[PDF] Exercices Algèbre - Groupes II - Université Paris-Saclay





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TD3 : Groupes abéliens de type fini

Exercice 2 : ?. Montrer qu'un groupe abélien fini non cyclique poss`ede un sous-groupe isomorphe `a Z/pZ × Z/pZ pour un certain nombre premier p. Solution de l 



Groupe abélien de type fini - correction des exercices

Jan 24 2021 Exercice 5. Soit k un corps fini



Groupes sous-groupes

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P. Charollois - 1.2 feuille 1 - groupes abéliens

Exercice 2. corrigé #C# [Hom]. Soit M un groupe abélien. a) Montrer que tout morphisme de groupe f : Z ! M est de la forme f(k) = km0 pour un certain.



EXERCICES SUR LES GROUPES Exercice 1. Groupes diédraux

Est-il isomorphe au groupe diédral D4 ? Quel est le rapport avec le corps non commutatif des quaternions ? Exercice 3. Groupes d'ordre 6. Montrer de façon 





Feuille dexercices no 5

d) Montrer qu'un groupe abélien de type fini et de torsion est fini (ceci n'est plus vrai pour les groupes non-abéliens : voir par exemple [Calais p. 294]). e) 



Groupes Examen final + corrigé

May 11 2016 Les questions de cet exercice sont indépendantes. On attend une rédaction concise et précise. 1. Soit G un groupe abélien



TD no 4 : Groupes abéliens

La fin de la feuille comprend quelques définitions qui sont en italiques dans le texte. 0.1 Groupes abéliens finis. Exercice 1. Échauffements.



TD no 2 : Groupes abéliens Exercice 1. Exercice 2. Exercice 3

Exercice 2. Soit G un groupe abélien fini qui n'est pas monogène. Montrer qu'il existe un nombre premier p tel que. G possède un sous-groupe isomorphe à 



Exercices Algèbre - Groupes II - Université Paris-Saclay

Exercices Algèbre - Groupes II Exercice 1 1 Montrer que les groupes Zš‡ Z Zš?†Z Zš ƒZ et Zš‡††Z Zš—†Z Zš?Z sont isomorphes 2 Montrer qu’un groupe abélien ?ni non cyclique possède un sous-groupe isomorphe à ZšpZ ZšpZ pour un certain nombre premier p 3 Combien y a-t-il de groupes abéliens de cardinal 360?



Exercices corrigés : Les groupes - Progresser-en-maths

Exercice 1 Montrer que les groupes Z/12Z×Z/90Z×Z/25Zet Z/100Z×Z/30Z×Z/9Zsont isomorphes Solution On utilise le lemme chinois pour voir que les deux groupes sont isomorphes au groupe (Z/2Z×Z/4Z)×(Z/3Z×/Z/9Z)×(Z/5Z×Z/25Z) Cette écriture est la décomposition en composantes p-primaire



Groupes anneaux corps

Le but de l’exercice est d’étudier les groupes à ou éléments 1 Ecrire la table de composition d’un groupe à 1 élément 2 Ecrire la table de composition d’un groupe à 2 éléments Vérifier qu’il est isomorphe aux groupes suivants ( ) ({ } ) ({ } ) 3 Ecrire la table de composition d’un groupe à éléments



Groupes sous-groupes ordre - e Math

Exercice 29 Le centre d’un groupe G est l’ensemble Z(G) des éléments de G qui commutents à tous les éléments de G Véri?er que Z(G) est un sous-groupe abélien de G Montrer que si G possède un unique élément d’ordre 2 alors cet élément est dans le centre Z(G) Indication H [002129] Exercice 30



EXERCICESSURLESGROUPES - univ-toulousefr

Exercice8 Centre d’un groupe; groupes d’ordre p2 Si Gest un groupe on peut faire agir Gpar conjugaisonsurluimême (1)MontrerquelecentreZ(G) deGestconstituédesélémentsdontl’orbiteestréduiteàunpoint (2)(i)SiGestunp-groupe(ppremier)montrerquelecentredeGn’estpasréduità{1} (ii)Soit Gun groupe tel que G/Z(G) soit monogène



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conclusion (Q?) n’est pas un groupe Remarque Posons A ?Q{¡1} Nous allons montrer que (A?) est un groupe abélien — Soit ab 2 A On a 1 ¯a 6?0 et 1 ¯b 6?0 En remarquant que a ?b ? (1¯a)(1¯b)¡1 on voit que a ?b 6? ¡1 et donc que la restriction de ? à A£A dé?nie bien une loi interne

Est-ce que le groupe monogène est abélien ?

