[PDF] LA COORDINATION EN MATIERE DE FLUX LOGISTIQUES ET LA

View - Download LA COORDINATION EN MATIERE DE FLUX LOGISTIQUES ET LA

Previous PDF

Next PDF

63
LA COORDINATION EN MATIERE DE FLUX LOGISTIQUES ET LA

QUELLE PLACE POUR LES TE

ET DE LA COMMUNICATION (T.I.C) ?

Khalid ROUGGANI

Majda GOURIRE

Université HASSAN I Settat

Résumé

de tous les processus intégrés à l'activité de l'entreprise et de l'ensemble de ses

partenaires/associés. Il s'agit principalement de coordonner, piloter et de maîtriser parfaitement l'ensemble des flux (horizontal, vertical, transversal) tout au long de la chaîne nt (fournisseurs de ses fournisseurs jusqu'aux clients de ses propres qualité est essentielle pour assurer un pilotage efficace. Cette coordination et de pilotage sont .I.C.

Les T.I.C sont devenues des facteurs clés de succès, elles contribuent à la compétitivité des

entreprises. En science de gestion, plusieurs recherches ont été élaborées sur la relation de ces

technologies et la performance des organisations, ces différentes études ont aboutis à des résultats contradictoires. .I.C à la coordination des

Mots-clés

Coordination, pilotage, flux logistiques, T.I.C, performance organisationnelle. 64

INTRODUCTION

Dans un contexte économique de plus en plus difficile et compétitif, nombreuses sont

commerciales. Dans cette perspective, la réduction des coûts et la productivité sont des

élémen

nombreuses méthodes, reposant sur des techniques de gestions, à la fois ancestrales et

omme Toyota, ou

encore Nissan, ont pu gagner des parts de marchés hors Asie, dans les années 1970 en

appliquant des méthodes comme le juste-à-temps, ce qui a contribué à réduire

considérablement le niveau des stocks et à rentabiliser la gestion. Cette méthode est basée sur

bonne coordination des flux logistiques et maitrisée par des outils informatiques. pilotage de la supply chain, à travers une gestion efficace des flux physiques et des flux

événements engendrés par la mondialisation des échanges, les entreprises ont eu tendance à se

recentrer sur leur métier de base. Des pans entiers de leur chaîne de valeur se retrouvent les types de situations organisati

de relier et de maîtriser une activité autrefois intégrée mais qui conserve plus que jamais son

Clinton, 1996 ; Shen, 1996). La gestion intégrée de la supply chain passe par un pilotage

simultané de la chaîne physique et de la chaîne virtuelle (Jobin et al, 1997). Même si les flux

de produits ou de matières peuvent être considérés comme les principaux éléments à gérer, les

pilotage efficace de la chaîne virtuelle permettra de réduire les erreurs, les coûts et les délais.

simple support aux flux physiques et sont porteurs de leur propre valeur ajoutée. Ils

deviennent la cl

et leur évolution représentent des éléments déterminants pour générer cette valeur. Le fait

āe encore la complexité et

de comprendre comment un SIL peut influencer et modeler les schémas organisationnels elle, le pilotage des différents flux 65
systèmes, complexes pour la plupart, modifient considérablement les pratiques de travail et génèrent, du même coup de profonds changements.

logistique a connu, lui aussi, un essor considérable. En effet, cette fonction cantonnée

s et

marchés ont énormément accentué et décuplé la nécessité pour les entreprises de devenir

compétitives.

La concurrence internationale oblige à la compétitivité, à la productivité, à la

clientèle, les entreprises cherchent à axer leurs efforts sur une meilleure coordination des

fonctions, de manière à favoriser la synchronisation des processus et la réduction des temps de

cycles de production des produits. management, en abrégé SCM, a pour objectif la coordination globale de la chaîne logistique.

de la chaîne logistique tout en veillant à son optimisation constante. La supply chain (chaîne

internes et externes de

1. La chaine logistique

interviennent dans les processus de fabrication, de distribution et de vente du produit, du premier des fournisseurs au client ultime.

