Projet de thèse Le projet de thèse porte sur la régionalisation des
indépendants afin de créer des espaces géographiques dits de libre circulation des personnes des marchandises
Feuille de styles thèse numérique
d'îles ce qui accentue l'importance des transports maritimes pour la libre circulation des personnes et des marchandises au sein du marché intérieur.
Les libertés de circulation des marchandises et des services dans l
6Ousmane BOUGOUMA La libre circulation des marchandises en droit communautaire européen et de l'UEMOA
Le rôle de la Cour de justice de lUnion européenne dans le
14 oct. 2015 fondamental que celui de la libre circulation des marchandises. ... Ainsi notre thèse permet de situer la CJUE au cœur du dispositif prévu ...
LA LIBRE CIRCULATION DES EUROPÉENS
Le marché intérieur est défini par l'Art. 26 TFUE comme « un espace sans frontières intérieures dans lequel la libre circulation des marchandises des personnes
La contribution potentielle de la Zone de libre-échange continentale
les couloirs de transport et de commerce indispensables à la circulation à moindre coût des personnes et des marchandises à l'intérieur et au-delà des
michelman international belgium srl purchase order - general
5 août 2016 In these conditions the following definitions are ... may be placed into circulation. ... marchandises sont (i) libres de tout droit et.
NNÉE 2015 THÈSE /UNIVERSITÉ DE RENNES 1 sous le sceau de l
fondamental que celui de la libre circulation des marchandises. En effet la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE).
`` Le droit ohadala libre circulation et harmonisation du droit des
27 mars 2017 impact sur la libre circulation en Afrique (II). I. Le droit OHADA : vecteur de la libre circulation des marchandises des.
Dans laffaire 113/80 Wagenbaur
assisté de M
La libre circulation des marchandises en droit communautaire
La libre circulation des marchandises en droit communautaire européen et UEMOA par Ousmane Bougouma Thèse de doctorat en Droit privéDroit privé Sous la
[PDF] NNÉE 2015 THÈSE /UNIVERSITÉ DE RENNES 1 sous le sceau de l
fondamental que celui de la libre circulation des marchandises En effet la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE)
[PDF] OUEDRAOGOpdf - Université de Genève
3 nov 2016 · Le recours à la jurisprudence de la CJUE en matière de libre circulation des marchandises et des services pour l'interprétation des règles de l'
Le rôle de la Cour de justice de lUnion européenne - HAL Thèses
En l'absence d'harmonisation il revient en effet à la Cour d'arbitrer les choix conflictuels entre le principe de libre circulation des marchandises promu
[PDF] Libre circulation des marchandises
La libre circulation des marchandises la première des quatre libertés fondamentales du marché intérieur est garantie par la suppression des droits de
[PDF] T H E S E
3 sept 2007 · forte augmentation du transport de marchandises celle-ci s'est accomplie `a circulation routi`ere constante [Savy 1998]
Libre circulation des marchandises et contrôle de la mobilité des
29 nov 2011 · 4 Benjamin Bowman « Das Mautwesen des 18 Jahrhunderts im heutigen Niederösterreich » thèse non pu ( ) 10 – la transformation des péages (
[PDF] Laccès au marché en droit du marché intérieur
nationales et libre circulation intracommunautaire des marchandises thèse Strasbourg 1994 sp p 48 et s sur « la complémentarité des règles
[PDF] Thèse de doctorat en droit soutenue le 30 juin 2015
d'îles ce qui accentue l'importance des transports maritimes pour la libre circulation des personnes et des marchandises au sein du marché intérieur
Linfluence du contexte conjoncturel sur la fonction intégrative de la
communautés européennes dans le domaine de la libre circulation des marchandises sur la jurisprudence fera l'objet de la seconde partie de ma thèse
3 t0mmoéP p%
"KK).$'% % % % % % % % % % % S%7,-$"*#5-.",