Il est assez évident que G ne peut pas être engendré par 1 seul élément : un groupe monogène est abélien. Or, G n’est pas abélien. Comme G n’est pas abélien, il existe 2 éléments qui ne commutent pas entre eux : Le sous groupe engendré par a et b n’est pas abélien, en effet il contient ab et ba constitué de a et b et qui ne commutent pas.

Comment définir les classes d’isomorphismes de groupes abéliens d’ordre ?

Par le théorème de structure, oni=?sait que les classes d’isomorphismes de groupes abéliens d’ordrensont caractérisées par la liste des facteurs invariants¹d?; : : : ;dsºpour un certains 2Netdi >?pouri ?getd?  ds =n. Par conséquent, chaquedi sedécompose sous la formedi = i;?p 

Est-ce que leq-Sylow est abélien ?

En eet, si un groupe HCGest résoluble et queGHaussi, alorsGest résoluble par2. 6. On a vu que dans ce cas, dans tous les cas soit lep-Sylow soit leq-Sylow est distingué. Chacun de ces Sylow est abélien et le quotientest de cardinalp?ouqdonc abélien, ce qui permet de conclure.

Comment savoir si un groupe est isomorphe au groupe de Klein ?

µA4. La table de multiplication ci-dessous est un carré latin, ce quiprouve que K est un sous-groupe de A4. Nous reconnaissons la table de multiplication du groupe de Klein,donc le groupe K est isomorphe au groupe de Klein. e2H. Soient¾et ¿deux permutations deH.

Université de Paris SaclayM? MF ????-????Exercices Algèbre - Groupes II

Exercice ?.

?.Montrer que les groupes sont isomorphes.

?.Montrer qu"un groupe abélien ?ni non cyclique possède un sous-groupe isomorphe àZpZZpZpour un certain nombre premierp.

?.Combien y a-t-il de groupes abéliens de cardinal ???? Plus généralement de cardinalnavecn>‚un entier naturel?

?.Quels sont les entiersntels que le groupe¹ZnZºsoit cyclique? Décomposer le groupeG=¹Z‚‰ˆZºsous la forme donnée par le

théorème de structure des groupes abéliens de type ?ni.

Solution.

?.Par le théorème chinois, ces deux groupes sont isomorphes à

Il s"agit de l"écriture en composantesp-primaires tandis que l"écriture en facteurs invariants est

?.On utilise le théorème de structure des groupes abéliens ?nis qui garantit que

GZd‚Z ZdrZ

pour un certainr2Netdi>ƒpouri2 f‚;:::;rgetdijdiý‚pouri2 f‚;:::;r‚g. CommeGn"est pas cyclique, on ar>ƒet

pourpjd‚premier,pjdipour touti2 f‚;:::;rg. On sait alors queZpZest un sous-groupe deZdiZpour touti2 f‚;:::;rg. On

obtient ainsi un sous-groupe deGisomorphe à¹ZpZºrqui contient évidemment une copie deZpZZpZ.

?.On a"‡= ƒ""ƒ†. La composanteƒ-primaire d"un tel groupe (à isomorphisme près) est donc un groupe abélien d"ordre ?, à savoir

Z‰Z,ZƒZZ...Zou¹ZƒZº". De même, la composante"-primaire est isomorphe àZŠZou¹Z"Zºƒet la composante†-primaire est

isomorphe àZ†Z. On obtient ainsi ? classes d"isomorphismes de groupes abéliens de cardinal ???, à savoir

Dans le cas général, sin=r

i=‚piiavecr2N,p‚;:::;prdes nombres premiers distincts eti>‚. Par le théorème de structure, on

sait que les classes d"isomorphismes de groupes abéliens d"ordrensont caractérisées par la liste des facteurs invariants¹d‚;:::;dsº

pour un certains2Netdi>ƒpouri2 f‚;:::;sgetdijdiý‚pouri2 f‚;:::;s‚getd‚ds=n. Par conséquent, chaquedise

décompose sous la formedi=pi;‚

‚pi;rravec les contraintes que pour touti2 f‚;:::;s‚get toutj2 f‚;:::;rg,i;j6iý‚;jet

sÕ i=‚ i;j=j. Il s"ensuit que le nombre de choix possibles est der j=‚p¹jºoùp¹:ºdésigne la fonction nombre de partitions croissantes d"entiers strictement positifs. ?.On posen=Ö p ppla décomposition denen produit de facteurs premiers. On sait alors d"après le cours que

