[PDF] Le régime juridique de la liberté denseignement à lépreuve des





Previous PDF Next PDF



Rapport « Aux harkis la France reconnaissante »

prévalence est postérieure à la fin de cette guerre recouvre toutefois une série de catégories de supplétifs qui n'avaient pas toutes le même rôle et 



Rapport « Aux harkis la France reconnaissante »

prévalence est postérieure à la fin de cette guerre recouvre toutefois une série de catégories de supplétifs qui n'avaient pas toutes le même rôle et 



Les fonctions des principes fondamentaux de la commande publique

Jul 6 2016 sont rattachés à une branche du droit récente et spécifique



L É T A T

rappelle un principe de droit administratif donc relégué dans -les manuels L'autorité est supplétive parce qu'elle a pour premier rôle de pallier les.



Adjectifs qualificatifs et adjectifs relationnels : étude sémantique et

aussi opposition fonctionnelle (deux fonctions ou deux rôles sémantiques distincts) Il est donc indéniable que le point de vue pragmatique représente un.



Le régime juridique de la liberté denseignement à lépreuve des

Sep 18 1981 Troisième branche enfin – et on est alors au cœur du paradoxe apparent ... la thèse du rôle supplétif de l'État qui pour la première fois ...





Lenjeu politique de la mémoire coloniale : le débat français

Jun 12 2005 mentionnant le « rôle positif » de la colonisation française puis par le ... hommes politiques du Sud-Est – et qui a donc des effets de ...



Mémoire identité et dynamique des générations au sein et autour

Mar 31 2011 D. Pourquoi les supplétifs se sont-ils engagés ? ... fut l'homme lige du président Houari Boumediene



Tout savoir sur la Loi « Travail

que l’accord de branche L’accord de branche se trouve donc relégué à un rôle supplétif Le Code du travail (livre 1er de la 3ème partie) est donc totalement réécrit avec l’architecture suivante : - Les règles d’ordre public - Les thèmes ouverts à la négociation - Les règles supplétives (applicables en l’absence

Droit international

Droit européen

Droit belge

Droit français

Droit luxembourgeois

À Emmanuelle Lê Thanh

Mes premiers remerciements vont à Hugues Dumont, mon promoteur. Pour la vocation qu"a éveillée en moi son enseignement du droit constitutionnel. Pour la confiance dont il m"a honoré tout au long de cette recherche, donnant une vraie effectivité à la liberté académique. Pour la constante exigence avec laquelle il a assumé la direction de cette thèse: ses corrections minutieuses, ses nombreuses suggestions et ses critiques ont grandement amélioré ce tra vail. Je me dois également de remercier Xavier Delgrange qui, dès mes pre miers pas dans le monde de la recherche, m"a véritablement pris sous son aile. Trop peu de chercheurs ont la possibilité d"écrire, sur pied d"égalité, avec un académique confirmé. À plusieurs reprises, Xavier m"a offert cette occasion. Sans doute nos collaborations ont-elles été favorisées par des convergences humoristiques. Il n"empêche que son art de la maïeutique et ses précieuses connaissances en droit de l"enseignement m"ont beaucoup appris. La contri bution de Sébastien van Drooghenbroeck à cette thèse a aussi été décisive. Il m"a fait profiter de ses connaissances encyclopédiques de la théorie des libertés publiques et de son regard aiguisé sur l"œuvre jurisprudentielle. Mon plus grand souhait est que cette recherche puisse constituer à leurs yeux un modeste et heureux prolongement de leurs travaux. Mes remerciements s"adressent également à Christian Maroy pour son regard de sociologue toujours propice au décentrement, ainsi qu"à Ludo Veny et Pierre Vandernoot qui m"ont fait l"honneur d"accepter de faire partie du jury de cette thèse. Ils vont aussi à mes relecteurs et en particulier à Thomas Lesuisse, qui a eu l"amitié et le courage de corriger l"intégralité du manuscrit. Merci à Donat Carlier dont les réflexions stimulantes sur la liberté d"enseig nement et la pas sion communicative des problématiques scolaires m"ont aidé à tisser le fil rouge de la conclusion. Ma gratitude va à mes collègues de l"Université Saint-Louis pour leurs conseils et leurs encouragements. Je sais en particulier gré au bien nommé Centre interdisciplinaire de recherches en droit constitutionnel et adminis tratif (CIRC) pour la qualité de son accueil. Je mesure l"honneur et la chance que j"ai eus d"intégrer une équipe dans laquelle les chercheurs ne sont pas les petites mains des académiques, et au sein de laquelle règnent un telle cohésion et un tel esprit d"entraide. 8 bruylant Le monde des cabinets ministériels a la mauvaise réputation de ne pas res pecter la vie privée ou les autres engagements de ceux qui y travaillent. Dans mon cas, cette réputation s"est avérée infondée. Je suis donc redevable envers mes collègues d"avoir pris en compte ma situation, allant jusqu"à me rempla cer régulièrement dans les interminables dernières lignes droit es, mais aussi de m"avoir donné l"opportunité d"enrichir mes recherches en observant de l"intérieur les logiques propres du " législateur » Sans doute n"étais-je pas socialement prédestiné à entame r une thèse de doc torat. Mais je dois beaucoup à ce que mes parents, au sens large, m"ont trans mis. Leur curiosité intellectuelle, leur intérêt pour la politique, leur fierté, leur sens du travail et de ses limites furent des sources inépuisables d"inspiration. Je voudrais aussi souligner l"apport de personnes qui, à partir de leurs cadres théoriques propres, ont contribué à ma formation politique et intellectuelle : Frédéric Panier, Carlos Crespo, Lionel Van Leeuw, Aris Ikonomou, Guil

