[PDF] III. LE PROCESSUS DE VENTE : Enseignant : Mr Kadi Ali. III.





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8 juin 1977 Kheira bent Mohamed épouse Kadi Ali Bouchentouf



Direction de la Recherche et de la Valorisation

Ali KADI. Mélanie ROYAL (gestion EUR). Gaëtan HASSANI. Abdelkader BOUATTOU. Gestion financière des contrats de recherche : Thibaud NAEGELE. Lisa MANGEONJEAN.



III. LE PROCESSUS DE VENTE :

Enseignant : Mr Kadi Ali. III. LE PROCESSUS DE VENTE : Vendre est un art reconnu depuis longtemps qui a donné lieu de nombreuses analyses.



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MANUEL DE MARKETING FONDAMENTAL

KADI Ali est maître assistant à HEC Alger. Recruté en 2009 il a enseigné les modules de la discipline marketing tels que : la gestion des ventes et 



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Enseignant : Mr Kadi Ali

III. LE PROCESSUS DE VENTE :

Vendre est un art reconnu depuis longtemps, qui a donné lieu denombreuses analyses. Un vendeur efficace n'est pas seulement dou

é ; il a

acquis une m

éthode dans la gestion de l'interaction avec le client. L'art devendre s'est aujourd'hui enrichi d'un grand nombre de principes et

techniques. De ce fait, la majorit é des ouvrages, sur marché, tentent de fairepasser le vendeur d'un r ôle passif (preneur de commande) à un rôle actifd'analyse des besoins de la client èle et de la meilleure façon de les satisfaire. Cette approche suppose que le client

éprouve des besoins quirepr

ésentent des opportunités pour le vendeur, qu'il apprécie les conseils etsuggestions et qu'il restera fid

èle à un représentant qui à su résoudre sonprobl ème. Par exemple, la méthode de vente SPIN (Situation, Problèmes,Implication, Necessit évaleur) proposé par Neil Rackham, cherche à inciterles vendeurs à écouter leurs prospects et à poser les bonnes questionsautour des th èmes suivant (exemple du vendeur d logiciel de gestion) :

1.Situation de l'acheteur : exp " Quel syst

ème de facturation utilisezvous ? »

2.Probl

èmes rencontrés, difficultés et insatisfaction visàvis desproduits ou solutions utilis

ées à l'heure actuelle : exp : " Certaines

parties du syst ème sontelles à l'origine d'erreurs fréquentes »

3.Implication : il s'agit d'appr

éhender les conséquences des problèmesrencontr és par l'acheteur. Exp : " En quoi ce problème affectetil votremani

ère de travailler »

4.Necessit

éValeur : on cherche à mesurer l'utilité de la solutionpropos ée. Exp : " Quelles économies, l'entreprise réaliseraitelle si ceserreurs

étaient réduites de 80% »

Pour r

ésumer, il convient de dire que Rackham suggère que la vente, desproduits ou services complexes, exige un processus en quatre

étapes :

1.Questions pr

éliminaires ;

2.Investigation des probl

èmes et besoins du prospect ;

3.Montrer la sup

ériorité de la solution proposée ;

4.Obtenir un engagement sur le long terme

 Remarque !!! En cas ou le prospect n'exprime aucun besoin, c'est

àdire qu'il n'a aucun probl

ème à résoudre, cette approche (SPIN) estcompl ètement inutile.De ce fait, Sharon Drew Morgen va encore plus loin en soulignant que le premier r ôle du vendeur est de faire prendre conscience à son prospect qu'ila un probl ème, qu'il manque de moyen pour le résoudre et que la solutionpropos ée par le vendeur sera pour lui créatrice d valeur. Le vendeur devientainsi un v

éritable consultant en matière de besoins du client et non passeulement de la solution qu'il propose.

