[PDF] 7e Document de suivi du Vade-mecum relatif à lusage de la langue





Previous PDF Next PDF



Le métier de lenseignant au Maroc à laune de la comparaison

30 nov. 2021 5. Le rapport des enseignants aux parents d'élèves . ... corps des cadres des académies et l'admission à l'examen de qualification ...



RAPPORT DACTIVITÉ

l'année 2016-2017 le suivi de l'homologation à cinq ans des établis- sements. d'enseignement supérieur français sur l'application Admission Post. Bac ...



Santé Protection sociale Solidarité

15 juil. 2017 agrément pour la pratique des examens des caractéristiques génétiques d'une personne ou son identification par empreintes génétiques à des ...



7e Document de suivi du Vade-mecum relatif à lusage de la langue

5 oct. 2020 qui constituent autant d'enjeux pour l'avenir de nos sociétés : respect des droits de la ... Une deuxième phase du programme APPRENDRE.



fragilite.org

29 nov. 2017 urinaires délai médian après admission 2 jours). Pour le diagnostic ... pendant la période d'épidémie grippale 2016/2017 dans un.



RAPPORT ANNUEL 2017

27 jui. 2018 En matière d'assainissement des eaux usées 2017 a surtout été mar- ... La construction d'une première phase des bâtiments.



deliberations conseil municipal du 19.06.2018

19 jui. 2018 2. Election d'un nouvel adjoint au Maire ... d'acte. 7. Admission en non-valeur de côtes irrécouvrables : exercices. 2014 à 2017.



CONSEIL MUNICIPAL CONSEILS DARRONDISSEMENTS

13 avr. 2017 Par délibération n°16/0940/DDCV du 5 décembre 2016 le Conseil ... son territoire



GROUPEMENT DE COMMANDES

Article unique : D'approuver le procès-verbal du Conseil communautaire du 14 période de la saison culturelle 2016-2017 (du 1er janvier 2017 au 30 juin ...



Bilan de l’affectation post-bac - ac-lyonfr

Les données présentées ici sont issues de la première phase d’admission de la procédure « Admission post-bac » (APB) hors procédure complémentaire Elles Elles concernent des formations proposées à temps plein dans les établissements publics relevant de l’éducation nationale de l’enseignement supérieur et de

7e Document de suivi du Vade-mecum relatif à lusage de la langue 7 e

Document de suivi du

Vade-mecum

relatif à l'usage de la langue française dans les organisations internationales

Passer à l'action

OCTOBRE 2020I

7 e

Document de suivi du

Vade-mecum

relatif à l'usage de la langue française dans les organisations internationales

Passer à l'action

OCTOBRE 2020

Direction

Mme Nivine Khaled, directrice "

langue française et diversité des cultures francophones » (DLFDCF)

Coordination et rédaction

M. Alexandre Wolff, responsable de l'Observatoire de la langue française

Rédaction

Mme Aurélia Grosu, conseillère auprès de la directrice de la DLFDCF

Mme Francine Quéméner, spécialiste de programme à l'Observatoire de la langue française

Stagiaire

M. Fabien Lucianaz

Contributions

Pour l"OIF

Les Représentations permanentes de l'OIF à Addis-Abeba, New York, Bruxelles et Genève Mme Imma Tor Faus, Conseillère de Mme la Secrétaire générale de la Francophonie M. Iyade Khalaf, Mme Mathilde Landier, Mme Sandrine Le Jean et Mme Monique Vilayphonh, spécialistes deprogramme, et Mme Maryam Traoré, analyste-rédactrice (DLFDCF) M. Michel Carrié, coordonnateur de programme à l'OIF (DAPG) Les opérateurs de la Francophonie (AUF, TV5MONDE et Université Senghor d'Alexandrie) L"APF (Assemblée parlementaire de la Francophonie)

Pour le Conseil de l"Europe,

Mme Sally Bailey-Ravet, référente pour le bilinguisme

Pour l"ONU,

bureau du coordonnateur pour le multilinguisme, secrétariat des NU

Remerciements

Aux représentants des États et gouvernements membres, associés et observateurs de l'OIF, et aux Groupes d'ambassadeurs francophones.