Edgar Szoc.

Enfin, je n"aurais sans doute pas eu la force de mener cette thèse à son terme sans le soutien de nombreux amis et amours que je n"ai pas encore mention nés : Amélie, Arnaud, Aurélie, Céline, Claire, Charlotte, Géraldine, Jean-Bap tiste, Loïc, Lucas, Maxime, Pierre, Simon, Zakia et tous les autres habitués des soirées où l"on défait le monde, voyages désorganisés, week-ends de gîte, enterrements et mariages. Merci pour votre présence. Je me réjouis des pages que nous écrirons ensemble.

Préface

Hugues D

U MO NT professeur ordinaire à l'université saint-louis - bruxelles, président du Centre interdisciplinaire de recherche en droit constitutionnel et administratif Le droit de l"enseignement en Communauté française de Belgique béné ficie de précieuses études ponctuelles. L"on songe notamment à celles des Pro fesseurs Xavier Delgrange et Pierre Vandernoot, mais aucune monographie d"envergure ne lui avait été consacrée jusqu"à ce jour . Cette lacune est éton nante. Dans tous les milieux politiques, économiques, sociaux et culturels, l"on dit et l"on répète - à juste titre, bien sûr - que l"enseignement est une des clés de l"avenir et qu"il est urgent d"en améliorer à la fois les performances et l"équité, en particulier dans la Fédération Wallonie-Bruxelles 1 . Faut-il encore évoquer le pénible verdict des enquêtes Pisa de l"OCDE ? Faut-il rappeler que l"école en Communauté française est profondément " duale » ? Il n"y a qu"un nom pour désigner le fossé béant qu"il faut y const ater entre les écoles composées essentiellement d"élèves faibles et celles qui ré unissent de manière assez homogène des élèves plus forts : c"est celui de ségrégation. En effet, dans les premières qu"on appelle parfois " écoles-ghettos », les enfants en difficulté sont privés de l"influence positive des élèves massivement présents dans les secondes, tandis que les enseignants ont tendance à y réduire leurs exigences. Ces phénomènes sont connus. Ils ont été dûment analysés par une quantité impressionnante d"études sociologiques et tant le législateur décrétal que les gouvernements successifs ont tenté de les prendre en compte d ans leur

