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La structure de personnalité psychotique selon Bergeret. Analyse génétique et dynamique de la structure de personnalité psychotique. D'un point de vue génétique 



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ET LE MODÈLE NOSOLOGIQUE PSYCHODYNAMIQUE DE JEAN BERGERET. SEPTEMBRE 2010 Synthèse des troubles de la personnalité selon le DSM-IV-TR. (APA 2003) .



Approximation psychodynamique de la Manie

Bergeret range la maniaco-dépression dans la structure maniaco-dépressif est une personnalité état-limite qui « glisserait » dans un.



Structure de la personnalité Troubles psychotiques

D'après « Psychologie Pathologique » J. Bergeret. Masson Personnalités normales : structures profondes névrotiques ou mêmes.



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En psychopathologie la notion de structure correspond à ce qui dans un état psychique morbide ou non se trouve constitué par les éléments métapsychologiques profonds et fondamentaux de la personnalité fixés en un assemblage stable et définitif En effet derrière le jeu caractériel fonctionnel ou morbide derrière une



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Le complexe d'Œdipe va également donner naissance à un véritable Surmoi et idéal du Moi Comme il a été décrit précédemment l'idéal du Moi est l'héritier du narcissisme et constitue un modèle auquel l'enfant tente de se conformer Il est donc une référence pour l'estime de soi



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surajoutés nous désignerons ces éléments hétérogènes de caractère par rapport à la structure sous la dénomination de « traits de caractère » hystériques chez un obsessionnel P239 (Bergeret 1996) D’un autre coté en dehors des éléments du caractère correspondant à la structure profonde du sujet et des traits

Qu'est-ce que le modèle structural de Bergeret ?

Le modèle structural de Bergeret s’inspire de la psychanalyse et plus généralement de la psychopathologie. Il vise l’étude des structures psychiques et leurs pathologies, celles-ci désignent un mode d’organisation inconscient et se distinguent en 3 grandes catégories :

Quels sont les traits de caractère de la personnalité ?

Tout structure de la personnalité comporte ses failles génétiques. Tout « caractère » ne peut donc être « complet », en écho à ses obligatoires insuffisances. Il coexiste donc toujours, à coté du caractère, quelques « traits de caractère « complémentaires, de niveaux variés. P241 (Bergeret, 1996)

Quels sont les traits de caractère d’une structure obsessionnelle ?

Par exemple, toujours dans le cas d’une structure obsessionnelle de base (non décompensée), on rencontrera d’abord un « caractère obsessionnel » puis éventuellement quelques « traits de caractère hystériques » et en plus, le cas échéant, un « trait de caractère » « urétral » ou « phallique ». p240 (Bergeret, 1996)

Pourquoi les représentations gênantes sont-elles projetées à l’extérieur ?

D’autre part, les représentations gênantes se trouvant, pour leur part immédiatement projetée à l’extérieur,une telle projection vise plus spécifiquement la partie inquiétante, déjà isolée, de la réalité externe, doublement tenue à distance après cette opération.

2

À mes patients de prison

que j'ai dû quitter prématurément Les sujets délinquants symbolisants sont des révoltés

Ils se battent contre l'insanité

C'est pour cette raison que je les aime tant

A J., qui m'a libérée,

tout en restant enfermé... pour l'instant 3 4

TABLE DES MATIÈRES

Préface

Note liminaire de l'auteure

Prologue

Introduction - Les structures de la personnalité : une nouvelle proposition.......................12

La psychanalyse à l'épreuve de la clinique.........................................................................26

Le cadre de référence : l'approche structurelle................................................................32

Remarque sur la nosographie psychiatrique.....................................................................40

Chapitre I - Représentation de soi et intersubjectivité........................................................42

Quelques syndromes éclairants..........................................................................................57

Déificit de théorie de l'esprit et d'empathie.................................................................59

Quand une chose est une chose...................................................................................90

Chapitre II - La capacité symbolique......................................................................................92

Qu'est-ce que le symbole ?.................................................................................................94

Le langage est symbolique... ou ne l'est pas !.................................................................106

Le trouble de la fonction symbolique................................................................................112

