[PDF] Musique et chants de Noël

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VENDREDI

30

NOVEMBRE

63
e année N o

14- 2007

1 mm Ce journal est habilité à recevoir les publications administratives du département de la Dordogne et les publications des annonces judiciaires et légales pour l'arrondissement de SARLAT

Commission paritaire des papiers n

o

1008 C 83767

JOURNAL PARAISSANT LE VENDREDI

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INTITULÉ :IMPRIMERIE DU SARLADAIS

Banque franaise de crŽdit coopŽratif n¡ 021006363404

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IMPRIMERIE DU SARLADAIS

Michel et Josette DELPECH

BP 57 - 24202 SARLAT CEDEX

Tél. 05 53 59 00 38 - Fax : 05 53 59 17 52

HEBDOMADAIRE DE LA DÉMOCRATIE DE L'ARRONDISSEMENT DE SARLAT

The English cornerA regular weekly column of

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LÕEssor Sarladais !

Read page 6Réservations

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05 53 30 31 40

Ouvert tous les jours sauf le lundi

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à SARLAT

POUR UN BON COUSCOUS

Vendredi soirsamedi et

dimanche

MECHOUI

MENUS et

CARTE VARIÉS

Couscous à emporter

L'histoire du rock

DŽbat vendredi 30 novembre ˆ 20 h 30

au cafŽ Le LŽbŽrou

Lire page 4

Connaissance du Monde

Mexique, lÕautre AmŽriqueÉ

CinŽconfŽrence au cinŽma Rex

lundi 3 dŽcembre ˆ 14 h 30 et 20 h 45Lire page 2

Montignac

Un nouveau tatami pour le dojo

de lÕAmicale la•que

Lire page 14

Veyrines-de-Domme

Politique, photographie et cuisine

ˆ lÕŽcole anglaise

Lire page 11

Plazac

Projection publique du film

Ò Plazac, le trŽsor cachŽ du PŽrigord Noir Ó samedi 1 er dŽcembre ˆ 20 h 30

ˆ la salle des ftes

Lire page 24

Saint-Crépin-Carlucet

CafŽ-concert

samedi 8 dŽcembre ˆ 21 h ˆ la salle des ftes

Lire page 13

Périgord Noir athlétisme

Lire page 20Musique et chants de Noël

Une vingtaine de chanteurs et dÕinstrumentistes R

ENDEZ-VOUS dimanche2 décembre à 17 h à l'an-cien théâtre, salle Molièreà Sarlat, au-dessus de l'Office detourisme, pour " un Noël duXVII

e siècle ".

A l'initiative de l'associationMusique en Sarladais, une ving-taine de chanteurs et d'instru-mentistes venus des ensemblesArtemuse, La Quinte du Loup etDe Vive Voix vous proposent desmusiques populaires ou savan-tes, joyeuses et festives, sur lethème de la Nativité.En première partie, des musi-

ques d'Allemagne et d'Italie, écri- tes au XVII e

siècle : des airs po-pulaires de Reichwein, desconcerts spirituels de Schein etSchütz ; des petites cantates deNoël de Bassani, Bassano et Ric-cio seront interprétées par l'en-semble Artemuse (flûtes, orgue,voix, sous la direction de SimonHanks) ou par le trio vocal LaQuinte du Loup (orgue et voix).

En seconde partie, musiquefrançaise avec la ravissante" Messe de minuit pour Noël ", de

Marc Antoine Charpentier, qui

réunira les trois groupes sous la direction de Marie-Laure Guirar- del. Dans ce petit joyau de la mu- sique française baroque, Char- pentier reprend les thèmes bien connus à l'époque d'une dizaine de chants de Noël pleins de gaieté et de ferveur, dans une composition remarquable de lé- gèreté et de douceur.

Entrée : 10

mpour les adultes,7 m pour les adhérents de Musi-que en Sarladais. Gratuité pourles enfants.

Page 2L'ESSOR SARLADAISVendredi 30 novembre

tre, Thomas va croiser le chemind'une adolescente, Marie, avantde retrouver le vrai coupable, Tra-quette, un pauvre hère, inculte etbrutal, mû par le désir de vivre et,parfois, quand la vie le blesse, detuer. Avec l'amour, il découvre lepouvoir du langage : une révéla-tion, une révolution.