ZnZº¹ZƒƒZºÖ

p,ƒ p>‚Zpp‚¹p‚ºZ 1 Université de Paris SaclayM? MF ????-????Or, on sait que

ZƒƒZº=8

ZƒZsiƒ= ƒ

ZƒZZƒƒƒZsiƒ>":

Un groupe cyclique ne pouvant contenir plus d"un élément, d"ordre ?, on voit que ¹ZnZºest cyclique si, et seulement si,n=pou Pour ?nir, on a‚‰ˆ = ‚‚‚ˆde sorte que Exercice ?.Montrer que tout groupe d"ordre ??? est cyclique.

est congru à ? modulo ?), celuin†des†-Sylow vaut ? ou ?? et on a un unique‚ˆ-Sylow, que l"on noteraS‚ˆ. On ne peut pas avoirn"= ‰†et

n

cas se traitant de façon complètement analogue) etS"l"unique"-Sylow. Notons alorsS†un†-Sylow quelconque. On a alors

b)S"S‚ˆ\S†=feg; c)S"S†S‚ˆ=G.

On a doncG=S"S‚ˆoS†associé à un morphisme'S†!Aut¹S"S‚ˆº. On a alors?Aut¹S"S‚ˆºAut¹Z"ZZ‚ˆZºZƒZZ‚‡Zdonc

le morphisme'est nécessairement trivial et le produit direct. Par le lemme chinois, on obtient donc que

Exercice ? - Isomorphismes exceptionnels.Soitnun entier etK=Fp=ZpZle corps ?ni àpéléments avecpun nombre premier. SoitE

leK-evKn. On noteP¹Eºl"ensemble des droite vectorielles deKn(espace projectif de dimensionn‚).

?.Montrer qu"il existe un morphisme injectifde PGLn¹Kºdans le groupe symétriqueS¹P¹Eºº.

?.Montrer que, sin= ƒ,P¹Eºest de cardinalpý ‚; on identi?eà un morphisme PGLƒ¹Kº !Spý‚.

?.On prendp= ƒ. Montrer queinduit des isomorphismes de PGLƒ¹Fƒºet PSLƒ¹FƒºsurS".

?.On prendp= ". Montrer queinduit un isomorphisme de PGLƒ¹F"ºsurS...et de PSLƒ¹F"ºsurA.... Les groupes PGLƒ¹F"ºet SLƒ¹F"º

sont-ils isomorphes?

d"indicendeSnest isomorphe àSn‚pourn>†, conséquence non triviale de la simplicité des groupes alternés).

?.Montrer que SL"¹Fƒºest simple. ?.SoitGsimple d"ordre ???. Montrer queGest isomorphe à PSLƒ¹Fˆº. ?.Montrer que l"on a un isomorphisme entre SL"¹Fƒºet PSLƒ¹Fˆº.

Solution.

On rappelle qu"on sait que le cardinal de GL

n¹Kºest? ?GL

Comme par dé?nition SL

n¹Kºest le noyau du morphisme de groupes surjectif det : GLn¹Kº !K, son cardinal est celui de GLn¹Kºdivisé

parp‚, soit ?SL

D"autre part, on rappelle que PGL

n¹Kº=GLn¹KºZ¹GLn¹Kººest ainsi le quotient de GLn¹Kºpar un groupe isomorphe àK(car le centre de

GL

n¹Kºest constitué des matrices scalaires non nulles), donc ?PGLn¹Kº=?SLn¹Kº.?. En e?et, il est clair qu"en considérant l"ordre d"un élémentgde l"intersection d"un ?-Sylow et d"un ?-Sylow, que cet ordre doit divisier ? et ? et est donc égal à ? si bien qu"un

?-Sylow et un ?-Sylow sont disjoints mais aussi que puisque les ?-Sylow (et les ?-Sylow) sont cycliques, que l"intersection de deux ?-Sylow (et de deux ?-Sylow) distincts est trivial.