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En générale, l'acte de vente est découpé en plusieurs étapes. On peutdistinguer : la prospection, la pr

éapproche, l'approche, la démonstration, lesr

éponses aux objections, la conclusion et le suivi.A.Prospection : c'est la recherche du prospect. Bien que l'entreprise puisse

fournir des pistes mais l'initiative du vendeur est indispensable. Elle peut prendre diverses formes :  D épouiller diverses sources : presse professionnelle, Internet, annuaire, salons....  Inciter les clients satisfaits

à fournir des noms des clients potentiels Contacter les associations auxquelles appartiennent les prospects

 Participer

à des congrès et des conférencesB.Pr

éapproche : le vendeur rassemble ou acquiert beaucoup d'informations sur le prospect (entreprise : besoins et processus de d écision/ Client : styles et caractéristiques). Ensuite, le vendeur doit : 1. D éterminer l'objectif de sa visite, il s'agit de ;  Qualifier le prospect (Estce qu'il a des besoins

à satisfaire ?) ou ;

 Recueillir des informations suppl

émentaires ou ;

 Conclure la vente 2. D

éterminer son mode de visite (visite personnelle, téléphone, mail....) etson timing. A partir de l

à, le vendeur peut imaginer sa stratégied'approche.

C.Approche : le vendeur d

écide alors de la façon avec laquelle il va aborderle client au d ébut de l'entretient, son aspect, ses première phrases sontimportantes. L'entr

ée en matière doit être positive et chaleureuse.Ensuite, il peut faire d'avantage connaissance avec le prospect et l'

écouterattentivement de mani

ère à comprendre ses besoins.D.D

émonstration : une fois le contacte établi, le vendeur pressente sesproduits en les reliant aux probl

èmes de l'entreprise. L'important c'estd'exprimer les caract éristiques de l'offre sous forme de bénéfices client.E.R

éponses aux objections : un client est presque toujours amené à fairedes objections au cours d'un entretient de vente. Sa r

ésistance peut avoirune origine psychologique ou logique.  Psychologique : refus d' être influencé, désir de gagner,mauvaise relation avec le vendeur, pr éjugés, incapacité ou désir dene pas d

épenser de l'argent. Logique : d

ésaccord sur le prix, délais de livraison,caract

éristiques du produitPour r

épondre à ces objections, le vendeur doit maintenir toujours uneapproche positive et en demandant

à l'acheteur de clarifier ses propos puis28

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en rejetant le bien fondé de l'objection ou en faisant un argument d'achat(baisse de prix).

F.Conclusion : un vendeur doit savoir reconna

ître les symptômes (signes)qui annoncent " le bon moment ». plusieurs techniques de conclusion

sont utilis

ées par les vendeurs, elles sont :

 Demander à l'acheteur de passer la commande sans tarder ;  Enum

érer les points d'accord ;

 Offrir son aide pour remplir le bon de commande ;  Demander lequel des produits il pr

éfère ;

 Inciter le client

à trancher sur les questions mineurs (couleur, taille,...) Indiquer au client ce qu'il va perdre s'il ne passe pas sa commande

imm

édiatement.G.Suivi : il est n

écessaire qu'un vendeur suive le client afin de connaîtreson degr

é de satisfaction ainsi que sa probabilité de rachat. Dés l'achat,le vendeur doit fournir des informations compl

émentaires sur :

 Le d

élai de livraison ;

 Service Apres vente ;  Conditions de paiement

Il est souvent recommand

é de faire une visite, de contrôle, après lar

éception de la marchandise par le client, de façon à vérifier que tout est enordre. Une telle visite permet de : d

étecter un éventuel problème ; témoignerl'int érêt que porte le vendeur pour son client et rassurer le client quant aubien fond

é de sa décision.IV.

ÉTUDE D'IMPLANTATION D'UN POINT DE VENTE

D

éfinition de la zone de chalandise:

Une aire de march

é est une aire où s'exerce l'activité commerciale quimet en relation des vendeurs, des commer

çants, des acheteurs et desconsommateurs par le moyen de l' échange monétaire des biens et services.Elle se d écompose généralement en trois niveaux d'activité : Une zone primaire : cette zone attire en moyenne 60 à 80 % de la clientèled'un point de vente et renferme la plus forte densit é de clients, c'est la zonequi entoure directement le magasin.

