[PDF] Métaphore et pensée dans lœuvre de Victor Hugo (1852-1864)





Previous PDF Next PDF



Processus dapprentissage savoirs complexes et traitement de l

14 nov. 2013 L'archive ouverte pluridisciplinaire HAL est ... Processus d'apprentissage – Traitement cognitif de l'information – Changement conceptuel.



Métaphore et pensée dans lœuvre de Victor Hugo (1852-1864)

8 juin 2021 est un moyen de reconnaître la variété formelle considérable qui existe sous l'étiquette unique de la métaphore et la variété d'effet ...



NARRATIONS IMAGINAIRES ET FONCTIONS DE LÉCRITURE

2 nov. 2021 22 GUYENNE L. (14/02/2021) Au royaume du Covid



Voix de la foule chez Tacite: perspectives littéraires et historiques

19 févr. 2020 remerciements avec un soulagement teinté de crainte tant il est de ... d'écriture récurrente qu'a théorisée l'historien allemand E. FLAIG ...



ETYMONS GRECS ET LATINS DU VOCABULAIRE SCIENTIFIQUE

le latin* est au Moyen Age et à la Renaissance la langue de l'enseignement universitaire et que ce n'est aliquot : adv. un certain nombre – v. quot-.



Voix de la foule chez Tacite

23 nov. 2019 remerciements avec un soulagement teinté de crainte tant il est de ... d'écriture récurrente qu'a théorisée l'historien allemand E. FLAIG ...



Étude observationnelle de la prise en charge médicamenteuse de la

L'indication principalement est « antidouleur probabiliste empirique ». Page 45. 45. 3.11 Soulagement de la douleur. Figure 22.



Le temps des miracles. Heiric dAuxerre Adrevald de Fleury et l

L'hagiographie est l'une des modalités médiévales d'écriture de l'histoire. Huic miraculo tot extitere testes quot ad hujus generalis conventus ...



Bulletin de lAcadémie du Var

30 mars 2007 Le Bulletin de l'Académie du Var est publié par : ACADEMIE DU VAR. (association loi 1901). Passage de la Corderie. 83000 Toulon — France.



La pratique des séries télévisées: une sociologie de lactivité

16 oct. 2013 généralement compressés au moyen de codecs tels que DivX. La dénomination DivX est cependant aujourd'hui passée dans le langage courant pour ...



Pourquoi écrire ? – Lycée Haroun Tazieff Landes 40 - Blogpeda

L'écriture est une des nombreuses façons que nous avons de nous exprimer parmi le dessin la musique la danse le théâtre Nous possédons le droit à la liberté 



lécriture soulage-t-elle les maux? - réussir mes productions écrites

29 jan 2014 · Ceci dit pour certains l'écriture est une sorte de délivrance de la souffrance une sorte de soulagement tandis que d'autres estiment le 



[PDF] NARRATIONS IMAGINAIRES ET FONCTIONS DE LÉCRITURE

2 nov 2021 · 22 GUYENNE L (14/02/2021) Au royaume du Covid l'écriture est reine moyens pour soulager et compenser les difficultés auxquelles un 



production écrite sur lécriture texte argumentatif - ProfZiani

11 mai 2022 · production écrite sur l'écriture texte argumentatif l'utilité d'écrire pour convaincre et persuader les autres de vos idées et opinions



Ma production (regional 2010 meknes-tafilalt)- 4911 - marocagreg

16 jui 2010 · D'abord l'écriture est un art que des gens spécial cherche à s'exprimer pour renseigner les gens ou leur donner des leçons de vie ensuite 



[PDF] Stratégies épistolaires et écritures féminines - Archipel UQAM

Jean-Marie Schaeffer comme un« mode » d'écriture (1989) Cantonnées à cet unique moyen d'expression les épistolières canadiennes utiliseront la lettre 



