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Nouveaux exemples d'accident sur Internet: • Chute mortelle depuis le toit d'une locomotive www.suva.ch/waswo-f/13031. • Electrocuté dans une armoire de.
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Nouveaux exemples d'accident sur Internet: • Chute mortelle depuis le toit d'une locomotive www.suva.ch/waswo-f/13031. • Electrocuté dans une armoire de.
DAUTORISATION ENVIRONNEMENTALE DOSSIER DANNEXES
27 août 2012 ANNEXE 1. Glossaire. ANNEXE 2. Immatriculation de GUYOT Environnement au RCS / Attestations Responsabilité Civile et multirisque. ANNEXE 3.
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Principaux risques naturels prévisibles dans les Bouches du Rhône : • les inondations et les crues torrentielles. • les mouvements de terrain
Protection des objets contre les dangers naturels météorologiques
Vérification de la structure porteuse et de la toiture pour torrentielle chute de pierres
JOURNAL OFFICIEL
1 août 1970 te nt dispose d'un délai supplémentaire (l'un nwis. PREMIER MINISTRE. Gouvernement. 13463. 30 juillet 1970. — M. Planeix indique à M. le Premier.
JOURNAL OFFICIEL
24 août 1974 13031. -- 24 août 1974. — M. Claudius-Petit ayant pris connais- ... f érable d ' étendre expressément les dispositions du code général.
JOURNAL OFFICIEL -
23 déc. 1985 F. qu'au niveau de la sécurité sociale liées entre elles depuis 1971 . L'lle demande quelles mesures elle compte prendre pour ...
Lirréversibilité et le droit
1 oct. 2014 depuis des siècles a créé une telle dépendance pour lui qu'un retour ... 312 OST F. La nature hors la loi
JOURNAL OFFICIEL
20 sept. 1982 dettes à court terme le recours massif
Année 1995. - No50A.N.(Q)
Lundi 23 décembre 1985
JOURNAL OFFICIEL-
DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
~ DÉBATS PARLEMENTAIRESASSEMBLÉS NATIONALE
CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958
7eLégislature
QUESTIONS ÉCRITES
REMISES A LA PRÉSIDENCE DE L'ASSEMBLÉE NATIONALE ETRÉPONSES DES MINISTRES
8814ASSEMBLÉE NATIONALE
23 décembre 1985
SOMMAIRE
1. - Questions écrites (du n° 78127 au 78353 inclus)
Premier ministre5818
Affaires européennes5817
Affaires sociales et solidarité nationale, porte-parole du Gouverneme nt5817Agriculture5822Agriculture et forêt5823
Anciens combattants et victimes de guerre5823
Budget et consommation5824
Commerce, artisanat et tourisme5824
Coopération et développement5825Culture5825
Défense5825
Droits de la femme5828
Economie, finances et budget:5826
Economie sociale5829
Education nationale5829
Energie5831
Environnement5831
Fonction publique et simplifications administratives5832Intérieur et décentralisation5832
Jeunesse et sports5834
Justice5834
Mer5835P.T.T5838
Rapatriés5838
Recherche et technologie5837
Redéploiement industriel et commerce extérieur5837Relations avec le Parlement5837
Relations extérieures5837
Santé:5838
Techniques de la communication5838
Transports5839
Travail, emploi et formation professionnelle5839
Universités5840
Urbanisme, logement et transports5840
23 décembre1985
ASSEMBLÉE NATIONALE
2.- Réponses des ministres aux questions écrites
Affaires sociales et solidarité nomionmha, porte-parole du Gnuvmrnmne r*5842Ag,icultunu5855
Agriculture et forêt~ - 5383
Budget mtconsommation5883
Commerce, artisanat mutourisme5885
Culture5865
oéfanwm'5866Economie, finances ombudget5866
Edurmdmnnmtionmle5873
Environnemsnt5879
Fonction publique et simplifications administratives5882Intérieur et décentralisation5883
Jumtioo'5893
Flan et aménagement duterritoire5894
P.T.T' -
5895Relations extérieures5901
Travail, emploi et fomation professionnelle5901
W,bwwismmmgmmmnxwmmsnmpmmm -
59043. - Liste de rappel des questions écrites auxquellesiln'a peu;étérépondu
dans les délais réglementaires~59064.Rectificatifs5907
5818ASSEMBLÉE NATIONALE
23 décembre 1985
QUESTEONS ÉCRITES
PREMIER MINISTRE
Collectivités locales (personnel)
76146. - 23 décembre 1985. - M. Jean Royer attire l'attentionde M. le Premier ministre sur l'importance qui s'attache, dansl'esprit de la décentralisation et pour la pleine application decette importante réforme, à la création rapide de corps territo
riaux, et plus particulièrement des corps de cadres. Si les per-sonnels administratifs de catégorie A savent, depuis le 18 sep-tembre 1985, quelles sont les intentions du Gouvernement à leur
