse de Clèves5 au lycée,l'assaut contre les humanités et les sciences sociales se poursuit aujourd'hui à bas bruit, sous
un gouvernement socialiste, avec des effets non moins redoutables.5 Aussi, si l'on peut se réjouir que le fastidieux remplissage des maquettes puisse
désormais se faire sous l'intitulé " sciences de l'homme et ethnologie-anthropologie », il convient de ne pas baisser la garde et d'être vigilants quant aux formes que prendra l'application de cette décision.6 Plus encore, il est indispensable de poursuivre, avec exigence et ambition, dans les
universités, les revues, les laboratoires, les colloques, les séminaires, etc., mais aussi hors les murs, les discussions sur nos conceptions et nos pratiques de la discipline, nos manières d'enseigner et de pratiquer la recherche ainsi que nos connaissances et découvertes afin de faire connaître les enjeux et les acquis de l'anthropologie à un public large. Ce travail a déjà largement commencé. En effet, contrairement à ce que lesdécisions ministérielles laissent à croire, de plus en plus d'étudiants s'intéressent dès le
début de leur cursus à l'ethnologie et choisissent leurs parcours dans le but explicite d'étudier cette discipline. Si les départements d'anthropologie sont peu nombreux, on recrute pourtant des anthropologues au sein de plus en plus de facultés, que ce soit en sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS), en sciences de la communication, dans les écoles d'architecture, les écoles d'infirmiers, de travail social ou dans les facultés de médecine voire même dans les écoles de commerce ou de marketing. Les enseignements en anthropologie ont rarement été autant plébiscités et nombreux et divers sont les institutions et les organismes qui sollicitent des anthropologues pour leurs programmes de recherche, comme le numéro" Anthropologues à durée déterminée ? » du Journal des anthropologues le soulignait déjà
en 2007.7 Cette diffusion de l'anthropologie dans de nouveaux secteurs nous enjoint à la rigueur
et la réflexivité sur les usages de la discipline6 mais elle doit aussi conforter notre
confiance en notre utilité sociale. Si nous sommes attaqués, nous ne sommes pas " en crise ». Il faut nous en convaincre et obtenir non seulement le maintien de nos licences à l'université mais aussi l'ouverture de nouveaux masters dont les étudiants sont demandeurs ; et plus largement, la reconnaissance par nos tutelles de notre dynamisme intellectuel et de notre rôle social et politique.• •Journal des anthropologues, 134-135 | 20135
NOTES1. " Le maire UMP de Croix, Régis Cauche, soutiendrait quiconque commettrait "l'irréparable" sur
un Rom », article publié dans Nord Eclair, le 16/09/13.2. " À Roissy le tribunal pour migrants divise », Le Monde, 18/09/13.
3. Cf. http://blogs.mediapart.fr/blog/dejan-dimitrijevic/240613/pour-la-promotion-de-
lethnologie-anthropologie4. http://www.petitionpublique.fr/?pi=ETHNOLOG Retour sur une mobilisation. Documents et
début d'analyse », Journal des anthropologues, 118119 : 403-418.5. http://www.dailymotion.com/video/x68n3c_nicolas-sarkozy-s-en-prend-a-la-pri_news
6. Cf. Bazin L., Casciarri B., Hayem J., 2012. " L'anthropologie est politique. Atelier AFA au congrès
de l'AFEA », Journal des anthropologues, 128-129 : 353-361.AUTEUR
JUDITH HAYEM
Centre lillois d'études et de recherches sociologiques et économiques (CLERSÉ - UMR 8019). Faculté des sciences économiques et sociales, université Lille159655 Villeneuve d'Ascq
Courriel : judith.hayem@univ-lille1.fr
Journal des anthropologues, 134-135 | 20136
Dossier
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Le noeud architecturalCatherine Deschamps et Bruno Proth1 Édifices remarquables et espaces ordinaires aux XXe et XXIe siècles. Dialogue entre architecture et
anthropologie : tel était le titre provisoire que nous donnions au dossier qui suit lors dela diffusion de l'appel à articles. Il témoignait déjà, pour qui était attentif, de l'espoir