PRÉFACE

S.E. Mme Louise Mushikiwabo,

Secrétaire générale de la Francophonie 6

INTRODUCTION

M. Alexandre Wolff, responsable de l'Observatoire

de la langue française 8

PARTIE 1

LE MULTILINGUISME

DANS LES ORGANISATIONS

INTERNATIONALES

ÉTAT DES LIEUX

Union européenne, Conseil de l'Europe,

ONU,

Union africaine et Commission

Économique

des Nations Unies pour l'Afrique

1.1 Prises de parole 12

1.2

Traduction, interprétation et coopération

17

1.3 Évolutions 38

SOMMAIRE

PARTIE 2

LES FRANCOPHONES EN ACTION

2.1 Actions des gouvernements 46

2.2 Actions de la Francophonie 95

Plaidoyer de Mme la Secrétaire générale

de la Francophonie 95
Vers un dispositif de veille, d'alerte et d'action 96

Actions de l'OIF : programmes et

Représentations permanentes

99

Actions des opérateurs de la

Francophonie et de l'APF

117

Dossier n° 1

Actions et initiatives des groupes d'ambassadeurs

francophones 127

Dossier n° 2

Impacts et conséquences de la Covid-19

sur le multilinguisme dans les

OI 139

ANNEXES

1. Résolution sur la mise en œuvre du Vade-mecum

relatif a l'usage de la langue française dans les organisations internationales 150

2. Déclaration du GAF du 20/05/2020

auprès des Nations unies 152

3. Guide de mise en œuvre des Vade-mecum

relatifs à la promotion de l'usage du français et du multilinguisme par les représentants de la France 154

4. Lettre conjointe du Groupe des Ambassadeurs

francophones et du Groupe des Amis de l'espagnol (mai 2020) 157

5. Lettre de S.E. Mme Louise Mushikiwabo

adressée à Mme Ursula Von Der Leyen,

Présidente de la Commission européenne 160

SIGLES ET ACRONYMES

163
7 e

Document de suivi du

Vade-mecum relatif à l'usage de la langue française dans les organisations internationales 6

Forte de ses 88 États et gouvernements membres, l"Organisation internationale de la Francophonie (OIF) est, à

plusieurs titres, une actrice majeure des relations multilatérales. Orchestrant une coopération solidaire et multisec-

torielle entre ses membres, elle anime leur concertation politique autour des grands sujets de l"agenda international

qui constituent autant d"enjeux pour l"avenir de nos sociétés : respect des droits de la personne, maintien de la paix,

égalité entre les femmes et les hommes, réduction de la fracture numérique... Elle entretient un dialogue constant

avec les autres organisations encadré par une quarantaine d"accords formels.

L"OIF est à cet égard une observatrice privilégiée des activités et du fonctionnement du système international, depuis

son siège à Paris, et à travers ses quatre représentations permanentes situées à Addis-Abeba, Bruxelles, Genève

et New York. Depuis Antananarivo, Bucarest, Dakar, Hanoï, Libreville, Lomé, Port-au-Prince, Québec et bientôt

Tunis et Beyrouth, nos organes subsidiaires et représentations extérieures nous permettent également de suivre

les évolutions d"autres organisations multilatérales ou d"intégration régionale et sous régionale.

En tant que Secrétaire générale de la Francophonie, j"ai la ferme conviction que la vitalité et l"efcacité du multilaté-

ralisme et de la coopération internationale sont étroitement liées à la mise en œuvre d"un multilinguisme effectif et

respectueux de la diversité culturelle du monde.

Je suis ère de constater que le plaidoyer que je porte pour la diversité linguistique sur la scène internationale ren-

contre un écho de plus en plus large auprès des dirigeants des organisations elles-mêmes, comme des Chefs d"État

et de gouvernement membres de la Francophonie. Ce plaidoyer est au cœur de la promotion de la langue française

dont j"ai fait l"une des grandes priorités de mon mandat.

