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La passagère

28 janv. 2021 en rien un détail de l'Histoire. Voici: Nul ne connaîtrait la magie des boules sans la bougie des mâles. Nous vous laissons y réfléchir.



RROSE SÉLAVY DE ROBERT DESNOS : À LA RECHERCHE DU

Certaines formules montrent l'attitude triomphaliste du mâle: « Nul ne connaîtrait la magie des boules sans la bougie des mâles » (nº 84).



RROSE SÉLAVY DE ROBERT DESNOS : À LA RECHERCHE DU

Certaines formules montrent l'attitude triomphaliste du mâle: « Nul ne connaîtrait la magie des boules sans la bougie des mâles » (nº 84).



POÉSIES COMPLÈTES

Je pars mourir au loin dans une auberge. D'une ville où personne ne me connaîtrait. Que seul le vieux chant du souvenir m'accompagne.



Le jeu de mots

Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de Nul ne connaîtrait la magie des boules sans la bougie des mâles34.



Le jeu de mots

Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de Nul ne connaîtrait la magie des boules sans la bougie des mâles34.



Antoine de Saint-Exupéry - Terre des hommes BeQ

Tu t'es roulé en boule dans ta sécurité séché et s'est durcie



La poétique de lespace dans loeuvre dEdouard Glissant: La

25 sept. 2015 terre et ses hommes pourront enfin se lever et déchirer la face obscure du ... ne voit plus Toussaint nul ne voit l'avenir dans l'étendue ...



Untitled

DES PLANTES ET DES HOMMES 15. LES AROMATIQUES. LA LAVANDE ne histoire sans âge rapporte d'ailleurs qu'elle y serait née de façon légendaire.



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du monde sans laquelle les symboles de la science ne vou- draient rien dire. qu'il ne tient rien pour acquis de ce que les hommes ou les.

Pourquoi les bougies sont-elles importantes?

Plus le corps de la bougie est grand, plus la pression du marché est importante, les bougies avec des corps importants et des mèches inférieures à la taille de leur corps sont révélatrice de mouvement directeur.

Comment faire une boule magique?

Situation 2 POUR ALLER VERS UN PROJET COLLECTIF La boule magique Organisation : en cercle, sans se donner la main, à 2m de distance. Objectif : faire voyager chacun à son tour une boule imaginaire (varier les hauteurs haut/bas, devant/derrière, côtés et la vitesse…).

Comment savoir si une bougie est morte ?

Si de la « graisse » qui s’agglomère autour de la mèche d’une bougie constitue un « linceul », annonçant la mort de quelqu’un dans la maison. Si on constate une incandescence à l’extrémité de la mèche cela révèle une nette amélioration pour ce qui est du succès ou de la chance dans la vie.

Quel est le rôle des bougies en magie ?

Plus précisément on s’attachera principalement au mouvement de la flamme ainsi qu’a son intensité et sa couleur. Les bougies sont très souvent utilisées en magie où elles représentent l’élément du feu lors des sortilèges. Leur rôle est essentiel, elle permettent « d’ouvrir une porte » entre le monde astral et le monde réel.

MAURICEMERLEAU-PONTY

Phénoménologie

de laperception

GALLIMARD

Ce livre ainiualementparu-dans la

"Bibliothèquedes Idées» en 1945.

©Éditions Gallimard, 1945.

AVANT-PROPOS

Qu'est-ceque laphénoménologie?Ilpeutporaüreétrangequ'on ait encore

àposer cettequestionundemi-siècleaprès

lespremierstravauxde Husserl. Elle estpourtantloin d'êtrerésolue. Laphénoménologie,c'estl'étudedesessences,ettous lesproblèmes,selon elle,reviennent

àdéfinirdes essen

ces:l'essencede laperception,l'essence de laconscience,

par.exemple.Mais laphénoménologie,c'estaussiune philosophiequi replace les essences dansl'existenceet ne pensepasqu'onpuissecomprendrel'hommeet lemondeautre

mentqu'àpartirde leurcfacticité».C'est unephilosophietranscendantalequi

metensuspenspour lescomprendrelesaffirmationsdel'attitudenaturelle,maisc'estaussiunephilosophiepour laquelle lemondeesttoujours

cdéjà là» avantlaréflexion,commeune présence inaliénable, etdonttoutl'effortest deretrouver cecontactnaïfavec lemonde bitiond'unephilosophiequi soit unecscienceexacte». maisc'estaussiuncompterendu de l'espace, dutemps,du

mondecvécus».C'est l'essaid'unedescriptiondirecte denotreexpériencetelle qu'elle est, et sansaucunégard

