SCOLARISER LES ÉLÈVES À BESOINS ÉDUCATIFS PARTICULIERS
Cette publication conçue et réalisée par l'Onisep et ses délégations en classes de 6e et 5e
Untitled
LIZY SUR OURCQ. Eglise Saint-Médard. 141. Découverte architecturale et historique de l'église 141. MEAUX. Musée de la Grande Guerre du. Pays de Meaux.
CIMETIÈRES ET PATRIMOINE FUNÉRAIRE
l'illustration de ce travail et réalisé de nouvelles prises de vue dans l'édifice sans y posséder de tombe individuelle ... Ourcq (Seine-et-Marne).
De la 6e à la 3e Créteil 2014
9 avr. 2014 A la fin du CM2 l'élève entre au collège en classe ... L'entrée en 6e - Guide Onisep à destination des parents ... lIZY-SUR-OURCQ 77440.
Destinataire: Ministre de léducation - Jean-Michel blanquer Lettre
21 jan. 2020 élèves comme pour les professeurs ." Estelle Bret. Mâcon France. 2020-01-22. "Enseignante college et lycée privée sous contrat avec l'état.
Ministère de la Justice. Dossiers de la division criminelle classés
et Oise) ; à Lizy-sur-Ourcq (Seine et Marne) (entraves apportées par le patron de 116 - Relevés des affaires restant à l'instruction du tribunal de Ière ...
Achille Urbain (1884-1957) de la gloire à loubli: un vétérinaire
10 mar. 2015 Sans elle je n'aurais pu savourer toute la joie et la richesse de réaliser ce travail de recherche en histoire des sciences.
• Le « 12 » et les« 118 » • Dossier : mutations 2009
une réduction du nombre des collèges classés en 1re catégorie à hauteur de 150 réalisé dans le cadre de ... LIZY SUR OURCQ - Clg Camille ST Saens • C 3.
raa n°13 bis du 28 mars 2013 (73 pages)
28 mar. 2013 Ourcq canalisée et le canal de l'Ourcq) le canal à grand gabarit (canal de l'Ourcq
BNP
14 juil. 2021 Saint-Laurent. 106
LeMondeJob: WMQ1407--0001-0 WAS LMQ1407-1 Op.: XX Rev.: 13-07-99 T.: 11:12 S.: 111,06-Cmp.:13,11, Base : LMQPAG 15Fap: 100 N
o : 0413 Lcp: 700 CMYKL'envers
de la Fête de la musique :93 agressions
à Paris
55e
ANNÉE ± N
o16940 ± 7,50 F - 1,14 EURO FRANCE MÉTROPOLITAINEFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÉRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIMERCREDI 14 JUILLET 1999Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 9 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 45 FB ; Canada, 2,25 $ CAN ;Côte-d'Ivoire, 850 F CFA ; Danemark, 15 KRD ;Espagne, 225 PTA ; Grande-Bretagne, 1 £ ; Grèce,500 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 2900 L ; Luxembourg,46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norvège, 14 KRN ; Pays-Bas,3 FL ; Portugal CON., 250 PTE ; Réunion, 9 F ;Sénégal, 850 F CFA ; Suède, 16 KRS ; Suisse, 2,10 FS ;Tunisie, 1,2 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.
