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SEED DOCUMENT DE TRAVAIL n
o 24Méthodes et Instruments d'Appui
au Secteur Informel en Afrique FrancophoneCarlos Maldonado
Cheikh Badiane
Anne-Lise
Miélot
Programme focal de promotion de l'emploi
par le Développement des Petites EntreprisesDépartement de la création d'emplois
et de l'entreprise Organisation Internationale du Travail ! Genève Copyright © Organisation internationale du Travail 2004Première édition 2004
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BIT Méthodes et Instruments d'Appui au Secteur Informel en Afrique FrancophoneGenève, Bureau international du Travail, 2004
ISBN 92-2-213094-4
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1On citera notamment les publications suivantes, réalisées sous la direction de Carlos Maldonado: "Le secteur
informel en Afrique face aux contraintes légales et institutionnelles", Genève 1999; et "L'économie informelle en
Afrique: structures, dynamique et politique": à paraître. iiiPréface
Ce présent document est consacré à l'examen des expériences menées par le BIT en Afrique,
en matière de promotion des activités économiques informelles. Il constitue le complément pratique d'une
série de publications récentes réalisées par le BIT, et portant sur son expérience dans ce domaine au cours
de ces dernières années 1 . Lancée dans le courant des années 80, le programme d'appui aux petitsproducteurs urbains a permis de tester des approches et de nourrir une réflexion systématique au sujet des
méthodes de promotion économique et sociale dans le secteur informel.Face à la crise du développement du début des années 80, qui s'est traduite par l'application de
programmes drastiques d'ajustement structurel et une montée en puissance du chômage, nombre degouvernements africains se sont adressés au BIT pour qu'il les aide à formuler des programmes d'appui
destinés à tirer davantage profit des opportunités du secteur informel. En effet, celui-ci s'est avéré l'un
des rares secteurs à fournir une issue à la crise de l'emploi, aux limites d'un secteur moderne exsangue
et d'un secteur privé alors quasi inexistant. A la fois productive et redistributive, l'économie informelle
a joué et joue encore un rôle appréciable d'intégration et de régulation sociale, fonctions pour lesquelles
l'Etat s'est précisément révélé défaillant, voire impuissant. Capable de flexibilité et d'adaptation,
valorisant l'esprit de solidarité et l'initiative individuelle, le travail indépendant et la mobilisation des
ressources propres, l'économie informelle porte en elle les germes de son extraordinaire vivacité, qui
s'inscrit aux antipodes du modèle de développement préconisé par les élites qui favorisaient l'étatisme
et le fonctionnariat au détriment de l'émergence d'une classe d'entrepreneurs privés. Ce sont ces différents
mécanismes de fonctionnement et ses potentialités que le BIT s'est attaché à comprendre et à valoriser
à travers ses multiples programmes d'appui.
Les stratégies et méthodes appliquées en Afrique, notamment francophone, ont reposé sur un
certain nombre de principes directeurs, une philosophie explicite de développement, des instruments et
outils d'action qui ont été progressivement introduits et améliorés au contact de la réalité. Ces méthodes
se sont affinées au fil des ans, si bien qu'à présent, on en connaît mieux les potentialités à valoriser, les
difficultés à surmonter et les approches à privilégier. Certains d'entre eux ayant été suffisamment validés,
il est à présent apparu nécessaire et opportun de les systématiser. C'est le sens de ce document dont
l'objectif est de tenter d'expliciter les principes de méthodes ainsi que les instruments d'appui qui ont été
progressivement appliqués au cours de ces deux dernières décennies par le BIT.Naturellement, le dynamisme et l'évolution constante des réalités de l'économie informelle
exige une recherche permanente visant à adapter les méthodes d'intervention à une réalité économique,
sociale et politique riche et complexe, et de surcroît, en mutation permanente. C'est dire que le propos ne
prétend guère embrasser ce que l'ensemble d'acteurs du développement s'efforcent de mettre en oeuvre
dans ce domaine, et qui constitue une oeuvre demandant des efforts considérables de coordination inter-
institutionnelle, tâche à laquelle s'attelle, fort heureusement ces dernières années, le "Comité de donateurs
pour le développement de la Petite entreprise" dans lequel le BIT joue un rôle actif. L'objet de ce document est plutôt d'apporter une modeste contribution à l'oeuvre immense queconstitue la compréhension des dynamismes en cours dans l'économie informelle, ainsi que les approches
les plus à même d'y promouvoir l'emploi, les revenus et les conditions de travail décent, sans pour autant
compromettre ses capacités à générer des emplois. En effet, seule une bonne connaissance de la réalité
et des acquis des initiatives passées ou en cours permettra aux nombreux intervenants et autres acteurs du
développement, gouvernements ou organismes de coopération intéressés aujourd'hui par le secteur
informel, d'y agir efficacement. L'intérêt d'une capitalisation réside dans le fait qu'elle permet de disposer
d'une base d'information sur les expériences passées, les approches essayées et les résultats obtenus, ainsi
ivque les bonnes pratiques dont on peut rapidement tirer profit sans avoir besoin de réinventer la même
démarche, si tant est que celle-ci a été déjà initiée dans des contextes analogues et systématisée en vue
d'être réappropriée.Ce document est subdivisé en six chapitres. Le premier chapitre est consacré aux caractéristiques
et à la portée du secteur informel. Il permet de passer en revue plusieurs questions préalables avant
d'aborder le contexte de développement de l'économie informelle, mettant en évidence ses différentes
dynamiques, ses potentialités et ses contraintes. Le deuxième chapitre examine les objectifs que le BIT s'est fixé d'atteindre à travers sonintervention dans le secteur informel, ainsi que la stratégie globale mise en place à cette fin.
