[PDF] Structure de la personnalité Troubles psychotiques





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Jean BERGERET (1974) La personnalité normale et pathologique

24] Selon l'auteur les structures névrotiques et psychotiques permettent toutes les deux la normalité. Par contre



LA PERSONNALITE NORMALE ET PATHOLOGIQUE – Les grandes

LA PERSONNALITE NORMALE ET PATHOLOGIQUE – Les grandes structures de base. J. BERGERET. Paris Masson





PSYCHOSE NEVROSE

ET TRAITS DE



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Progressivement le psychisme de l'individu s'organise se « cristallise » selon un mode d'assemblage de ses éléments propres



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La structure de personnalité psychotique selon Bergeret. Analyse génétique et dynamique de la structure de personnalité psychotique. D'un point de vue génétique 



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STRUCTURE ET NORMALITE & LA NOTION DE STRUCTURE DE LA PERSONNALITE Le caractère se situe selon lui



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Introduction - Les structures de la personnalité : une nouvelle proposition. sujets de structure psychotique selon l'acception de Jean Bergeret



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structure de personnalité toxicomaniaque spécifique à l'alcool et aux drogues pas selon Bergeret (1982)



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ET LE MODÈLE NOSOLOGIQUE PSYCHODYNAMIQUE DE JEAN BERGERET. SEPTEMBRE 2010 Synthèse des troubles de la personnalité selon le DSM-IV-TR. (APA 2003) .



Approximation psychodynamique de la Manie

Bergeret range la maniaco-dépression dans la structure maniaco-dépressif est une personnalité état-limite qui « glisserait » dans un.



Structure de la personnalité Troubles psychotiques

D'après « Psychologie Pathologique » J. Bergeret. Masson Personnalités normales : structures profondes névrotiques ou mêmes.



LA PERSONNALITE NORMALE ET PATHOLOGIQUE Jean Bergeret Dunod

En psychopathologie la notion de structure correspond à ce qui dans un état psychique morbide ou non se trouve constitué par les éléments métapsychologiques profonds et fondamentaux de la personnalité fixés en un assemblage stable et définitif En effet derrière le jeu caractériel fonctionnel ou morbide derrière une



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Le complexe d'Œdipe va également donner naissance à un véritable Surmoi et idéal du Moi Comme il a été décrit précédemment l'idéal du Moi est l'héritier du narcissisme et constitue un modèle auquel l'enfant tente de se conformer Il est donc une référence pour l'estime de soi



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surajoutés nous désignerons ces éléments hétérogènes de caractère par rapport à la structure sous la dénomination de « traits de caractère » hystériques chez un obsessionnel P239 (Bergeret 1996) D’un autre coté en dehors des éléments du caractère correspondant à la structure profonde du sujet et des traits

Qu'est-ce que le modèle structural de Bergeret ?

Le modèle structural de Bergeret s’inspire de la psychanalyse et plus généralement de la psychopathologie. Il vise l’étude des structures psychiques et leurs pathologies, celles-ci désignent un mode d’organisation inconscient et se distinguent en 3 grandes catégories :

Quels sont les traits de caractère de la personnalité ?

Tout structure de la personnalité comporte ses failles génétiques. Tout « caractère » ne peut donc être « complet », en écho à ses obligatoires insuffisances. Il coexiste donc toujours, à coté du caractère, quelques « traits de caractère « complémentaires, de niveaux variés. P241 (Bergeret, 1996)

Quels sont les traits de caractère d’une structure obsessionnelle ?

Par exemple, toujours dans le cas d’une structure obsessionnelle de base (non décompensée), on rencontrera d’abord un « caractère obsessionnel » puis éventuellement quelques « traits de caractère hystériques » et en plus, le cas échéant, un « trait de caractère » « urétral » ou « phallique ». p240 (Bergeret, 1996)

Pourquoi les représentations gênantes sont-elles projetées à l’extérieur ?

D’autre part, les représentations gênantes se trouvant, pour leur part immédiatement projetée à l’extérieur,une telle projection vise plus spécifiquement la partie inquiétante, déjà isolée, de la réalité externe, doublement tenue à distance après cette opération.

Structure de la personnalité

Troubles psychotiques

IFSI CHU Dijon Ȃ Mardi 28 février 2017

Dr Charles-Alban Vieillard

Psychiatre CHU de Dijon

ǯƒ""°• Ǽ Psychologie Pathologique » J. Bergeret. Masson " Manuel de Psychiatrie » Henri Hey. Masson

Notion de normalité

En médecine somatique, il est souvent débattu du " normal » et du " pathologique ». Georges Canguilhem (1904-1995), philosophe, puis médecin, a écrit "Le Normal et continuité au niveau de ces deux notions. Il a conclu dans la maladie à la réduction de la marge de tolérance au milieu. Cette conception peut être reprise en psychopathologie.