GIRAUDON
LES SÉRIES DE L'ÉTÉ
Les génies duchristianisme
2. Paul le métèque
Paul de Tarse ne paie pas de mine. Petit
bonhomme aux traits ascïtiques, la tñte chauve et les jambes arquïes, aveuglï par la lumiòre divine sur le che- min de Damas, il deviendra le mission- naire le plus zïlï des chrïtiens, apròs les avoir tant persïcutïs. Portrait d'un mïtòque, citoyen romain et grec, qui a su mettre en garde les chrïtiens contre le danger ì s'ïloigner de la source juive de leur foi. Comme s'il avait pressenti dans l'antijudaõsme des origines l'anti- sïmitisme parachevï par la tragïdie d'Auschwitz. p. 12-13 AFPTOUR DE FRANCE
Place auxgrimpeurs
Les coureurs avaient rendez-vous, mar-
di 13 juillet, avec la montagne. Parmi les spïcialistes AEgure le Suisse LaurentDufaux. Membre de l'ïquipe Festina
en 1998, il avait reconnu s'ñtre dopï.Apròs huit mois de suspension, il court
aujourd'hui dans la formation italienneSaeco. p. 22-23
MARC ENGUERAND
International............. 2
France.......................... 6
Soci•t•......................... 8
Carnet...........................10
Abonnements............10
R•gions.........................11
Horizons......................12
Entreprises .................15Communication........17Tableau de bord........17
Aujourd'hui................ 20
M•t•orologie............. 23
Jeux............................... 23
Culture......................... 24
Guide culturel............ 26
Radio-T•l•vision....... 27
Une fragile alternance
en BelgiqueDANS UN PAYS europ•en nor-
mal, l'alternance politique est en g•n•ral porteuse d'espoir et de renouveau. Le pouvoir ancien, us• par de trop longues ann•es d'exercice des responsabilit•s, va puiser dans l'opposition l'•nergie de sa r•novation et s'attache faire •merger des personnalit•s susceptibles d'entamer la re- conqu-te des •lecteurs. L'an- cienne opposition apprend la " culture de gouvernement » en exerØant l'art dif®cile de concilier ses promesses •lectorales avec les r•alit•s : faibles marges d'ac- tion budg•taire, contraintes li•es la construction europ•enne, pe-
santeurs nationales.Mais la Belgique n'est pas un
pays normal. Son espace poli- tique est d'une complexit• telle que le scepticisme reste domi- nant sur la capacit• de la nou- rives apparues lors des diverses crises qui ont secou• le royaume au cours des trois derni˜res ann•es.A premi˜re vue, le gouverne-
ment qui vient d'-tre form• enBelgique (Le Monde du 13 juilet)
d'une rupture historique dans la tradition politique du pays : pourla premi˜re fois depuis plus d'un demi-si˜cle, la composante chr•- tienne-sociale est absente de tous les niveaux de pouvoir ± f•- d•ral, r•gional et communau- taire. S•v˜rement •trill•s lors des •lections g•n•rales du 13 juin, dites " •lections dioxine », les partis chr•tiens-sociaux ¯amands et francophones sont renvoy•s dans l'opposition, seuls en Wallo- nie et en la sulfureuse compagnie du x•nophobe et s•paratisteVlaams Blok en Flandre.
La famille lib•rale est devenue
la plus importante l'•chelle na- tionale, donnant la Belgique un nouveau premier ministre, le bril- lant avocat gantois Guy Verhof- stadt, qui a su se d•faire de l'image d'ultralib•ral doctrinaire qui l'avait fait surnommer na- gu˜re " Baby Thatcher ».Cþt• francophone, Louis Mi-
chel, successeur de Jean Gol (le dirigeant charismatique du Parti r•formateur lib•ral, d•c•d• en1995) parvient faire revenir la
diplomatie belge dans le giron des francophones, ce qui n'•tait pas arriv• depuis deux d•cennies.Luc Rosenzweig
Lire la suite page14
A la recherche des disparus, prisonniers et autres oubliés du KosovoBELGRADE
correspondance " Le plus maltraité d'entre nous fut RexhepDeme Mushakaz, un homme d'une cinquan-
