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Prise en charge de la patiente avec une pré-éclampsie sévère

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28 juin 2021 RFE commune SFAR-CNGOF Prise en charge de la patiente avec une pré éclampsie sévère



Mise en page 1

ZEITLIN (épidémiologiste Inserm U953

Mise en page 1

0:88Q42 9.A6:9.8

12> 4C9P0:8:4B2> 2A :/>APA<60629> 3<.9O.6>

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FD;E)"", 2CG:()%((%(+((2,2/68<;/0" 805
)LGCGP3RL CNGOF (Collège national des gynécologues et obstétriciens français)

91 boulevard de Sébastopol - 75002 Paris

%GCAPc2 GL5-EAN-PAGE B. C ARBONNE, président (gynécologue obstétricien, CHU, Paris), C. V AYSSIÈRE, coordonnateur (gynécologue obstétricien, CHU, Toulouse), L. S ENTILHES, coordonnateur (gynécologue obstétricien, CHU, Angers), C. A RNAUD, méthodologiste (épidémiologiste, Inserm U1027, Toulouse), D. C OMBOURIEU(CFEF, Collège français d"échographie foetale, échogra - phiste foetale, secteur privé et CHU, Lyon), V. T

ESSIER(CNSF, Collège

national des sages-femmes), B. L

ANGER(SFMP, Société française de

médecine périnatale, gynécologue obstétricien, CHU, Strasbourg), P. T RUFFERT(Société française de néonatologie, pédiatre, CHU, Lille), A. S ERRY(CIANE, Collectif interassociatif autour de la naissance), C. B

ERNARD(CIANE)

"aI3LPN2R5LGRI323PL-U-AB A. E GO(épidémiologiste, CHU, Grenoble), C. FLAMANT(pédiatre,

CHU, Nantes), A. G

AUDINEAU(gynécologue obstétricien, CHU,

PecommUndUvionu'

rowt'lU'rtUviswe'cliniswe

Me'tevUtd'de'ctoiuuUnce'invtUAwv(tin

r98-j49t93)m)r+48$3g+ng)4 go_rpc_02_RCIU_bat2_ jm_cngof09 12/11/

13 11:47 Page805

Strasbourg), G. GASCOIN(pédiatre, CHU Angers), G. GRANGÉ (gynécologue obstétricien, CHU, Paris), V. HOUFFLIN-DEBARGE (gynécologue obstétricien, CHRU, Lille), V. MALAN(généticienne,

CHU, Paris), P. M

ARCORELLES(anatomopathologiste, CHU, Brest),

J. N IZARD(gynécologue obstétricien, CHU, Paris), F. PERROTIN (gynécologue obstétricien, CHU, Tours), L. SALOMON(gynécologue obstétricien, CHU, Paris), M.V. S

ENAT(gynécologue obstétricien, CHU,

Clamart), V. T

SATSARIS(gynécologue obstétricien, CHU, Paris) (31P3RLN E. A ZRIA(gynécologue obstétricien, CHU, Paris), M. BECHARDDE SPIRLET(gynécologue obstétricien secteur privé, Levallois-Perret), C. B LANCHOT-ISOLA(sage-femme secteur privé, Evry), B. BRANGER (pédiatre, CHU, Nantes), H. BRUEL(pédiatre, CHG, Montivilliers), A. B URGUET(pédiatre, CHU, Dijon), D. CARLES(foetopathologiste, CHU,

Bordeaux), M.L. C

HARKALUK-DUPONT(pédiatre secteur privé, Lille), F. C OATLEVEN(gynécologue obstétricien, CHU, Bordeaux), P. DAUNE (sage-femme, CHU, Amiens), I. de MEZERAC(association SPAMA, Soins palliatifs et accompagnement en maternité), M. D

REYFUS(gynécologue

obstétricien, CHU, Caen), M. D

RIESSEN(gynécologue obstétricien, CHU,

Paris), G. D

UCARME(gynécologue obstétricien, CH, La Roche sur Yon), C. F OULHY(sage-femme, CHU, Clermont-Ferrand), D. GALLOT (gynécologue obsté tricien, CHU, Clermont-Ferrand), F. GOFFINET (gynécologue obstétricien, CHU, Paris), S. GONY(maÔeuticien, CHU,