%H% 3% % % % %&4.,-'$L)5'%*#%-$).-0%'-%*'1%&0(.1&)-.",1%5"KK#,)#-).$'1%'-%% % % % %,)-.",)&'1%ST%C.-$'%G%
U% % % %0-)-.[#'1%'-%&40-)-%*'%&)%&0(.1&)-.",%*'%&4>,.",%:#$"!0',,'%AF%C.-$'%B
&4)5-.",%*'%&)%<"#$%'-%% % % 1)%&0(.-.K.-0%GBW% Chapitre 1- Un pouvoir d'influence de la CJCE/CJUE potentiellement dé favorable aux valeurs non économiques 126 Chapitre 2- Une conciliation nécessaire mais difficile entre l'obj ectif d' un marché unique et la nature complexe du marché et des mar- chandises 164 % % % % % % 5",5.&.'$%&'%K)$560%.,-0$.'#$%'-%&'1%,"#I'&&'1%!"&.-.[#'1%*'%&4>,.",%BSH%
C.-$'%G%
U% % % %!"&.-.[#'1%*'%&4>,.",%BSA% % %SA%% C\>: % % % %BSA% % % % % % .,-'$!$0-)-.",%0I"-.I'%*'1%5",*.-.",1%'-%*'1%K"-.L1%*'%*0$"()-.",% % % % % %3%&4.,-'$*.5-.",%*'1%',-$)I'1%)#Q%056),('1%/%&4'Q'K!&'%*#%!$.,5.!'%*'% % % % % %!$05)#-.",%% %BTB%C.-$'%B
N'1%5&01%*
4#,'%E#$.1!$#
*',5'%&0(.-.K'%SGA% % % % % % 5"K!0-',5'1%0-)-.[#'1%'-%*'1%I)&'#$1%,",%05","K.[#'1%SG^% % % % % %1#$%&'%5$.-D$'%$'I.1.-0%*'%&4)55D1%)#%K)$560%SW_% 4 Con clusion générale 434Bibliographie 455
Table des matières
4665 L E RÔLE DE LA COUR DE JUSTICE DE L'UNION EUROPEENNE DANS LE PROCESSUS DE CONSTITUTION ET D'EVOLUTION DU MARCHE INTERIEUR
DES MARCHANDISES
J acques HEMON vëç...Y"Z/ç(Yë Le 25 juillet 2012, le ministre français du Redressement Productif annonçait le lancementd'une campagne de publicité financée par l'État et destinée à promouvoir le " made in
France
1 On ne fera pas l'injure à un membre du gouvernement français, avocat de surcroit,
d'imaginer un instant qu'il ait pu ignorer un principe du droit communautaire aussi fondamental que celui de la libre circulation des marchandises. En effet, la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE)2 condamne les mesures protectionnistes auxquelles il convient
sans équivoque d'associer les dispositions incitant au chauvinisme économique.3 Au delà de
son caractère politique,4 une telle déclaration provenant du gouvernement d'un État membre
fondateur de la CEE ne raisonne-t-il pas comme l'aveu d'un échec ? A tout le moins nerévèle-t-il pas le caractère inachevé du marché intérieur (A) plus d'un demi siècle après la
signature du Traité de Rome, alors même que la réalisation dudit marché demeure l'une des
fondations du projet politique de l'Union européenne ? La réponse à cette question passeinévitablement par l'observation du rôle fondamental exercé en ce domaine par l'organe
juridictionnel de l'UE qui se situe à l'interface du traité, du droit communautaire et desÇ he gouvernement engagera une campagne de mise en valeur du Ç èade in Orance È de lÕautomobile franaise et nous
avons demand avec 1la ministre de la pulture5 turlie OilipettiÈ des cinastes engags de signer grce leur rayonnment
internationalÈ leur talentÈ les publicits en faveur de lÕautomobile franaise et du fabriqu en Orance È/ 1Extrait du discours
de Monsieur Arnaud Montebourg, à l'issue du Conseil des ministres, le 25 juillet 20125/ Les encouragements à acheter
français étaient repris par la ministre du Commerce extérieur, Madame Nicole Bricq lors d'une allocution en début d'année
20132 Nouvelle dénomination de la Cour de justice des Communautés européennes (CJCE) depuis le traité de Lisbonne.
3 Arrêt du 24 novembre 1982, " Commission des Communautés européennes contre Irlande », affaire 249/81, Rec. 1982, p.
4005.Voir également les conclusions de l'avocat général M. M. Poiares Maduro dans l'arrêt du 14 septembre 2006, " Alfa Vita
Vassilopoulos et Carrefour-Mrinopoulos » affaires C-158/04 et C-159/04, Rec. 2006, p. I-8135, point 43 :
Ç -o
u te discrimination raison de la nationalitÈ quÕelle soit directe ou indirecte est prohibe/ Jl est videntÈ par exemple
quÕun programme de campagne publicitaire faisant la promotion de lÕachat de produits nationaux au dtriment des changes
4 ...dont l'analyse se trouve en dehors du sujet de notre étude.
