Théorie des champs
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Théorie des champs classiques Harold Erbin Notes de cours de Magistère M1 donné par M Nitti Ce texte est publié sous la licence libre
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1 Théorie des champs classiques 1 1 1 Action densité lagrangienne équations du mouvement 2 1 2 Symétries internes et courants de Noether
Théorie des champs classiques
Harold Erbin
Notes de cours de Magistère M1, donné par M. Nitti.Ce texte est publié sous la licence libre
Licence Art Libre:
http://artlibre.org/licence/lal/Version : 12 février 2011
Site :http://harold.e.free.fr/
Table des matières
Table des matières
21 Introduction
41.1 Recherche d"une équation d"onde relativiste : l"équation de Klein-Gordon
42 Relativité restreinte
62.1 Transformations de Lorentz
62.2 Tenseurs
83 Formalisme lagrangien
103.1 Rappels de mécanique du point
103.2 Formulation lagrangienne des champs
103.3 Analyse dimensionnelle
133.4 Dérivée fonctionnelle
133.5 Conditions aux bord
153.6 Description hamiltonienne des champs
164 Champ scalaire réel
174.1 Solution de l"équation de Klein-Gordon
174.1.1 Solution générale
174.1.2 Calcul de l"énergie
194.2 Quantification canonique
205 Champ scalaire en interaction
245.1 Champ scalaire avec source
245.1.1 Fonctions de Green - Cas général
245.1.2 Fonctions de Green avancée et retardée
255.1.3 Autres fonctions de Green
275.1.4 Énergie et couplage
295.1.5 Potentiels retardés
315.2 Auto-interactions
316 Symétries et lois de conservations
366.1 Généralités
366.2 Théorème de Noether et courants conservés
376.2.1 Énoncé et démonstration
376.2.2 Autres démonstrations
396.3 Applications du théorème de Noether
406.3.1 SymétrieU(1). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .40
6.3.2 Tenseur énergie-impulsion
426.3.3 Transformations de Lorentz
437 Invariance de jauge et champs vectoriels
467.1 Transformation de jauge locale
467.2 Équations pour le champ vectoriel
477.3 Degrés de liberté du champ vectoriel
497.3.1 Transformations de jauge
497.3.2 Formalisme hamiltonien
522
7.4 Champ vectoriel massif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54
7.5 Spin du champ vectoriel
557.6 Fonction de Green pour le champ vectoriel
568 Brisures de symétries
588.1 Brisure explicite de symétrie
588.2 Brisure globale de symétrie, théorème de Goldstone
588.3 Brisure locale de symétrie, mécanisme de Higgs
619 Théories de jauge non abéliennes
649.1 SymétrieU(2). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .64
9.2 SymétrieSU(2). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .65
9.3 SymétrieSU(2)locale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
9.4 Généralisations
7110 Brisures de symétries non abéliennes
7311 Champs de spin 2
7511.1 Procédure de Noether
7511.2 Translation locale et champ tensoriel
76A Théorie des champs conformes
80Index 84
Table des figures
863
1 Introduction
1.1 Recherche d"une équation d"onde relativiste : l"équa-
tion de Klein-Gordon La relation de dispersion d"une particule non relativiste estE=p22m(1.1)
i~∂tψ(t,x) =-~22m?2ψ(t,x)(1.2a) i~∂tψ?(t,x) =~22m?2ψ?(t,x)(1.2b) en utilisant les relations de correspondancesE→i~∂tp→ -i~?(1.3)
La densité de probabilité d"une particule en un point de l"espace est donnée parρ(t,x) =|ψ(t,x)|2(1.4)
Cherchons l"équation de conservation associée à cette quantité : =ψ?~2im?2ψ?? -~2im?2ψ?? ~2im(ψ?2ψ?-ψ??2ψ) ~2im?(ψ?ψ?-ψ??ψ) ce qui donne tρ+?J= 0(1.5) en définissantJ=~2im(ψ??ψ-ψ?ψ?)(1.6)
Cette équation signifie que la "charge" associée à la densitéρ, définie par Q=? R3ρ(t,x) d3x(1.7)
est conservée (ici il s"agit de la probabilité de présence dans l"espace entier, qui vaut1). En effet, on a : dQdt=ddt? R3ρ(t,x) d3x=?
R3∂tρ(t,x) d3x
R3-?J(t,x) d3x=-?
