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Édition scientifiqueOctobre 2017
Impacts du traitement
des eaux destinéesà la consommation humaine
par des orthophosphates pour limiter la dissolution du plombAvis de l'Anses
Rapport d'expertise collective
Édition scientifiqueOctobre 2017
Impacts du traitement
des eaux destinéesà la consommation humaine
par des orthophosphates pour limiter la dissolution du plombAvis de l'Anses
Rapport d'expertise collective
14 rue Pierre et Marie Curie, 94701 Maisons-Alfort Cedex
Téléphone : + 33 (0)1 49 77 13 50 - Télécopie : + 33 (0)1 49 77 26 26 - www.anses.frSaisine n° 2015-SA-0094
Saisines liées n° 2001-SA-0218, 2003-SA-0042, 2003-SA-0096, 2003-SA-0314, 2003-SA-0378
Le directeur général 1
Maisons-Alfort, le 3 octobre 2017 2
3 4 AVIS5 8 relatif au traitement des eaux destinées à la consommation humaine par des 9 orthophosphates pour limiter la dissolution du plomb 10 11 12 13évaluer 15
la protection de la santé et du bien-être des animaux et de la santé des 16 17 18 19 risque (article L.1313-1 du code de la santé publique). 20 publiés sur son site internet. 21 2222 avril 2015 par la Direction générale de la santé (DGS) pour la réalisation 23
: u traitement des eaux destinées à la 24 consommation humaine par des orthophosphates. 251. CONTEXTE ET OBJET DE LA SAISINE 26
271.1 Contexte 28
Conformément à la directive européenne 98/83/CE relative à la qualité des eaux destinées à la 29
consommation humaine (EDCH), la limite de qualité (LQ) pour le paramètre plomb (Pb) dans les 30
EDCH a été abaissée de 50 à 25 µg/L en décembre 2003, puis de 25 à 10 µg/L en décembre 31
2013. 32
33solutions ont été envisagées : 34 x Le remplacement des canalisations constituées de Pb assurant le branchement des bâtis 35
aux réseaux publics ou constituant tout ou partie des réseaux intérieurs du domaine 36
privatif. Cependant, aucun recensement précis et récent 37 actions visant à supprimer les branchements publics et canalisations intérieures. 38 x Des traitements (ou mesures correctives) modifiant la qualité des EDCH afin de réduire la 39dissolution du Pb dans le réseau de distribution, à partir des canalisations et accessoires. 40
La circulaire DGS/SD7A/2004/557 du 25 novembre 2004 définit des mesures qui, visent à 41 respecter la LQ de 25 µg/L. 42 de 43 44Page 2 / 19
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sécurité sanitaire des aliments (Afssa) du 10 décembre 2003, que seule la suppression des 45
canalisations en Pb servant de branchements aux réseaux publics et celles des réseaux intérieurs, 46
peut permettre de respecter la LQ pour le paramètre plomb fixée à 10 µg/L à partir de fin 2013. 47
48) peut être envisagée pour les eaux moyennement et 49 50
protectrice sur les parois internes des canalisations. 51 n Île-de-52
Les usines du Syndicat des 53
-de--de-France, 54 ainsi que celle de Boissise-la-55ce traitement à partir du 25 décembre 2013, date à laquelle la LQ pour le paramètre Pb a été 56
re industriel 57 et commercial (EPIC) Eau de Paris après cette date. 58En 2012, la Direction générale de la santé (DGS) a saisi le Haut Conseil de santé publique (HCSP) 59
ecter la 60limite de qualité (LQ) de 10 µg/L. Compte tenu notamment des difficultés relatives au 61
remplacement des branchements et canalisations en Pb dans le domaine privé, le HCSP a 62
considèré, dans son avis daté de mai 2013, " 63 -557 DGS/SD7A » précitée. 64é65
développement durable (CGEDD) a publié un rapport en 2013, dans lequel il préconise, au regard 66
des données recueillies, que " 67 68». 69
7071
1.2 Objet de la saisine 72
73" : 74 x 75 76
x 77 78
x ». 79 : 81 x 82 situations en termes de dépassements de la LQ fixée à 10 µg/L ? 83 x 84
population (géographie, caractéristiques socio-économiques, habitations, habitudes de 85
) ? 86x Quels sont les moyens mobilisés, au niveau national et international, pour limiter la 87
88des acteurs concernés ? 89
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x anchements publics en plomb 90 9192
o ? 93 o - 94 distribuée ? 95 o ? 96 o 97 usées), au regard notamment des dispositions réglementaires actuelles visant à 98 99
x : 100 des populations ? 102 o les paramètres physico- 103 o 104
x Une analyse économique, de type coût-efficacité ou coût-bénéfice, peut-elle être conduite 105
pour discriminer différentes modalités de gestion des expositions au plomb hydrique ? 106 107-110 " Qualité en expertise 109 Prescriptions générales de compétence pour une expertise (Mai 2003) ». 110 Traitement des EDCH par des orthophosphates », 111