6 législations nationales (B) et contribue à l'élaboration d'un véritable mode d'emploi du
marché intérieur (C). Celui-ci se matérialise dans des arrêts fondateurs dont on appréciera le
caractère interventionniste et téléologique dans le domaine de la libre circulation des
marchandises (D). Notre introduction est également l'occasion de préciser l'objet de notre réflexion et la méthodologie employée (E). A- Le marché intérieur, une oeuvre inachevéeSelon la lettre du traité, le marché intérieur est largement conditionné par une économie
compétitive gage d'un " ";ëz WÕwëzwKAWw "w W; TYKKZë;Zçn " Zëw /...Y(zz;ë/w "Z...;AWw É "ÕZë ë(üw;Z "ÕwKkWY( wç "w pourquoi, l'article 2 du traité CE accorde à l'établissement du marché commun une placeprééminente, tandis que l'article 26-2 du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne
précise que "W; W(A...w /(.../ZW;ç(Yë "wz K;.../H;ë"(zwzn "wz kw...zYëëwzn "wz zw...ü(/wz wç "wz /;k(ç;Zô wzç ;zzZ...w
zwWYë Wwz "(zkYz(ç(Yëz "Z ç...;(ç ». La première de ces libertés constitue l'Ç Zë "wz GYë"wKwëçz
"w W; TYKKZë;Zç È6 et correspond logiquement à la liberté économique la plus aboutie en
tant que 7Les premières étapes de la construction du marché intérieur des marchandises sont inscrites
dans les traités originels.8 Cependant, grâce au nombre restreint des États fondateurs et à une
conjoncture économique favorable, l'Union douanière a été réalisée dès le mois de juillet
Ces vertus attribuées au marché unique sont soulignées par le Président de la Commission européenne, M. José Manuel
ëYZüwWWwz kZ(zz;ë/wz KYë"(;Wwz wç "w "...;ë"z "G(z wëü(...YëëwKwëç;Zô ...wë"wëç W; /YHz(Yë /YK
KZë;Zç;(...w kWZz ë/wzz;(...w
européenne José Manuel Barroso, présenté par M. Mario Monti le 9 mai 2010.6E`A/ÉEÈAS5MM0ÈSE20VE5ÉÉ:SVETNE-ETIo0MPÉ0EC--^èEfE'AMM/VV/AÈEoAÈSÉ0EyÉ5Èo0EjèEn0omEC--^èE mEldt-L-èE A/ÈSEéàaETNEFOE
5JÉ/2EC--tèEfE'lbEr0oNÉ/SqElÈS0ÉÈ5S/AÈ52EjèE5hh5/É0E'dC-àc-àèE A/ÈSEàOaETNECéEgN/ÈEéOOFèEfErouM/TP0É10ÉEjèE5hh5/É0E'd
CCécOOèEn0omEéOOFèE mEldLtL-èE A/ÈSE^_EaETNECLEÈAJ0MPÉ0EéOOLèEfE'AMM/VV/AÈEoAÈSÉ0EnI NP2/-N0ETsbNSÉ/ou0EjèE5hh5/É0E
'dFéOcOFèEn0omEéOOLèE mEld-_^CèE A/ÈSEtFEaETNECàEV0 S0MPÉ0EéOOtèEfEb2h5E`/S5E`5VV/2A AN2AVE0SE'5ÉÉ0hANÉdH5É/ÈA AN2AVE
5hh5/É0VEjèE'dCL_cOàE0SE'dCL-cOàèEEn0omE mEld_CFLèE A/ÈSECàmE
7EH52oAME b5ÉJ/VèE dpu0E 5 2/o5S/AÈE AhE a'E ô5eE PqE v5S/AÈ52E 'ANÉSVEdEpu0E hÉ00E HAJ0M0ÈSE AhE fAATVgE H52oA2ME b5ÉJ/VèE
'25É0ÈTAÈERÉ0VVdeYhAÉTèEC-__èE mEFmEA noter également la place particulière de la liberté de circulation des marchandises par rapport aux autres libertés dans le
traité sur le fonctionnement de l'UE. Le régime applicable à la première liberté figure dans le titre II de la troisième partie du
traité intitulé " Les politiques et actions internes de l'Union » tandis que les règles applicables aux secondes sont regroupées
dans le titre IV de la même partie. Les principales sources du droit primaire de la libre circulation des marchandises sont
inscrites dans les articles 34 et suivants du TFUE.8 Article 12 et suivants du traité de Rome.
7 1968, soit avec 18 mois d'avance sur l'échéance fixée. Quant aux obstacles non tarifaires, ils
se sont alors révélés comme de redoutables instruments protectionnistes, plus encore que les
droits de douane. En effet, à l'importation ces derniers pénalisent le produit originaire des autres États membres mais sans toutefois pouvoir l'exclure totalement du marché d'importation. En revanche, des normes techniques imposées par l'État d'importation peuventconduire à en interdire l'accès à des produits provenant d'États membres plus " laxistes ». La
production à l'échelle de la Communauté requiert alors la mise aux normes des pays
d'exportation, avec pour conséquence une nécessaire diversification de cette production et un coût unitaire plus élevé. DSans aller jusqu'à présenter la réalisation du marché intérieur comme une sorte d'idéal
inaccessible, il faut bien reconnaître que l'oeuvre reste inachevée et le restera pour longtemps
encore,10 même si la lettre du traité pouvait laisser croire le contraire. L'article 7 A du traité
CE n'affichait-il pas la prétention d'établir progressivement le marché intérieur à l'échéance
du 31 décembre 1992 ?11 La réalité s'est cruellement révélée aux autorités communautaires.