Lécriture peut-elle guérir les maux? - Le Temps

17 jan 2021 · Certes cela fait du bien – un temps – mais ce n'est en rien guérisseur L'écriture guérisseuse c'est autre chose! Elle implique de mettre 



[PDF] modèle Word thèse et mémoire - CHUV

Nous pouvons en conclure que le soulagement total des patients cancéreux est rarement atteint malgré les outils à disposition mais que la douleur peut être 



[PDF] Nœ l Sft

2 avr 2011 · Notre objectif n'est pas de montrer que nous maîtrisons les théories à la mode ni de donner des réflexions sur la littérature l'écriture



[PDF] THÈSE Lionel PIETTRE Se mêler dhistoire

11 déc 2017 · Cette pratique d'écriture qui n'est ni l'histoire comme discipline ni l'histoire comme genre littéraire et qui accompagne la naissance du 

  • Est-ce que l'écriture est un moyen de soulagement texte argumentatif ?

    Bien que l'écriture soit un moyen de transmission de savoir, elle est aussi un soulagement. D'abord, elle est indispensable pour expulser nos peines et nos tourments. Elle est essentielle pour colorer nos joies et nos plaisirs. Chaque mot prend alors une véritable dimension.
  • Pourquoi l'écriture nous fait du bien ?

    ?rire, une vraie catharsis
    D'un point de vue psychologique, l'écriture de son vécu est particulièrement bénéfique pour son effet cathartique. Elle permet de nommer nos émotions, de mieux les comprendre, d'avoir plus d'outils pour analyser une situation.
  • Quel est le rôle de l'écriture ?

    Ainsi, l'écriture a joué un rôle dans la conservation de l'Histoire, la diffusion de la connaissance et la formation du système juridique. L'apparition de l'écriture distingue la Préhistoire de l'Histoire, car elle permet de conserver la trace des événements et fait entrer les peuples dans le temps historique.
  • L'écriture poss? un pouvoir de délivrance et d'extériorisation. Elle est selon moi la plus belle des thérapies, c'est un moyen d'expression de soi. L'écriture vous permet de poser des mots sur des émotions que vous-même ne pouvez décrire.
1

Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation, Université de Genève THESE pour l'obtention du grade de docteur en philosophie de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne en science de l'éducation, mention didactique des sciences, de l'Université de Genève PROCESSUS D'APPRENTISSAGE, SAVOIRS COMPLEXES ET TRAITEMENT DE L'INFORMATION : UN MODELE THEORIQUE A L'USAGE DES PRATICIENS, ENTRE SCIENCES COGNITIVES, DIDACTIQUE ET

PHILOSOPHIE DES SCIENCES

Présentée et soutenue publiquement par :

Richard-Emmanuel EASTES

le 11 juin 2013 à Paris

Composition du jury :

Jacques DUBUCS, Directeur de Recherche, CNRS, Université Paris 1 Co-directeur André GIORDAN, Professeur, Université de Genève Co-directeur Maryline COQUIDE, Professeure, Institut Français d'Education, ENS Lyon Rapporteure Riccardo SPEZIA, Chargé de Recherche HDR, Université d'Evry Val d'Essonne Rapporteur Roberto CASATI, Directeur de Recherche, CNRS-EHESS Examinateur Claudie HAIGNERE, Présidente, Universcience Examinatrice Marie-Noëlle SCHURMANS, Professeure, Université de Genève Examinatrice 2 Processus d'apprentissage, savoirs complexes et traitement de l'information : un modèle théorique à l'usage des praticiens, entre sciences cognitives, didactique et philosophie des sciences

Cherchant à établir un pont théorique et pratique entre les sciences de l'éducation, les sciences cognitives et

la philosophie des sciences, la thèse développe un modèle didactique à l'interface entre ces disciplines : le

modèle allostérique de l'apprendre développé par Giordan et al. (1992), qui s'inscrit dans le paradigme des

théories du changement conceptuel.