Eaux 112
113». 114
Eaux » tant sur les aspects 115
méthodologiques que scientifiques entre le 4 octobre 2016 et le 8 juin 2017. Ils ont été adoptés par 116
le CES le 4 juillet 2017. Le rapport produit par le GT tient compte des observations et éléments 117
118ts aux compétences complémentaires. 119 120
121
u traitement aux orthophosphates en région parisienne au début des 122
années 2000. Une recherche bibliographique en français et en anglais a également été réalisée 123
les moteurs de recherche internet et la base de données Scopus en utilisant les mots clés 124" lead », " drinking water », " orthophosphates » ou " phosphates », " corrosion » pour la période 125
2000- 126
127128
: 129 x de Eau de Paris, 130
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x du SEDIF, 131 x de la société Veolia Eau, 132 x du Syndicat In 133Des informations ont par ailleurs été collectées auprès des membres du réseau européen informel 134
135européenne " » - ENDWARE (groupe) et de 136 -137 le GT. 138 la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR). 140 141
au regard des points traités dans le cadre 142 143
144
solidarités et de la santé (https://dpi.sante.gouv.fr). 145
Les membres du CES " Eaux 146
pas assisté aux présentations des travaux ni participé aux débats en séance. 147 1483. ANALYSE ET CONCLUSIONS DU CES 149
3.1. Contamination des EDCH par le plomb 150
La présence 151
152En France, ce métal a été utilisé couramment jusque dans les années 1960, puis de manière 153
margin154 155privatif des bâtis avec une raréfaction à partir des années 1950. La pose de canalisations en Pb 156
-363 du 5 avril 1571995 1. 158
159caractéristiques du réseau et de la nature des biofilms. Les relargages sont plus importants 161
lorsque le linéaire de canalisation en plomb est élevé et dans les cas de phénomènes de corrosion 162
gal163 potentiel électrochimique est différent. 164 Outre les caractéristiques physico- 165 167facteurs sont connus depuis les années 1990. 168 n de la population à des teneurs en Pb excédant la 169 LQ, de vastes programmes de remplacement des branchements en Pb ont été menés en France 170
1 Décret no 95-363 du 5 avril 1995 modifiant le décret no 89-3 du 3 janvier 1989 modifié relatif aux EDCH, à l'exclusion
des eaux minérales naturelles.Page 5 / 19
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depuis le début des années 2000 par des personnes responsables de la production et de la 171
). Le remplacement des canalisations en Pb dans les parties 172privatives relève de la responsabilité des propriétaires des bâtis. Il subsiste encore des 173
174recensement pr 175 176
isations intérieures 177 178
En France, le Nord, le Centre-Est et le Massif Central sont les zones géographiques où la 179
180de mesures du pH élevé ou très élevé, étaient considérés comme les plus importantes en 2006 181
(DGS, 2006). 182 -Habitat (Lucas 183logements en France étaient alimentés par une EDCH présentant une concentration en Pb 184
supérieure à la LQ fixée à 10 µg/L. 185 186Pb au niveau des ressources en eau superficielles et souterraines (RS et RP) et aux points 187
189prélèvement aléatoire », 190 robinets normalement utilisés pour la consommation humaine, au cours de la journée, en une 192
seule fois et sans réalisation de purges préalables des installations de distribution et de 193
194À la demande du GT, une extraction de la base de données SISE-Eaux3 a été réalisée par le Pôle 195
196pour le paramètre Pb au sein des UDI en France métropolitaine et dans les 197 outre-mer, au cours de la période 2000-2015. 198 199
au regard du d200
2015. 201
202: 203
x 59 % des échantillons présentaient une concentration en Pb inférieure à la limite de 204
quantification des laboratoires agréés (limite de quantification maximale autorisée de 5 205
µg/L) ; 206
x le taux de non-conformités au niveau national était de 3,9 %. 207 x 14 départements ne présentaient aucune non-conformité. 208Les résultats obtenus par département sont présentés sur la figure 1. Le GT note une grande 209
diversité des situations selon les départements. 210 2 cuivre et le nickel dans les EDCH pris en application de l'article R. 1321-20 du CSP.3 Santé-Environnement sur les Eaux. La base de données compile les résultats du contrôle
sanitaire.Page 6 / 19
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Toutefois, ces résultats sont à interpréter avec prudence compte tenu des limites associées aux 211