∂R3J·ndS= 0 4 Essayons de procéder de même dans le cas relativiste avec la relation de dispersion E2-c2p2=m2c4(1.8)
On obtient l"équation de Klein-Gordon
(-~2∂2t+c2~2?2-c4m2)ψ(t,x) = 0 qui se récrit ?1c2∂2t- ?2+m2c2~
2?ψ= 0(1.9a)
?1c2∂2t- ?2+m2c2~
2? ?= 0(1.9b) Toutefois cette expression conduit à deux problèmes qui conduisent à la rejeter.La relation de dispersion (
1.8 ) donneE=±?c
2p2+m2c4(1.10)
or la solution négative ne peut être physique car elle correspond à une diminution de l"énergie du système qui peut être arbitrairement grande (puisquepn"est pas borné) : il serait impossible d"atteindre le niveau fondamental.En multipliant les équations (
1.9 ) respectivement parψ?etψpuis en les soustrayant, on obtient 1c2(ψ?∂2tψ-ψ∂2tψ?) =ψ??2ψ-ψ?2ψ?
1c2∂t(ψ?∂tψ-ψ∂tψ?) =?(ψ??ψ-ψ?ψ?)
d"où tρ+?J= 0(1.11) avec 1ρ=ic
J=i(ψ??ψ-ψ?ψ?)(1.12b)
Pour une valeur négative de l"énergie,ρ <0et il est donc impossible d"in- terpréter cette grandeur comme une densité de probabilité. Le champψne peut donc pas être interpréter comme une fonction d"onde, mais il peut être assimiler à un champ classique, qui est une observable. Il ne peut correspondre à une particule chargée ou de spin non nul car l"équation de Klein-Gordon ne fait intervenir aucune de ces deux grandeurs.1. le facteuriest conventionnel 52 Relativité restreinte
2.1 Transformations de Lorentz
Postulat: Les lois de la physique sont identiques dans tous les référentiels. Ce postulat a pour conséquence que la vitesse de la lumièrecest une vitesse universelle. On poserac= 1dans la suite. On considère un espace à quatre dimensionxμ= (t,x,y,z) = (t,x)notées aussi(x0,x1,x2,x3). Un prime dénotera les coordonnées et autres grandeurs dans un autre référentiel. Les transformations de Galilée sont définies par x?=x+vt t ?=t?(2.1) Elles ne sont valables que pour des vitesses|v| ?c. Considérons deux pointsAetB. On émet un signal lumineux du pointA au tempstqui arrive enBau tempst?. On doit alors avoir |c(t-t?)|=|x-x?| ou encore (Δs)2=c2(Δt)2-(Δx)2= 0(2.2) Cette quantité invariante est appelée intervalle d"espace-temps.Plus généralement, on notera cette grandeur
ds2=c2dt2-dx2=ηdx(2.3) en définissant le tenseur métriqueηpar ((1 0 0 00-1 0 0
0 0-1 0
0 0 0-1)
))(2.4) En adoptant la convention de sommation sur les indices répétés, on note encore ds2=ημνdxμdxν(2.5) Cherchons maintenant la loi de transformation des coordonnées x→x?μ=fμ(xν) = Λμνxν+aμ(2.6) On a ds2=ημνdxμdxν =ηρσdx?ρdx?σ d"où 6 On a t)ρμ(ηΛ)ρν= (ΛtηΛ)μν ce qui donne la relation fondamentaleη= ΛtηΛ(2.8)
qui définit les transformations dites de Lorentz.Exemple 2.1.
Les rotationsR?SO(3)définies parRtR= 1permettent de définir la transformation ((1 0 0 0 0 0R 0) avec t=( ((1 0 0 0 0 0Rt 0) Cette transformation vérifie bien la propriété ( 2.8 tηΛ =( ((1 0 0 0 0 0Rt 0) ((1 0 0 00-1 0 0
0 0-1 0
0 0 0-1)
((1 0 0 0 0 0R 0) ((1 0 0 0 0 0-RtR 0) ((1 0 0 00-1 0 0
0 0-1 0
0 0 0-1)
Une rotation d"angleθautour de l"axezest définie par R=( (cosθ-sinθ0 sinθcosθ00 0 1)
Exemple 2.2.
