[PDF] FICHE BREVET N° 1 LES DEUX SYSTEMES DE TEMPS

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FICHE BREVET N° 1

LES DEUX SYSTEMES DE TEMPS

Les temps sont organisés chronologiquement

TEMPS DE BASE:

Il existe trois temps de base: - pour les faits passés: passé simple ou passé composé. - pour les faits qui se déroulent au moment où le narrateur les raconte: le présent

PASSE SIMPLE OU IMPARFAIT?

Action secondaire par rapport aux actions au passé simple, description, habitude passée, commentaires du narrateur

Action ayant des limites de début et de fin.

Faits sans limites de début et de fin,

faits en train de se dérouler (pouvant être interrompus par une action au passé simple)

Action unique. Répétition.

PASSE SIMPLE OU PASSE COMPOSE?

Le passé simple et le passé composé sont deux temps de base du récit: ils sont utilisés pour les événements de premier plan, les actions.

Le passé simple appartient au système du passé; le passé composé appartient au système du présent.

Les actions semblent être plus lointaines dans le passé. Les actions semblent être plus proches dans le passé

Le narrateur a du par rapport à ces actions qui sont Les actions sont présentes à la mémoire du narrateur, elles sont ; LES TEMPS ORGANISES AUTOUR DU PRESENT: $1&5(6'$16/·(121&,$7,217(036'8

DISCOURS)

futur imparfait LES TEMPS ORGANISES AUTOUR DU PASSE: &283(6'(/·(121&,$7,217(036'85(&,7 imparfait plus-que-parfait futur dans le passé (conditionnel présent)passé antérieur

FICHE BREVET N°2

LE NARRATEUR ET LE POINT DE VUE NARRATIF

- deux types de narrateur: le narrateur-personnage et le narrateur extérieur. - trois types de point de vue: externe, interne et omniscient. y Attentionle type de point de vue choisi change y Le narrateur-personnage: (je, me, mon, mes, notre...). 9

9O·DXWHXUOXL

Je interne y ™ sait tout tout voir omniscient ™ à travers les yeux interne témoinexterne

Narrateur

"il" non identifiable extérieur à l'histoire "je" personnage et/ou témoin de l'histoire "je" personnage, narrateur et auteur de l'histoire

FICHE BREVET N°3

LA VALEUR DES TEMPS

Certains temps peuvent avoir différentes valeurs selon le contexte. Présent de narration: UDSSRUWHDXSUpVHQWGHVDFWLRQVSDVVpHV,OUHQGO·DFWLRQSOXVYLYDQWHGRQQHXQH

HVWPLVjODSODFHG·XQSDVVpVLPSOH

Présent de vérité générale: celui des définitions, de ce qui est toujours vrai.

TXDWUHSDWWHV8QPRUWQ·HVWSDVMDORX[

Présent pour le passé récent: -·DUULYHWRXWMXVWHGXWUDYDLO

Présent pour le futur proche:

Présent de répétition:

Présent duratif: &HODIDLWGHVPRLVTX·LOSOHXW

Action secondaire par rapport au premier plan qui est au passé simple, vue dans son déroulement:

Description:

/HVYHUEHVGHODGHVFULSWLRQjO·LPSDUIDLWVRQWYXVen cours de déroulement:

Répétition, habitude passée:

Commentaires du narrateur:

Le conditionnel présent

Valeur de conditionnel: fait hypothétique, incertain, soumis à une condition:

6LM·pWDLVULFKHMHP·offrirais (soumis à une condition)

Valeur de futur dans le passé:

viendraisPHYRLUDXMRXUG·KXL

FICHE BREVET N°4

LES TYPES DE DISCOURS

Intention de

O·pQRQFLDWHXU

Type de

discours Caractéristiques

VXFFHVVLRQG·DFWLRQVGDQVOHWHPSV

FKRL[G·XQSRLQWGHYXHQDUUDWLI

Indices:

YHUEHVG·DFWLRQ

GHO·LPDJLQHU

2UJDQLVDWLRQGDQVO·HVSDFH

FKRL[G·XQSRLQWGHYXHGHVFULSWLI

Indices:

YHUEHVG·pWDWRXGHSHUFHSWLRQ

Indices:

Indices:

PRWVH[SULPDQWO·RSLQLRQHWOHMXJHPHQW

Indices:

FICHE BREVET N°5

/·(78'('·817(;7(32(7,48( ,4X·HVWTX·un vers? majuscule retour à la ligneOHYHUVFRQWUDLUHPHQWjODSKUDVHHQSURVHQ·RFFXSHSDV espace blanc

II Présentation du poème

distique quatrain sizain tercet quintil un alexandrin

Oh! Combien de marins, combien de

capitaines octosyllabe

Elle a passé, la jeune fille

décasyllabe

HPXHWVXLYLG·XQVRQYRFDOLTXHQHFRPSWHSDV

HPXHWVXLYLG·XQVRQFRQVRQDQWLTXHFRPSWH

Sensation

([HPSOH´8QERKpPLHQµ DIRUPHGXSRqPHF·HVWO·LQYHQWLRQGXvers libre/DSRpVLHSHXWDORUVSUHQGUHO·DSSDUHQFHGHODSURVH

FICHE BREVET N°5

/·(78'('·817(;7(32(7,48(

III Les rimes

plates croisées embrassées pauvre suffisante

Hriche

féminine

IV Les autres effets de sonorité

anaphore assonance Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant allitérationPour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes?

V Le rythme

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme

Sourirait un enfant malade, il fait un somme

rejet

Il dort dans le soleil la main sur sa poitrine,

Tranquille.

En troisième, on étudie deux sortes de poésie: /HSRqWHGLW´-HµPDLVFHTX· /HV JUDQGV WKqPHV O\ULTXHV WpPRLJQHQW GH OD VHQVLELOLWp KXPDLQH OD YLH OD PRUW OH SDWULRWLVPH O·H OLEHUWpO·HQIDQFHOD QDWXUHOHWHPSVTXLSDVVHOHUrYHOHVVRXIIUDQFHV HWOHVMRLHVGHODSDVVLRQODIHUYHXU

FICHE BREVET N°5

/·(78'('·817(;7(32(7,48(

FICHE BREVET N°6

LES FIGURES (OU PROCEDES) DE STYLE

Les figures de la ressemblance :

&HJDUoRQF·HVWXQGLHX/HVDJDWKHVGHVHV /·DOOpJRULH

SDUXQHIHPPHDUPpHG·XQHIDX[

/HVILJXUHVGHO·RSSRVLWLRQ : -·DLYXO·DXEHO·RPEUH (WO·RQYRLWGH

0DLVGDQVO·RHLOGX

Les figures de la répétition :

/·DQDSKRUH /HVILJXUHVGHO·H[DJpUDWLRQ : /·K\SHUEROH /HVILJXUHVGHO·DWWpQXDWLRQ : (OOHQ·HVWSDVPDO

FICHE BREVET N°6

LES FIGURES (OU PROCEDES) DE STYLE

FICHE BREVET N°7

LA DESCRIPTION

donne à voir

I Le temps utilisé

,,/·RUJDQLVDWLRQGHODGHVFULSWLRQ organiséeindicateurs spatiaux vérifier le point de vue narratif portrait physique portrait moral portrait en action

III Outils de la langue

mettre en valeur vocabulaireperception

G·H[SDQVLRQVGX

nom

La maison maternelle. La maison de ma mère. La maison qui appartient à ma mère. La maison, verdoyante, apparaissait au loin.

IV Décrire dans quelle intention?