†ǯƒ—-"‡ "ƒ"- Ž‡• " malades mentaux », qui groupaient globalement les névrotiques

profonde. une autre forme de normalité. Une personnalité " normale » peut entrer à tout moment dans la pathologie mentale, y compris la psychose. Inversement, un malade psychique, bien traité, peut revenir à une situation de normalité. Plus intéressant de prendre en considération les manifestations extérieures qui structure. On définit la notion de normalité indépendamment de la notion de structure. Un être humain se trouve dans un état " normal » quels que soient ses problèmes aux autres, sans se paralyser intérieurement ni se faire rejeter par les autres. Utilité de distinguer les personnalités " normales » et les personnalités " pseudo- normales ». Personnalités normales : structures profondes, névrotiques ou mêmes psychotiques, non décompensées, structures stables et définitives en soi qui se défendent contre la décompensation par une adaptation à leur originalité. Personnalités pseudo-normales : pas tellement structurées dans un sens ou dans aménagements divers, qui les contraignent à " jouer aux gens normaux » pour ne pas décompenser dans la dépression.

Notion de structure

sur le plan psychique. Confusion aux sens données à " névrotique » ou " psychotique » On parle trop souvent de " symptôme psychotique » (délire ou hallucination) ou de " symptôme névrotique » (rituel obsessionnel, conversion hystérique, phobie). dehors de toute structure psychotique et une phobie pas toujours névrotiqueǥ diagnostic structurel profond.

Même confusion au niveau des défenses.

Défenses de type " névrotique » dans le système de protection des structures psychotiques vraies, ou inversement. Parler plutôt de défense " de mode névrotique ». Attention à ne pas coller des étiquettes sur les patients. Notamment chez les enfants ou ados présentant des signes psychotiques ou des adultes après un traumatisme. sujet à des circonstances nouvelles devenues plus puissantes que les moyens de défense dont il dispose. S. Freud, dans ses " Nouvelles Conférences », nous dit que si nous laissons tomber à terre un bloc de minéral sous forme cristallisée, il se brise. là, se trouvaient déjà déterminées de façon originale et immuable par le mode de structure préalable dudit cristal. Il en serait de même pour la structure psychique.

Peu à peu, à partir de la naissance,

mais surtout du mode de la relation aux parents dès les tout premiers moments de la vie, des frustrations, des traumatismes et des conflits rencontrés et en fonction aussi des défenses organisées pour résister aux poussées internes et externes et des pulsions, corps chimique complexe, avec des lignes de clivage originales et ne pouvant plus varier par la suite. => On aboutirait ainsi à une véritable structure stable dont les deux modèles spécifiques sont représentés par la structure névrotique et la structure psychotique. trop fortes épreuves (traumatismes ,frustrations, conflits), il ne sera pas " malade » pour autant. Le cristal tiendra bon. Mais si le cristal vient à se briser, il le fera selon des lignes de rupture préétablies dans le jeune âge. Inversement, pris en traitement à temps et correctement soignées, le premier sujet nouveau bien compensée. La stabilité des structures vraies implique également du même coup une impossibilité de passer de la structure névrotique ou la structure psychotique (ou inversement) à partir du moment où un Moi spécifique est organisé dans un sens refoulement des représentations pulsionnelles domine les autres défenses. Dans la structure psychotique au contraire, un déni (et non un refoulement) porte sur toute une partie de la réalité. Il apparaît tout un éventail de défenses archaïques. névrotiques. Position intermédiaire entre la structure névrotique et la structure psychotique Par contre, cette lignée intermédiaire se présente comme une organisation plus fragile que les deux autres structures et non comme une " structure » authentique fixe et irréversible. et plus solides constitués par la lignée névrotique ou la lignée psychotique.

Sémiologie des troubles psychotiques

Un syndrome psychotique est un ensemble de symptômes qui traduit une perte de contact avec la réalité. On parle de " perte de limite du Moi » ce qui revient à dire que les personnes présentant ce type de symptômes ont des difficultés avec leur propre identité. Les patients présentant des symptômes psychotiques n'ont pas conscience d'être malades, ils n'ont pas la conscience du trouble (l'anosognosie). Ceci ne se voit pas dans toutes les pathologies psychiatriques, par exemple dans les TOC les patients ont totalement conscience de leur maladie.