Clinique du sujet non symbolisant................................................................................113

Origine : le trouble de la capacité d'ambivalence........................................................121

Comprendre les hallucinations et le délire..................................................................135

Conclusion : une nouvelle conception..............................................................................141

De la résistance que cette nouvelle théorisation va immanquablement susciter dans le

monde psychanalytique...................................................................................................148

Chapitre III - Les formes de la soufffrance psychique : approche structurelle...................154

Structure non symbolisante..............................................................................................191

La logique du délire.................................................................................................204

Structure symbolisante (névrotisante) : un continuum.................................................209

Névrose, structure névrotique, donc de facture hystérique......................................218

La logique du désir...................................................................................................230

La désafffection.........................................................................................................235

De la culpabilité........................................................................................................240

Structure transgressive................................................................................................248

La logique de la perversion......................................................................................255

La sexualité transgressive.......................................................................................262

Une nouvelle hypothèse : le fantasme original.........................................................265

Chapitre IV - Puzzle..............................................................................................................268

Chapitre V - I Origins.............................................................................................................283

Chapitre VI - La thérapie par le diagnostic..........................................................................285

Chapitre VII - D'autres approches, d'autres voies..............................................................296

Structures psychiques et théorie de l'attachement.......................................................296

Le traumatisme.................................................................................................................300

Genèse : retour aux sources de cette nouvelle conception................................................307

Conclure... et poursuivre......................................................................................................320

Remerciements

5 6

L'auteure

Virginie KYBURZ

Psychothérapeute formée à l'approche psychanalytique (adultes, enfants, groupes, couples). Psychologue clinicienne spécialisée en psychologie légale ainsi que dans la prise en charge des personnes haut potentiel. Fondatrice du collectif professionnel pratiquePsy (bilans psychologiques, consultations bénévoles en faveur de personnes migrantes, expertises auprès des tribunaux). Anciennement assesseure de l'Autorité de Protection de l'Enfant et de l'Adulte pour les tribunaux régionaux. Domaines de compétence : psychothérapie psychanalytique ; examen de personnalité (testing projectifs et d'intelligence) ; expertise psycho-légale (pénales et civiles, majeurs et mineurs) ; intervention dans le domaine de la protection des mineurs ; management d'équipe ; formation et supervision (psychopathologie, diagnostic et traitement, intervention psycho-socio-éducative).

Site internet et articles de blog :

www. psy-co.ch

Chaîne YouTube :

Podcasts SoundCloud :

https://soundcloud.com/virginie-kyburz www.psy-co.ch info@psy-co.ch www.pratiquepsy.ch 7