Une zone secondaire : elle regroupe 15

à 25 % de clients supplémentaires,dont la r

ésidence est plus éloignée du magasin.Une zone limitrophe : elle est plus vaste et renferme les clients dont

l'habitat est tr ès dispersé. C'est une clientèle dont la fréquentation du pointde vente est tr

ès irrégulière et versatile29

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Figure. 1 : représentation graphique de la composition de l'aire demarch

éLa taille et la forme d'une aire de march

é sont, d'une part, déterminéespar les conditions de la concurrence et d

épendent, d'autre part, de critèresg

éographiques.Ce qu'on entend ici par condition g éographique, c'est la position de l'aire demarch

é par rapport aux infrastructures existantes (axe routier, gare, métro,...) et par rapport au type d'habitat qui l'entoure.

Plusieurs contributions th

éoriques ont tenté de mettre au point des modèlesexplicatifs et permettant de d éterminer la zone de chalandise d'un commerceou m ême d'une ville dans son ensemble.Dans ce qui suit, nous rendrons compte des diff

érents modèles conceptuels.Les mod

èles fondés sur les déplacements d'achat :

Ils prennent comme hypoth

èse principale que le consommateurfr

équente le point de vente le plus proche, à condition que le produit et leservice recherch

é soit disponible. Sur cette base, ces modèles adoptent leraisonnement suivant : l'aire de march

é peut être évaluée en délimitant lazone qui renferme la plus grande masse de consommateurs pour qui ce

magasin repr ésente la plus proche possibilité d'approvisionnement.1. La loi de REILLY : C'est encore la dimension de la distance qui est au coeur des travaux de Reilly et l'analogie de ses recherches avec la loi de Newton permettra d'aboutir à " la loi de gravitation du commerce de détail". On retrouve icitous les éléments de la loi universelle de Newton.303 21

Zone primaire : forte densité (concentration). Plus le cercle est grand, plus le magasin est grand.

Zone secondaire : c'est généralement les habitations qui se trouvent entre 20 et 30 minutes du magasin

Zone limitrophe : habitat dispersé, c'est la zone de l'évasion commerciale

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Pour Reilly, les commerces situés dans deux villes (A et B) attirent lesconsommateurs d'une ville plus petite (X) en proportion directe avec la taille

de la population et en proportion inverse avec la distance entre la petite ville et les deux grandes.

Cette loi est fond

ée sur deux hypothèses : d'une part les deux p ôles attirant (les commerces des grandes villes) sontaccessibles de mani ère équivalente par les consommateurs (l'espace est donchomog

ène), d'autre part les deux commerces ont la m

ême efficacité.La formulation de cette loi est : Da Db Pb Pa Vb Va

Avec :

Va et Vb les ventes des commerces situ

és dans les villes A et B auprès de lapopulation de la ville X,

Pa et Pb les populations des villes A et B,

Da et Db les distances s

éparant les villes A et B de la ville X,Exemple :

En appliquant la loi de Reilly on arrive

à la conclusion que le centre urbain Aattire les achats de la population X avec une force 1,85 fois sup

érieure àl'attraction du centre B.