Nourri par les travaux récents des psychologues cognitifs sur les processus d'apprentissage tels que les théories

du recyclage neuronal (Dehaene, 2007) ou de l'inhibition cérébrale (Houdé & Tzourio-Mazoyer, 2003), ainsi

que sur diverses théories relatives à l'élaboration de la pensée telles que l'économie comportementale (Tversky &

Kahneman, 1982) ou le modèle-cadre SRK (Rasmussen, 1990), ce modèle développe et précise le concept

d'allostérie à travers la description et la formalisation des processus de déconstruction-reconstruction des

conceptions, qui ont lieu lors des apprentissages complexes.

De la phase de théorisation du modèle, effectuée par un recours aux formalismes de la réactivité chimique en

accord avec la métaphore initiale de l'allostérie, on déduit divers environnements didactiques opératoires et

féconds pour le praticien de l'enseignement et de la communication des sciences. Ces prévisions théoriques

sont alors mises à l'épreuve de l'expérimentation didactique à travers une recherche de terrain sur la notion

d'expérience contre-intuitive (Eastes & Pellaud, 2004) menée auprès de différents types de publics.

Mots-clés : Processus d'apprentissage - Traitement cognitif de l'information - Changement conceptuel

Allostérie - Conceptions - Heuristiques - Biais cognitifs - Contre-intuitivité - Pédagogie Spécialités : Philosophie des sciences - Epistémologie et didactique des sciences

UFR Philosophie de l'Université Paris 1

Institut d'Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques (IHPST)

13, rue du Four - 75006 Paris - France

Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation de l'Université de Genève Laboratoire de Didactique et d'Epistémologie des Sciences (LDES)

40 boulevard du Pont-d'Arve - CH-1205 Genève - Suisse

3 PROCESSUS D'APPRENTISSAGE, SAVOIRS COMPLEXES ET TRAITEMENT DE L'INFORMATION : UN MODELE THEORIQUE A L'USAGE DES PRATICIENS, ENTRE SCIENCES COGNITIVES, DIDACTIQUE ET PHILOSOPHIE DES SCIENCES

Cherchant à établir un pont théorique et pratique entre les sciences de l'éducation, les sciences

cognitives et la philosophie des sciences, la thèse développe un modèle didactique à l'interface entre

ces disciplines : le modèle allostérique de l'apprendre initié et développé par Giordan (1988) et al.

(1992), qui s'inscrit dans le paradigme des théories du changement conceptuel.

Nourri par les travaux récents des psychologues cognitifs sur les processus d'apprentissage tels que

les théories du recyclage neuronal (Dehaene, 2007) ou de l'inhibition cérébrale (Houdé & Tzourio-

Mazoyer, 2003), ainsi que sur diverses théories relatives à l'élaboration de la pensée telles que

l'économie comportementale (Tversky & Kahneman, 1982) ou le modèle-cadre SRK (Rasmussen,

1990), ce modèle développe et précise le concept d'allostérie à travers la description et la

formalisation des processus de déconstruction-reconstruction des conceptions, qui ont lieu lors des

apprentissages complexes.

De la phase de théorisation du modèle, effectuée par un recours aux formalismes de la réactivité

chimique en accord avec la métaphore initiale de l'allostérie, il est possible de déduire divers

environnements didactiques opératoires et féconds pour le praticien de l'enseignement et de la

médiation scientifiques. Ces prévisions théoriques sont alors mises à l'épreuve de l'expérimentation

didactique à travers une recherche de terrain centrée sur la notion d'expérience contre-intuitive

(Eastes & Pellaud, 2004) menée auprès de différents types de publics.

Mots-clés : Processus d'apprentissage - Traitement cognitif de l'information - Changement conceptuel

Allostérie - Conceptions - Heuristiques - Biais cognitifs - Contre-intuitivité - Pédagogie 4 LEARNING PROCESSES, COMPLEX KNOWLEDGE AND INFORMATION PROCESSING: A THEORETICAL MODEL FOR PRACTITIONERS, BETWEEN COGNITIVE SCIENCE, DIDACTICS AND PHILOSOPHY OF SCIENCE Aiming at bridging education sciences, cognitive sciences and philosophy of science both

theoretically and practically, this thesis develops a didactical model at the interface between these

fields: the allosteric learning model developed by Giordan (1988) et al. (1992), understood in the context conceptual change theories paradigm.