La nature de la tâche n'est pas étrangère à cet état de fait. Le rapport Monti précité explique
cette situation par le constat que les produits évoluent constamment en fonction des goûts des consommateurs et des nouvelles technologies. Il relève également que les obstacles liés aux pratiques et aux réglementations nationales perdurent. 12Les décideurs et les acteurs de la réalisation du marché intérieur l'ont bien compris. La prise
de conscience des premiers apparaît à la lecture des modifications apportées par le traité de
Lisbonne. La version consolidée du traité sur l'Union européenne dispose en effet dans sonarticle 3 que Ç LÕUnion tablit un march intrieur È tandis qu'une version plus modeste et
réaliste dispose dans son article 26 que Ç lÕUnion adopte les mesures destines tablir ou assurer le fonctionnement du march intrieur . Face à la crise, le marché intérieurDans un tel contexte inégal de concurrence, les PME sont particulièrement pénalisées. Voir Nicolas Moussis, " Accès à
l'Union européenne : droit, économie, politique », Rixensart, European Study Service, 13ème édition révisée).
blocages, on entend que, dans de nombreux domaines, le march unique existe en thorie, mais que, dans la pratique de
compromettent lÕinitiative conomique et lÕinnovation. È (extrait du rapport Monti précité, p. 43).
Voir également les conclusions de l'avocat général Jacobs dans l'affaire du 9 février 1995, " Leclerc-Siplec », affaire C-
412/93, Rec. 1995, p. I-179.point 21 : Ç Dans des marchs qui, malgr le processus dÕintgration conomique amorc par le
11 " La communaut arrte les mesures destines tablir progressivement le march intrieur au cours dÕune priode
expirant le 31 dcembre 1992... »12 Rapport Monti : L'auteur du rapport explique que pour les raisons précitées, ce serait une erreur de croire que le processus
est achevé. Nul doute que la Cour de justice de l'Union européenne se trouve au coeur du dispositif qui doit conduire à sa réalisation.B- La CJUE à l'interface du traité, du droit communautaire dérivé et des législations
nationales Aux termes de l'article 4 du traité de Rome, la Cour devait contribuer à la réalisation des tâches confiées à la Communauté.13 Cette phrase lapidaire traduit mal l'influence de sa
jurisprudence sur l'interprétation et la mise en oeuvre du principe de libre circulation des marchandises.D'une manière générale, l'influence de la CJCE/CJUE s'explique d'abord par le cadre
original, pour ne pas dire exceptionnel dans lequel elle est appelée à intervenir. Le
renoncement par les États membres à une partie significative de leur souveraineté au profit de
la Communauté dans un processus d'intégration, impliquait l'existence de règles impératives
et la présence d'un organe juridictionnel de contrôle. Or, le niveau ou la qualité de
l'intégration d'un ensemble régional se reflète dans la nature et le fonctionnement de sesinstitutions. Précisément, le rôle dévolu au juge communautaire constitue à cet égard un
révélateur du degré d'intégration institutionnelle et normative de l'Union européenne.
Naturellement, ce constat vaut également pour les autres ensembles régionaux, même si
l'observation de différents modèles d'intégration régionale révèle une grande diversité. En
effet, si la Cour de justice des communautés européennes a longtemps servi de modèle (aupoint d'être parfois citée expressément dans les décisions d'autres juridictions),
14 l'Union
européenne n'est plus aujourd'hui le seul ensemble régional disposant d'une juridiction
permanente et indépendante des États membres et soumis à son autorité. Observons le
continent africain qui compte une douzaine de juridictions régionales,15 mais aussi
l'Amérique latine,16 sans oublier l'Europe.17
Article 4 du traité de Rome : " f; ...;W(z;ç(Yë "wz ç/Hwz /YëG(wz W; TYKKZë;Zç wzç ;zzZ...w k;... E Zë B;...WwKwëç
wZ...Ykwë - Zë TYëzw(W - Zëw TYKK(zz(Yë - Zëw TYZ... "w )Zzç(/wiii Èi14E'ANÉET0EgNVS/o0Erl'bèETNEé^EÈAJ0MPÉ0EéOOCèEv/o5É51N5EJVEhAÈTNÉ5VEiô5E'ANÉErl'bEV0EÉIhBÉ0E0Y É0VVIM0ÈSE5NYE
5ÉÉ:SVE'AVS5EcEaÈ02EiE'b'aèECLEgN/220SEC-tàèEfE'AVS5SEoAÈSÉ0EamvmamômEjèE5hh5/É0EtctàèEn0omEC-tàèE mECCàCjE0SE`5ÈEf0ÈTE0ÈE
ôAAVEiLEhIJÉ/0ÉEC-tFèEfE`5ÈEf0ÈTEkEôAAVEjèEE5hh5/É0EétctéèEn0omEC-tFèE mEFjET0E25E'b'amE`A/ÉEaÉ/oE'5É 5ÈAèEfEô0EÉB120M0ÈSE
T0VE2/S/10VET5ÈVE20VE/ÈSI1É5S/AÈVEÉI1/AÈ520VE/ÈS0ÉÈ5S/AÈ520VEGEaVV5/ET0ESq A2A1/0èEreEfEô0VE/ÈSI1É5S/AÈVEÉI1/AÈ520VèENÈ0E
5 ÉAou0EoAM 5É5S/J0
EjèE mEàLèEVANVE25ET/É0oS/AÈET0Eb5o-N0VEhIMAÈèEaT/S/AÈEeoS5É0VEiéOCFjmE
15 Cour africaine des droits de l'homme, Cour de l'Union africaine et de la Communauté économique africaine, Instance
judiciaire de l'Union du Magrheb Arabe (UMA), Cour de la Communauté d'Afrique de l'est (EAC), Cour du Marché
commun d'Afrique orientale et centrale (COMESA), Tribunal de la Communauté pour le développement de l'Afrique
9 De plus, une étude comparative des organes judiciaires ou juridictionnels des intégrations