que les anthropologues se saisissent à nouveau de l'architecture comme objet de recherche, qu'ils sortent de leur vision de sens commun sur l'architecture savante contemporaine, qu'ils pensent l'articulation entre espace, matérialité et phénomène de culture. Par ce souhait, nous espérions également entamer une discussion avec les architectes sur leurs usages et appréciations des sciences sociales.2 La généalogie de ce numéro dit beaucoup de nos intentions et des limites auxquelles
nous nous sommes heurtés. Comme nous en évoquions la problématique auprès d'un collègue architecte et sociologue dont nous tairons le nom, il nous disait son intérêt pour l'initiative, mais sa quasi-certitude que nous n'obtiendrions pas assez de matière : selon lui, y compris aux États-Unis dont il est spécialiste, non seulement trop peu d'anthropologues ou de sociologues travaillaient sérieusement l'angle d'approche qui nous intéressait, mais les architectes, qui pour certains ont certes des choses à dire et à montrer, ne sauraient pas les exprimer, faute que les mots fassent partie de leurs outilsde transmission privilégiés. Les événements lui ont donné tort et raison : le Journal des
anthropologues a reçu plus d'une quarantaine de propositions d'articles mais, de facto, la plupart était hors sujet, s'adonnait à des contorsions ridicules pour y répondre (partant souvent de l'anthropologie urbaine, bien mieux connue et traitée) ou, lorsqu'elles émanaient d'architectes ou d'urbanistes, elles utilisaient une herméneutique rendantdifficile la possibilité d'un dialogue. Un premier écrémage n'a, hélas, pas empêché que
la sélection se poursuive lors de la réception des articles dont nous avions pourtantretenu les résumés d'intention : une fois détaillés, leurs contenus restaient résolument
trop éloignés de notre objet. La nécessaire sélection que nous avons gérée n'est pas
seulement la conséquence de notre niveau d'exigence : elle est le signe d'une rareté manifeste des recherches en anthropologie portant sur l'architecture, notamment celle conçue et réalisée depuis le XXe siècle.3 Quant à la difficulté des architectes à communiquer par l'écrit, elle est partiellement
démentie par l'histoire récente, au moins autour de quelques grands noms : dans laJournal des anthropologues, 134-135 | 20138
première moitié du XXe siècle, les manifestes rédigés par des architectes furent nombreux, Le Corbusier (2008) n'étant pas le moins prolixe1. Sur une période plus
contemporaine, Rem Koolhaas2, peut-être aidé par sa formation initiale de journaliste,
ne cesse de produire de courts essais depuis les années 1980 : Junkspace, retraduit en français en 2011, devrait interpeller les anthropologues par une posture qui discute le poids du contexte. Cette année même, en 2013, l'enfant terrible de l'architecture française et méridionale, Rudy Ricciotti, lance son pavé dans la marre en faisant référence, dans son titre, à un documentaire sur Pierre Bourdieu : L'architecture [la sociologie] est un sport de combat. Il est vrai toutefois que ces différents textes prennent une forme dont les universitaires sont peu familiers : les partis pris y sont légion, les règlements de compte souvent explicites, l'administration de la charge de la preuve n'est pas forcément recherchée, l'état des lieux peut être volontairement partial et lalicence poétique est fréquente. Il y aurait à réfléchir sur les formes que prennent les