1.1. Les définitions de la logistique et la chaine logistique

Plusieurs définitions existent concernant la chaîne logistique. Sur le site www.industrie.gouv.fr, on trouve la définition suivante : " la gestion de la chaîne logistique

globale, ou supply chain management (SCM), correspond à une pensée structurante pour

clients. Elle permet de mieux relier

acteurs de la chaîne logistique globale : détaillants, grossistes, distributeurs, fabricants,

producteurs, transporteurs, etc. » La norme X50-600 donne une définition de la fonction logistique : " La logistique est

une fonction dont la finalité est la satisfaction des besoins exprimés ou latents aux meilleurs

déterminé ». Comme logistique se déroule tout au long du cycle de vie du produit, suivant sept grandes étapes :

identifier, concevoir, développer, produire, vendre, soutenir et contrôler. Il permet au produit

66
Le système de pilotage du processus logistique et de ses composantes a pour objectif

la bonne réalisation des opérations logistiques, ainsi que leur interfaçage pour garantir la

continuité du processus, le contrôle de leur exécution, la correction et la prévention des

erreurs et dév La logistique nous amène à la notion de flux, les deux termes sont liés et indissociables. (R et S. Biteau

physiques dans une production industrielle : " un flux de production industrielle est un

matières premières ou composants (pouvant être des sous-ée chez

le client, éléments qui subissent des transformations et qui doivent répondre à une attente

extérieure ».

existe. La logistique concerne donc toutes les opérations déterminant le mouvement des

produits telles que : localisation des usines et entrepôts, approvisionnements, gestion des

stocks, manutention et préparation des commandes, transports et tournées de livraison » La logistique globale correspond à une fonction transversale en relation avec les autres nt la fonction qualité présente en tout point du flux. Dans le flux amont-aval, la logistique globale peut se décomposer en trois parties : la logistique des approvisionnements, la logistique industrielle ou de production et la logistique de distribution. Les activités de distribution physique reposent en effet sur des transactions nouées entre des distributeurs, des firmes manufacturières et des fournisseurs dont la qualité va conditionner ptimale entre les différentes

opérations commerciales et industrielles de manière que celle-ci ne soient déclenchées ni trop

exprimée. Les entreprises, en appliquant une politique logistique compétitive, peuvent réduire

leurs stocks intermédiaires et augmenter leur marge. eprises travaillent sur

Figure 1 : Une chaîne logistique de struc

Source : Maxime OGIER ,2013

67

1.2. Les flux logistiques

physique et financier. -Les flux physiques : matières premières, des composants ou des produit finis par exemple ; les flux concerter ; les flux financiers : ils circulent dans le sens inverse du flux physique et représentent la

valeur monétaire des ventes et achats effectués ; ils sont une résultante des flux physiques qui

ont transit dans le système. commerciales, notamment les commandes passées entre clients et fournisseurs. Une

commande comprend généralement la référence du produit, la quantité commandée, la date de

livraison souhaitée et le prix éventuellement négocié lors de la vente. : paramètres physiques du produit, gammes opératoires, capacités de production et éventuellement de transport, informations de suivi des niveaux de stock. Ces dernières sont de

fabrication de leur produit. De manière plus générale, le principe de traçabilité se traduit par

un droit de regard accru du client envers le fournisseur (Dupuy et al., 2004).

confidentialité entre acteurs. Par ailleurs, le problème de la qualité des données véhiculées

subsiste, et le risque existe que des décisions soient basées sur des données erronées ou

simplement périmées.

1.2.2 Le flux physique

Le flux physique est constitué par le mouvement des marchandises transportées et stades de produits semi-finis. Il just-à-dire les différents sites avec leurs ressources de production, les moyens de transports pour relier ces sites et les espaces de stockage nécessaires pour pallier les aléas et faire tampon entre deux activ diverses activités de manutention et de transformation des produits quel que soit leur état. Le flux physique est généralement considéré comme étant le plus lent des trois flux.

1.2.3. Le flux financier

Le flux financier concerne toute la gestion pécuniaire des entreprises : ventes des produits, achats de composants ou de matières premières, mais aussi des outils de production, de divers équipements, de la location d 68

service financier ou comptabilité, en liaison toutefois avec la fonction production par les

services achats et le service commercial. Sur le long terme, il correspond aussi aux investissements lourds tels que la construction de nouveaux bâtiments et de lignes de 1. Dans une chaine logistique, plusieurs acteurs interviennent pour la réalisation des logistique. *Le chargeur Généralement, le chargeur est défini comme toute personne physique ou morale qui

met matériellement les choses à transporter à la disposition du transporteur. Ainsi, en se

n chargeur est tout industriel, commerçant ou distributeur qui confie directement ou traite la fonction transport. Son intervention au niveau de la chaîne logistique est fonction de ses choix politiques et de ses moyens humains et matériels. *Le transporteur ou/et le prestataire logistique entreposage).