taine d'année du village de Trubohoeve. Parce qu'il était sourd-muet. On ne sait pas s'il est mort ou vivant. » Depuis lundi 12 juillet, on devrait pouvoir répondre à cette interroga- tion de Hajredin Mavraj, qui fut détenu avec l'invalide avant d'être relâché le 25 juin, tout comme un groupe de 166 autres Albanais duKosovo. Car lundi, le ministère serbe de la
justice a en®n remis au CICR une liste de1919 noms : ceux de Kosovars albanais tou-
jours détenus dans ses prisons de SerbskaMitrovica, Pozarevac, Nis, Zajecar ou Lesko-
vac. En soustrayant leurs noms des listes de ceux qui sont portés disparus au Kosovo, leCICR pourra donner, " dans quelques se-
maines peut-être »,une première indication sur le nombre des Albanais effectivement " disparus » au Kosovo, c'est-à-dire, dans la plupart des cas, tués. " Ce qui devrait faire un très gros dossier sur le plan numérique »,comme le dit Dominique Dufour, chef de la délégation du CICR basée à Belgrade. M. Dufour ne con®rme pas lechiffre de 8 000 " disparus » qui circule. Mais il n'exclut pas non plus que le tableau ®nal puisse être comparable à celui de Bosnie, où le nombre de " disparus » approcherait au- jourd'hui des 20 000. Seule certitude, le dé- compte des charniers qu'on continuera sans doute longtemps à découvrir au Kosovo ne permettra pas de retrouver tous les morts : trop d'indications existent sur le souci de ca- mou¯er ceux-ci, sur les cadavres déterrés et, par exemple, emportés par camions réfrigé- rés vers la Serbie.Parmi ceux qui ont la chance relative d'être
aujourd'hui en vie dans des prisons serbes, près de la moitié, soit un millier, furent arrê- tés avant le début des frappes de l'OTAN et ont déjà, généralement, été condamnés. D'autres y furent transférés juste avant l'arri- vée de la KFOR, comme les 166 libérés du25 juin, qui ne furent jamais jugés. La plupart
des ces derniers étaient restés, du 11mai au11juin, dans la terrible prison de Pec que le
CICR n'a jamais pu visiter durant les frappes
de l'OTAN. Ils en ont gardé leur aspect famé- lique et leurs cicatrices aux poignets. " Coups de matraques, de crosses, têtes co-gnées deux à deux ou contre les vitres, oreillesbrûlées, savon qu'on devait ingurgiter : on a
encore tout subi durant le transfert en Serbie, et le sourd-muet a encore souffert le plus »,ra- conte Hajredin Mavraj. Une fois pris en charge par des of®ciers en Serbie, ces166 hommes, agés de treize à plus de
soixante-dix ans et dont aucun n'a pu être ac- cusé d'appartenir à l'UCK ni condamné, furent relativement mieux traités. Est-ce le cas de tous les prisonniers en Serbie ? Furent-ils libérés parce qu'ils étaient les moins susceptibles d'être condamnés pour appartenance à l'UCK, ou parce qu'ils étaient les moins mal en point ?La politique du CICR est de ne pas parler
de l'état des prisonniers qu'il rencontre. Le problème de fond est qu'aucune amnistie n'est prévue pour eux dans l'accord signé avec Belgrade, " qui laisse en suspens tant de points cruciaux pour l'avenir »,souligneM. Dufour. Des tribunaux, comme celui de
Nis, continuent d'ailleurs à condamner des
Albanais à de longues années de prison pour
" terrorisme » ou " recrutement dans une or- ganisation terroriste »,c'est-à-dire l'UCK.Sonia PetrovicL'ÉTÉ FESTIVAL
Avignon sansfrontières
Deux fròres, des jumeaux, la guerre, et
puis le rideau de fer. Le jeu stylisï des jeunes acteurs chiliens de La Troppa frappe juste, avec Gemelos,adaptation pour la scòne du livre de la BulgareAgota Kristof Le Grand Cahier.Le Festi-
val fait aussi place ì la danse. Sur terre, de Sasha Waltz, conAErme le talent de la crïatrice allemande. p. 24-25DEPUIS 1994, le nombre de per-