1. C"est le surnom politique de la Communauté française depuis 20

11. LE RÉGIME JURIDIQUE DE LA LIBERTÉ D"ENSEIGNEMENT À L"ÉPREUVE DES POLITIQUES SCOLAIRES 10

BRUYLANT

politique scolaire depuis une quinzaine d'années. mais les résultats semblent malheureusement encore très loin des espérances. n'était-il pas grand temps, alors, de faire une analyse juridique des instruments législatifs et réglementaires mobilisés par les res ponsables poli tiques ? Ceux-ci veulent lutter activement contre la ségrégation scolaire par des réformes qui se traduisent nécessairement en diverses règles de droit. Ces réformes comprennent la mise sur pied d'une sorte de régulation publique appelée " pilotage ». or la régulation par le pilotage suppose des évalua tions systématiques qui confrontent les résultats obtenus aux obje ctifs assi gnés. Ces évaluations conduisent nécessairement à de nouvelles norme s pour mieux se rapprocher des objectifs. on l'a compris : il y a aujourd'hui un droit de l'enseignement très étoffé, aussi techniquement complexe que lié à des enjeux vitaux pour notr e démo cratie et notre prospérité, qui a besoin du juriste comme de pain. le maquis des règles de droit en vigueur décourage en effet son évaluatio n critique - et donc son amélioration - aussi longtemps qu'un juriste rigour eux n'a pas " mis les mains dans le cambouis » pour mettre de la lumière et de l'ordre là où il y a moyen d'y recourir et pour exposer les irrationali tés là où elles doivent être dénoncées. la force du juriste réside aussi dans sa connaissance des principes de portée plus générale qui transcendent ou qui d evraient trans cender la diversité et la technicité des règles de droit sector ielles. le consti tutionnaliste est ici armé de sa connaissance du droit de droits de l'homme, dans ses versants interne, européen et international. en la matière, c'est bien sûr, principalement, à la fois le droit à la liberté de l'enseignement, le droit à l'instruction - dans le respect des convictions religieuses e t philosophiques des parents - et le droit à l'égalité, avec toutes les tensions qui peuvent oppo ser ces deux derniers droits au premier, qui sont censés régir l'ensemble de la législation. l'art belge, si l'on peut dire, de conjuguer ces droits fonda mentaux se concentre bien sûr dans l'article 24 de la Constitution, une de nos vaches sacrées - ou un de nos bijoux de famille, si l'on préfère... - les plus emblématiques de notre système politique et constitutionnel, fruit d'une histoire longue qui remonte aux guerres scolaires de 1879-1884 et de 195 0- 1958.
mathias el berhoumi a toutes les qualités de ce juriste tant attendu pour défricher enfin ce nouveau droit des politiques scolaires et pour le confronter à ces droits fondamentaux. son ouvrage offre ainsi une analyse juridique rigoureuse, critique et exhaustive de la législation et de la jurisprudence de notre Cour constitutionnelle, ainsi que de la légisprudence de la section de législation du Conseil d'état, dans tous les secteurs du droit de l'enseigne ment obligatoire ordinaire et de plein exercice de la Communauté fran

çaise

2

2. non sans d'intéressantes comparaisons avec le droit de la Communa

uté flamande, dont l'exactitude et la pertinence ont été remarquées par notre c ollègue de l'université de gand, ludo veny.