régionales démontre que le modèle de la CJCE/CJUE est parfois dépassé par des juridictions
cumulant des fonctions internes et régionales. 18Ainsi le rôle et le fonctionnement de ces institutions permettent une distinction et un
classement parmi les juridictions " communautaires » ou les juridictions internationales classiques. Les premières partagent plusieurs traits communs témoignant du degré d'intégration des organisations auxquelles elles appartiennent.Le premier de ces traits tient à la compétence obligatoire et exclusive de la Cour dans les cas
prévus par les traités. Sur ce dernier point, on reproche parfois à la CJCE/CJUE de dépasser
son rôle de juridiction en imposant des solutions aux États membres dans le cadre du recours en constatation de manquement, concernant des domaines où les États membres ne disposent que de pouvoirs limités.19 Peut-on craindre une forme de détournement de pouvoirs ? Il
appartient en réalité à la Cour d'encadrer l'exercice par les États membres de leur compétence
réservée, en veillant notamment à ce que les mesures nationales ne constituent pas des
restrictions déguisées à la libre circulation des marchandises. Cantonnée dans ce rôle, l'action
de la Cour ne peut être assimilée à l'exercice d'un pouvo ir normatif. 20orientale (SADC), Cour de la Communauté économique de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), Cour de l'Union économique et
monétaire Ouest Africaine (UEMOA), Cour de la Communauté économique des Etats de l'Afrique Centrale (CEMAC), Cour
commune de Justice et d'arbitrage de l'Organisation de l'harmonisation du droit des affaires en Afrique (OHADA). Voir Eric
Carpano, " Le règlement des litiges dans les intégrations régionales internationales - Essai de typologie (précité).
16 La Cour de justice de la Caraïbe (CARICOM), la Cour de justice andine (SAI) ou la Cour de justice du marché commun
d'Amérique centrale (SICA).17 Les Cours du BENELUX et de l'AELE et la Cour européenne des droits de l'homme.
18 Notamment en Amérique centrale et dans la Caraïbe. Voir Eric Carpano, " Le règlement des litiges dans les intégrations
régionales internationales - Essai de typologie (précité).19 Conformément à l'article 258 TFUE, Ç Si la Commission estime quÕun Etat membre a manqu une des obligations qui lui
observations. Si lÕEtat en cause ne se conforme pas cet avis dans le dlai dtermin par la Commission, celle-ci peut saisir
la Cour de justice de lÕUnion europenne. È L'article 259 du traité ajoute que Ç chacun des Etats membres peut saisir la
Cour de justice de lÕUnion europenne sÕil estime quÕun autre Etat membre a manqu une des obligations qui lui
incombent en vertu des traits. Avant quÕun Etat membre nÕintroduise, contre un autre Etat membre, un recours fond sur
une prtendue violation des obligations qui lui incombent en vertu des traits, il doit en saisir la Commission. La
observations crites et orales. Si la Commission nÕa pas mis lÕavis dans un dlai de trois mois compter de la demande,
lÕabsence dÕavis ne fait pas obstacle la saisine de la Cour. ÈEn cas d'inexécution de l'arrêt, la Cour peut en vertu de l'article 260 TFUE, infliger à l'Etat récalcitrant, le paiement d'une
somme forfaitaire ou d'une astreinte.Ajoutons que le rapport Monti (précité) propose que la décision de la Commission constatant une infraction créée, pour l'Etat
membre destinataire, une obligation immédiate de se mettre en conformité, sans préjudice de son droit de contester la
décision devant la CJUE.20 Ç Une telle action ne constitue pas un dtournement de lÕarticle 152 CE parce quÕelle ne permet pas la Commission, ni
la Cour de se substituer lÕEtat membre concern et dÕimposer celui-ci, une solution plutt quÕune autre. Elle nÕest donc
pas assimilable un pouvoir normatif. Elle a seulement pour effet dÕencadrer lÕexercice, par cet Etat membre, de sa
comptence rserve, É, en prcisant les limites qui dcoulent des liberts de circulation que tous les Etats membres se sont
engags respecter, en concluant puis en ratifiant le trait. (Conclusions de l'Avocat général Yves Bot, point 91 dans l'
10 Le second trait se traduit par l'accessibilité des particuliers à la Cour (bien que ces derniers ne
soient pas considérés comme des requérants privilégiés devant la CJUE21), soit directement,
soit indirectement en se prévalant de dispositions du droit primaire ou dérivé à effet direct
devant leurs juridictions nationales.22. Précisément, la Cour a reconnu l'effet direct des règles
du marché intérieur, facteur d'efficacité dans la lutte contre les obstacles aux échanges inter
étatiques, dans la mesure où elle permet une collaboration des agents économiques au
contrôle du respect des règles concernées.23 Toutefois la reconnaissance explicite de l'effet
direct de l'article 30 CE (article 34 TFUE) n'a été explicitement confirmée que tardivement.