La langue française reste le fondement de notre Organisation et le lien qui unit ses membres. Avec un regain d"effort,

elle aura un bel avenir devant elle, grâce notamment à la progression constante du nombre de ses locuteurs comme

du nombre de ses apprenants. Mais nous devons rester vigilants : de la même manière qu"il nous faut soutenir nos

LOUISE MUSHIKIWABO

SECRÉTAIRE GÉNÉRALE DE LA FRANCOPHONIE

membres pour qu"ils offrent une éducation de qualité en langue française, de la même manière qu"il nous incombe

de promouvoir l"enseignement du français partout dans le monde, nous devons veiller à ce que le français reste très

présent et utile à l"international, permettant ainsi à tous nos États et gouvernements de faire valoir leurs positions et

de contribuer à la stabilité du monde, dans cette langue qui est ofcielle et de travail de nombreuses organisations.

C"est la raison pour laquelle, dans le cadre du Groupe de travail des Instances de la Francophonie consacré à la

langue française que j"ai créé et que j"anime régulièrement, j"ai mis en place un Dispositif de veille, d"alerte et d"action

en faveur de la langue française et du multilinguisme dans les organisations internationales. À mon invitation, les

Ministres chargés de la Francophonie des États et gouvernements membres de l"OIF ont désigné un point focal

chargé de la mise en œuvre de ce dispositif au niveau national.

Par une action coordonnée de tous les acteurs concernés, je souhaite en effet qu"on mobilise plus efcacement

la communauté francophone, an de faciliter le partage d"informations et la concertation pour assurer une veille

permanente au sein des organisations internationales. Et je me dois de rappeler que la responsabilité de veiller

au respect des engagements souscrits en matière de multilinguisme est collective, partagée par les États et gou-

vernements francophones et par les enceintes internationales. À travers ses représentations extérieures, comme

depuis Paris, l"OIF prend sa part de responsabilité : elle est mobilisée dans un plaidoyer fort qu"elle mène à tous

les niveaux, ainsi qu"à travers différentes activités, parmi lesquelles le renforcement des compétences en langue

française des diplomates et fonctionnaires nationaux et internationaux, le renforcement des capacités des services

de traduction et d"interprétariat et l"animation des Groupes d"ambassadeurs francophones (GAF) et des réseaux de

fonctionnaires internationaux. Nous devons redoubler d"efforts car, comme le montre ce 7e document de suivi du

Vade-mecum relatif à l"usage de

la langue française dans les organisations internationales, notre ambition de faire " reculer le recul du français », n"est

pas encore une réalité : les moyens alloués à la traduction et à l"interprétation ne sont pas à la hauteur des enjeux, les

processus de recrutement privilégient de plus en plus le recours à une seule langue, le travail quotidien des services

et les réunions préparatoires des grandes négociations internationales se déroulent trop souvent sans possibilité

de choisir la langue que l"on maîtrise le mieux. Même à l"Union européenne, qui partage 19 de ses membres avec

la Francophonie et dont une inme minorité de ses 447 millions de citoyens s"exprime quotidiennement en anglais,

c"est toujours la forme internationalisée de cette langue qui sert de médium de communication courant.

La tendance à l"unilinguisme reste forte, et la crise sanitaire que nous traversons, parce qu"elle a multiplié les réunions