Fueled by the recent works of cognitive psychologists on learning processes such as neuronal

recycling (Dehaene, 2007) or cerebral inhibition (Houdé & Tzourio-Mazoyer, 2003), as well as on

various theories related to the thought processes such as behavioral economics (Tversky &

Kahneman, 1982) or the Skills-Rules-Knowledge framework model (Rasmussen, 1990), this model develops and refines the concept of allostery through the description and formalization of specific

processes that take place in complex learning situations: the deconstruction-reconstruction of

conceptions. Based on the theorization of the model, done through the use chemical reactivity formalisms in line

with the initial metaphor of allostery, it is possible to deduce various operational and fruitful

didactical environments for teaching practitioners or science communication professionals. These

theoretical projections are then put to the test through didactic experimentation taking the shape of

field research on the notion of counter-intuitive experiment (Eastes & Pellaud, 2004) conducted with different types of target groups. Keywords: Learning processes - Cognitive processing of information - Conceptual change - Allostery Conceptions - Heuristics - Cognitive bias - Counter-intuitivity - Pedagogy 5

TABLE DES MATIERES

Avant-propos ........................................................................................................................... 17

Remerciements ....................................................................................................................... 19

1. Introduction ...................................................................................................................... 21

2. Etat de la question ............................................................................................................ 25

2.1. Pédagogie, modèles didactiques et apprentissage ............................................................................... 25

2.1.1. Délimitation de l'étude .......................................................................................................... 25

2.1.2. Définitions ........................................................................................................................... 26

2.1.3. La notion de modèle en didactique de l'apprendre .................................................................... 27

2.1.3.1. Les modèles didactiques en tant que modèles scientifiques .................................................. 27

2.1.3.2. Les modèles phénoménologiques ..................................................................................... 28

2.1.3.3. Transposition aux modèles didactiques ............................................................................. 29

2.1.3.4. Théories éducatives et modèles d'enseignement ................................................................. 30

2.1.4. Rôles et usages des modèles de l'apprendre ............................................................................. 31

2.1.4.1. Modèles d'apprentissage explicites et implicites ................................................................. 31

2.1.4.2. La dialectique cognition appliquée - pédagogie théorisée ..................................................... 32

2.2. Théories éducatives et modèles d'apprentissage ................................................................................. 33

2.2.1. Les grandes traditions pédagogiques ....................................................................................... 33

2.2.1.1. Préambule ..................................................................................................................... 33

2.2.1.2. Une immense variété d'approches .................................................................................... 34

2.2.1.2. Quatre grandes traditions ................................................................................................ 34

2.2.2. La tradition empiriste ........................................................................................................... 36

2.2.2.1. Manifestations et auteurs ................................................................................................ 36

2.2.2.2. Description du modèle sous-jacent ................................................................................... 37

2.2.2.3. Caractéristiques des pédagogies dérivées .......................................................................... 38

2.2.2.4. Avantages et limites ........................................................................................................ 39

2.2.3. La tradition behavioriste ....................................................................................................... 40

2.2.3.1. Manifestations et auteurs ................................................................................................ 40

2.2.3.2. Description du modèle sous-jacent ................................................................................... 41

2.2.3.3. Caractéristiques des pédagogies dérivées .......................................................................... 42

2.2.3.4. Avantages et limites ........................................................................................................ 43

2.2.4. La tradition constructiviste .................................................................................................... 44

2.2.4.1. Manifestations et auteurs ................................................................................................ 44

2.2.4.2. Description du modèle sous-jacent ................................................................................... 46

2.2.4.3. Caractéristiques des pédagogies dérivées .......................................................................... 47