24Quant au droit dérivé, l'applicabilité directe des règlements
25 génère logiquement un effet
direct au profit des particuliers. Pour autant, la Cour n'exclut pas que les directives, alorsmême qu'elles ne sont pas directement applicables, puissent également conférer aux
particuliers des droits dont ils peuvent se prévaloir devant les juridictions nationales. Un tel effet suppose que le délai de transposition de la directive en questi on soit écoulé et qu'elle soit suffisamment précise et inconditionnelle. 26Arrêt du 11 septembre 2008, " Commission des Communautés européennes contre République Fédérale d'Allemagne »,
affaire C-141/07, Rec. 2008 p. 6935).21 Les possibilités de recours des particuliers devant la juridiction communautaire sont limitées.
Voir en ce sens l'arrêt du 5 mai 2011, " MSD Sharp & Dohme GmbH contre Merckle GmbH », affaire C-316/09, Rec. 2011,
p. I-3249 dans lequel la Cour précise que Ç lÕarticle 267 TFUE nÕouvre pas de voie de recours aux parties un litige pendant
devant le juge national de sorte que la Cour ne saurait tre tenue dÕapprcier la validit du droit de lÕUnion pour le seul
motif que cette question a t invoque devant elle par lÕune des parties dans ses observations critesÈ ( point 23).
Dans l'arrêt du 12 juillet 2012, " Association Kokopelli contre Graines Baumaux SAS », affaire C-59/11 (non encore
publiée), la Cour rappelle que si " des personnes physiques ou morales ne peuvent pas, en raison des conditions de
lÕarticle 277 TFUE, devant le juge de lÕUnion, soit devant les juridictions nationales et dÕamener celles-ci, qui ne sont pas
comptentes pour constater elles-mmes lÕinvalidit desdits actes, interroger cet gard la Cour par la voie de questions
prjudicielles È (point 34).22 Une disposition du droit communautaire primaire ou dérivé produit des effets directs lorsqu'elle confère aux particuliers
des droits dont ils peuvent se prévaloir devant leurs juridictions nationales.23 Arrêt du 24 mars 2009, " Danske Slagterier contre Bundesrepublik Deutschland », affaire C-445/06, Rec.2009, p. I-2119,
La Cour en déduit que Ç les particuliers qui ont t lss par la transposition et lÕapplication incorrectes des directives
peuvent se prvaloir du droit la libre circulation des marchandises afin de pouvoir engager la responsabilit de lÕEtat en
raison de la violation du droit communautaire È (point 26).24 Timmerman Chistian W.A., " La libre circulation des marchandises », in " Trente ans de droit communautaire »,
Collection Perspectives européennes, Bruxelles, Commission des Communautés européennes, 1982, p. 280.
Voir l'arrêt du 22 mars 1977, " Ianelli contre Meroni », affaire 74/76, Rec. 1977, p. 557, point 13 : Ç Attendu que
lÕinterdiction des restrictions quantitatives et des MEERQ dicte lÕarticle 30 du traitÉne ncessite, pour sa mise en
pour les particuliers des droits que les juridictions nationales doivent sauvegarderÉ È.Voir également les arrêts du 29 novembre 1978, " Pigs Marketing Board contre Raymond Redmond », affaire 83/78, Rec.
1978, p.2347, point 66 et du 8 novembre 1979, " Denkavit », affaire 251/78, Rec. 1979, p. 3369, point 3.
25 Les dispositions communautaires directement applicables dans les Etats membres ne nécessitent aucune mesure de
transposition dans les droits nationaux.26 Arrêt du 5 avril 1979, " Ministère public contre Tullio Ratti », affaire 148/78, Rec. 1979, p. 1629, points 23 et 24.
Le rapport Monti précise que 80% des règles du marché unique sont établies au moyen de directives qui présentent
l'avantage de favoriser un meilleur Ç ajustement È de son contenu aux situations locales. En revanche les règlements
présentent de meilleures garanties en terme de clarté, de prévisibilité et d'efficacité. Ils garantissent également une plus
grande égalité des citoyens et des entreprises auxquels ils offrent également de plus grandes possibilités de recours (p. 112).
A cet égard, M. Monti relève également que 55% des directives ne sont pas transposées dans les délais requis.