?. En e?et, pour deux groupesG‚etGƒ, l"application Aut¹G‚Gƒº !Aut¹G‚º Aut¹Gƒºdé?ni par'7! ¹»g‚7!'¹g‚;‚º¼;»gƒ7!'¹‚;gƒº¼ºest un isomorphisme de

réciproque Aut¹G‚º Aut¹Gƒº !Aut¹G‚Gƒºdé?ni par¹'‚;'ƒº 7! »¹g‚;gƒº 7! ¹'‚¹g‚º;'ƒ¹gƒºº¼.

?. En e?et, on apn‚choix de première colonne non nulle, puispnpchoix de seconde colonne non colinéaire à la première, etc...

2 Université de Paris SaclayM? MF ????-????En?n, le cardinal de PSL

n¹Kºdont on rappelle qu"il est dé?ni par PSLn¹Kº=SLn¹KºZ¹SLn¹Kººet que?Z¹SLn¹Kºº=Z¹GLn¹Kºº\SLn¹Kº=

fIn:n= ‚g. Or, il y a pgcd¹n;p‚ºracinesn-ièmes de l"unité dans un corpsKde cardinalp: en e?et, on sait queKest un groupe

résultat puisque les solutions sont les éléments deZ¹p‚ºZmultiple dep‚pgcd¹n;p‚º. Finalement,

?PSL

?.On fait opérer PGLn¹Kºsur l"ensembleP¹Eºdes droites vectorielles deEparÝg:D=g¹Dº, oùg2GLn¹KºetÝgest son image dans

PGL

n¹Kº. Ceci est bien dé?ni car siÝg‚=Ýgƒ, alorsg‚etgƒsont proportionnels doncg‚¹Dº=gƒ¹Dº. L"opération est ?dèle car les

seulsg2GLn¹Kºqui stabilisent toutes les droites sont les homothéties. On obtient donc un morphisme injectifde PGLn¹Kºdans

S¹P¹Eºº.

ainsiqý‚droites. On pouvait aussi raisonner en dénombrant le nombre de vecteurs non nuls deE, à savoirpƒ‚puis en remarquant

qu"une droite (isomorphe àFpcontientp‚tels vecteurs non nuls) si bien qu"on retrouve bienpƒ‚p‚=pý ‚droites?.

De manière plus explicite et en identi?antP¹EºavecP‚¹Eº=K[ f1g, on obtient le morphisme suivant qui à la classe d"une matrice

M= avec;; ;2Fˆtels que = ‚associe la bijectionfM:P‚¹Eº !P‚¹Eºdonnée par [a2Fˆ;fM¹Daº=Daýa

ýetfM¹D1º=D

ý=1et

car cela ne dépend pas du représentantMchoisi et queMa =aý a etM‚ . Autrement dit, le sous-groupe deSqý‚ isomorphe à PSL ƒ¹Kºcorrespond aux bijections deP‚¹Eºde la formea7!aýa

ý(appelées homographies) avec

2PSLƒ¹Kº

avec;; ;2Fˆtels que

= ‚(qui encore une fois ne dépend pas du représentant choisi). On voit ici poindre l"équivalence

entre homographies et matrices de PSL

ƒ¹Kºqui nous sera utile en question?.

?.Les groupes PGLƒ¹Fƒºet PSLƒ¹Fƒºsont égaux et de cardinal‡par?., qui est aussi le cardinal deS". Ainsi, le morphisme injectifest

aussi surjectif, d"où le résultat.

?.Le cardinal de PGLƒ¹F"ºest ici¹"ƒ‚º:" = ƒ.... CommeS...est aussi de cardinalƒ...,est bien un isomorphisme. De plus PSLƒ¹F"ºest

un sous-groupe

?d"indiceƒde PGLƒ¹F"º, car pgcd¹ƒ;"‚º= ƒ. Comme le seul sous-groupe d"indiceƒde?S...estA..., on en déduit que

induit un isomorphisme de PSLƒ¹F"ºsurA.... Bien qu"ils aient même cardinal, les groupes PGL

ƒ¹F"ºet SLƒ¹F"ºne sont pas isomorphes, par exemple parce que SLƒ¹F"ºa un centre

non trivial (de cardinalƒ, égal àfIƒg) alors que le centre de PGLƒ¹F"º 'S...est réduit au neutre. Noter du reste que la même preuve

que pour calculer le centre de GL

n¹Kºet SLn¹Kº(voir note de bas de page numéro ?) montre que les centres de PGLn¹Kºet PSLn¹Kº

sont triviaux pour toutn>ƒ(sur un corps quelconque). dans PGL soitMla matrice deudans cette base, alorsMcommute avec la matrice de JordanJn=© ¬, ce qui implique qu"elle laisse stable le noyau deJn,

lequel estK:x. Ainsixest bien vecteur propre pourucomme on voulait. Je vous renvoie au chapitre IV du Perrin pour plus de détails sur les groupes linéaires.