àsagenèsepsychologiqueet auxexplicationscausales que lesavant,l'historienou le sociologuepeuventenfournir,etcependantHusserl,dans ses dernierstravaux,mentionneune

cphénoménologiegénétique»(1)etmêmeune cphé

noménologieconstructive»(2).Voudra-t-onlever ces contradictionsendistinguantentre laphénoménologiede Husserl et celle de Heidegger?

MaistoutSeinundZeitestsortid'uneindicationde Husserl etn'esten sommequ'uneexplicitationdu ctuitiirlichenWeltbegriff»ou ducLebensuielt:. que Husserl,àla fin de sa vie,donnaitpourthèmepremier àlaphénoménologie,de sorte que lacontradictionreparaît (1)Méditatton$pp.120elsuivantes, Il

AVANT-PROPOSAVANT-PHOPOSln

renonceradcirconscrireune doctrine quiatoutdit et sedemanderasi unephilosophiequi n'arrive pas dsedéfinir méritetoutlebruitqu'onfaitautourd'elle et s'il nes'agit pasplutôtd'unmytheetd'unemode.Même s'il en était ainsi, ilresterait

àcomprendrele prestige de ce

mytheetl'originede cette mode, et lesérieuxphilosophiquetraduiracettesituation pratiqueretreconnaîtrecomme manièreou commestyle,elle existe commemouvement, avant

enroutedepuislongtemps,ses disciples laretrouventpartout,dans Hegel et dans Kierkegaardbiensûr,maisaussidans Marx, dansNietzsche,dans Freud. Uncommentairephilologiquedestextesnedonneraitrien:nousnetrouvons dans lestextesque

ceque nous y avonsmis,etsijamaishistoire

aappelénotreinterprétation,c'estbien l'histoire de laphilosophie.C'est ennous-mêmesquenoustrouveronsl'unitéde laphénoménologieet son vraisens.

La questionn'estpas tant decompterlescitationsque de fixer etd'objectivercettephénoménologiepournousqui faitqu'en lisantHusserlou

Heideçqer,plusieursde noscontemporains

onteulesentimentbienmoinsderencontrerune philosophienouvelleque dereconnaîtrecequ'ifsattendaient.La

phénoménologien'estaccessible qu'à uneméthodephénoménologique.Essayonsdonc denouerdélibérémentles fa

meuxthèmesphénoménologiquescomme ils sesontnouésspontanémentdans la vie.Peut-êtrecomprendrons-nousalorspourquoilaphénoménologieestdemeuréelongtemps

àl'étatdecommencement,deproblèmeet devoeu. Il s'agitdedécrire, et nonpasd'expliquernid'analyser.

Cettepremièreconsigneque Husserldonnait

àlaphénoménologiecommençanted'être une "psychologiedescriptive ouderevenircauxchosesmêmesli,c'estd'abordle désaveude la science. Je nesuis pas lerésultatoul'entrecroisementdesmultiplescausalitésquidéterminent moncorps oumon cpsychismeli,je nepuis pasmepensercommeune partie dumonde,commelesimpleobjetde la biologie, de lapsychologie etde la sociologie,nifermersurmoil'universde lascience.Tout ceque je sais dumonde,mêmepar science,je le sais àpartird'unevuemienneoud'uneexpériencedumondesans laquelle lessymboles delasciencene voudraientrien dire.Toutl'universde la science estconstruit surlemondevécu et si nousvoulonspenserlascienceelle

mêmeavecriçueur,enapprécierexactementle sens et laportée, ilnousfaut réveiller d'abord cetteexpérience

du

mondedontelle estl'expressionseconde. La science n'a pasetn'aurajamaislemêmesens d'être que lemondeperçupour lasimpleraison qu'elle en est unedétermination

ou uneexplication.Je suisnonpasun cêtrevivant:1>oumême

un chomme:1>oumême"une conscienceli,avectouslescaractères que la zoologie,l'anatomiesociale ou lapsychologieinductivereconnaissent