11 Un troisième trait concerne le rapport particulier qui s'établit entre le juge national, juge
communautaire de droit commun et la CJUE, garante de l'uniformité d'interprétation dans le cadre de la procédure du renvoi préjudiciel en interprétation.27 Cette situation est liée à
l'existence d'une forme de décentralisation de l'application du droit communautaire dans les États membres, conséquence des principes de primauté et d'effet direct. Logiquement les tribunaux nationaux deviennent les juridictions naturelles pour en assurer la bonne application. En ce sens, on peut affirmer que les tribunaux nationaux ont participé activementà la construction de l'ordre juridique communautaire en général et à celui du marché intérieur
en particulier.28 En effet, la procédure instituée par l'actuel 267 du TFUE constitue un
instrument de coopération entre la Cour et les juridictions nationales, grâce auquel la première
fournit aux secondes les éléments d'interprétation requis pour la résolution des litiges qui leur
sont soumis.29 Ce lien privilégié entre les juridictions nationales et la Cour de justice de
l'Union européenne est considéré par la doctrine comme l'une des " success stories
majeures de l'intégration européenne.30 En effet, les interprétations préjudicielles de la Cour
ont révélé la majorité des grands principes du droit communautaire tels que celui de la
primauté du droit communautaire sur les droits nationaux et celui de l'effet direct. Logiquement, la procédure du renvoi préjudiciel ne permet pas à la Cour de statuer sur la compatibilité d'une disposition nationale avec le droit communautaire,31 à l'inverse du
recours en constatation de manquement. Tout au plus peut- elle Ç "";"w... "wz WKwëçz "ZConformément à l'article 267 du TFUE, " W; TYZ... "w )Zzç(/w WÕ-ë(Yë wZ...Ykwëëw wzç /YKkçwëçw kYZ... zç;çZw...n ç(ç...w
k...)Z"(/(wW E ;a zZ... WÕ(ëçw...k...ç;ç(Yë "wz ç...;(çznAa zZ... W; ü;W("(ç wç WÕ(ëçw...k...ç;ç(Yë "wz ;/çwz k...(z k;... Wwz (ëzç(çZç(Yëzn Y...";ëwz YZ Y...";ë(zKwz "w WÕ-ë(Yëi
29 Voir à titre d'exemples parmi d'autres, les arrêts du 8 octobre 1990, " Dzodzi contre Etat belge », affaires C-297/88 et C-
affaire C-231/89, Rec. 1990, p.I-4003, point 18 ; du 16 juillet 1992, " Meilicke contre ADV-ORGA », affaire C-83/91, Rec.
1992, p. I-4871, point 22 ; du 17 septembre 2002, " Baumbast- et R », affaire C-413/99, Rec. 2002, p. I-7091, point 31 ; du
12 juin 2003 " Schmidberger », affaire C-112/00, Rec. 2003, p. I-5659, point 30 ; du 20 janvier 2005, " Salgado Alonso »,
affaire C-306/03, Recueil 2005, p. I-705, point 40; du 17 avril 2007, " AGM COS.MET Srl contre Suomen Valtio, Tarmo
Lehtinen», affaire C-470/03, Rec. 2007, p.I-2749, point 43.30 Jacqué and Weiler, " On the road to European Union-A New Judicial architecture : An Agenda for the Intergovernmenal
conference» (1990)27 CMLR, p. 185 et 186.
31 Il s'agit là d'un rappel fréquent de la Cour aux juridictions nationales. Voir par exemple les arrêts du 12 octobre 1978,
" Joh. Eggers Sohn & Co. Contre Freie Hansestadt Bremen, affaire 13/78, Recueil 1978, p. 1935, point 19 ; du 13 mars 1986,
" Ministère public contre Albert Mirepoix », affaire 54/85, Rec. 1986 p. I-1986, p. 1067, point 6 ; du 18 février 1987,
" Ministère public contre Arthur Mathot », affaire 98/86, Rec. 1987 p.I-809, point 6 ; du 13 mars 1986, " Ministère public
contre Albert Mirepoix», affaire 54/85, Rec. 1986, p.I-1067, point 6 ; du 3 février 2000, " Chalarampos Dounias contre
Ministère de l'Economie », affaire C-228/98, Rec. 2000, p. I-7113, point 36.12 WÕ(ëçw...k...ç;ç(Yë "Z "...Y(ç /YKKZë;Zç;(...w È. Il n'appartient pas davantage à la Cour de se
prononcer dans le cadre d'un recours préjudiciel, sur l'interprétation de dispositions
nationales ni de juger si l'interprétation qu'en donne la juridiction de renvoi est correcte. 32En revanche, il appartient à la juridiction nationale d'apprécier tant la nécessité d'un renvoi
préjudiciel auprès de la CJUE que la pertinence de son objet.33 En effet, l'article 267 alinéa 2
du TFUE stipule que lorsqu'une question sur l'interprétation ou la validité des traités ou du
droit communautaire dérivé est soulevée devant une juridiction d'un État membre, cette
juridiction peut, si elle estime qu'une décision sur ce point est nécessaire pour rendre sonjugement, demander à la Cour de statuer sur cette question. Précisons toutefois que,
conformément à l'article 267 troisième alinéa du traité, lorsqu'une question est soulevée dans
une affaire pendante devant une juridiction nationale dont les décisions ne sont pas susceptibles d'un renvoi juridictionnel de droit interne, cette juridiction est tenue de saisir la Cour.34 Néanmoins, la portée de cette affirmation doit être relativisée à la suite de plusieurs
interprétations restrictives de cette disposition du traité par la Cour, toutes fondées sur une
logique de bon sens.Arrêt du 14 février 2008, " Dynamic Medien Vertriebs GmbH contre Avides media AG », affaire C-244/06, Rec. 2008, p.