sonnes agress•es Paris lors de la ment. Cette ann•e, alors que le bi- lan of®ciel faisait •tat de dix per- sonnes bless•es qui ont d•pos• plainte, les services d'urgence de quatre hþpitaux du centre de la capitale ± Hþtel-Dieu, Saint-An- toine, Saint-Louis et La Piti•-Sal- p-tri˜re ± ont accueilli quatre- vingt-treize personnes agress•es.A lui seul, le service d'urgence de
l'Hþtel-Dieu en a reØu quarante- cinq, contre vingt dans la nuit du21 au 22 juin 1998. Le m-me ph•-
nom˜ne avait •t• observ• la suite de la Techno Parade, dans la nuit du 19 au 20 septembre 1998, o les hþpitaux concern•s avaient accueilli une centaine de per- sonnes agress•es.Lire page 28
1euro = 1dollar
FIN 1998, le pr•sident de la
Banque centrale europ•enne,
Wim Duisenberg, craignait que
l'euro naissant soit sur•valu•. Au- jourd'hui, c'est l'inverse qui se produit. Lanc•e 1,17dollar, la monnaie europ•enne ne valait plus, mardi 13 juillet, que 1,01dol- lar. Cette baisse repr•sente une aubaine pour les entreprises ex- portatrices de la zone euro.Lire page 15
WIM DUISENBERG
Jacques Chirac : la cohabitation jusqu'à quand ?bPressé par son camp d'en découdre avec M. Jospin, le président veut préserver son rôle
de " rassembleur » bIl n'entend pas, pour l'heure, sortir de la cohabitation, comme l'y inviteM. Giscard d'Estaing
bMais il reproche au gouvernement la timidité de ses réformesMoscou : l'argent
détourné du FMI aLE FMI (Fonds mon•taire
international) devait se r•u- nir Washington, mercredi 14 juil- let, pour avaliser un nouveau pr-t la Russie, d'un montant de
4,5 milliards de dollars. Cette r•u-
nion devrait -tre report•e. Le conseil d'administration du FMI attend en effet les conclusions de deux audits command•s un cabi- net ind•pendant. Le premier porte sur la gestion des r•serves de l'Etat russe, via une soci•t• offshore deJersey, entre 1993 et 1998 ; le se-
cond sur l'utilisation r•elle du pr•- c•dent pr-t, qui date de 1998. Dans les deux cas, les dirigeants de laBanque centrale de Russie sont
soupØonn•s d'•vasion de capitaux.Les sommes atteindraient des cen-
taines de millions de dollars.Lire page 2
et notre ïditorial page 14LE PRÉSIDENT de la R•publique
devrait saisir l'occasion de son in- tervention t•l•vis•e, mercredi14 juillet, pour r•pondre ceux qui,
dans l'opposition, l'invitent durcir la cohabitation et bousculer les •ch•ances •lectorales. On consid˜re l'Elys•e que cette strat•gie, d•fen- due notamment par l'ancien pr•- sident Val•ry Giscard d'Estaing dans un entretien au Monde, est pr•matur•e. Sensible aux enqu-tes d'opinion selon lesquelles le pr•- sident doit -tre un rassembleur,Jacques Chirac veut au contraire
tous les Français ». Pour autant, il doit tenir compte du d•sarroi de l'•lectorat de droite, apr˜s les •checs successifs de son camp. Le chef de l'Etat devrait donc se d•- marquer plus nettement du gouver- nement en l'accusant d'" immobi- lisme » un moment o, af®rme-t-il, le retour de la crois- sance devrait permettre d'engager des r•formes de structures, notam- ment sur les retraites ou la ®scalit•." Le jeu est dif®cile », observait le porte-parole du RPR, Patrick De- vedjian, mardi 13 juillet sur RTL. Le rþle du pr•sident, disait-il, est " d'assurer le bon fonctionnement des institutions mais il peut montrer aussi qu'il est différent » du premier ministre.M. Chirac entend ®xer un rendez-
vous au gouvernement pour tirer le bilan de son action et dresser, dans le m-me temps, celui de la cohabi- tation. Le moment choisi pourrait -tre la ®n de l'ann•e. Il sera temps, alors, de r•¯•chir l'instauration du quinquennat que pr•conisent les chefs de partis de l'opposition.Pendant ce temps, le gouverne-
ment continue engranger les bons indices •conomiques. Avec une progression de 0,3 % sur les douze derniers mois ± qui s'explique par une baisse des prix des produits frais et un repli des prix p•troliers ±, l'in¯ation reste un niveau histo- riquement bas.Lire pages 6 et 28