Transformation selonz:
t?x?y?z??=( ((a0 0b0 1 0 0
0 0 1 0
c0 0d) ))?t x y z?La relation (
2.8 ) donne la condition ch2β-sh2β= 1(2.9)
7 où l"on a posé a=d= chβ b=c= shβ(2.10)On a les relations
thβ=v chβ=1⎷1-v2 shβ=v⎷1-v2 Les transformations de Lorentz forment un groupe à six paramètres conti- nus : -v, associés aux translations; -θ, associés aux rotations.2.2 Tenseurs
Il existe deux types d"indices :
con travariant: Vμ= (V0,V); co variant: Vμ= (V0,-V), qui se tansforment respectivement commeV→ΛV(2.11a)
V→(Λt)-1(2.11b)
Soientaetbdeux 4-vecteurs. On définit leur produit scalaire paramètres a·b=aμbμ(2.12)Le produit scalaire est invariant. En effet :
a ?μb?μ= (Λt)-1ρμΛμσaρbσ -1)ρμΛμσaρbσ =δρσaρbσ =aμbμ L"inverse(ΛtηΛ)-1=η-1de la relation (2.8) donne -1η-1(Λt)-1=η-1(2.13)On a aussi
η=η-1(2.14)
Soita→Λa, alors on aηa→Λtηad"oùηΛa= (Λt)-1ηΛ-1Λa
t)-1ηa et ainsiημνaν=aμet doncaν= (η-1)μνaν.On a la relaation
μν=δμν(2.15)
8Exemple 2.3.
Voici quelques vecteurs contra- et covariants :
-Pμ= (E,p). -∂μ= (∂t,?). Le d"alembertien est défini par =∂μ∂μ=∂2t- ?2(2.16) Un tenseurkfois contravariant etpfois contravariant du groupe de Lorentz est un objet qui se transforme commeT→?Λ···Λ?
kfois? (Λt)-1···(Λt)-1? pfoisT(2.17) On dira qu"il est d"ordre(k,p)et il sera notéTμ1···μkν1···νp.On a la relation
Exemple 2.4.
scalaire : ordre 0. v ecteur: ordre 1. Un tenseur d"ordre 2T?μν= ΛαμΛβνTαβest dit : symétrique si Tμν=Tνμ; an tisymétriquesi Tμν=-Tνμ.Sa trace est donnée par
trT=Tμμ(2.18) Un tenseur d"ordre 3 est dit complètement symétrique si T Un tenseur sera complètement antisymétrique s"il prend un signe moins à chaque permutation impaire.Un champ tensorielΦν1···νnμ1···μm(x)se transforme linéairement sous une ou plusieurs
matricesΛsous la transformationx?= Λx: ?ν1···νn1···μm(x?) = Λρ1μ1···ΛρmμmΛν1σ1···ΛνnσnΦσ1···σnρ1···ρm(x)(2.19)
Un champ scalaireφ(x)se transforme comme
?(x?) =φ(x)(2.20)Un champ vectorielAμ(x)se transforme comme
A ?μ(x?) = ΛνμAν(x)(2.21) 93 Formalisme lagrangien
3.1 Rappels de mécanique du point
Un système de coordonnées généraliséesqest décrit par l"actionS[q] =?
dt L(q,q)(3.1) oùLest le lagrangien, généralement donné par L=m2 q2-V(q)(3.2) Cherchons la variation de l"action sous une transformation infinitésimale des coordonnées q→q+δq q→q+δq= q+∂t(δq)(3.3) en supposant que la variation s"annule aux bords du domaine.On obtient alors :
S[q+δq] =?
dt L?q+δq,q+∂t(δq)? ≈S[q] +? dt?∂L∂qδq+∂L∂q∂t(δq)?
=S[q] +? dtδq?∂L∂q -ddt∂L∂q? en intégrant par partie puisque le terme intégré est nul. La variation de l"action vaut doncδS=S[q+δq]-S[q] =?
dtδq?∂L∂q -ddt∂L∂q? (3.4) et on doit avoirδS= 0pour toutδq, ce qui nous donne les équations d"Euler-Lagrange : ∂L∂q -ddt∂L∂q= 0(3.5) On définit le moment conjuguépd"une coordonnéeqpar p=∂L∂q(3.6) Le hamiltonien du système est alors donné parH(q,p) =pq-L(q,q)(3.7)
en considérantqcomme une fonction deqetp.3.2 Formulation lagrangienne des champs
Soit un champφ=φ(x). Il est décrit par l"actionS[φ] =?
dtL(φ,∂μφ)(3.8)quotesdbs_dbs8.pdfusesText_14[PDF] pendule électrostatique exercice corrigé
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