Clermont-Ferrand), I. G

UELLEC(pédiatre, CHU, Paris), T. HARVEY

(gynécologue obstétricien, ESPIC, Paris), J.M. JOUANNIC(gynécologue obstétricien, CHU, Paris), O. J

OURDAIN(gynécologue obstétricien secteur

privé, Bruges), G. K AYEM(gynécologue obstétricien, CHU, Colombes), R. K UTNAHORSKY(gynécologue obstétricien, CHG, Colmar), H. L AURICHESSE(gynécologue obstétricien, CHU, Clermont-Ferrand), A. L EREBOURS-BARBIER(gynécologue obstétricien secteur privé, Vannes), M. M ARTINEZ(maÔeu ticien, CHU, Montpellier ), E. MASCITTI-HUMBERT (sage-femme, CH, Chaumont), C. MORIN(sage-femme, CHU, Bordeaux), M. M ORIN(maÔeuticien, CHU, Toulouse), I. NISAND(gynécologue obstétricien, CHRU Strasbourg), M. P

ERINEAU(gynécologue obstétricien

secteur privé, Toulouse), A. R

ICBOURG(gynécologue obstétricien, CHU,

Paris), V. R

IGOURD(pédiatre, CHU, Paris), C. ROUILLARD(sage-femme,

CHU, Angers), P. R

OZENBERG(gynécologue obstétricien, CHI, Poissy), B. S CHAUB(gynécologue obstétricien, CHU, Fort de France), J. SEROR (écho graphiste secteur privé, Paris), O. THIEBAUGEORGES(gynécologue obsté tricien secteur privé, Toulouse), E. V

ERSPYCK(gynécologue obsté -

tricien, CHU, Rouen), J. Z

EITLIN(épidémiologiste, Inserm U953, Paris)

806
CNGOF go_rpc_02_RCIU_bat2_ jm_cngof09 12/11/

13 11:47 Page806

La prise en charge du retard de croissance intra-utérin implique tous les professionnels de la périnatalité et nécessite une même compréhen - sion des processus en cause ainsi que l"adoption d"un langage commun basé sur des définitions précises. L"information la plus claire possible des parents est indispensable afin de permettre leur implication éclairée dans les décisions médicales avant comme après la naissance. .08-23BGBaBIGUl8)AIBe8-1U8)IcR(1U8-18)RIBUU G)1 La définition d"une anomalie de croissance et le choix d"une courbe de poids conditionnent en grande partie le dépistage et le diagnostic du retard de croissance intra-utérin (RCIU).

F(finivionu

La terminologie suivante, à utiliser en anté comme en postnatal, est proposée : Pf/tf%n%/trne$/tr&#/o1(jf/jf$%b%nrppfo/r&/U9I(équivalent français de IjRgg bno 5aprRrfnmRg 0caou SGA) est défini par un poids isolé (estimation pondérale fm traonou poids de naissance) infér ieur au 10 e percentile, (bccr#e/t#rgf$$nrppfo). Le PAG sévère corres pond

à un PAG inférieur au 3

e percentile (bccr#e/t#rgf$$nrppfo). - Le _ a(équivalent français de barRg con#re oaprofUrfnm(FGR) ou fmroR/traofma con#re oarRo_RrfnmIUGR) correspond le plus souvent à un PAG associé à des arguments en faveur d"un défaut de croissance pathologique : arrêt ou infléchissement de la crois - sance de manière longitudinale (au moins 2 mesures à trois semaines d"intervalle) ( bccr#e/t#rgf$$nrppfo). Plus rarement, un RCIU peut correspondre à un défaut de croissance, avec un poids proche du 10 e percentile sans être PAG (RU6).