LeMondeJob: WMQ1407--0002-0 WAS LMQ1407-2 Op.: XX Rev.: 13-07-99 T.: 10:58 S.: 111,06-Cmp.:13,11, Base : LMQPAG 15Fap: 100 N
o : 0414 Lcp: 700 CMYK 2INTERNATIONAL
LE MONDE / MERCREDI 14 JUILLET 1999
M. Loujkov courtise
M. Primakov
Depuis des semaines Iouri
Loujkov courtise Evgueni Prima-
kov, premier ministre de sep- tembre1998 mai 1999. Le maire de Moscou a fait savoir, lundi12 juillet, que c'est " le rêve de
toute organisation politique d'ac- cueillir une telle personnalité ».Le m-me jour, un responsable
de son parti La Patrie proposait l'ex-premier ministre d'en de-
venir la t-te de liste aux •lec- tions l•gislatives de d•cembre.En cas de succ˜s, M. Primakov
pourrait devenir pr•sident de laDouma. Le maire de Moscou
tente de b•n•®cier de la popula- rit• intacte de M. Primakov tout en l'•cartant de la comp•tition de t•l•vision NTV, M. Primakov emporterait largement l'•lec- tion pr•sidentielle. A la mi-juin, interrog• sur une possible can- didature, il avait d•clar• "ne rien exclure ».MOSCOU
de nos correspondantsL'affaire empoisonne, depuis des
mois, les relations entre la Russie et les organismes ®nanciers interna- tionaux. La gestion des r•serves mon•taires du pays par la banque centrale de Russie a-t-elle donn• lieu, de 1993 1998, des malversa- tions et au d•tournement de cen- taines de millions de dollars ? Plu- sieurs documents le laissent supposer, m-me si l'opacit• entrete- nue par les autorit•s russes ne per- met pas de d•tailler des op•rations®nanci˜res complexes.
Ce dossier a •t• abord• lors de la
visite du premier ministre LionelJospin Moscou, le 2 juillet. Il est
r•guli˜rement •voqu• par les parle- mentaires am•ricains. Le Fonds mo- n•taire international (FMI) s'est abstenu de toute d•claration pu- conseil d'administration devait se r•unir initialement, mercredi 14 juil- let Washington, pour avaliser le d•blocage d'un nouveau pr-t de4,5 milliards de dollars Moscou.
La r•union pourrait -tre report•e
au 20 juillet. Le FMI attendait, les conclusions d'audits de la Banque centrale de Russie, command•s au cabinet Price Waterhouse Coopers, et une " d•claration de politique •conomique » commune la banque centrale et au gouverne- ment russes. Des premiers •l•ments d'enqu-te, transmis au FMI, l'ont incit• demander plus d'explica- tions, a reconnu le 5 juillet OlegViouguine, vice-ministre des ®- nances. Selon le Washington Postdu30 juin, l'audit r•v˜lerait qu'en 1996,
la banque centrale a sous-•valu• de1milliard de dollars le montant de
ses r•serves en devises communi- qu• au FMI. Plusieurs autres op•ra- tions seraient point•es. Viktor Gue- rachtchenko, qui dirigea la Banque centrale jusqu'en 1994 ± et qui en est nouveau le pr•sident, de- puis septembre 1998 ± nie en bloc les accusations de malversations, mais refuse de rendre publiques les diff•rentes expertises. Les agissements suspects de laBanque centrale de Russie ont •t• r•v•l•s le 1 er f•vrier par le procureur g•n•ral Iouri Skouratov, dans une lettre adress•e la Douma (LeMonde du 9 f•vrier). M. Skouratov,
suspendu depuis de ses fonctions par Boris Eltsine, expliquait que, de1993 1998, la Banque centrale a
con®• la gestion de tout ou partie de ses r•serves mon•taires une obscure soci•t• off-shore, Fimaco,Jersey, un paradis ®scal. Fimaco, au
capital de 1000 dollars, a g•r• par procuration " des r•serves en de- vises, des cr•dits du FMI et des bonsdu tr•sor »pour un montant total de 50 milliards de dollars, •crivait le procureur. M. Skouratov ajoutait que des responsables de la banque et des hommes politiques •taient soupØonn•s de d•tournements et de d•lits d'initi•s lors de la crise ®- nanci˜re de l'•t• 1998.quotesdbs_dbs42.pdfusesText_42[PDF] Education-civique. Chapitre n L enfant
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