Jean-Luc Aubarbier

Les béatitudes du Croquant

Il fait beau, et on traîne la patte!Curieuse conjonction des astresque ce mois de novembre. Dontle faible soleil, courant bas surson erre, peine à réchauffer nosvieux os. Où l'on bâille toute lajournée à s'en décrocher la ma-choire. A moitié ahuri, comme sion avait trop dormi. Avec des en-vies de faire l'ours. Et une ab-sence de réflexes, comme si lequotidien devenait une fatigue.Mais peut-être suis-je le seul àme cogner partout, à tout laissertomber, en ces ultimes jours derousseur fauve où l'automne dé-pouille les arbres de leur ramure,feuille à feuille virevoltant, pla-nant de leur premier vol vers no-tre dernière et commune de-meure, la terre. Ou plutôt est-cela pleine lune, si vite revenue ?Oh terrible novembre ! Moi quisuis de la fin du mois, et qui, en-fant, comme poussé par un dé-mon, choisissais toujours cettepériode pour faire des bêtises.Désespérant ma pauvre mère,qui disait que ma naissance étaitle plus beau jour de sa vie, et lamort dans l'âme, année après an-née, me privait d'anniversaire !Oui, novembre mois de Saturne,où nos corps engourdis déjàmuent vers l'hiver. Se réfugiantsous la couette, à grand peinechassés du lit par un jour troppâle, affrontant emmitouflés lespremières froidures, et si vite re-joints par l'ombre du soir, en unclin d'oeil l'astre du jour déclinantau beau milieu de l'après-midi !Tous les ans c'est la mêmechose, et tous les ans ons'étonne. Quoi ? à cette heure lesoleil couché, le froid qui se lèveet plus qu'une idée, rentrer à lamaison ? Plus on prend de l'âge,plus on est surpris ! Mais direz-vous, s'habitue-t-on jamais à laronde des saisons ? D'ailleurs,n'est-ce pas une bénédiction duciel que, comme l'écureuil à l'in-térieur de notre roue, nous res-sentions si fort ces métamorpho-ses qui, rythmant le cycle de nosjours, inéluctablement accom-plissent notre destinée ici-bas ?Mais si l'on peut dire, on se faitplus naturellement à l'arrivée despremières chaleurs, on les ac-cueille même avec joie. Alors queles rigueurs de l'hiver, dans leursprémices automnales, nous rem-plissent de mélancolie. Pourtantles basses températures nous ra-gaillardissent, nous autres Euro-péens depuis les origines conçuspour les frimas plus que pour lestouffeurs de l'été ! Et depuis quel-ques décennies, fut-ce en y brû-lant nos dernières économies,nous ne craignons plus guère lefroid, à l'abri de nos maisons sur-chauffées - même si ces dernierstemps les sans-abris, justement,se multiplient comme des petitspains dans notre paradis consu-mériste ! Mais dans l'automne,dans ces jours raccourcisjusqu'au ridicule, dans ces pre-miers frissons qui nous transis-sent, il y a comme un désespoirsecret. Sans doute la promessede l'hiver. Loin encore des joiesde Noël. De la neige. De cettegrande lumière blanche, aveu-glante, qui malgré l'engelurenous porte à sortir. Pour retrouvernotre enfance. Dans l'excitationdes tout-petits. Dont les yeux bril-lent, et qui les joues rouges bou-lent à pleines mains la poudrescintillante pour nous la jeter auvisage. Jusqu'à ce que le naturelreprenant le dessus nous en-trions dans la bataille. Et reve-nions à la maison le manteau, lecou plein de neige, comme lesgosses...

Pour l'heure nous devons sup-porter les mauvais jours. Carmême le plein soleil n'éclaire pasnos humeurs moroses. Alors,plus encore qu'en hiver, c'est lemoment du repli. Au coeur de nosmaisons de pierre. Dans ce Péri-gord Noir qui sait l'art de la flam-bée. Petites et grosses bûchesde chêne ou de châtaigner sa-vamment assemblées pour lente-ment se consumer. Oh ! pas unfeu de Parisien pour la galerie,ronflant, pétaradant, tout justebon à mettre le feu à la cheminée,non ! un de ces humbles feux depaysan à courtes flammes bleuesdansantes qui chuchote et vouschauffe une pièce. Et inutile devous morfondre seul, battez lerappel des amis ! Les vrais, enchair et en os, mais aussi les li-vres, qui sont les plus fidèles.Ainsi en bonne compagnie, onpeut affronter toutes les maussa-deries de la pluie, du vent, de lamauvaise saison qui s'insinuepar tous les interstices des huis-series : courants d'air ou pas, à ladouce lumière de l'âtre le bon-heur peut survivre. Comme unchat, par la porte de l'automnevous entrez dans l'hiver.