PemUtsweu'

- Dans les situations de PAG sur une mesure isolée, l"existence de signes d"altération du bien-être foetal (diminution des mouvements foetaux, anomalies du Doppler, oligoamnios) doit faire évoquer un

RCIU (

bccr#e/t#rgf$$nrppfo). 807
C

1/ 73 C30C2 23 1C:6II0913 69C0/P$C69

go_rpc_02_RCIU_bat2_ jm_cngof09 12/11/

13 11:47 Page807

- Les enfants PAG sont soit des enfants constitutionnellement petits, soit d"authentiques RCIU ( NP2). - Il est souhaitable de supprimer du vocabulaire les dénomina - tions " hypotrophe », " RCIU symétrique ou asymétrique » accord professionnel).

Ehoi%'deu'cowtaeu

- Les courbes de poids de naissance ne sont pas adaptées au repérage des PAG aux petits âges gestationnels en raison des pathologies liées à la prématurité. Les courbes fm traonrepré - sentent plus fidèlement la croissance physiologique ( NP2). - Le sexe foetal, la taille et le poids maternels en début de gros - sesse, la parité, et l"origine ethnique influencent signifi cativement le poids foetal, le sexe étant le facteur prépondérant ( NP2). L"utilisation d"une courbe non différenciée par sexe conduit à suspecter préférentiellement le faible poids chez les filles (faux positifs) et ignorer des PAG garçons (faux négatifs) ( NP3). - Les courbes ajustées individuelles de croissance foetale associent croissance fm traonet ajustement sur taille, poids de la mère, parité, et sexe foetal. Les PAG définis uniquement selon une courbe en population ne présentent pas d"augmentation de risque périnatal et semblent être constitutionnellement petits. Les PAG définis uniquement selon les courbes ajustées indivi - duelles de poids foetal ont un excès de risque de décès périnatal de 2 à 10 ( NP3). Rapportés à l"ensemble des naissances, 5 % des enfants sont reclassés (

NP3). Ils représentent environ 25 % des

PAG (NP3). Dw' vovUl-'l"adoption homogène de nouvelles courbes de croissance, en période prénatale comme à la naissance, est une nécessité pour tous les professionnels de la périnatalité (obstétriciens, sages-femmes,

échographistes, pédiatres...) (

accord professionnel). En échographie diagnostique (ou de référence), l"utilisation de courbes de croissance ajustées sur taille, poids de la mère, parité, et sexe foetal, est recommandée ( accord professionnel). En dépistage, l"utilisation des courbes ajustées doit faire l"objet d"une évaluation dans des régions pilotes, qui guidera le calen- drier de leur utilisation ultérieure à l"échelle nationale. Ce choix 808
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EC" 3) E)I%E( () "EB2GG%A") 2AIE% LIsE2A

repose sur des arguments de faisabilité, et sur l"absence de bénéfice actuellement démontré sur la santé périnatale en population générale ( fggtwh-uwtliÉÉotssir). ;087/3b5c_a8458_:aUc58458R/88 - Un antécédent de PAG multiplie par 4 le risque de PAG (acI). - L"âge maternel de plus de 35 ans augmente le risque d"un facteur

3 par rapport aux femmes de 20 à 30 ans (

acI). - La primiparité et la grande multiparité : risque multiplié par 2 acIFL). - Les troubles hypertensifs augmentent la fréquence de PAG : hypertension artérielle chronique (d"un facteur 2), prééclampsie (d"un facteur 5 à 12 selon la sévérité de l"atteinte et les études), hypertension gravidique (d"un facteur 2) ( acI). - Un diabète préexistant à la grossesse avec atteinte vasculaire est associé au PAG (risque multiplié par 6) ( acL). - Tabagisme actif pendant la grossesse : risque multiplié par 2 pour une consommation de 10 cigarettes par jour avec un effet- dose ( acI). - La consommation alcoolique multiplie le risque par 2 ( acI). - Une consommation de drogues pendant la grossesse est associée à une fréquence augmentée de PAG (risque multiplié par 3) acI). - Autres facteurs de risque (augmentation du risque inférieure à 2) :quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35
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