FICHE BREVET N° 8

/(65(*/(6'(%$6('(/·257+2*5$3+(

I- Les homophones grammaticaux

a/à et/est é/er (participe passé en -é ou infinitif en -er?) -er-é

Exemplesmarché?/marcher?marcher

mangé?/manger?mangé ou/où ce/se

Exemple

Exemples:

ces/ses/c'est/s'est cesceux-làcelleslàsesles siensles siennes

Exemples

Exemples

Exemples

Exemples

FICHE BREVET N° 8

/(65(*/(6'(%$6('(/·257+2*5$3+(

II Les accords dans le Groupe Nominal

,,,/·DFFRUGVXMHW-verbe des vagues une foule de, beaucoup eee V Quelques confusions à éviter dans les conjugaisons que je viendrais viendraitque je viendraiviendra

FICHE BREVET N° 8

/(65(*/(6'(%$6('(/·257+2*5$3+( vois voies + quelques difficultés orthographiques pages 324-325

FICHE BREVET N°9

sentimentsavisSDUUDSSRUWjFHTX·LOGL Le commentaire peut porter sur la probabilité :

Il doit arriver pour dîner. Il peut avoir eu un problème. Cela paraît fou-HFURLVTX·LOviendra.

Il aura raté son train. Il serait innocent de ce crime abominable peut-être, sans doute, probablement Le commentaire peut être appréciatif (évaluatif) ou affectif : inadmissible, formidable YHUEHVH[SULPDQWO·RSLQLRQOHMXJHPHQWestimer, détester heureusement, ... par bonheur, à ma grande surprise ,QWRQDWLRQjO·RUDO

FICHE BREVET N°9

FICHE BREVET N°10

LE TEXTE AUTOBIOGRAPHIQUE

Cf. page 68

Passeurs de textes 3ème Le Robert 2016

I Définition

II Caractéristiques

y auteur, le narrateur et le personnage principal sont la même personne. y Le point de vue est interne y Le récit est donc fait à la première personne. y coexistent : celui du , y phie a un double destinataire : soi-même et le lecteur.

Mémoire et sincérité

y Tout ce qui est raconté est présenté comme vrai. . Mais les années qui ont passé entre le

moment où les événements ont eu lieu et le moment où incomplets. y veut donner de lui-même, à son projet autobiographique.

Le rapport au passé

y Le texte fait alterner récit et analyse contraire, il peut prendre du recul en ayant une vision critique sur ce souvenir.

Jeu des temps

y Les deux systèmes de temps peuvent être utilisés :

souvenir est lointain, quand il veut prendre ses distances, il utilise les temps du passé (passé simple); quand il veut au contraire

III Les sous-genres et les genres proches

Sous-genres

y Les mémoires y Le journal intime lui-

Genres proches

y La biographie privilégie le sensationnel plutôt que la vérité. y Les lettres (mais pourquoi ce besoin de raconter ses souvenirs?) y Laisser une trace y Donner de la cohérence se justifier. Ou écrire pour analyser sa propre évolution, pour mieux se connaître

y témoigner de son expérience : celle-ci est assez importante pour apprendre quelque chose aux autres

hommes. Il peut vouloir informer ou dénoncer. V Les fausses autobiographies (attention au mensonge!)

FICHE BREVET N°10

LE TEXTE AUTOBIOGRAPHIQUE

y Certains récit présentés comme des autobiographies sont en fait des fictions. Tout ou presque y est inventé. Ainsi, on

peut trouver de faux journaux intimes, de faux souvenirs, de fausses lettres. y Il peut au autobiographique (vrai, ou

FICHE BREVET N°11

LES CONNECTEURS LOGIQUES

NATURE CAUSE CONSEQUENCE HYPOTHESE BUT OPPOSITION

CONCESSION

ADDITION

EXEMPLE

ALTERNATIVE

&·HVWSRXUTXRL

G·R

G·DLOOHXUV

G·DERUG

G·HQWUp

'·XQHSDUW

G·DXWUHSDUW

&·HVW

FICHE BREVET N°12

ANALYSE DE LA PHRASE : RAPPELS

I Phrase simple et complexe. Les propositions

A) simplecomplexe B) II Propositions indépendantes, principales et subordonnées a) indépendante

Il raconte une blagueje ris

b) principales seconde est la subordonnée III Mode de liaison entre les propositions dans une phrase a)ponctuation juxtaposéesIl raconte une blagueje ris b)coordination(mais, ou, et, donc, or, ni, car)(puis, alors, pourtant...)coordonnées Il raconte une blagueje ris c)relation de subordinationprincipale subordonnées

SDUFHTX·LODUDFRQWpXQHEODJXH

IV Les différentes natures de subordonnées et leur fonction

A) Les subordonnées relatives

(qui, que, quoi, dont, où, lequel, auquel, duquel...)