àcesproduitsde lanatureou del'histoire,-

jesuis la source absoluemonexistencenevientpas de mesantécédents,de monphysique et social, elle va vers eux et lessoutient,car c'est moi qui [ais être pour moi (et donc être au seul sens que lemot puisseavoirpourmoi)cettetraditionquejechoisisdereprendreou cethorizondont ladistance

àmois'effondrerait,puisqu'ellene luiappartientpascommeune propriété, si jen'étaislà pour laparcourir

duregard.Les vuesscientifiquesselonlesquelles jesuisunmoment

dumondesonttoujoursnaïvesethypocrites,parcequ'ellessous-entendent,sans lamentionner,cetteautrevue, celle de la conscience, par laquelle d'abord unmondese disposeautourde

moietcommenceàexisterpour moi.Revenir auxchosesmêmes,c'estreveniràce mondeavantlaconnaissancedont laconnaissanceparle toujours,etàl'égardduqueldéterminationscienti·[ique estabstraite,signitive etdépendante,commela géographie àl'égard du paysageoùnous avonsd'abordappris ceque c'estqu'uneforêt, une prairie ou unerivière.

àlaconscienceetl'exigence d'unedescriptionpureexclutaussibien le procédé del'analyseréflexiveque celui de l'explicationscientifique.Descartes etsurtoutKant ont

déliéle sujetoulaconscienceenfaisant voir quejenesauraissaisiraucunechosecommeexistantesi d'abord

jenem'éprouvaisexistantdans l'acte de la saisir, ils ont faitparaîtrelaconscience,l'absoluecertitudede

moipourmoi,commelaconditionsans laquelle il

n'yaurait rien du tout etl'actedeliaisoncommelefondementdu lié. Sans doute l'acte deliaisonn'estrien sans le spectacle du mondequ'illie,l'unitéde laconscience,chez Kant, estexactementcontemporainede

l'unitédumonde,et chez Descartes le douteméthodique nenousfait rien perdre puisque lemondeentier,aumoins àtitred'expériencenotre, estréintégréauCogito,certainavec lui, etaffectéseulementde l'indice"pensée de...:1>Mais

IVAVANT-PROPOSAVANT-PROPOS

v lesrelationsdusujetet dumondenesontpasrigoureuse

mentbilatérales:si ellesl'étalent,lacertitudedumondeserait d'emblée, chezJescartes,donnée avec celle du

Co gitoetKant ne parlerait pas decrenversementcopernicien :..L'analyseréflexive,àpartir de notreexpériencedumonde,remonteausujetcomme

àuneconditionde possibilitédistincted'elle et fait voir lasynthèseuniversellecommece sans quoi il

n'yaurait pas demonde.Dans cettemesure,elle cessed'adhérer

ànotreexpérience,ellesuèstr

tueàuncompte-.rendu unereconstruction.Oncomprendpar là que Husserl ait pu reprocher

àKant uncpsychotogisme desfacultésde

l'âme:.(1)et opposer,àuneanalysenoétiquequi fait reposer lemonde surl'activitésynthétiquedusujet,sa

"réflexionnoématique:.quidemeuredansl'objetet enexplicitel'unitéprimordialeau lieu del'engendrer.

Lemondeest là avanttouteanalyse que jepuisseenfaire et il seraitartificielde le faire dériverd'unesérie desynthèsesquirelieraientlessensations,puis lesaspectsperspectifsdel'objet,alors que les unes et les autressont

justementdesproduitsde l'analyse et nedoiventpas êtreréalisés avant elle.L'analyseréflexivecroitsuivreen sensinverselechemind'uneconstitutionpréalable etrejoindredans

cl'hommeintérieur:.,commedit saintAugustin,un

pouvoirconstituantluiatoujoursaélui.Ainsilaréflexions'emporteelle-mêmeet se replace dans unesubjectivitéinvulnérable,en deçà de l'être et dutemps.