2.2.4.4. Avantages et limites ........................................................................................................ 47

2.2.5. Le cas particulier des modèles de changement conceptuel .......................................................... 48

2.2.5.1. L'école anglo-saxonne ..................................................................................................... 49

2.2.5.2. L'école francophone ........................................................................................................ 50

2.2.6. L'approche cognitive ............................................................................................................. 50

2.2.6.1. Les premières théories de psychologie cognitive dans l'éducation ......................................... 51

2.2.6.2. Le cognitivisme (ou connexionnisme) ............................................................................... 51

6

2.3. Pertinences relatives des modèles de l'apprendre .............................................................................. 52

2.3.1. Les articulations entre les modèles ......................................................................................... 52

2.3.2. La métaphore de la maison .................................................................................................... 53

2.3.3. Un modèle pour chaque degré d'élaboration du savoir ............................................................... 54

2.3.4. Influence de la situation pédagogique sur le modèle interprétatif ................................................ 54

3. Cadre théorique et pratique ............................................................................................ 57

3.1. Justification du cadre théorique ................................................................................................................. 57

3.2. La théorie du changement conceptuel ...................................................................................................... 57

3.2.1. Illustration pratique du changement conceptuel ....................................................................... 58

3.2.2. Bases théoriques de l'approche dite du " changement conceptuel » ............................................. 59

3.2.2.1. Origine historique .......................................................................................................... 59

3.2.2.2. Caractéristiques de la théorie initiale ................................................................................ 60

3.2.2.3. Principales critiques formulées à l'encontre de la théorie initiale .......................................... 61

3.2.2.4. La théorie révisée de Strike et Posner ................................................................................ 61

3.2.2.5. Définition actuelle de la théorie du changement conceptuel ................................................. 62

3.2.3. Le changement conceptuel appliqué à l'éducation ..................................................................... 63

3.2.3.1. Découvrir les conceptions préalables des élèves ................................................................. 63

3.2.3.2. Discuter et évaluer les conceptions préalables .................................................................... 63

3.2.3.3. Créer un conflit conceptuel .............................................................................................. 64

3.2.3.4. Encourager l'accommodation cognitive. ............................................................................. 64

3.2.4. Analyse critique de la théorie ................................................................................................. 65

3.2.4.1. Ontologie et scientificité .................................................................................................. 65

3.2.4.2. Pertinence théorique et cohérence .................................................................................... 66

3.2.4.3. Fécondité théorique ........................................................................................................ 68

3.2.4.4. Ampleur descriptive et pertinence pédagogique ................................................................. 69

3.2.5. Difficultés inhérentes au changement conceptuel ...................................................................... 70

3.3. Le modèle allostérique de l'apprendre .................................................................................................... 70

3.3.1. Historique ........................................................................................................................... 71

3.3.2. La conception, structure élémentaire du savoir ......................................................................... 71

3.3.3. Le coeur du modèle allostérique : la transformation des conceptions ........................................... 76

3.3.4. L'environnement didactique de 2002 ...................................................................................... 78

3.3.4.1. Trouver du sens aux savoirs abordés, être motivé ............................................................... 80

3.3.4.2. Se confronter - être perturbé, déstabilisé, confronté à d'autres réalités .................................. 80

3.3.4.3. Avoir confiance, oser se " lâcher », être accompagné ........................................................... 81

3.3.4.4. Savoir imaginer, oser innover ........................................................................................... 81

3.3.4.5. Pouvoir mobiliser ses savoirs, les articuler autour de concepts organisateurs ......................... 82

3.3.4.6. Elaborer, réfléchir sur ses propres savoirs ......................................................................... 82

3.3.4.7. S'approprier des aides à penser ........................................................................................ 83

3.3.5. Analyse critique de l'approche allostérique de 2002 .................................................................. 83

3.3.5.1. Ontologie et scientificité .................................................................................................. 83

3.3.5.2. Pertinence théorique et cohérence .................................................................................... 84