Fonction

qui est agressif

B) Les subordonnées complétives

Fonction

que le féminisme est agressif C) Les subordonnées interrogatives indirectes (cas particulier de complétives) (si, quel, qui, que, quoi, ce que, comment, où, pourquoi...)

Fonction:

où tu vasde qui tu parles

D) Les subordonnées circonstancielles

(quand, lorsque, comme, si bien que, pour que...)

Fonction

E) Les subordonnées infinitives et les subordonnées participiales

FICHE BREVET N°12

ANALYSE DE LA PHRASE : RAPPELS

les enfants chanter/HYHQWV·pWDQWOHYp

FICHE BREVET N°13

LE DISCOURS ARGUMENTATIF

ion convaincre son destinataire,OV·DJLWG·LPSRVHUXQHRSLQLRQ Le thèmeF·HVWOHVXMHWGRQWSDUOHOHWH[WHHQJpQpUDO

La thèseF·HVWO·RSLQLRQOHSRLQWGHYXHGHO·pQRQFLDWHXUVXUOHWKqPH6·LO\DGLDORJXHHWTXHGHX[WKqVHVV·RSSRVHQW

RQ SDUOH GH WKqVH HW G·DQWLWKqVH

Les arguments

Les exemples

III Les marques du discours argumentatif

y /·pQRQFLDWHXUV·H[SULPHHQJpQpUDOHQGLVDQW´MHµHWHQXWLOLVDQWWRXWHVles marques de la 1ère pers

TXHµ´WRXWOHPRQGHYRLWTXHµ

y modalisateursHWTXLSHUPHWWHQWG·DMRXWHUGHV y /HVWHPSVXWLOLVpVVRQWFHX[GHO·pQRQFp y $ILQG·DVVXUHUODORJLTXHGXWH[WHO·pconnecteurs logiques

IV Ecrire une argumentation

y situation de communicationLPSRVpHTXLHVWO·pQRQFLDWHXUTXLHVWOH y y y vos exemples y les connecteurs logiques mots de liaison

y (QILQQ·RXEOLH]SDVTXHTXHOTXHVRLWOHW\SHGHWH[WHTXHO·RQYRXVGHPDQGHG·pFULUHYRXVGHYUH]WRXMRXUVDYRLUune

introduction et une conclusion

A vous de nous convaincre!

FICHE BREVET N°14

GENRE, TYPE ET TONALITE (ou registre)

I Le genre du texte

II Le type de discours (voir fiche n°4)

différents types de discours , descriptif, explicatif, argumentatif, injonctif.

III Les tonalités

Classer et qualifier un texte:

Quand on regarde On trouve Exemple

FICHE BREVET N°15

LE TEXTE THEATRAL

La pièce de théâ

XIXème) de drame.

Ce texte est fait pour être joué, vu et entendu. Il faut donc être attentif à toutes les indications dans le texte

-registres de langue, répartition de la parole, types de phrases- permettant de comprendre les intentions et

sentiments des personnages ou les didascalies permettant de mieux comprendre certains points comme le lieu, le

temps, le ton.

Au début le changement

constituer une unité.

Le premier acte est celui de

héros, le intrigue

Le dernier acte est celui du dénouement

e pour

II Composition du texte

Il faut distinguer le texte dit par les comédiens : les répliques, et les indications scéniques : les didascalies.

Si une réplique tirade

monologueapartéquotesdbs_dbs30.pdfusesText_36

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