2. Les tec

Nous développons dans cette partie la définition, la genèse des TIC et leur utilisation dans les entreprises.

2.1. Nature et définition des TIC

Le terme technologie se réfère aux matériels et aux techniques utilisées dans l'entreprise à des fins de production au sens large, de distribution, et de gestion. Le terme information est entendu au sens large (Abdelkader RACHEDI, 2006). Il comprend tout ce qui

peut être numérisé et traité par l'outil informatique (textes, images, sons, ensemble combinant

plusieurs de ces éléments grâce à un outil multimédia). Le terme communication renvoie à

l'ensemble de techniques qui permettent l'émission et la réception quasi immédiate d'une

information, audio (téléphonie) écrite et numérisés (télécopie, messagerie électronique,

visuelle - vidéoconférence ou visioconférence). Le traitement de l'information reçue peut être

plus au moins automatisé (transferts, réponse automatique, classement automatique). 69
TIC est un acronyme qui signifie : " Technologies de l'information et de la

communication ». Nous avons plusieurs définitions selon les auteurs, elles sont définies

parfois par leurs fonctions ou par les éléments qui les composent. C'est l'ensemble des

technologies utilisées dans le fonctionnement, la transformation et le stockage sous forme communication et le réseau qui relie les appareils. Elles sont également définies, comme l'ensemble des technologies qui sont associées à

l'usage d'Internet et de ses protocoles. Les technologies de l'information désignent les

techniques de traitement électronique des données, permettant de collecter, traiter, stocker et

diffuser des informations et de la communication (TIC) (en anglais, Information and communication technologies, ICT)

regroupent les techniques utilisées dans le traitement et la transmission des informations,

pri

2.2. La genèse des TIC

peut se résumée en trois parties. 9

9 ur

-1987). 9

Quant à la naissance des TIC, est due notamment à la convergence de trois activités (Cécile

Hebrard et al 2001) :

¾ du domaine des télécommunications qui comprend lui-même les services et les

équipements

¾ du domaine de l'informatique qui comprend le matériel, les services et les logiciels; ¾ du domaine de l'audiovisuel qui comprend principalement la production et les services audiovisuels ainsi que l'électronique grand public. Il ya eu plusieurs génération avant les TIC, (Bellon Bertrand et al, 2004) parlent de trois(3) générations : La première (1ère communication) ; la deuxième (2ème logiciels) ; et la troisième (3ème par le développement, la coexistence et la convergence de quatre domaines techniques : les domaines les plus divers. 70
s doute à cet égard que (Pfeiffer, 1999) estime que cette convergence de personnes physiques et morales.

2.3. Les TIC pour le SCM

La globalisation des échanges et le besoin de réactivité accrue ont rendu nécessaire disposition et a

Vokurka, 1999).

Parmi ces TIC on y trouve :

sites de productions distants (Stadtler et al., 2005). -Le et de ses interfaces avec les fournisseurs / distributeurs. travail, etc. en temps réel et les intègrent au système d'information. -Les WMS (Warehouse Management Systems) sont des logiciels permettant la gestion et posage. -Les TM (Transport Management) sont des logiciels de gestion du transport. -Les AOM (Advanced Order Management) sont des progiciels de gestion avancée des commandes. -Les CRM (Customer Relationship Management) sont associés à la fonction vendre et permettent une meilleure connaissance des besoins du client en facilitant notamment le suivi des prévisions de ventes. Pour être performants dans la chaine logistique, les acteurs peuvent mettre en place un certain nombre de stratégies. Parmi ces stratégies, nous retenons la coordination des flux logistiques qui est soutenue par les TIC pour être facile et plus efficace.

3.1. Meilleure coordination des flux logistiques grâce aux TIC

rmation a toujours occupé une place importante dans les organisations fonctionnelles, principalement pour le pilotage des flux physiques et les flux logistique, le systèm processus et la réalisation des activités logistiques.

Pour Fabbe-

systèmes logistiques, rendant ainsi réalisables de nombreux " rêves » pour les entreprises.