Et regardez, mon rouge-gorgeest revenu ! Levé avant le jour,heure d'hiver oblige, c'est un demes premiers gestes. Quand,ayant coupé mes tartines, j'enfais tomber les miettes dans lecreux de ma main pour les porter,comme une offrande, à cettecréature de Dieu, si robuste surses pattes fragiles. Dans le froiddu petit matin, en coup de ventouvrant et refermant la porte-fenêtre, jetant mon pain à la vo-lée comme des semailles. Et dèsque le jour paraît, j'ai ma mois-son : il est là, sautillant tout gon-flé, avec son poitrail rouge, sonoeil en bouton de bottine, auxaguets picorant, vite prosterné,vite relevé, mon rouge-gorge !Sait-il, ce petit bougre, quel bienil me fait, moi qui émerge des bru-mes du sommeil, lourdaud, pa-taud dans ma cuisine ? Est-cemoi qui l'observe, ou me croit-ilen cage, lui qui fait du ciel sa mai-son ? Et soudain la vie prend sonsens : comme lui heureux d'êtreau monde et d'y voir clair !

Troublant, dérangeant et bercéd'un humour grinçant, ainsi peut-on qualifier " Je ne connais pasma force ", le cinquième romande Stéphanie Hochet, publiéchez Fayard. Adolescent timideet chétif, préférant la poésie ausport, Karl a toujours fait l'objet demoqueries de la part de ses ca-marades. Frappé par une cruellemaladie, un cancer du cerveau,qui met sa vie en danger, il trouvedans l'admiration du corps, leculte de la force et de l'élan vital,le remède pour se sauver. Levoilà devenu un parfait admira-teur d'Adolf Hitler et de l'idéologienazie. " Un jour, j'ai décidé de de-venir le Führer de mon corps. Marage de guérir avait engendré mavolonté de domination. Mais celle-ci n'allait pas se limiter àmon organisme malade ". Karl,dont la maladie se transforme detumeur en folie, manipule ses camarades de chambre et tented'éliminer un incurable. Il s'en-ferme dans des rites obscurs, sa-cralise ses gestes, " j'ai fait demon corps une guerre. Tous lescoups sont permis ". Karl guérira,mais à quel prix !

Avec " Journal intime ", publiéchez Léo Scheer, NathalieRheims cesse de se cacher der-rière les personnages de ses ro-mans pour se dévoiler au lecteur.Comme Montaigne pour ses " Essais ", elle affirme être elle-même la matière de son livre. Atravers une banale histoired'amour - mais l'amour, ce n'estjamais banal -, portée par l'omni-présence de l'être aimé, elle nousrévèle la toute puissance desmots. Ce qui n'est pas nommén'existe pas. Femme amoureuse,dépendante, elle affirme l'identifi-cation de l'amour et de la foi. Sil'amour passion est destruction, ilnous emmène dans ce pays pro-che du non-être, au-delà desmots, où Dieu et le néant peuventse ressembler. Un exercice litté-raire, poétique et presque kabba-listique.

Sur le thème des amoursmonstrueuses (cf Sophie Jabèsou Marie Darrieussecq), PascalBruckner nous livre " Mon petitmari ", publié chez Grasset. Léon,jeune médecin, a épousé la belle,grande et plantureuse Solange,qui le dépasse d'une bonne tête.Le couple, très amoureux, pour-rait être parfaitement heureux.Mais au fur et à mesure que So-lange met au monde leurs quatreenfants, Léon rapetisse encore,comme s'il nourrissait sa progé-niture de son propre corps. Il de-vient rapidement l'enfant de safemme, le grand, puis le petitfrère de ses enfants. Cette paro-die d'une chanson populaire (oude " la Géante " de Baudelaire)est une fable douce-amère sur laplace que prennent les enfantsdans notre vie, nous poussant,peu à peu, vers la sortie inélucta-ble.