à distance sans possibilité d"interprétation, a encore mis en lumière cette situation. Plus que jamais, face à cette

crise et à tous les autres dés économiques, sécuritaires, climatiques auxquels le monde est confronté, la réponse

globale et solidaire de la communauté internationale ne peut s"exprimer que dans plusieurs langues. La diversité

linguistique, en plus d"être un formidable vecteur d"innovation et d"inclusion, est le gage d"un multilatéralisme fort et

efcace. Alors, mobilisons-nous davantage, ensemble ! _

Louise MUSHIKIWABO

Secrétaire générale de la Francophonie

PRÉFACE

7

INTRODUCTION

Ce 7e document de suivi du

Vade-mecum relatif à l'usage de

la langue française dans les organisations internationales nous donne l"occasion d"observer - comme à chacune de ses publica- tions biennales - les évolutions des pratiques linguistiques et des moyens mis en œuvre par les organisations an d"agir en faveur d"un multilinguisme effectif. Il permet également de s"interroger sur l"intensité et la pertinence des engagements souscrits par les États et gouvernements de l"OIF en matière de promotion du français et du multilinguisme, et sur l"accompagnement dont les uns et les autres bénécient de la part de l"OIF, des opérateurs de la Francophonie, de l"APF et des acteurs de la coopération linguistique. À cette n, le lecteur trouvera, en première partie, le résultat de la veille exercée par l"Observatoire de la langue française, avec l"ap- pui des représentations extérieures de l"OIF, concernant, d"une part, les prises de parole ofcielles des représentants des pays membres et, d"autre part, l"état des lieux des pratiques en vigueur au sein de quelques grandes organisations (système onusien, Union européenne, Conseil de l"Europe et Union africaine), ainsi que la réalité des moyens alloués par ces dernières à la traduction et à l"interprétation. Une 2

ème

partie est par ailleurs consacrée aux initiatives prises par les États et gouvernements membres, associés et observateurs de l"OIF, propres à traduire dans les faits les recommandations formulées, à la suite du

Vade-mecum adopté en 2006, dans la

Résolution sur sa mise en œuvre adoptée lors de la Conférence ministérielle d"Antananarivo (Madagascar, les 23 et 24 novembre

2016). Elle se propose également de présenter les actions entre-

prises par la Secrétaire générale de la Francophonie, par l"OIF, par les opérateurs des Sommets et par l"APF, qui font l"objet d"une présentation détaillée permettant de mesurer l"impact du plaidoyer et des activités de formation et de production de res- sources des uns et des autres. C"est dans cette rubrique que nous avons également souhai- té mettre en avant les effets produits par l"action des Groupes d"ambassadeurs francophones à travers le monde, et proposer un dossier qui aborde " les impacts et conséquences de la CO-

VID-19 sur le multilinguisme dans les OI

», ainsi que les langues

présentes sur les sites de nombre d"entre elles, dans les circons-

tances inédites liées à la crise sanitaire.À l"heure où la Secrétaire générale de la Francophonie engage

tous les États et gouvernements membres à s"impliquer dans un dispositif de veille, d"alerte et d"action en faveur de la langue fran- çaise et du multilinguisme dans les organisations internationales, ce 7e document de suivi nous révèle plusieurs raisons d"espérer, mais aussi quelques motifs d"inquiétude. Du côté positif, on peut se réjouir des efforts de la plupart des représentants des pays membres de l"OIF pour favoriser l"usage du français et faire vivre le multilinguisme lors de leurs interven- tions ofcielles, même si quelques exceptions demeurent. On se félicitera aussi des initiatives relevées émanant des OI elles- mêmes et de leurs dirigeant(e)s, comme celle de la directrice générale de l"ONUG qui a instauré l"initiative des " champions du multilinguisme