égard (un corps d'administrateur territorial terminant horséchelle A et un corps d'attaché-directeur terminant à l'indice 920par équivalence respective avec les corps de sous-préfet et
d'attaché-directeur de préfecture), aucun projet n'a été avancéconcernant les personnels techniques contrairement à l'engage-ment de M. le ministre de l'intérieur devant le Conseil supérieur
de la fonction publique territoriale. Or si la mise en place descorps d'administrateur et d'attaché est nécessaire et urgente, l'or-ganisation en corps des cadres techniques ne l'est pas moins, afin
que soient enfin créées les conditions permettant aux élus de dis-poser d'un vivier où puiser les collaborateurs de qualité qu'ilsjugeront les plus aptes pour un exercice autonome et responsablede leurs nouvelle,' compétences. C'est pourquoi il souhaitequ'une décision soit prise par le Gouvernement au plus tôt en cequi concerne les cadres techniques et que, après avis du Conseilsupérieur de la fonction publiqut: territoriale, l'on puisse promul-guer simultanément les statuts de l'ensemble des corps des cadresadministratifs et techniques.
Recherche scientifique et technique (espace)
70163. - 23 décembre 1985. - M. Jean-Claude Gaudin sou-haite obtenir de M. le Premier ministre des détails sur l'avance-ment duprojetEurèka. Il lui demande: si des industrielsfrançais ont déjà bénéficié des marchés; quels sont ces indus-triels et pour quels matériels; s'il y a eu appel d'offres et miseen concurrence, et dans ce cas à quelle date et sous quelle forme.
Emploi et activité
(politique de l'emploi: Pyrénées-Orientales)78217. - 23 décembre 1985. - M. André Tourné expose à M. lePremier ministre que, dans sa vie de législateur, le sous-emploi
et le chômage ont toujours été placés à la première place de sespréoccupations humaines. Au cours des précédentes législatures ila posé à ses prédécesseurs, ainsi qu'à son prédéces
seur de la pré- sente législature, les graves problèmes humains qui découlent d usous-emploi et du chômage en général à l'encontre des travail-leurs des deux sexes, notamment pour les jeunes de dix-huit àvingt-cinq ans et les chômeurs igés en fin de droit notamment. Aplusieurs reprises, il a rappelé dans ses démarches qu'il est diff
i-cile d'invoquer les droits de l'homme dans les autres pays quandtrois millions d'hommes et de femmes en France sont sans travailet, de ce fait, privés des besoins les plus indispensables à la vi
equotidienne. Le chômage, dans les Pyrénées-Orientales, a évoluédésastreusement de la façon suivante: mois d'août 1980,9 916 chômeurs et 13,7 p. 100 de la population active salariée ;mois d'août 1981, 12 546 chômeurs et 15,7 p. 100 de la popula-tion active salariée. En octobre 1984, les chiffres du chômagenous donnèrent 15 750 sans emploi. En octcbre 1985, comme enfait foi un document officiel, le chômage dans les Pyrénées-Orientales représentait 18 590 unités et 22,1 p. 100 de la popula-tion active salariée, alors qu'au cours du précédent mois de se
p-tembre le nombre de sans emploi était de 16 505 unités et19,8 p. 100 de la population active salariée. De ce document sta-tistique officiel, on peut retenir les trois données chiffrées les
plus cruelles suivantes: les demandes d'emploi non satisfaitesreprésentent en pourcentage, pour les femmes fiées entre vingt-cinq à quarante-neuf ans, 45,6 p. 100 et pour les hommes dans lamème tranche d'ige, 44,8 p. 100. Pour les moins de vingt-
cinq ans, 37,2 p. 100. En pourcentage, par rapport à la popula-tion active salariée on en est à 22,1 p. 100. En rappelant tous ceschiffres, on tremble vraiment. Ils sont l'expression d'une dégrada-
tion mutilante des forces productives dans les Pyrénées-Orientales. En conséquence, il lui demande de bien vouloir faireconnaître ce qu'il pense de la situation de l'emploi dans lesPyrénées-Orientales et ce qu'il compte décider pour en attén
uer les terribles effets qu'ils représentent aussi bien sur le plan socia lque familial.Radiodiffusion et télévision (publicité)
78234. - 23 décembre 1985. - M. Jean Rigel attire l'attentionde M. le Premier ministre sur le dispositif de prévention de l'al-coolisme qu'il a mis en place. Alors qu'il vient d'annoncer diffé-rentes mesures visant à réprimer de façon très ferme la cond