.Maisc'est là unenaïveté,ou, si l'on préfère, une réflexionincomplètequiperd conscience de son proprecommencement.J'aicommencéde

réfléchir,maréflexionestréflexionsurunirréfléchi,ellene peut pass'ignorerelle-mêmecommeévénement,dès lorselles'apparaîtcommeune véritablecréation,commeunchangementdestructurede la conscience, et

Uluiappartientdereconnaîtreen deçà de ses propresopérationslemonde quiest donné ausujetparce que lesujetestdonné à lui même.Le réel est à décrire, et non pasàconstruireouà

constituer.Celaveutdire que je ne peux pasassimilerlaperceptionauxsynthèsesqui sont de l'ordre dujugement,des actes ou de la prédication. A chaque

momentmonchampperceptifestremplidereflets,decraquements,d'impressionstactilesfugaces que je suis hors d'état de relier précisémentaucontexteperçu et quecependantje

placed'emblée dans lemonde,sans lesconfondrejamaisavec mes

rêveries.A chaqueinstantaussi je rêveautourdes chosesj'imaginedesobjetsou des personnes dont laprésence

ici pasincompatibleavec lecontexte,etpourtantilsnese melentpasaumonde,ils sont en avant dumondeSur le de!'imagrnaire.Si.la réalité demape;ceptinnn sentatlOnselle deoraitêtretoujourshésitanteet livré

àconjecturesprobables, je devrais àm~ment

def?lresynthèsesillusoi:esetréintégrerau réel desphenomenesaberrantsque

J'enaurais d'abordexclusIl

n'enest rien. Le réel est untissusolide iln'attendpas .t'' ]ugemen. s pours.annexerph.énomènes lesplussurpre-nants mpourrejeternoslmagznationsles plusvraisemblables. Laperceptionn'estpas une science du mondece n'estpasmêmeun acte, une prise depositiondélibérée, 'elleest le fond surlequeltous les actes sedétachentet elle est présupposéepar eux. Lemonden'estpas unobjetdontjepossede par devers moila loi deconstitutionilest lemi lieunaturelet lechampdetoutesmesetdetoutes mesexpl!cite~.La véritén'chabitepas seulement1 a'umondec'estdans lemonde fJu'ilseconnaît.Quand je reviens ààpartirdu dopmahs:nedesenscommun.oududogmatismede lascience, Je!rouvenonpas un foyer devéritéintrinsèque, marsunsuietvoué aumonde. VOI:tparlàvrai sens de la célèbreréductionphênoménoloçique.

Il .nyflsans doute pas dequestionsurla

Husserlaitmrsplusdetempsàsecomprendreluimeme,-pas de.questionaussi cproblématiquedelaréduction• occupedan.slesinéditsune placeimportante.Pendantlongtemps,

Jusque dans destextesrécents,laréductionestpresenteecommeleretourà une consciencetranscendmztaledevantlaquelle lemondese déploie dans uneiranspa

absolue,animéde part en part par une séried'aperceptl.ons que lephilosopheserait chargé dereconstituerà parti» deleurrésultat.Ainsimasensationdu rouge est aperçuecommed'un certain rougesenti,ce lUI-Clman.lfcstatlOn d'unesurfacerouqe, celle-cicomme mamfestahond'uncarton rouge, et celui-cienfin VI

AVANT-PBOPOSAVANT-PROPOSVII

-commemanifestationouprofild'unechose rouge, de celivre. Ce serait doncl'appréhensiond'unecertaine

hylè commesignifiantunphénomènede degrésupérieur,la

Sinn-gebung,l'opérationactive de signi'fication quidéfinirait la conscience et lemondene serait riend'autrequela

serait idéaliste commeune unitédevaleurindiviseentrePaul et Pierre dans laquelle leursperspectivesserecoupent, et qui fait lac.consciencede»et la cconsciencede Paul»,parce que laperceptl"Ondumonde cparPierre»n'estpas le fait de Pierre, ni laperceptiondu mondecparPaul»le fait de Paul,maisenchacund:eu:z:le fait deconsciences préperson:ze!lesdontl? nefait pasproblème,étantexiçeepu.rladéiinition~e la conscience,dusensou delaoérité.Entantque Jesms pourmoi, Jenesuisniici,nilà, ni Pierre,:ziPaul,nemedistingue enriend'unecautre»conscience,puisque noussommestous des présencesimmédiatesaumondeetque cemondeest pardéfinitionunique,