Troubles psychotiques :

Un trouble psychotique est un type de trouble psychiatrique, c'est une maladie dans laquelle les symptômes psychotiques sont au premier plan. L'exemple typique et le plus fréquent étant la schizophrénie. Les symptômes psychotiques peuvent être présents chez des patients qui ne présentent pas de trouble psychotique comme diagnostic principal. Ce sont donc des symptômes aspécifiques dans de nombreuses pathologies psychiatriques. Par exemple dans les troubles de l'humeur, les patients atteints de maladie maniaque peuvent présenter des symptômes psychotiques, on parle alors de manie avec des caractéristiques psychotiques ou encore de manie délirante.

Sémiologie de la schizophrénie

Age de début :

Avant la décompensation proprement dite, on a pu noter des difficultés chez les futurs schizophrènes : schizoïde), idées de référence, méfiance, pensée magique, croyances irrationnelles (personnalité schizotypique).

Début aigu :

polymorphe dans ses thèmes et ses mécanismes.

Fluctuations thymiques. Angoisse.

Entrée dans une schizophrénie qui évoluera par poussées entrecoupées subaigue, pauvreté du délire, absence ou rareté des signes thymiques, bizarrerie.

Début progressif :

Fléchissement scolaire. Baisse du rendement intellectuel. Pas de contexte familial explicatif. phénomènes surnaturels. digressif, présentation bizarre, hermétisme, agressivité. Trouble des conduites (addiction, anorexie, errance pathologique). Caractère immotivé, étrangeté.

Début progressif :

dépressifs atypiques.

Hypochondrie et dysmorphophobie.

Plaintes changeantes, désorganisées, peu précises. Impressions de modifications corporelles (signe du miroir).

Syndrome positif (hallucinatoire et délirant)

Syndrome négatif (autistique selon Bleuler)

Désorganisation (syndrome dissociatif selon Bleuler) Syndrome Cognitif (atteinte des fonctions supérieures)

Critères du DSM 5

A ) Symptômes caractéristiques : 2 ou + des manifestations suivantes sont présentes pendant 1 mois : (au moins 1 des symptômes est 1), 2), ou 3)).

1)Idées délirantes

2)Hallucinations

4)Comportement désorganisé ou catatonique

5)Symptômes négatifs, par exemple : émoussement affectif, alogie, perte de

B) Dysfonctionnement social : dans le travail, les relations interpersonnelles, les soins personnels. C) Durée : signes persistants pendant au moins 6 mois, dont 1 mois de critères A

1. Syndrome délirant paranoïde ou non systématisé :

Fréquent mais pas toujours manifeste.

Le sujet peut être réticent à exprimer son délire. Mécanismes hallucinatoires psycho-sensoriels sont souvent au premier plan du tableau clinique :

Hallucinations auditives verbales surtout

Hallucinations intrapsychiques (sensation de pensée étrangère introduite dans

Hallucinations olfactives, cénesthésiques

Les hallucinations visuelles sont rares.

particulièrement fréquent. pensée. Il associe :

Vol et devinement de la pensée

Commentaires de la pensée, des actes

Echo de la pensée

Intuition

Interprétation

Imagination

Les thèmes délirants sont très polymorphes. On note la fréquence des thèmes persécutifs, mystiques, érotomaniaques, Des thèmes de transformation corporelle (dysmorphophobie) (le sujet peut passer beaucoup de temps à se regarder dans le miroir : signe du miroir), des troubles de mutilation) sont fréquents et fortement évocateurs du diagnostic. Les thèmes sont vécus avec une angoisse intense, peu accessible à la réassurance et morcellement)

Organisation du délire :

caractéristique de la schizophrénie. Ce délire flou et incohérent est qualifié de paranoïde par opposition au délire paranoïaque qui, lui, est logique, cohérent et structuré.

Adhésion au délire :

Totale

Partielle

Ebauche de critique

2. Le repli :

Le terme de schizophrénie implique une rupture dans la vie psychique du sujet (dissociation) mais également entre le sujet et le monde environnant. Un retrait social actif (isolement social, apragmatisme conduisant parfois à Le sujet est lointain, distant, son regard est ailleurs

3. La désorganisation :

Touche toutes les dimensions de la vie psychique : intellectuelle, affective et comportementale. la pensée. Selon Bleuler, le trouble fondamental est la dissociation (trouble des associations). Désorganisation / fonctionnement intellectuel :

Pensée digressive et sans idée directrice.