3.3.5.3. Fécondité théorique ........................................................................................................ 86

3.3.5.4. Ampleur descriptive et pertinence pédagogique ................................................................. 86

3.4. Les sciences cognitives ................................................................................................................................... 87

3.4.1. Objet et outils ....................................................................................................................... 87

3.4.1.1. Définition ...................................................................................................................... 87

3.4.1.2. Des études interdisciplinaires .......................................................................................... 88

3.4.1.3. Les méthodes expérimentales .......................................................................................... 89

3.4.2. Sciences cognitives et éducation ............................................................................................. 94

3.4.2.1. Une relation sérieuse et durable ....................................................................................... 94

7

3.4.2.2. Une démarche particulière ............................................................................................... 95

3.4.2.3. Niveaux de contribution et d'implications .......................................................................... 96

3.4.3. Apports théoriques ............................................................................................................... 98

3.4.3.1. Les théories naïves ......................................................................................................... 98

3.4.3.2. Les concepts ............................................................................................................... 101

3.4.3.3. Cerveau, aires cérébrales et cartes corticales ................................................................... 101

3.4.3.4. Le recyclage neuronal .................................................................................................. 104

3.4.3.5. Les chemins de pensée et le modèle-cadre SRK ................................................................ 106

3.4.3.6. Les mécanismes de l'inhibition cérébrale ........................................................................ 111

3.4.4. Apports pratiques .............................................................................................................. 116

3.4.4.1. L'apprentissage du calcul et de l'arithmétique ................................................................. 116

3.4.4.2. Les mécanismes de la lecture ........................................................................................ 118

3.4.4.3. L'attention, l'émotion et la cognition sociale .................................................................... 121

3.4.4.4. La protopédagogie et l'épistémologie naïve ..................................................................... 121

3.4.4.5. La mémoire ................................................................................................................ 122

3.4.5. Les " neuromythes », ou ce que les sciences cognitives ne disent pas ........................................ 122

3.4.5.1. Le mythe des cerveaux droit et gauche et des styles d'apprentissage .................................. 123

3.4.5.2. Le mythe de la gymnastique cérébrale ............................................................................ 123

3.4.5.3. Les mythes du développement cérébral .......................................................................... 123

3.4.5.4. Le mythe de la neuroplasticité ....................................................................................... 124

3.4.5.5. Le mythe des neurones miroirs, " neurones de l'empathie » .............................................. 124

3.4.5.6. Le mythe des " intelligences multiples » ......................................................................... 125

3.4.6. Limites, risques et perspectives ........................................................................................... 125

3.4.6.1. La pertinence pédagogique ........................................................................................... 125

3.4.6.2. Le risque éthique ......................................................................................................... 126

3.4.6.3. Perspectives d'avenir ................................................................................................... 128

4. Problématique ................................................................................................................ 129

4.1. Préambule ........................................................................................................................................................ 129

4.2. La piste de l'allostérie .................................................................................................................................. 129

4.2.1. Un modèle phénoménologique ............................................................................................ 129

4.2.2. Un modèle physicaliste ....................................................................................................... 130

4.2.3. Un changement de point de vue ........................................................................................... 131

4.3. Vers un modèle allostérique de l'apprendre formalisé .................................................................. 131

4.3.1. Possibilités de formalisation du modèle ................................................................................ 132

4.3.2. Limites et perspectives de transformation du modèle allostérique de 2002 ............................... 132

4.3.2.1. Structure et socle du savoir ........................................................................................... 132

4.3.2.2. Processus cognitifs : conceptions et heuristiques ............................................................. 133

4.3.2.3. Accessibilité et inhibition des heuristiques ...................................................................... 133

4.3.2.4. Conceptions de contrôle (reconnaissance et orientation) .................................................. 134

4.3.2.5. Transformations du savoir ............................................................................................ 134

4.3.2.6. Formalisation et représentation .................................................................................... 135