étantlesystème

mondede sonopacité et de satranscendance.Le mondeest celamêmequenousnousreprésentons,nonpascomme hommesoucommesujetsempiriques,maisentant

quenoussommestous une seulelumièreet quenousparticiponsàl'Un sans le diviser.L'analyseréflexiveignore leproblèmed'autruicommele problème

dumondeparcequ'ellefaitparaîtreenmoi,avec lapremièrelueurde conscience, lepouvoird'alleràune

véritéuniverselleen droit,et quel'autreétantlui aussi sans eccéité,sansplace etsanscorps,.l'Alteret l'Egosont

unseul dans lemondevrai lien des con:mentJepuispenserAutruiparce que le Je et par conséquentl'Autre nesontpas pris dans letissudesphénomènes etvalentplutôtqu'ilsn'existent.Il n'yariende derrière ces visages ou ces gestes,aucunpaysage pourmot inaccessible,justeun peu d'ombre quin'estque par la lumière.PourHusserl, aucontraire,onsaitqu'ilyaun problèmed'autruiet l'alteregoest un paradoxe. Siautruiestvraimentpour soi, au-delà deson être pourmoi,et sinouesommesl'unpourl'autre,et non pasl'unetl'autrepourDieu il faut que

nousapparaissionsl'unàl'autre,ilfautqu'il'ait et que j'aie unextérieur,etqu'ily ait, outre laperspectiveduPourSoi,-

mavuesurmoiet la vue d'au-frui mavuesurAutruiet la vued'Autruisurmoi.Bienenten du,cesdeuxperspectives,enchacundenousnepeuventpas êtresimplementjuxtaposées, caralorsn'estpas moiqu'autruiverraitet cen'estpas lui que jeverrais.Il faut que je soismonextérieur,et que le corpsd'autruisoitlui-même. Ceparadoxe et cettedialectiquede l'Ego et del'Alternesontpossiblesque si l'Ego etl'AlterEgo sont définispar leursituationetnon pas libérésdetouteinhé rence,c'est-à-diresi laphilosophienes'achèvepas avec leretour aumoi,et sijedécouvre par laréflexionnonseule mentmaprésenceàmoi-mêmemaisencore lapossibilitéd'un cspectateurétranger>,c'est-à-dire encore si, aumo

mentmêmeoùj'éprouvemonexistence,etjusqu'àcettepointeextrêmede laréflexion,jemanqueencore

decettedensitéabsolue quimeferaitsortirdutempsetjedécouvreen moi unesortede faiblesseinternequim'empêched'être 'absolumentindividuetm'exposeau regard des aut.rescomme unhommeparmileshommesouaumoinsune conscienceparmilesconsciences.Le

Cogitojusqu'àprésentdévalorisaitlaperceptiond'autrui,ilm'enseignaitquele Jen'estaccessible qu'àlui-même,puisqu'il

me définissaitparla pensée que j'ai demoi-mêmeet quejesuisévidemmentseulàen avoiraumoinsdans cesensultime.Pourqu'autruinesoit pas unvainmot,ilfaut quejamais monexistencene se réduiseàlaconscienceque j'aid'exister,qu'elleenveloppeaussilaconsciencequ'onpeutenavoiret donc monincarnationdans unenatureet lapossibilitéaumoinsd'unesituation bistorique.

LeCogitodoit medécouvrirensituation,etc'estàcetteconditionseulementque lasubjectivitétranscendantalepourra,commele dit Husserl

(1),êtreuneintersubjectivité.Comme Egoméditant, jepeuxbiendistinguerdemoilemondeet les choses,puisqueassurémentjen'existepas lamanièredes choses. Je doismêmeécarter demoimon corpsentenducommeune choseparmileschoses,comme unesommede processusplnjsico-chimiquee.Mais lacogi

tatioquejeâécounreainsi, si elle est sans lieu dans letempset l'espaceobjectifs,n'estpassansplace dans lemondephénoménologique.Lemondeque

jedistinguaisde moicommesommede choses ou deprocessusliés par desrapportsdecausalité,je leredécouvre "enmoicommel'horizonpermanentdetoutes mescogitationesetcomme nomenoloqie,III.(inédit), VIII

AVANT-PROPOSAVANT-PHOPOSIX

unedimensionparrapportàlaquellejenecessede mequotesdbs_dbs44.pdfusesText_44
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