?. Noter que ce raisonnement fournit que dans le cas général, on a pn‚p‚=pn‚ý ý ‚droites dansFnP.

?. Le fait qu"on obtienne un sous-groupe se voit grâce la composition de l"inclusion naturellei: SLn¹Fpº !GLn¹Fpºavec la surjection canonique: GLn¹Fpº !PGLn¹Fpº.

Il est facile de montrer queipasse au quotient moduloZ¹SLn¹Fpººpour fournir un morphisme injectif PSLn¹Fpº !PGLn¹Fpºet ainsi on peut réaliser PSLn¹Fpºcomme un

sous-groupe de PGL n¹Fpº.

?. Cela découle soit du fait que l"on connaît tous les sous-groupes deSnpourn6...et les sous-groupes distingués deSnpourn>†ou plus simplement du fait qu"un

sous-groupe d"indice ? donne lieu au quotient à un morphisme surjectif (donc non trivial) deSn! f‚g. Or, le seul morphisme non trivial deSndans le groupe multiplicatif

f‚gest la signature. Cela se voit en montrant qu"une transposition est nécessairement envoyée sur‚et en utilisant le fait que les transpositions engendrentSn. Il existe au

moins une transposition envoyée sur‚sinon pusiqu"elles engendrentSn, le morphisme est trivial mais alors puisque toutes les transpositions sont conjuguées et quef‚g

est abélien, toutes les transpositions ont la même image, à savoir‚, ce qui permet de conclure.

3 Université de Paris SaclayM? MF ????-????On peut montrer que l"image de PGL

stabilisateur d"un élément def‚;:::;‡g. Ce phénomène (existence d"un sous-groupe d"indicemnon conjugué des stabilisateurs d"un

point) ne se produit dansSmque pourm= ‡, et explique la présence dansS‡d"un automorphisme qui n"est pas intérieur. Voir

l"exercice ?? pour plus de détails. ?.Concernant le cardinal, on applique la formule ?PSL

"¹Fƒº=¹ƒ"‚º¹ƒ"ƒºƒƒpgcd¹";‚º= ˆ‡... = ‚‡‰:

On peut ainsi remarquer qu"on a SL

"¹Fƒº=GL"¹Fƒº.

Un élément de SL

"¹Fƒºadmet pour polynôme minimal un polynôme deFƒ»X¼de degré inférieur ou égal à ?, donc parmi la liste suivante :

Xý ‚;Xƒý ‚;XƒýXý ‚;X"ý ‚;X"ýXý ‚;X"ýXƒý ‚;X"ýXƒýXý ‚et sa classe de conjugaison est déterminé par sa

suite d"invariants de similitudes qui est ici déterminée par le polynôme minimal. Ainsi, un polynôme minimal donné correspond à une

classe de conjugaison. L aseul ematric ede pol ynômeminima lXý ‚estI"qui forme une classe de conjugaison;

Soit A2SL"¹Fƒºde polynôme minimalXƒý ‚ =¹Xý ‚ºƒ. On a alors que Im¹AýI"º Ker¹AýI"ºde dimension respective?

? et ? et une telle matrice est caractérisée par la donnée de la droite ?Im¹AýI"ºet du plan Ker¹AýI"º. On a alorsˆchoix de

droitesDpuis ? choix de plansPqui la contienne??, soit ?? éléments d"ordre ? qui forment une classe de conjugaison.