4.3.2.7. Stabilité et robustesse des conceptions ........................................................................... 135

4.3.2.8. Contrôles péricognitifs ................................................................................................. 136

4.3.3. La nécessité d'applications pédagogiques directes ................................................................. 137

4.3.3.1. Formaliser pour pouvoir prédire ................................................................................... 137

4.3.3.2. Objectifs : la construction de nouveaux environnements didactiques .................................. 137

4.3.4. Validation expérimentale du modèle .................................................................................... 137

4.3.4.1. La mise à l'épreuve plutôt que la preuve ......................................................................... 137

4.3.4.2. Choix de l'outil de falsification : l'expérience contre-intuitive ............................................. 137

4.4. Hypothèses de recherche ............................................................................................................................ 138

8

5. Méthodologie .................................................................................................................. 139

5.1. Principe général de l'étude ........................................................................................................................ 139

5.2. Elaboration théorique (Hypothèse 1) ..................................................................................................... 139

5.2.1. Approche épistémologique ................................................................................................. 139

5.2.1.1. L'allostérie : de la métaphore à l'analogie - Ecueils potentiels ............................................ 139

5.2.1.2. Les concepts transversaux ............................................................................................ 140

5.2.2. Corpus théorique en sciences cognitives et philosophie des sciences ........................................ 141

5.3. Développements pratiquers et prévisions du modèle (Hypothèse 2) ........................................ 141

5.4. Validation expérimentale (Hypothèse 3) .............................................................................................. 142

5.4.1. Support expérimental de la recherche .................................................................................. 142

5.4.1.1. Description de l'activité ................................................................................................ 142

5.4.1.2. Nature des expériences ................................................................................................ 142

5.4.1.3. Etat d'esprit ................................................................................................................ 145

5.4.2. Population ........................................................................................................................ 145

5.4.3. Constitution du corpus ....................................................................................................... 145

5.4.3.1. L'entretien dirigé comme outil de recherche ................................................................... 145

5.4.3.2. Choix de la méthode d'entretien .................................................................................... 146

5.4.3.3. Du diagnostic préalable à la recherche d'approfondissement ............................................. 147

5.4.3.4. Choix du nombre d'expériences dépouillées .................................................................... 147

5.4.4. Elaboration du protocole de recherche ................................................................................. 147

5.4.4.1. Diagnostic préalable (2001) .......................................................................................... 147

5.4.4.2. Recherche préliminaire (2002) ..................................................................................... 148

5.4.4.3. Recherche d'approfondissement (2003-2004) ................................................................. 148

5.4.5. Recueil et traitement des données ....................................................................................... 149

5.4.5.1. Deux types d'entretiens ................................................................................................ 149

5.4.5.2. Enquête " grand-public » préliminaire ............................................................................ 149

5.4.5.3. Approfondissement : pré-test en situation scolaire ........................................................... 150

5.4.5.4. Approfondissement : post-test en situation scolaire ......................................................... 151

5.4.5.5. Traitement des enregistrements .................................................................................... 151

5.5. Schéma général de la recherche ............................................................................................................... 152

5.6. Limites de la recherche ................................................................................................................................ 152

5.6.1. Limites théoriques ............................................................................................................. 152

5.6.2. Limites pratiques ............................................................................................................... 152

5.6.3. Limites méthodologiques .................................................................................................... 153

5.6.4. Limites épistémologiques ................................................................................................... 153

6. Partie théorique : formalisation du modèle allostérique (H1) .................................... 157

6.1. Validité et légitimité de l'analogie ........................................................................................................... 157

6.2. Structure et organisation du savoir ........................................................................................................ 159

6.2.1. Représentation du savoir .................................................................................................... 159

6.2.2. Structure fine des conceptions ............................................................................................. 160

6.2.3. Préexistence des sous-unités d'information cérébrale ............................................................ 161

6.2.4. La question du socle inné .................................................................................................... 162

6.2.5. Une structuration étagée .................................................................................................... 163