», ou comme la mise en place du cadre des

Nations unies pour les langues (nalisé en décembre 2019), qui permettra d"harmoniser et de renforcer les formations linguis- tiques des agents de l"ONU, mais aussi de mieux prendre en compte et de valoriser les compétences plurilingues. De nouveaux outils normatifs - dont un projet de circulaire du Secrétaire général ofcialisant ce cadre et un autre portant sur l"égalité des langues de travail du Secrétariat - devraient d"ailleurs suivre... De même, la présentation du rapport du Secrétaire général de l"ONU sur le multilinguisme (mars 2019), suivi de l"adoption de la résolution biennale sur le même sujet (septembre), témoigne de l"importance accordée à cette dimension essentielle du fonc- tionnement de l"Organisation, tout comme le fait que le corps commun d"inspection ait inscrit à son programme de travail une étude sur le multilinguisme en tant que valeur fondamentale des Nations unies, qui devrait être publiée avant la n de l"année 2020 et dont les constats, et surtout les recommandations, devraient permettre de renforcer encore davantage l"élan insufé en faveur du multilinguisme. Tous les acteurs mobilisés en faveur du français et du multilin- guisme devront d"ailleurs être vigilants aux langues dans les- quelles se dérouleront les prochains travaux de l"Organisation mondiale de la santé (OMS), et singulièrement l"Assemblée mon- diale de la santé qui se tiendra du 24 mai au 1er juin 2021, dans le contexte très particulier de la pandémie qui affecte tous les pays. Enn, parmi les nombreuses initiatives prises par les Groupes d"ambassadeurs francophones, celle engagée conjointement par le GAF de New York et le Groupe des amis de l"espagnol (GAE) - à travers une lettre commune adressée le 13 mai 2020 au Secrétaire général de l"ONU - mérite d"être tout particulièrement saluée, car elle illustre parfaitement la valeur inclusive du combat pour le multilinguisme. En revanche, la baisse relative des moyens alloués à la traduction et à l"interprétation, ainsi que les déséquilibres constatés dans l"usage des langues pour la rédaction des documents, lors des réunions dites informelles ou pendant le processus de recrute- ment ne lassent pas de nous inquiéter. Et les travaux du Conseil Affaires générales » à Bruxelles retiennent plus particulièrement notre attention, dans le cadre des discussions qui y ont lieu sur le 8 cadre nancier pluriannuel. D"ailleurs, la Secrétaire générale de la Francophonie a envoyé une lettre à tous les ministres chargés des Affaires européennes (membres également de la Franco- phonie) qui siègent à ce Conseil, leur demandant que la question du multilinguisme soit régulièrement inscrite à son ordre du jour. Les pressions qui s"exercent sur les services linguistiques me- nacent régulièrement un équilibre déjà bien rare, et les franco- phones doivent souvent se battre pour donner sa chance au multilinguisme. Lorsqu"ils relâchent leur attention ou qu"ils re- noncent, des décisions très préjudiciables à la diversité des expressions se prennent, comme ce fut le cas avec cette toute récente, malheureuse et inédite décision du Parquet européen d"utiliser l"anglais comme langue de travail, alors qu"aucun de ses

22 États membres ne l"a pour langue ofcielle (et que 16 d"entre

eux sont membres ou observateurs de l"OIF...).quotesdbs_dbs31.pdfusesText_37
[PDF] Service des ressources informatiques - Conseil Scolaire de District Catholique Centre-Sud Page 1

[PDF] ACCORD DU 15 JUILLET 2015

[PDF] 1. Accéder à votre site

[PDF] CONVENTION DINTERMÉDIATION

[PDF] ACCORD DU 26 MAI 2015

[PDF] C ONVENTION D UTILISATION DES SERVICES EN LIGNE RÉUNICA. Espace Membre Entreprises Compte Gestionnaire

[PDF] ETUDE FUSACQ PROFIL DES REPRENEURS DE TPE-PME AVRIL 2006. Place de marché en ligne dédiée à la Reprise Transmission d entreprise

[PDF] Semaine pour l emploi des personnes handicapées 16-22 novembre 2015 FORMATION RECRUTEMENT COMMUNICATION

[PDF] Division des Examens et Concours

[PDF] Master «Métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation» Mention second degré. Parcours Langues vivantes étrangères (Allemand)

[PDF] 1 M-03 - Les outils d aide à la conception

[PDF] Dossier de Candidature Rentrée 2016

[PDF] Grille d auto-analyse du projet pédagogique EPS

[PDF] H1206 - Management et ingénierie études, recherche et développement industriel

[PDF] Créteil, le 16 mars 2011. Le recteur de l académie de Créteil