71

Management, la démarche peut néanmoins être envisagée comme une philosophie, une

clients et aux autres parties prenantes (Lambert et al, 2000). Depuis plusieurs années, la coordination est une réalité incontestable de la gestion de

la chaîne logistique (Paché, 2002). Une grande partie de la compétitivité des entreprises passe

dans lequel les entreprises évoluent. Celles-ci sont de plus en plus soumises à une pression nvironnement causée par la volatilité de la demande des consommateurs, des

cycles de vie des produits de plus en plus courts et un rythme accéléré des innovations. Dans

ctement

clientèle et accroître la performance globale de la chaîne. En bref, des niveaux supérieurs de

(Bowersox et Daugherty, 1995 ; Seters et Premus, 2005). qui générer de nouvelles idées (Huu Tuyen DUONG, 2014). Jap (2001) suggère que grâce à pour créer des résultats mutuellement bénéfiques. Une relation de collaboration est caractérisée par la volonté de plusieurs acteurs de travailler ensemble, de poursuivre des objectifs communs, de partager des savoirs ou rer la performance globale. Cette relation est valorisée grâce au système d'information et de connaissances. La structure, l'organisation et l'évolution de la chaine logistique sont donc

conditionnées par l'existence et la mise en couvre de processus et de coordination et de

coopération complexes entre les entreprises à travers les acteurs. En effet, la qualité de service au client dépend de la coordination de plusieurs acteurs. Les

distributeurs et les fabricants réalisent qu'un jeu coopératif ou intégratif peut-être plus

favorable qu'un jeu conflictuel ou distributif» (Fabbe-Costes et al, 2000). Pour les relations de la chaine logistique, certains auteurs estiment que le niveau le 72

3.3. Effet de la coordination de flux sur la performance logistique

Plusieurs résultats empiriques montrent clairement que la coordination des ressources Tuyen DUONG en 2014 indiquent que la relation entre la coordination des ressources significative avec le Coef. structurel stand 0,291 (t = 3,764) et le Résultat du test Sig. (p <

0,001). Il va dans le même sens que celui de travaux antérieurs, notamment de Lee (2000), en

confirmant que la coordination des ressources améliore positivement la performance

logistique. La coordination entre des entreprises indépendantes, mais liées par de fortes

Figure 2 : Effet positif des TIC et meilleure coordination de flux sur la performance des acteurs La relation positive entre coordination des ressources et performance logistique est

performance logistique. Des niveaux élevés de coordination permettent de réduire des coûts

coordination sont connues. Elles comprennent des coûts de stockage plus élevés, des délais de

livraison allongés, des coûts de transport accrus, et une réduction de la qualité du service à la

clientèle. 73

CONCLUSION

Cet article avait pour objec

peut avoir une bonne coordination de flux logistiques sur la performance logistique des acteurs. En se basant sur la littérature et certaines études empiriques, nous apportons des

contributions théoriques complémentaires au développement de la littérature en logistique et

performance. Notre synthèse de la littérature offre ainsi une vision synthétique des recherches

réalisées sur la coordination de flux logistiques, en permettant de mettre en évidence la place

haine logistique. théorique de la relation entre la coordination des flux logistiques et performance : plus la coordination est approfondie, plus la performance est elle-même élevée (LEE, 2000 ; STANK et al., 2001 ; CHEN et al., 2010).

vue littéraire. Ce travail ouvre des hypothèses pour nos études empiriques en la matière.

74

BIBLIOGRAPHIE

technologie générique en méditerranée (dividendes ou fractures numériques ? Rapport FEMISE, Commission des Communautés européennes, 2004. ƒ Bowersox, D., et Daugherty, P. (1995), Logistics paradigms : the impact of information technology, Journal of Business Logistics, 16(1), 65-80. ƒ Chen, H., Tian, Y., Ellinger, A., et Daugherty, P. (2010), Managing logistics outsourcing relationships an empirical investigation in China, Journal of Business

Logistics, 31(2), 279-299.

ƒ CHEN H., TIAN Y., ELLINGER A., DAUGHERTY P. (2010) Managing logistics outsourcing relationships: an empirical investigation in China. Journal of Business

Logistics, Vol. 31, n° 2, pp. 279-299.