PRÉFACE

" Rien n'est permanent, sauf le changement », Héraclite " La psychologie est issue de la philosophie » selon l'auteure de cet ouvrage innovant et percutant. La philosophie utilise l'art du questionnement sur soi et sur le monde et cherche à apporter une vision élargie des phénomènes. Son intention première est de clariifier les pensées et dévoiler les fondamentaux de notre existence et de notre perception du monde de manière logique. C'est un face à face avec l'ignorance. Le fabuleux " Connais-toi toi-même » socratique invite à regarder à l'intérieur de soi, prendre conscience de soi pour pouvoir connaitre le monde. Le dedans et le dehors sont intimement liés. Le dedans conduit à une manière de percevoir le dehors et c'est en quelque sorte tout le propos de cet ouvrage. En philosophie, il n'y est pas question de symptômes mais de système. En psychologie, on remplace le terme système par celui de structure de la personnalité. La vision que développe Virginie Kyburz, dans cet ouvrage, est que " ce qui compte ce n'est pas le visible, le symptôme, mais l'invisible » et c'est le rôle primordial du diagnostic structurel. Trois structures de la personnalité qui se fondent sur un cadre de références psychanalytiques complet - et remodelé ! Trois structures de la personnalité qui sont analysées et fondées sur une longue et diversiifiée pratique clinique de l'auteure. De solides expériences donc qui ont conduit à l'élaboration d'une nouvelle manière de penser les fondamentaux de la psychologie et de proposer des innovations. Celle-ci portent principalement sur : •les caractéristiques constitutives du diagnostic structurel de la personnalité avec comme coeur de l'évaluation la capacité de symboliser •les origines mêmes des diffférences structurelles : impact de l'environnement afffectif ou ontogenèse qui démarre dans la vie intra- utérine •le passage possible ou non d'une structure de la personnalité à l'autre et donc une remise en question des constats sur les capacités évolutives des individus •la manière de concevoir le traitement thérapeutique dont l'adaptation doit nécessairement dépendre de la structure de la personnalité La quête de liberté et de sens de l'auteure transpire à chaque ligne, à chaque explication. Les concepts de capacité symbolique, d'ambivalence et d'intersubjectivité sont reliés dans une danse qui témoigne de toute la complexité 8 du diagnostic structurel. Il s'agit d'aller au-delà du sens commun des mots et de mettre entre parenthèse nos croyances et nos a priori pour entrer à notre tour dans la danse. Que d'intuition et de répétition pour aller véritablement à la rencontre d'une pensée étrangère. C'est précisément un travail de philosophe phénoménologique que l'auteure nous livre ici : prendre conscience que ses connaissances la limitaient dans sa pratique clinique, mettre entre parenthèse des théories respectées et respectables et enifin aboutir à un nouveau regard, une redécouverte des êtres humains. Transmettre ce nouveau savoir à travers un livre ne manquera pas de trouver des oppositions mais certainement également des rélflexions complémentaires et du dialogue pour enrichir encore une pensée foisonnante et bienveillante. A nous lecteurs et lectrices, faisons honneur à ce travail, pour ne pas nous laisser entraîner par des jugements hâtifs et privilégier l'expérience, et lisons ces pages avec humilité ! Qu'elles soient à l'origine de prises de conscience et de volonté d'approfondissement et de formation pour les milieux professionnels.

Vanessa Wirth

9

Note liminaire de l'auteure

Ce livre devrait être lu en fonction des besoins du lecteur, de sa recherche personnelle ou professionnelle. Le lecteur avide de comprendre ce qu'il éprouve dans sa vie de couple se rendra directement au chapitre " Puzzle ». Le lecteur psychanalyste lira sans doute le tout, dans l'ordre. Le lecteur moins averti des notions psychanalytiques ira à la pêche, ça et là, en fonction de ses interrogations cliniques du moment... Je n'ai qu'un conseil au sujet de la meilleure façon d'appréhender ce livre : " Feel free », comme dit un sage homme cher à mon coeur.

Bonne lecture :-)

Virginie Kyburz

10

Prologue

Il était une fois l'espèce humaine...

Elle était constituée d'individus qui ne partageaient pas tous le même langage. D'où des incompréhensions majeures entre les humains. Dans l'espèce humaine, l'individu naissait avec un cerveau rose ou avec un cerveau bleu. Si le petit bleu grandissait principalement avec des ifigures d'attachement roses, il verdissait. Il y avait donc, sur la planète Terre, au sein de la population humaine, trois façons de voir le monde. Chaque catégorie structurelle avait ses codes et sa manière particulière de fonctionner. La grande erreur de l'être humain, celle qui causait des troubles au sein de l'espèce, c'était de croire que tous ses congénères partageaient le même monde que lui de représentations, de valeurs et de croyances. 11 Introduction - Les structures de la personnalité : une nouvelle proposition " Je ne crois plus à ma neurotica »1 ;