données. Le GT considère en effet que les données disponibles à partir du contrôle sanitaire ne 212
213EDCH par le Pb en France ni de son évolution entre 2000 et 2015 car : 214 x 215 216
structure et des matériaux du réseau du site de prélèvement (linéaire de canalisation en 217
Pb, nombre de soudures plomb/étain, présence de phénomènes de couplages 218 219alyses 220 221
x Les critères établissant le choix des sites de prélèvement et définis par les Agences 222
e sanitaire ne sont 223pas connus du GT. Toutefois, les prélèvements semblent assez souvent réalisés dans des 224
bâtiments publics (mairies, crèches, écoles), vraisemblablement en raison de leur facilité 225
nt avoir été préférentiellement 226rénovés avec remplacement des canalisations en Pb par rapport à des lieux privés et ne 227
228renseignés dans la base de données. 229 x des évolutions temporelles : 230
o Les prélèvements ne sont pas systématiquement réalisés aux mêmes points 231
232o Des évolutions ont eu lieu concernant aussi bien le remplacement et la réhabilitation 233 des branchements en plomb que la qualité chimique des EDCH produites suite à 234 des modifications de traitements au sein des filières de potabilisation. Ces 235 236
Pb dans la base de données. 237
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département en France en 2015 département est indiqué en haut de chaque histogramme).Source : Base SISE-Eaux - Ministère chargé de la santé - ARS. Traitement des données Anses
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3.2. Effets sanitaires et exposition au plomb
et par conséquence à la plombémie (concentration en Pb dans le sang). Les signes cliniques sont
parfois peu spécifiques et inconstants. Le saturnisme est plus fréquent et grave chez le jeune enfant.Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) a classé en 2006 les composés
(groupe 2A).Les principaux organes ou systèmes cibles du Pb, sont le système cardiovasculaire avec un effet
sur la pression artérielle, le système rénal, le système nerveux central (principalement chez
ne de sécuritéeffets néfastes du Pb identifiés à ce jour. Une plombémie critique de 15 µg Pb/L a alors été
cette valeur étant " de la maladie rénale chronique ». Celle-ci avait été considérée " -à-vis deseffets sur le système nerveux central chez les enfants », qui constituent la population la plus
sensible. Néanmoins, contaminant toxique à effet sans seuil (US EPA, 2013 ; HCSP, 2014). lesDes relations
enfants.En France, le saturnisme infantile fait partie des maladies à déclaration obligatoire auprès des
autorités sanitaires. Suite aux recommandations du HCSP (2014), la valeur de la plombémie
associée au saturnisme a été abaissée de 100 µg Pb/L à 50 µg Pb/L en 2015 (arrêté du 8 juin
20154nées transmises par Santé Publique France en 2017 à la demande du GT,
le nombre de cas déclarés a globalement diminué ces dernières années : 1395 cas déclarés en
2000 contre 299 en 2014 (les cas étant associés à la plombémie de 100 µg/L).
Lorsque la concen %
des enfants qui y sont exposés risquent de présenter une plombémie dépassant le " seuil
Au Canada, une conce
prélevée au robinet a récemment été proposée (Santé Canada, 20175).4 Arrêté du 8 juin 2015 modifiant le modèle de la fiche de notification figurant à l'annexe 27 de l'arrêté du 22 août 2011
relatif à la notification obligatoire des maladies infectieuses et autres maladies mentionnées à l'article D. 3113-7 du code
de la santé publique. 5Page 9 / 19
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3.3. 0LVHHQ°XYUHGXWUDLWHPHQWGHV('&+SDUGHVRUWKRSKRVSKDWHV
Dans la nature, le phosphore (P) est généralement présent sous forme de phosphates. Les orthophosphates (H2PO4-, HPO42-, PO43-), qui sont des sels dérivés de(H3PO4), sont utilisés dans diverses applications (engrais, produits lessiviels, additifs alimentaires)
et notamment comme inhibiteurs de corrosion. des complexes stables(pyromorphite, Pb5(PO4)3) avec les métaux relargués par les conduites métalliques qui diminuent
ution,couche protectrice à la surface de la paroi interne de la conduite, qui inhibe ou ralentit la vitesse de
corrosion. La modélisation, en utilisant le programme Visual MInteq (Gustafsson, 2012), montre que pour une (pCO2=380 Pb5(PO4)3(OH)) permet en théorie, à on sous les 10 µg/L dès pH 7. En France, comme le précise la circulaire DGS/SD7A/2004/557 du 25 novembre 2004 relative aux suivantes sont réunies : x quotesdbs_dbs22.pdfusesText_28[PDF] L 'analyse coût-efficacité - (CHU) de Nantes
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