Discours allusif, peu compréhensible.

Barrages : brèves suspensions du discours, non motivées, dont le sujet est conscient mais auxquelles il est indifférent. Logique inappropriée : paralogique ou pseudologique. Troubles du langage : altérations phonétiques (timbre, prononciations modifiées), lexicales (néologismes), sémantique (paralogismes), syntaxiques communication. Trouble du débit idéique ou troubles du cours de la pensée (anomalies du rythme : accélération, ralentissement, ou discontinuité : barrages, fading)

Désorganisation / vie affective :

Indifférence affective et expériences affectives intenses : mouvements instinctivo- affectifs paradoxaux traduisant une incapacité à moduler des affects contradictoires. Réactions émotives inappropriées, paradoxales, imprévisibles.

Ambivalence.

Désorganisation / comportement :

Maniérisme, préciosité, attitudes empruntées. Sourires immotivés, non adaptés à la situation. Troubles des conduites : actes insolites, étranges, voire dangereux.

La discordance (Chaslin) :

Ambivalence :

Affective (amour, haine, attirance, répulsion)

De la volonté (ambitendance : le patient veut 2 choses contraires à la fois). Intellectuelle (2 concepts opposés sont exprimés)

Bizarrerie (idées étranges, baroques)

Impénétrabilité (discours, conduite énigmatiques) Détachement du réel : retrait affectif, repli autistique, apragmatisme, athymormie, désintérêt, perte du contact vital avec la réalité.

4. Atteinte des fonctions supérieures :

impossibilité de leur utilisation.

Pas de trouble de la vigilance.

En pratique, on constate des troubles cognitifs (trouble des fonctions supérieures) : difficultés de concentration, troubles attentionnels, difficultés de traitement du contexte, atteintes de la mémoire à long terme, de la mémoire de travail des fonctions exécutives.

Les délires chroniques systématisés

Psychoses paranoïaques

la clarté (Kraepelin). Relativement cohérents par leur forme systématique, ces délires se présentent à => Puissance de conviction ou de contamination (délire à deux ou délire collectif) où le délirant inducteur fait activement participer à son délire, des tiers, le plus souvent des proches.

Les délires passionnels de revendication

Délires caractérisés par :

1)Exaltation (exubérance, hyperthermie, hyperesthésie)

3)Développement en secteur : le délire constitue un système partiel.

Le plus connu = délire de revendication.

Sujets à tempérament vif et de caractère difficile, rancuniers, vindicatifs. Sur cette constitution paranoïaque se développe insidieusement le délire, parfois réactionnel à un échec ou un conflit (mésentente avec le voisinage, renvoi par

Délires de revendication :

-Quérulents processifs : se ruinent en procès pour faire valoir une revendication dérisoire. Ils poursuivent la défense de leur honneur ou droits ou propriété au mépris de leurs intérêts les plus évidents. Sentiment de haine et vengeance, se sentent trahis, injustement jugés, victimes

Parfois ces sujets, " persécuteurs-persécutés ǽ ‡-‘—"±• †ǯennemis et exaspérés se

-Les inventeurs : ils gardent le secret de leurs expériences, de leurs calculs ou Démarches, plaintes, précautions défensives et offensives pour déjouer les -Les idéalistes passionnés : rêvent de nouveaux systèmes politiques, paix Pamphlets, attentats contre des hommes politiques ou institutions socialesǥ imaginaire.

Délires passionnels :

et de frustration).

Pose un problème de diagnostic difficile :

Ces états passionnels se produisent sur fond de déséquilibre caractériel. dépersonnalisation, impulsivité) Pathologiques et délirants parce que la passion a une structure essentiellement imaginaire.

Evolution souvent prévisible

Délire de jalousie :

Transformer la situation de la relation amoureuse du couple en une situation triangulaire. Le tiers introduit entre les partenaires est un rival, projection de haine. Le délirant jaloux se sent bafoué et abandonné. parvient à une vérité pour lui absolue. Le délire se systématise en un faisceau de " preuves », de " pseudo-constats » de mémoire.

Délire érotomaniaque :

stade de dépit, stade de rancune, pouvant aboutir au crime passionnel.

En conclusion : important à retenir

Rappel sur les idées délirantes :

une idée délirante correspond à un trouble du contenu de la pensée entraînant une perte du contact avec la réalité. raisonnement ou à la contestation par les faits. quotesdbs_dbs13.pdfusesText_19
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