Soit A2SL"¹Fƒºde polynôme minimalXƒýXý‚. Alors nécessairement, le polynôme caractéristique estX"ý‚ =¹Xý‚º¹Xƒý

Xý ‚ºet ? est valeur propre deAmais ? n"est pas racine deXƒýXý ‚. On a donc une contradiction etXƒýXý ‚ne peut

pas apparaître comme polynôme minimal

Soit A2SL"¹Fƒºde polynôme minimalX"ý ‚ =¹Xý ‚º¹XƒýXý ‚º. Cela se produit lorsque la droite Ker¹AýI"ºet le plan

Ker¹AƒýAýI"ºsont supplémentaires dansF"ƒ. Une telle matrice est donc entièrement caractérisée par la donnée d"une droite

et d"un plan supplémentaire ainsi que d"une matrice de SL ƒ¹Fƒºde polynôme caractéristiqueXƒýXý‚. On a ? choix de droites

puis ? choix de plan (en e?et, on a ? choix d"un vecteur non nul non colinéaire au vecteur de la droite choisie et alors on peut

choisir tout vecteur di?érent de la somme du vecteur directeur de la droite choisie et du vecteur choisi. Ce faisant, on obtient ??

plans mais chacun étant compté trois fois) puis on voit qu"une matrice SL ƒ¹Fƒºde polynôme caractéristiqueXƒýXý ‚est de la formea‚

‚ ‚a

aveca2Fƒet on a ainsi ? possibilités, soit ?nalement ?? telles matrices, toutes d"ordre ?.

Soit A2SL"¹Fƒº. Le polynôme minimal deAest irréductible de degré ? si, et seulement si??, pour toutx2F"ƒnon nul, la famille

¹x;Ax;Aƒxºest une base deF"ƒ. Pourxnon nul, on a donc ? choix pourAxet ? choix pourAƒx(A"xétant ?xé par le polynôme

minimal), ce qui fournit ?? matrices dans chacun des cas, d"ordre ? carXˆý‚ =¹‚ýXº¹X"ýXý‚º¹X"ýXƒý‚º. Noter que

siAa pour polynôme minimalX"ýXý ‚alorsA‚a pour polynôme minimalX"ýXƒý ‚et inversement.

Soit ?na lementA2SL"¹Fƒºde polynôme minimalX"ýXƒýXý ‚ =¹Xý ‚º". Cela arrive si, et seulement si, Ker¹AýI"ºest

une droite contenue dans le plan Ker¹AýI"ºƒet tout vecteur hors de ce plan a une image dans le plan mais pas dans la droite.

Ainsi, une telle matrice est déterminée par le choix d"une droite contenue dans un plan et de l"image parAýI"d"un vecteur hors

de ce plan dans le plan mais pas dans la droite. On a ainsiˆ"ƒ = ...ƒtelles matrices d"ordre ? carX...ý ‚ =¹Xý ‚º....

On a donc bien obtenu ??? éléments répartis en ? classes de conjugaison ??. Soit à présentH,fI"gCSL"¹Fƒº. Supposons queHne

contienne ni élément d"ordre ? ni élément d"ordre ?. Alors le cardinal deHdivise‚‡‰ƒ‚ = ‰doncHcontient un élément d"ordre ?

donc les ?? éléments conjugués d"ordre ? etHcontient au moins ?? éléments, absurde. On sait donc queHcontient un élément d"ordre

?. En e?et, par exemple, en se ?xantP=Ker¹AýI"º, la matriceAest de la forme

A=©

‚b avecaoubnon nul et alors il est clair queaetbsont ?xés parD=Im¹AýI"ºcar

AýI"=©

??. Bien remarquer que tout plan deF"ƒcontient ? des ? droites deF"ƒet est de cardinal.... ??. On aurait aussi pu voir qu"on obtenait ??? éléments avec les autres polynômes minimaux.

??. Polynôme minimal pas irréductible implique par le lemme des noyaux le fait qu"il existe unxqui ne véri?e pas l"hypothèse. Pour la réciproque, on voit que l"espace engendré

par la famille¹x;Ax;Aƒxºest stable parAet si son supplémentaire est non réduit à ?, alors la matriceAdans une base de cet espace et de son supplémentaire est diagonale

par blocs ce qui contredit l"irréductiblité du polynôme caractéristique. ??. On pouvait aussi raisonner en termes d"invariants de similitudes comme sur stackexchange. 4

doncHa un élément d"ordre ? et on conclut de nouveau que ?H= ‚‡‰, ce qui conclut la preuve.

?.Par les théorèmes de Sylow,Gadmet huitˆ-Sylow (carGétant simple, il ne peut pas en posséder un unique). Si l"on noteXl"ensemble

desˆ-Sylow, l"action transitive deGpar conjugaison surXinduit un morphisme de groupes injectif':G!S¹XºS‰. Or, les

d"ordre6‚ƒ.quotesdbs_dbs9.pdfusesText_15
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