Le troisième chapitre s'attache à l'examen des moyen d'action déployés par le BIT, depuis les
travaux de recherches et d'enquêtes, jusqu'aux projets de coopération technique sur le terrain, en passant
par la mise en oeuvre de services consultatifs.Le quatrième chapitre se focalise sur les instruments d'appuis développés fil des années dans
une démarche itérative et avec la participation effective des opérateurs du secteur informel acteurs et
bénéficiaires des programmes d'appui. Ce chapitre permet de passer en revue les éléments constitutifs du
système d'appui direct avec ses acquis et ses limites parmi lesquelles l'action au niveau micro-économique n'est pas des moindres.
Le cinquième chapitre s'attache à l'examen du cadre institutionnel et de son importance dansles actions de promotion du secteur informel, que ce soit en termes de politique macro-économiques pour
la création d'un environnement favorable au développement des micro et petites entreprises ou du
renforcement des capacités institutionnelles des acteurs par la mise en place de structures représentatives
et/ou de dialogue telles que par exemple les Chambres de métiers, les Directions de la micro et petite
entreprise artisanale, etc; selon les pays.Enfin, le sixième chapitre est consacré à une forme d'appui et de coopération appelée à se
développer. Il s'agit de la mise en place de réseau sous-régionaux d'échanges permettant de favoriser les
transferts et les échanges de savoirs et d'expériences entres petits producteurs de différents pays dans une
perspective Sud-Sud, contribuant ainsi à élargir l'horizon des petits producteurs.Ce document est le fruit de multiples collaborations. Une première ébauche en a été préparée
avec le concours d'étudiants stagiaires de l'Université de Grenoble, dont le produit fut présenté dans un
cycle de formation au Centre International de Formation de Turin en 1995. Depuis lors, ceux qui avaient
participé à ce cours, ainsi que de nombreux autres intervenants dans le secteur de la micro et petite
entreprise ont souvent relancé le BIT, dans le but de pouvoir disposer d'un guide en appui à leurs
activités. Ce document a été conçu dans cette perspective. Il s'adresse à divers publics depuis les
responsables de services gouvernementaux qui ont un rôle important à jouer dans la promotion du secteur
informel, en passant par les ONGs et autres acteurs de terrain au contact des réalités quotidiennes des
opérateurs informels, jusqu'aux responsables des associations de producteurs du secteur informel eux-
mêmes. On espère qu'il contribuera à fournir à chacun des éléments concrets et utiles pour l'action.
Dédicaces et remerciements aux artisans et à leurs groupements, associations et fédérations qui
ont contribué à l'avancement des méthodes de promotion et développement de leurs métiers et
organisations de base.Kees van der Ree
Directeur (a.i.)
Programme focal de promotion de l'emploi
par le développement des petites entreprises vTable des matières
Page PREFACE .....................................................................iii CHAPITRE I ................................................................... 1 Le secteur informel: notions, caractéristiques et portée.................................1 I. Tendances de l'expansion du secteur informel............................ 1 II. Ajustement structurel et économie informelle............................ 3 CHAPITRE II ................................................................. 19 Les objectifs à atteindre et la stratégie globale ....................................... 19 I. L'amélioration du potentiel productif.................................. 19 II. Favoriser l'organisation des producteurs et des travailleurs................. 23 III. L'amélioration du cadre institutionnel et réglementaire.................... 25 IV. L'amélioration du bien-être des acteurs du secteur informel................ 27 CHAPITRE III................................................................. 31 Les moyens d'action du BIT ...................................................... 31 I. Les travaux de recherche: études et enquêtes............................ 31 II. La mise en oeuvre de services consultatifs.............................. 35 III. Les projets de coopération technique: objectifs et méthode................. 36 CHAPITRE IV................................................................. 63 Les instruments de l'appui direct aux petits producteurs du secteur informel............................................................. 63 I. Les Mutuelles d'Epargne et de Crédit (MECs) .......................... 63 II. Les bases d'appui................................................. 81 III. La formation..................................................... 99 CHAPITRE V................................................................. 119 L'environnement institutionnel.................................................. 119 I. Un cadre institutionnel et réglementaire inadapté....................... 119 II. Promouvoir un système institutionnel adapté........................... 122 III. Le rôle des différentes parties prenantes............................... 131 CHAPITRE VI ............................................................... 143 La création de réseaux sous-régionaux d'échanges.................................. 143 I. La promotion des échanges d'expériences............................. 143 II. La création d'un réseau sous-régional d'artisans en Afrique............... 146 III. Un programme sous-régional d'appui: le PACTE (Policy and Voice for MSEs) 146 BIBLIOGRAPHIE............................................................. 155TABLEAUX:
Tableau 1: Taux d'urbanisation dans les pays en voie de développement......................3Tableau 2: Approche participative et intégrée d'appui à l'économie informelle................64
2Les estimations qui suivent sont tirées du rapport du BIT "Travail décent et économie informelle", Rapport VI,
CIT, 90ème session 2002.