Alex Taylor, dont l'accent etl'humour tout britannique ont faitle bonheur des auditeurs deFrance Inter, publie chez Jean-Claude Lattès le récit de sa vie :" Journal d'un apprenti pervers ".Adolescent homosexuel dansl'Angleterre pudibonde, cela nefut pas chose facile. Mais ses an-nées d'exil volontaire à Paris et àBerlin lui permirent d'inventer saliberté. Il raconte sans fard etsans tabous, avec humour et au-todérision, son parcours de liber-tin européen.

La cinéaste Jeanne Labrunepublie, chez Grasset, " l'Obscur ",un premier roman plein de bruitset de fureur. Soupçonné de meur-

Le tour des livres

Sale gosse

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SARLAT- 05 53 28 13 10

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Discothèque

Le Griot

Le club 30-40 du Sarladais

Ouvert de 23 h à 5 h les vendredi, samedi et dimanche

Vendredi 7décembre

DJ François aux platines

Jacques Mars se partage au-jourd'hui entre la France, le Mexi-que et le Guatemala. Très actifdans l'équipe " Découvrir ", il réalise plusieurs films avec Daniel Dreux.

Au sommaire du film qu'ilprésente à Sarlat :sur les tracesdu dieu jaguar et celles du ser- pent à plumes, des hauteurs de la sierra Madre aux profondeurs de la jungle Lacandonia, une es- capade hors du temps pour dé- couvrir quelques aspects d'un pays qui se dessine au pluriel mais s'écrit au singulier...

Mexique, l'autre Amérique...

Film de S. Sierra et J. Mars

Cinéconférence Connaissance du Monde

Lundi 3 décembre à 14 h 30 et 20 h 45 au cinéma Rex

Messe à Temniac

Vendredi 7 décembre à 18 h 30en l'église de Temniac, veille dela fête de l'Immaculée Concep-tion, une messe d'action de grâcesera célébrée par Mgr MichelMouïsse.

Timbrez solidaire avecla Croix-Rouge

Chaque année, La Poste émetun carnet de timbres " Croix-Rouge " pour les voeux de find'année, dont une partie du prixde vente est reversée à l'organi-sation internationale.

Le carnet de timbres auto-collants est vendu au prix de 7,10 m, dont 1,70 mest re-versé à la Croix-Rouge française en contrepartie des missions d'intérêt général qu'elle mène entant qu'auxiliaire des pouvoirs publics.

Le carnet 2007 est le résultatde la deuxième édition duconcours Dessine ton voeu pourles enfants du monde.

Pompes funèbres du Sarladais,LACOSTE et Fils, permanence24 h/24 - 7j/7. Organisation com-plète d'obsèques, transport decorps avant et après mise enbière, inhumation, incinération,contrat d'obsèques. Magasind'articles funéraires place Pas-teur à Sarlat. Sarlat/Daglan, tél.05 53 59 21 25 ou 06 80 62 96 53.

Avis divers

Vendredi 30 novembre L'ESSOR SARLADAISPage 3

Eric DELIBIE

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Information : automobilistes, RATRAP'POINTS, centre agréépar la préfecture, organiseun stage de récupération depoints du permis de conduireles jeudi 20 et vendredi 21décembre, au Centre culturelde Sarlat. Tél. 05 56 48 24 47.

Dimanche 2 décembre

CANTON DE SARLAT

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Semaine : de 20 h à 8 hWeek-end : du samedi 20 h au lundi 8 h pourCARSAC-AILLAC

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il est demandé aux patients de se présenter à la gendarmerie munis de leur ordonnance du jour et de leur carte Vitale. ATTENTION, les pharmacies ne délivreront qu'après appel de la gendarmerie !

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De 9 h à 12 h et de 17 h à 19 h

Dr Charles COURTY

Terrasson - Tél. 05 53 50 09 94

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tél. 05 53 31 06 00

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05 53 31 06 26 - 05 53 59 47 39

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Didier AYMAR, 06 24 29 13 17

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tél. 05 53 28 98 42

Lucile LESPINASSE

tél. 06 86 83 59 96quotesdbs_dbs27.pdfusesText_33

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