6.3. Représentation des processus cognitifs ................................................................................................ 165

6.3.1. Traitement de l'information et sites actifs ............................................................................. 165

6.3.2. Chemins de pensée et heuristiques ...................................................................................... 167

6.3.2.1. Représentation ........................................................................................................... 167

9

6.3.2.2. Modes d'action ............................................................................................................ 167

6.3.2.3. L'expérience du croissant de Lune ................................................................................. 169

6.3.3. Fonctions d'optimisation .................................................................................................... 170

6.3.3.1. Fonction d'affinité Φ

affin(ĩ) ............................................................................................ 170

6.3.3.2. Fonction de réorganisation Φ

réorg ................................................................................... 174

6.3.3.3. Fonction de traitement cognitif Ψcog(ĩ) ........................................................................... 175

6.3.3.4. Différents niveaux de description du savoir .................................................................... 175

6.3.4. Accessibilité, contrôle et inhibition des heuristiques .............................................................. 176

6.3.4.1. La prééminence d'heuristiques particulières ................................................................... 176

6.3.4.2. Des heuristiques inaccessibles ...................................................................................... 178

6.3.4.3. Des heuristiques indisponibles ...................................................................................... 180

6.3.4.4. Des (méta)conceptions de contrôle ................................................................................ 182

6.3.4.5. Synthèse .................................................................................................................... 184

6.3.4.6. Contrôle cinétique et contrôle thermodynamique ............................................................ 184

6.4. Transformations du savoir ........................................................................................................................ 187

6.4.1. Apprendre... ..................................................................................................................... 187

6.4.1.1. Un espace de conceptions ouvert ................................................................................... 187

6.4.1.2. Retour sur le modèle allostérique .................................................................................. 188

6.4.2. Des processus élémentaires " activés » ................................................................................. 189

6.4.2.1. Eléments de cinétique chimique .................................................................................... 189

6.4.2.2. Première typologie des processus d'apprentissage ........................................................... 190

6.4.2.3. La notion d'activation ................................................................................................... 190

6.4.3. Fonctions d'optimisation et d'apprentissage .......................................................................... 191

6.4.3.1. Caractéristiques et représentation de la fonction Φréorg ..................................................... 192

6.4.3.2. Stabilité des schèmes de pensée et fonction θ d'apprentissage ........................................... 194

6.4.4. Correspondances... ............................................................................................................ 195

6.4.4.1. Enthalpie et entropie d'apprentissage ............................................................................ 195

6.4.4.2. Franchissement de la barrière d'activation ...................................................................... 197

6.4.4.3. Enthalpie libre et enthalpie libre d'activation .................................................................. 198

6.4.4.4. Zone proximale de développement ................................................................................ 199

6.5. Stabilisation du savoir ................................................................................................................................. 199

6.5.1. Fiabilité et caractère opératoire des conceptions ................................................................... 199

6.5.2. Stabilité et justesse ............................................................................................................ 199

6.5.3. Stabilité, ascendant et consensualité .................................................................................... 201

6.5.4. Intelligibilité, cohérence et noeuds du savoir .......................................................................... 202

6.5.5. Valeur émotionnelle ........................................................................................................... 203

6.5.6. Habitus ............................................................................................................................ 204

quotesdbs_dbs13.pdfusesText_19
[PDF] orientation client qualité

[PDF] orientation client compétence

[PDF] orientation client exemple

[PDF] orientation clients

[PDF] production ecrite sur l'utilité de l'écriture

[PDF] lettre remerciement candidature non retenue

[PDF] candidature refusée lettre de remerciement

[PDF] réponse ? un refus de candidature

[PDF] exemple remerciement thèse doctorat

[PDF] thèse pdf en ligne

[PDF] thèse de doctorat littérature pdf

[PDF] exemple de remerciement d'un rapport de stage

[PDF] remerciement fin de stage

[PDF] remerciement rapport de projet

[PDF] exemple de remerciement mémoire