Sigmund Freud à Wilhelm Fliess en 1897

La proposition qui est faite ici est nouvelle. Elle synthétise un certain nombre de données que j'avais besoin de lier entre elles pour comprendre le sens que les agirs violents prennent dans la psyché humaine. De multiples sources sont venues alimenter ma pensée, celle d'une psychologue clinicienne et psychothérapeute, attachée à la science et à sa méthode. Ces sources proviennent de divers champs tels la biologie, l'éthologie, la primatologie, l'anthropologie, les neurosciences, la psychiatrie, en passant par la linguistique. Leurs apports seront déclinés, une théorisation neuve étant évidemment toujours redevable des héritages du passé. Mais, avant tout, les fondements de cette nouvelle pensée sont mon histoire personnelle, et ma rencontre, indispensable alors pour comprendre ce que je vivais, avec la théorie psychanalytique freudienne. Cette pensée est également issue de ma pratique clinique en milieu carcéral et auprès d'enfants en danger. A la croisée de ces chemins se trouve aussi la contribution de l'analyse du discours selon les avancements du Groupe de Lausanne, groupe formé de psychologues cliniciens diagnosticiens inlfluencés à la fois par la psychanalyse et par la pensée piagétienne. Ma théorisation a également comme autre source d'inspiration - et avec une telle prégnance - la culture, mode d'expression de l'humanité, que cette expression soit sublimée ou non. Sublimée ou non. En efffet. Il est des êtres qui ne subliment pas, et qui traduisent dans leur art l'exact contenu de leur psyché. Sans prendre une forme de distance. Je dirai que ces sujets ne symbolisent pas. Au départ, je les ai reconnus comme des sujets de structure psychotique, selon l'acception de Jean Bergeret, soit de ceux qui " sont sincères quand ils déclarent ne pas ressentir la prééminence de [l']étalon afffectif triangulaire » qu'est l'OEdipe " et se trouver parfaitement en mesure de se passer de son aspect relationnel particulier »2. Toutefois, évoquer l'adjectif " psychotique », même s'il s'agit de parler de structure de personnalité, comporte le risque d'inquiéter et de mal se faire comprendre. Tous les psychotiques de structure ne décompensent pas forcément au cours de leur vie et, pour beaucoup d'entre eux, le délire est si bien circonscrit qu'il passe inaperçu. Le terme de psychose renvoie à la folie et il est communément admis, en particulier dans le monde de la psychiatrie et de ses manuels diagnostiques statistiques tels le DSM3

1 Freud S. (1956), Lettre 69 à Wilhelm Fliess du 21.9.1897, in Naissance de la psychanalyse, Paris : PUF, p.

190.2 Bergeret, J. (1974 ; 3e éd. 1996). La personnalité normale et pathologique, Paris : Dunod, p. 35.3 Pour la version actuelle : American Psychiatric Association (2013 ; 5e éd.). Diagnostic and statistical manual

of mental disorders DSM 5, Arlington, VA : American Psychiatric Publishing. 12 et la CIM4, que les symptômes " psychotiques » font référence à des personnalités hallucinées, délirantes, maniaques ou mélancoliques. Ainsi, pour une meilleure compréhension, et parce que tous les sujets psychotiques de structure ne présentent pas forcément un trouble patent de

l'épreuve de réalité, je préférerai au terme " sujet de structure psychotique » celui

de " sujet non symbolisant », parce que l'incapacité à symboliser est le point de ralliement de la structure. Certains de ces sujets sont en efffet tellement ancrés dans la réalité qu'ils n'ont plus grand-chose de " psychotique »... Je pense en particulier à ceux dont le trouble serait plus volontiers diagnostiqué comme une " névrose » obsessionnelle. Bécache et Bergeret5, en 1981 déjà, questionnent le statut de la structure, classiquement repérée comme névrotique, sur laquelle se manifestent les symptômes obsessionnels : ils constatent que certains patients de ce type ont été suivis par un psychiatre ou un psychanalyste et ne se sont révélés psychotiques de structure qu'après un temps de traitement assez long. En efffet, nombre de personnalités sont perçues de prime abord comme névrotiques, le diagnostic classiquement rattaché à la " normalité », alors que derrière l'apparence se cache la structure psychotique. Et l'inverse est vrai également. Ainsi, dans ce travail seront présentées de nouvelles hypothèses de compréhension de la façon dont pensent les personnes qui soufffrent - je devrais dès à présent préférer le terme " disposent », puisque tous n'en soufffrent pas -, d'une structure psychotique de la personnalité (soit les sujets non symbolisants). Je ne crois plus à l'explication psychanalytique de l'ontogenèse de la structure psychotique, qui situe son unique origine au niveau de l'impact de l'environnement afffectif sur la psyché du sujet au cours de sa première année de sa vie. En cela, il aquotesdbs_dbs13.pdfusesText_19
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