1CHAPITRE I
Le secteur informel: notions, caractéristiques et portéeI. Tendances de l'expansion du secteur informel
Contrairement à ce qu'on a longtemps supposé, le secteur informel n'est pas un phénomènepassager, ni marginal et voué à disparaître à moyen terme. Son ampleur et sa complexité grandissantes
dans la vie économique, sociale et politique des pays en développement, en général, et d'Afrique, en
particulier, sont une réalité incontestée et de plus en plus reconnue.En Afrique
2 , les estimations indiquent que, au cours de ces quelques dix dernières années, letravail informel a représenté près de 80 pour cent de l'emploi non agricole, plus de 60 pour cent de
l'emploi urbain et plus de 90 pour cent des emplois nouveau en Afrique. En Afrique subsaharienne, lesecteur informel représente les trois quarts de l'emploi non agricole, contre deux tiers environ il y a
dix ans, soit une augmentation spectaculaire. Pour les femmes dans cette région, le secteur informel
représente 92 pour cent de l'ensemble des possibilités d'emploi en dehors de l'agriculture (contre
71 pour cent pour les hommes).
En Amérique latine, la proportion de l'emploi informel urbain par rapport à l'emploi urbain total
est passée de 52 pour cent en 1990 à 58 pour cent en 1997. Cette augmentation serait liée, d'une part,
à la croissance de la population active suite à des facteurs démographiques, à une augmentation du taux
d'activité, en particulier des femmes, et à une forte migration des zones rurales vers les villes, et, d'autre
part, à la contraction de l'emploi dans l'économie formelle. Concernant la composition, on a observé une
augmentation de l'emploi dans les micro et petites entreprises, suivie d'une augmentation de l'emploi
indépendant et d'une augmentation plus modeste du travail domestique. Au total, suite à l'adoption par
plusieurs pays d'Amérique latine d'une définition ramenant le seuil de 10 à 5 travailleurs, la taille
estimée de l'économie informelle est passée de 58 à 48 pour cent de l'emploi urbain total.
En Asie, la proportion des travailleurs informels est comprise entre 45 et 85 pour cent de l'emploinon agricole, et entre 40 et 60 pour cent de l'emploi urbain. Cependant, dans certaines régions de l'Asie
de l'Est, notamment en République de Corée, à Hong-Kong (Chine) et à Singapour (Chine) on a observé
un recul de l'économie informelle parallèlement à l'expansion du secteur manufacturier et industriel et
à la création résultante d'emplois dans l'économie formelle. Le rôle joué à ce niveau par l'importance
accordée à l'éducation et à la formation, qui a permis à la main d'oeuvre de répondre à la demande
croissante de travailleurs qualifiés, mérite d'être souligné.Par ailleurs, les tentatives récentes d'estimation de la contribution de l'économie informelle au
PIB situent cette contribution entre 7 et 38 pour cent du PIB total dans 14 pays de l'Afrique subsaharienne, entre 16 et 32 pour cent en Asie et entre 12 et 13 pour cent au Mexique.Ces quelques illustrations donnent une idée de la place de l'économie informelle dans l'économie
de la plupart des pays en développement. Elle est non seulement le principal pourvoyeur d'emplois, mais
sa contribution au produit national tend à s'accroître en se plaçant souvent en deuxième position après
l'agriculture, mais devant le secteur moderne. Il ne mobilise pour ce faire que ses propres ressources. De
3Source: C. Maldonado et B. Gaufryau: Etat, économie informelle et démocratie en Afrique subsaharienne,
à paraître. Voir Ch. XI, Conclusion.
2façon générale, les caractéristiques majeures du fonctionnement et de la contribution de l'économie
informelle au développement des pays d'Afrique subsaharienne peuvent être synthétisées ainsi
3quotesdbs_dbs42.pdfusesText_42[PDF] L offre d assurance par Internet au Québec
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