Cette loi a

été appliquée pour estimer les aires de marché interm

étropolitaines des centres commerciaux ou des villes intermédiaires auxUSA ; elle est particuli

èrement utile lorsque d'autres sources d'informationne sont pas disponibles ou trop ch ères à acquérir.2. La loi de CONVERSE :

La formule de Reilly a

été modifiée par Converse pour délimiter la frontièredes influences de deux centres urbains. Ce dernier transforme la formule de

Reilly pour permettre (en connaissant la distance AB) de d

éterminer3150 Km

30 Km
X

A (50 000h)B (75 000 h)2

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facilement le point de partage (breaking point) de la population entre les deux villes A et B (sur le segment AB) à l'aide de la formule suivante : Pa Pb DabDa 1 Ou: Dab est la distance entre A et B par la route principale

Pa et Pb sont les populations totales de A et B

Da est la distance mesur

ée à partir de A, marquant les limites d'influence deA. Exemple : d'une ville A de 100.000 et B de 20.000 personnes, distance s

éparant les deux centres est de 30 Km. En appliquant la loi de Converse, lepoint limite d'influence de la ville A (l

à où les clients sont autant attirés parl'une que l'autre) est d'environ 21 Km (donc à 9 Km de la ville B).On obtient donc des aires de march é délimitant l'influence de deuxvilles en comp étition dans la vente de même produit. Ce mode de calcul a étéutilis é plus tard dans les études de marché pour l'implantation des points devente. L'int

érêt de la loi de Converse est de permettre une évaluation rapideet approximative des flux commerciaux d'une zone de chalandise sans avoir

besoin de faire une enqu ête de terrain coûteuse. Elle présente, toutefois, deslimites, du fait qu'elle n'est adapt

ée que pour une zone de chalandisecaract

érisée par un habitat dispersé, particulièrement les grandesp ériphéries rurales saturant les villes. Limites de la loi de Reilly : La loi de gravitation de Reilly ainsi que les formules en d écoulant permettentd'avoir un guide simple et efficace pour pr

évoir les mouvements entrer

égions mais elles se heurtent à un certain nombre de difficultés quirappellent celles de l'attraction commerciale :

tout d'abord le choix d'une population indiff

érenciée comme "masse » quibien que tr

ès commode pour les applications (les données sont relativementais ées à obtenir) soulève des questions, car celleci n'est pas homogène dansla r éalité. La contribution commerciale d'un enfant est différente de celled'un adulte, la distance est calcul ée en ligne droite, puisque l'espace est considérécomme homog ène, mais on peut revenir sur l'utilisation plus judicieuse dutemps de trajet, la nature des produits n'est pas prise en compte, alors que celleci joue un r ôle important dans la force d'attraction du client, le caract ère strict de la loi qui fait qu'un consommateur appartient à unezone d'attraction ou à une autre, il n'y a pas des possibilités desuperposition. 32

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De nombreuses recherches ultérieures ont permis de contourner certainesde ces difficult és, mais les modèles gravitaires prennent pour la plupart leursource de la loi de Reilly.

SYNTHESE

L'objectif de l'

étude de zone de chalandise peut être double: Avant l'implantation du magasin, il sera de d

éterminer le chiffred'affaires pr

évisionnel et de mettre au point le plan marketing ded

épart. Apr

ès l'implantation du magasin, il sera d'évaluer les performancesr

éalisées par le point de vente (CA part de marché) et d'affiner lemarketing mix en termes de prix, d'assortiment, de communication.

Les diff

érentes étapes à suivre avant l'ouverture d'un point de vente àadapter au cas par cas. 1. D étermination de la zone d'attractionLa zone d'attraction d'un point de vente se d étermine à l'aide decourbes isochrones courbes g

éographiques à l'intérieur desquellesl'ensemble de la population mettra moins d'un certain temps,

à pied ou envoiture selon le type de magasin, pour se rendre au point de vente.

Le choix des courbes

à tracer dépend de l'activité et de la taille du magasin. Le boulanger de quartier pourra choisir des courbes de 1

à 3 minutes à pied,alors que l'hypermarch

é avec galerie marchande prendra plutôt des courbesde 15 à 30 minutes en voiture. Par exemple, le GATESHEAD METRO CENTRE (Grande Bretagne), plus grand centre commercial d'Europe, d éfinit ainsi sa zone de chalandise : ZONE PRIMAIRE : 1.5 million d'habitants

à moins de 30 minutes enautomobile.

ZONE SECONDAIRE : 3 millions d'habitants

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