ƒ Dupuy et al., 2004 : C. Dupuy, V. Botta-Genoulaz et A. Guinet. Batch dispersion model to optimize traceability in food industry. Journal of Food Engineering, Special

3, pp 333-339,

2005.
ƒ Fabbe-Costes N. (2000), "Le rôle transformatif des SIC et TIC sur les interfaces multiacteurs de la distribution et de la logistique », in Fabbe-Costes N., Colin J. et Paché G., Faire de la recherche en logistique et distribution, Vuibert, Fnege, Paris, pp.

171-194.

ƒ Fabbe-Costes N., Colin J., Pache G., (2000). "Faire de la recherche en logistique et distribution ?», Paris, Vuibert, 2000 pp. 292. ƒ Fawcett S.E. et Clinton S.R. (1996), "Enhancing logistics performance to improve the competitiveness of manufacturing organization », Production and Inventory

Management

ƒ Journal, January-February-March, pp. 40-46.

plusieurs chaînes de valeur », Les Troisièmes Rencontres Internationales de la Recherche en Logistique, Trois-Rivières, 9-11 mai. ƒ Jobin M.H., Landry S., Pasin F. et Rivard-Royer H. (1997), "Le réapprovisionnement

Management, vol. 5, n°1, pp. 23-30.

ƒ Lambert, D. M. et Cooper, M. C. (2000), Issues in Supply Chain Management, Industrial Marketing Management, vol. 29, n°1, p. 65-83. 75
ƒ LEE H. (2000) Creating value through supply chain integration. Supply Chain

Management Review, Vol. 4, n° 4, pp. 30-36.

ƒ OGIER. Maxime " Contributions à la chaine logistique numerique : conception de

circuits courts et planification décentralisée », thèse, Université de Grenoble, 2013.

coopération ou simple coordination ?, Gestion 2000, 19(1), 109-124. ƒ Park, N., Mezias, J., et Song, J. (2004), A resource-based view of strategic alliances and firm value in the electronic marketplace, Journal of Management, 30(1), 7-27. comprehensive multidisciplinary, coordinated infa Journal of Early Intervention, n°15, pp:89-105. ƒ -Pfeiffer, A. (1999), " NTIC de la technologie vers les services » in Courrier ANVAR,

N° 117, avril., www. Anvar. fr.

ƒ Raymond et Stéphanie BITEAU, " La maîtrise des flux industriels », Éditions

ƒ Seters, N., et Premus, R. (2005), Modeling the relationship between firm IT capability, collaboration, and performance, Journal of Business Logistics, 26(1), 1-23. ƒ STANK T., KELLER S., DAUGHERTY P. (2001) Performance benefits of supply chain logistical integration. Transportation Journal, Vol. 41, n° 2-3, pp. 32-46. ƒ Vastag G., Kasarda J.D. et Boone T. (1994), "Logistical support for manufacturing agility in global markets », International Journal of Operations and Production

Management, vol. 14, n°11, pp. 73-85.

quotesdbs_dbs42.pdfusesText_42

[PDF] Une assurance complémentaire santé immédiate et sans limite d âge

[PDF] VOTRE EXPERT EN FLUX DOCUMENTAIRES ET LOGISTIQUES

[PDF] MARCHE PUBLIC DE SERVICES D ASSURANCES

[PDF] Mouvement national à gestion déconcentrée : règles et procédures - rentrée scolaire 2009

[PDF] Epargne : définitions, formes et finalités.

[PDF] Séminaire CDC TDTE Saison 2013-2014. Quelle assurance santé face au vieillissement? Mercredi 15 janvier 2014

[PDF] EDUCATION THERAPEUTIQUE

[PDF] Spécial. Bulletin officiel spécial n 10 du 4 novembre 2010

[PDF] Mode d emploi et informations pratiques

[PDF] ÊTRE SON PROPRE LEADER

[PDF] Personnels Mobilité. Bulletin officiel n 42 du 13 novembre 2014

[PDF] CONVENTION RELATIVE A L ACCOMPAGNEMENT DES BENEFICIAIRES DU RSA

[PDF] Analyse de risque a posteriori

[PDF] DEMANDE D AGREMENT MINISTERIEL POUR ASSOCIATION SPORTIVE

[PDF] ASSURANCE EMPRUNTEUR DES PRETS IMMOBILIERS AUX PARTICULIERS EQUIVALENCE DU NIVEAU DE GARANTIE