uiteen état alcoolique, on apprend en mime temps que, dans le cadre du projet de cinquième chaîne de télévision, celle-cibénéfi-ciera d'un régime de faveur en ce qui concerne la publicité pourles boissons alcoolisées. La régle-..entation de la Régie françaisede publicité interdisant toute publicité pour les boissons conte-nant de l'alcool sur les chaînes de télévision, on peut s'ét
onnerde cette véritable exception au régime commun qui. pour l'essen- tiel, va favoriser les bières, dont la responsabilité dans l'alcoo-lisme des Français, et en particulier des jeunes, est connue. Deplus, cette mesure exorbitante laisse entrevoir des dérapages pos-
sibles et une escalade vers la libéralisation complète de la publi-cité proalcoolique dans l'audiovisuel. C'est pourquoi il luidemande de bien vouloir faire le nécessaire pour que la nouvellecinquième chaîne ne bénéficie d'aucun régime dérogatoi
re pour la publicité des boissons alcoolisées, comme c'est la règle pou r leservice public.Matériels électriques et électroniques
(entreprises: Seine-Saint-Denis)78260. - 23 décembre 1985. - En réponse à sa question écrite,
n° 60474 du 10 décembre 1984 concernant la situation de l'entre-prise Interélec sise au Bourget, Mme le ministre du redéploie-ment industriel et du commerce extérieur affirmait le 8 avril 1985que " le marché des systèmes de pilotage automatique représe
nteun marché très étroit... La société Interélec... n'espère pas obteniravant 1986 une charge importante de systèmes ». Toujours dans
sa réponse, elle indiquait: " De plus, les décisions à prendreconcernant la mise en place de dispositifs aussi complexes néces-sitent de très longs délais. Il en résulte que les plans de charge
du bureau d'études et du service commercial de la société Inte- rélec bénéficient d'une certaine continuité alors que ceux d e lafabrication varient considérablement dans le temps... Il est doncnécessaire qu'elle adapte son effectif de production aux impé-ratifs des marchés... » Or, si les deux plans de licenciements tou-chant 200 personnes ont bien été autorisés par les pouvoirspublics, qui entérinèrent par là mème la délocalisation d
u secteurde fabrication de cette entreprise, il semble que l'avenir de celle-ci est prometteur. En effet, contrairement aux affirmations ci-dessus, les programmes Aramis et particulièrement Val sont
retenus pour de grandes villes françaises, américaines, suisses. Defait, l'établissement du Bourget, filiale de la société Matra-Transport devrait se redévelopper. C'est la raison pour laquelleM. Maurice Nifés demande à M. le Meuler ministre quellesmesures compte prendre son Gouvernement pour inciter la direc-
tion du groupe Matra à développer la société Interélec duBourget.
Chômage: indemnisation (contrôle et contentieux)70*44. - 23 décembre 1985. - M. Jean Foyer demande à M. ie
Premier minNtre de bien vouloir lui exposer les motifs qui ontamené le Gouvernement à prendre le décret n° 82-991 du24 novembre 1982 concernant les chômeurs et les préretraités et
portant application de l'article L. 351-18 du code du travail.23 décembre 1985
ASSEMBLÉE NATIONALE
5817AFFAIRES EUROPÉENNES
Communautés européennes (circulation routière)78187. - 23 décembre 1985. - M. Jean Ssltfingsr attire l'atten-
tion de Mme le secrétaire d'Etat auprès du ministre des rela- tions sxtérisures, chargé des affaires européennes. sur le problème de la généralisation et de l'harmonisation des condi- tions de limitation de vitesse en Europe. Il s'interroge sur l'op- portunité de saisir de ce problème le conseil des ministres de la Communauté et lui demande de lui faire connaître les proposi- tions retenues par le Gouvernement français. Communautés européennes (politique agricole commune)78188. - 23 décembre 1985. - M. Maurice I.lgot attire l'atten-
tion de Mme le secrétaire d'Etat auprès du ministre des rela- tion extérieures, chargé des affaires européennes, sur le problème de l'utilisation des excédents agricoles de la Commu- nauté européenne. Alors que la Communauté européenne a d'im- portants problèmes d'excédents agricoles, l'opération a Beurre de Noél » est, parait-il, supprimée pour 1985. Par contre, plusieurs dizaines de milliers de tonnes de beurre sont vendues à l'U.R.S.S. au prix de 4 à 5 francs le kilogramme (au lieu de 26 francs en France pour le consommateur) et 175 000 tonnes de viande au prix de 4 francs le kilogramme. Les contribuables européens financeront ces exportations, selon le calcul de la confédération syndicale du cadre de vie. à raison de 7 francs le kilogramme. Il lui demande si les produits concernés ne pourraient étre de pré férence vendus aux victimes du chômage et de la nouvelle pau- vreté dans la Communauté européenne. Pourrait-elle intervenir en ce sens auprès des autorités communautaires.AFFAIRES SOCIALES ET SOLIDARITÉ NATIONALE,
PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT
Professions et activités sociales (auxiliaires de rie)78127. - 23 décembre 1985. - M. Pierre-Bernard Coueté rap-
pelle à Mme ie ministre des affama socialaa et de la solida- rité nationale, porte-parole du Aouvsenemsnt, que 1s subven- tion que l'Etat accorde pour chaque emploi d'auxiliaire de vie n'a pas été revalorisée en 1985 et ne semble pas devoir Pore en1986: ce désengagement insidieux ne permet pas le maintien de
la part de l'Etat dans le financement des emplois d'auxiliaire de vie au niveau qui avait été fixé par la circulaire du ministè re des affaires sociales et de la solidarité nationale du 9 septembre 1981, soit environ 50 p. 100 du coût total d'un emploi à temps plein. D'autre part, cette évolution négative correspond, pour les collec tivités locales désormais responsables de l'aide à domicile aux personnes handicapées, à un transfert de charges sans compensa- tion qui, en tant que tel, est en contradiction avec un des prin- cipes directeurs de la décentralisation. Aussi.il lui demande si elle n'estime pas nécessaire de revaloriser le montant de la sub- vention attribuée par l'Etat pour chaque emploi d'auxiliaire de vie de telle sorte qu'il représente à nouveau 50 p. 100 du coût d'un tel emploi. Handicapés (politique d l'égard des handicapés)78133. - 23 décembre 1985. - M. Serge Charles attire l'atten-
tion de Mua ie ministre des affairas sagaie. et de la solida- rité nationale. porte-parole du Gouvernement sur les disposi-tions de deux circulaires en date des 21 août 1981 et20avril 1984.En effet,lacirculaire F.P. ne1423 du21août1981
prévoit la création d'une structure d'accueil et la mise en place de correspondants spécialisés dans les services de chaque dépar .tement ministériel à l'intention des personnels handicapés. La cir- culaireF.P.no1556du 20avril1984 précisait, quant àelle,que le délai de mise en conformité avec ces dispositions ne devrait pas excéder une année. Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer quelles mesures ont été prises, à ce jour, afin de res pecter les objectifs fixés par les circulaires susmentionnées. Handicapés (réinsertion professionnelle fitsociale)78121. - 23 décembre 1985. - M. Plain Godefroy expose à
Mme le ,iniatre des affaires sociales et de la solidarité nationale, porte-parole du Gouvernement, le cas d'un jeune homme handicapé ayant postulé sans succès à un emploi rés ervé depuis 1980. Il lui demande dans quelle mesure les textes prévus en faveur de l'insertion des handicapés sont appliqués, étant entendu qu'il est peu concevable qu'aucun emploi ne se soit dégagé dans les départements de Basse-Normandie depuis cinq ans.Fonctionnaires et agents publics (statut)
78141. - 23 décembre 1985. - M. Jean noyer expose à
Mua le ministre des affaires sociales et de la solidarité nationale, porte-parole du Gouvernement, qu'il semble urgent de revoir le texte de l'ordonnance du 4 février 1959 portant statut général des fonctionnaires qui, en son article 36-3, fixe la liste des maladies ouvrant droit à un congé de longue durée. II s'agit de la tuberculose, des maladies mentales, des infections cancé- reuses et de la poliomyélite. Or, l'évolution thérapeutique a fait que la tuberculose entralne rarement un arrét de travail supérieur à trois ou six mois, et que la poliomyélite est une maladie quasi- ment disparue. De plus, dans les maladies mentales sont pris en compte des états confusionnels éthyliques. Par contre, une infec- tion grave, très invalidante, telle que la cardiomyopathie ne figure pas dans la liste ci-dessus, bien qu'elle ait un retentisse- ment cardiaque grave, puisque le seul traitement possible est la transplantation cardiaque. Il demande, par conséquent,,qu'unequotesdbs_dbs27.pdfusesText_33[PDF] Responsabilité Civile Professionnelle Bureaux d études Techniques (Hors construction.1)
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