Préface

BRUYLANT

11 où la liberté d'enseignement est en cause, dans ses deux dimensions : la liberté organisationnelle, d'une part, et le libre choix, d'autre part. mais notre jeune auteur a plus encore. Formé à l'école de saint-louis, il possède en outre, d'une part, la méthodologie de la recherche juridique résolument ouverte aux sciences sociales qui peuvent expliquer la genèse et la portée concrète des règles étudiées et, d'autre part, les outils de l'esprit critique qui permet de confronter ces règles à des critères d'évaluation d'or dre éthique ou politique que l'on se risque à exposer - et donc à soumettre à la discussion - en toute transparence. issu d'une dissertation doctorale en science juridique brillamment dé fendue à l'université saint-louis-bruxelles, l'ouvrage défend donc une vraie thèse, autrement dit, une position non évidente qui appelle une démonstra tion, en recourant à une approche résolument interdisciplinaire. on peut la présenter synthétiquement en l'articulant autour de trois branc hes. mathias el berhoumi démontre tout d'abord que le régime juridique de la liberté d'enseignement, particulièrement dans son volet " liberté organisationnelle », plus que dans son volet " libre choix », a été proprement subverti par une succession de décrets attentatoires à cette liberté, mais néanmoins validés par la Cour constitutionnelle à l'aide de raisonnements juridiquem ent peu convaincants, et ce malgré les mises en garde de la section de législation du Conseil d'état. C'est l'objet de la deuxième partie de l'ouvrage. on y voit ainsi combien, d'une part, la liberté pédagogique des établissements, non seu lement dans les contenus à enseigner, mais aussi dans les méthodes pédago giques et, d'autre part, leur autonomie dans l'évaluation et la certification des parcours des élèves ont fait l'objet de restrictions particuliè rement intrusives. le libre choix des parents a aussi été restreint par les célè bres et très com plexes décrets-inscriptions, mais dans une moindre mesure, cette législation ne s'appliquant qu'à l'entrée dans l'enseignement seco ndaire. Cette subversion du régime de la liberté d'enseignement trouve une part de sa motivation juridique dans une nouvelle interprétation des contr eparties du financement public accordé aux écoles libres qui peuvent être imposées au nom du droit à l'instruction et d'une nouvelle pondératio n de la règle constitutionnelle de l'égalité. m. el berhoumi analyse ces raisonnements juri diques avec la plus grande vigilance critique. la qualité des analyses juri diques fournies a été unanimement saluée par les spécialiste s du droit de l'enseignement qui siégeaient dans le jury, les professeurs delgrange (uslb et ulb), vandernoot (ulb) et veny (rug). Ce phénomène d'érosion de la liberté d'enseignement demeurerait incompris, s'il n'était pas expliqué com plémentairement par des facteurs extra-juridiques particulièrement lourds. Ces facteurs consistent dans un changement au niveau des objectifs de la politique scolaire. elaboré initialement pour répondre à un objectif de paci fication idéologico-philosophique dans le plus pur esprit du " pluralisme à la belge » et donc du pacte scolaire, le régime juridique de la liberté d'ensei gnement a été subverti au nom d'une volonté politique toute différente : celle LE RÉGIME JURIDIQUE DE LA LIBERTÉ D"ENSEIGNEMENT À L"ÉPREUVE DES POLITIQUES SCOLAIRES 12

BRUYLANT

de créer un paysage scolaire plus égalitaire et, ceci allant de pair avec cela, un paysage piloté par les pouvoirs publics de manière plus autorit aire. Cette corrélation entre l'évolution juridique soigneusement décrit e et l'évolution proprement politique en question est parfaitement démontrée par l' auteur à l'aide d'une utilisation intelligente des nombreux travaux d' histoire dans la première partie dédiée à la construction du système or iginel de la liberté d'enseignement, d'une part, et des non moins nombreux travaux de sociolo gie et de science politique qui ont été consacrés ces derniè res années aux poli tiques scolaires en Communauté française dans la troisième part ie, d'autre part. l'aptitude, dont mathias el berhoumi fait ici la preuve, à identifier et comprendre en profondeur ces travaux d'histoire, de sociologie et de science politique est tout à fait remarquable. membre du jury, l'éminent professeur de sociologie de l'éducation, Christian maroy, l'a soulignée dans des termes particulièrement élogieux. troisième branche enfin - et on est alors au cœur du paradoxe ap parent

de la thèse - : si la liberté d'enseignement a été très sévèrement restreinte et

dans des conditions juridiques critiquables, elle " demeure 3 l'une des pierres angulaires du système scolaire et 4 représente un obstacle [...] à l'aboutisse ment de cette (nouvelle) politique » 5 qui est en soi, à bien des égards, très légi time. ici interviennent inévitablement des appréciations et des jugemen ts de valeur délicats. pour m. el berhoumi, au moins dans ses objectifs, la nouvelle politique scolaire de la Communauté française doit être approuv