productions textuelles de référence selon la profession de leurs producteurs. Puisque telle n'était pas, dans l'immédiat, notre préoccupation, la gageure était d'obtenir d'architectes qu'ils se prêtent à des manières de transmettre susceptibles de rencontrer les habitus académiques et langagiers des anthropologues. Cet obstacle ne nous paraît pas avoir été un handicap : nous accueillons dans ce recueil un certain nombre d'architectes qui nous semblent à même de partager leurs idées (Emmanuel Choupis, Rainier Hoddé Anne Debarre et Cristian Campagnaro). Nous leur sommes reconnaissants d'avoir accepté ce qui, pour eux, revient à une sorte de décentrement du regard et, parfois, une prise de risque vis-à-vis de leurs collègues.4 Il est vrai que ces architectes réunis pour l'occasion enseignent dans le supérieur,précisément dans l'une des vingt Écoles nationales supérieures d'architecture (ENSA)qui existent en France ou leur équivalent en Italie, que seul Emmanuel Choupispratique l'architecture en son nom propre, et que Rainier Hoddé est par ailleursdiplômé en sciences sociales. Il est vrai aussi que, hormis les architectes, les chercheurs
qui participent au dossier interviennent, au moins ponctuellement et pour une part non négligeable, dans ces mêmes écoles (Catherine Deschamps, Annalisa Iorio, Marc Grodwohl, Catherine Grout et Bruno Proth - soit trois anthropologues, une théoricienne de l'esthétique et un sociologue). Ainsi, coordinateurs compris, sur lesquinze contributeurs qui s'essaient à la réflexion, neuf sont associés à des institutions
qui délivrent des diplômes d'architecture : s'intéresser aussi à la matérialité de l'édifice
est le moins qu'on puisse attendre de leur part3. À notre sens, leur présence majoritaire
dans les pages suivantes, plutôt que prouver le dynamisme scientifique des écoles d'architecture, témoigne là encore, en creux, du délaissement dont la question architecturale fait l'objet de la part des sciences sociales dans les universités ou les laboratoires de recherche historiques. Aussi incomplet soit-il, ce dossier se veut donc un appel en direction des anthropologues afin qu'ils réinvestissent le champ de l'architecture.5 Mais poursuivons sur la généalogie. Car avant l'acceptation définitive de la thématique,
des réserves se sont exprimées au sein du comité de rédaction du Journal des anthropologues sur son opportunité : les architectes, et notamment les architectes contemporains et leurs oeuvres, avaient mauvaise presse. Cette représentation intéresse pour un double symptôme, déjà évoqué. D'abord, des anthropologues, y compris celles ou ceux avec lesquels nous partageons certains principes, peuvent porter sur l'architecture des XXe et XXIe siècles un regard proche de celui qui prévautJournal des anthropologues, 134-135 | 20139
dans l'ensemble de la société : pas plus que la majorité des gens, ils n'ont eu le loisir de
développer leur " 6 e sens » (formule utilisée par Emmanuel Choupis dans sonentretien), c'est-à-dire le sens de l'espace et des volumes ; c'est-à-dire aussi,
fondamentalement, le sens du mouvement et du corps entendu dans sa globalité. Cetteadhésion de certains au sens commun est également la conséquence d'un désintérêt de
l'anthropologie pour l'architecture, en particulier pour ses circonstances complexes et multiples de production. Ce n'est pas là le moindre des paradoxes, puisque analysant ses propres archives, l'anthropologue est, en théorie, obligé de prendre en compte les conditions sociales de son observation et de la rédaction de ses carnets ethnographiques. In fine, nous sommes d'autant plus reconnaissants envers les membres du comité de rédaction d'avoir accepté notre proposition que des méprises pouvaient demeurer : nos collègues ont collectivement fait montre de belles capacités de remise en cause, d'ouverture et d'esprit projectif, fidèles en cela à ce qui les unit.6 Dans l'appel, nous rappelions quelques publications marquantes : le livre de 1969 de
l'architecte Amos Rapoport, publié en français sous un titre évocateur : Pour une anthropologie de la maison. Il a le mérite de présenter sans ambiguïtés l'architecturequotesdbs_dbs27.pdfusesText_33[PDF] Beste Medewerker - Anciens Et Réunions
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