I-505, point 19.
ÉsA2sA1i'sÉE1A2sA/R1ADÉs/É0o/Éu0Al1/È110AÉ0/1UeU1/2/Éu0A20DA2eeiÉo2/Éu0Art%:#$"!'),% % <"KK#,.-J% N)e% .,%-6'% >,.-'*%
33 Arrêt du 29 novembre 1978, " Pigs Marketing Board contre Raymond Redmond », affaire 83/78, Rec. 1978, p. 2347,
points 25 et 26 Ç É";ëz Ww /;"...w "w W; ...k;...ç(ç(Yë "wz GYë/ç(Yëz )Z...("(/ç(YëëwWWwzn wëç...w Wwz )Z...("(/ç(Yëz ë;ç(Yë;Wwz wç W; TYZ...n
(W zw ç...YZüw z;(z(w wç W; ë/wzz(ç "ÕZëw "/(z(Yë k...)Z"(/(wWWwÉxZw /wkwë";ëçn (W ...wzçw ...zw...ü W; TYZ... "w )Zzç(/wn wë
;kk.../(;ç(Yë "w ü;W("(çÉ È.Voir également les arrêts du 14 juillet 1988, " Smanor », affaire 298/87, Rec. 1988, p. 4489, point 9 ; du 18 octobre 1990,
" Dzodzi contre Etat belge », affaire C-297/88 et C-187/89, Rec. 1990, p. I-3763, points 33 et 34 ; du 10 juillet 1997, " Leur-
Bloem contre Inspecteur der Belastingdientst/Ondernemingen Amsterdam 2 », affaire C-28/95, Rec. 1997, p. I-4161, point
24; du 12 juin 2003, " Schmidberger », affaire C-112/00, Rec. 2003, p. I-5659, point 31 ; du 14 octobre 2004, " Omega »,
affaire C-36/02, Rec. 2004 p. I-9609, point 19 ; du 30 novembre 2006, " Brünsteiner et Autohaus Hilgert, », affaire C-376/05
et C-377/05, Rec. 2006, p. I-11383, point 26 ; du 17 avril 2007, " AGM COS.MET Srl contre Suomen Valtio, Tarmo
Lehtinen», affaire C-470/03, Rec. 2007, p. I-2749, point 44 ; du 5 mai 2011, " MSD Sharp & Dohme GmbH », affaire C-
316/09, Rec. 2011, p. I-3249, point 21 ; du 1 mars 2012, " Ascafor et Asidac contre Administacion des Estado et a. », affaire
484/10 (non encore publié), point 32..
34%IAa1//1A uliÉv2/Éu0A s1U2É/A 0é20duÉ0sA eUÉEé1A D1A s2A o2's1A 1/A EÉDé1A D1A su0A ou0/10'5A iuUsp'1A i2A p'1s/Éu0A su'i1Eé1A 1s/A
d2/éUÉ1ii1d10/AÉD10/Ép'1A A'01Ap'1s/Éu0A2n20/ADéB Ac2É/AigulB1/ADg'01ADéoÉsÉu0A A/É/U1AeUéB'DÉoÉ1iAD20sAi1Ao2DU1AD1Ai2AdOd1A
2cc2ÉU1A02/Éu02i1
13 Ainsi, dans l'affaire " Da Costa »,
35 la Cour a jugé que lorsque la question soulevée est
matériellement identique à une question déjà posée à titre préjudiciel dans une affaire
similaire », le recours n'est pas obligatoire.quotesdbs_dbs14.pdfusesText_20[PDF] lien de parenté entre les êtres vivants seconde
[PDF] lien entre adn et chromosome
[PDF] lien entre diplome et emploi
[PDF] lien entre la productivité et l'emploi
[PDF] liens de parenté entre les êtres vivants
[PDF] liens entre les arts
[PDF] lier plusieurs tableaux de données excel
[PDF] lieu
[PDF] lieu par un adverbe ou une locution adverbiale de lieu : loin
[PDF] Life in 1939 Britain
[PDF] Life in Britain before WW2
[PDF] Life in Britain during WW2
[PDF] Life in Britain during WW2 books
[PDF] Life in Britain during ww2 KS2