ée morale

ment et politiquement au nom de l'idéal de l'égalité des

élèves,

et le résidu de la liberté d'enseignement, même s'il résulte d'une évolution législative et jurisprudentielle juridiquement contestable, devrait être encore plus sévère ment réduit, du moins dans le volet " libre choix », mais alors franchement, par une révision en bonne et due forme de l'article 24 de la Constitution, pour atteindre effectivement cet objectif égalitariste. la pointe la plus avancée et la plus audacieuse de la thèse rés ide donc ici. les coups de boutoir de la législation décrétale à l'enco ntre de la liberté d'en seignement n'ont pas réduit à néant un noyau dur qui demeure intact. dans cette substance intangible de la liberté subsidiée, figurent, d'une part, celle du pouvoir organisateur de choisir son affiliation religieuse ou philosophi que et, d'autre part, le libre choix des parents. Ce dernier peut être restreint, mais non anéanti. les convictions philosophiques ou religieuses que le libre choix vise à garantir doivent être respectées. Cet impératif indérogeable est incom patible avec un mécanisme d'affectation administrée des élè ves à partir de zones scolaires socialement mixtes. or mathias el berhoumi estime qu'un tel mécanisme s'impose si l'on veut réellement mettre fin à la ségrégation sco laire. selon sa suggestion de constitutione ferenda, le principe du libre choix

3. souligné par nous

4. Idem.

5. ouvrage ici préfacé, n° 1.

Préface

BRUYLANT

13 pourrait encore être énoncé, mais il devrait être clairement subordonné à un principe supérieur : le droit à l'instruction dans la mixité sociale. autrement dit, chaque fois que l'exercice du libre choix compromettrait cette mixité, il devrait être écarté au profit de ce mécanisme d'affectati on administrée de l'élève dans une zone socialement mixte 6 mais par ailleurs, notre auteur plaide, toujours de lege ferenda , en faveur d'une restauration de la liberté organisationnelle et même de s on extension à l'ensemble de la communauté éducative. tant les pouvoirs organisateurs de l'enseignement libre que ceux de l'enseignement officiel devraient

être libres

de s'organiser, de définir des valeurs de référence, des contenus et des méquotesdbs_dbs42.pdfusesText_42
[PDF] MANUEL QUALITE RESUME

[PDF] tourisme responsable Agir ensemble SULLY-SUR-LOIRE 18 novembre 2008 Intervenants : Élodie RAYMOND, Bruno BRET

[PDF] La Qualité RE.S.E.A-U en Provence-Alpes-Côte d Azur

[PDF] Pôle Territorial de Coopération Economique

[PDF] Financement. Crédit PME Marge de manœuvre pour petites et moyennes entreprises

[PDF] Préparer une licence professionnelle en Contrat de Professionnalisation à l IUT de RENNES

[PDF] Loi concernant la profession d'avocat (Version en vigueur jusqu'au 31 août 2009)

[PDF] FILIERE RELATION DE SERVICES

[PDF] Démarche Qualité et Certification de Service d un cabinet libéral SCP OLLU-RENAUD LE MANS

[PDF] Association des Avocats-Stagiaires fribourgeois. Statuts du 20 mars 2015. I. Dispositions générales. Membres. Article 4

[PDF] Céramique-métal, une liaison haute performance

[PDF] APRES LA TROISIEME. Diocèse d Amiens. SAINT RIQUIER Amiens. SAINT PIERRE Abbeville

[PDF] Aide pour les inventeurs

[PDF] Présentation Cap emploi Calvados. 29/10/2014 Présentation Cap emploi 1

[PDF] DEFINITION D EMPLOI TYPE DE COORDONNATEUR RESIDENT DES NATIONS UNIES 1