ORDRE DU JOUR DU 20 NOVEMBRE 2015 (1)
20 nov. 2015 protocole spécifique pour l'affectation des « CEE collectivités » du programme. Habiter Mieux 2014 - 2017. SANTÉ PUBLIQUE - Création de la ...
Aides à la rénovation énergétique des logements privés
1 avr. 2017 programme Habiter Mieux de l'Anah s'inscrit déjà dans une logique de ... Le taux spécifique de TVA à 55 % pour les travaux de rénovation.
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26 janv. 2015 C'est ainsi que le succès du programme Habiter Mieux pilier du plan de rénovation énergétique de l'habitat annoncé en mars 2013 par le ...
REVUES DE DÉPENSES
6 avr. 2017 d'un huitième au programme Habiter Mieux de l'Agence nationale pour l' ... Le taux spécifique de TVA à 55 % pour les travaux de rénovation.
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10 nov. 2015 Protocole spécifique pour l'affectation des «Certificats d'Economie d'Energie (CEE) Collectivités. » du Programme Habiter Mieux 2014-2017 ...
Convention régionale de mise en œuvre du Programme SARE
4 févr. 2022 quant aux CEE pour la période au-delà de cette date et des résultats de la première phase du programme. SARE entre 2021 et 2023 ...
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25 nov. 2015 OBJET: PROTOCOLE SPECIFIQUE POUR L'AFFECTATION DES « CEE. COLLECTIVITES » DU PROGRAMME HABITER MIEUX 2014-2017.
Le rapport public annuel 2019
18 juin 2018 spécifique (programme 164 – Cour des comptes et autres juridictions financières). Leurs dépenses se sont élevées en 2018 à 21802 M€
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20 nov. 2015 PILOTE DANS LE PROTOCOLE SPÉCIFIQUE POUR L'AFFECTATION DES « CEE COLLECTIVITÉS » DU. PROGRAMME HABITER MIEUX 2014-2017.
PFE_version numérique
31 déc. 2015 quelques subventions spécifiques de l'État aux collectivités ... Total - au programme « Habiter mieux » en contrepartie de la délivrance de.
Protocole spécifique pour l’affectation des « CEE
2014 le présent protocole définit les modalités d’affectation des CEE-collectivités sur le périmètre du CLE Il indique également les actions que ce dispositif permet de mettre en œuvre pour la bonne réussite du programme Habiter Mieux sur le territoire
CEE : 50 questions pratiques pour les collectivités - Amorce
Dans le cas de travaux financés par l’Anah et le programme Habiter Mieux la région ne pourra récupérer des CEE que dans le cadre des modalités d’affectation prévues dans le protocole thématique de la part réservée aux collectivités (25 des CEE générés par l’obligé-référent)
Protocole spécifique pour l’affectation des « CEE
la signature du protocole les collectivités perdraient définitivement le bénéfice des CEE-collectivités au titre des logements financés sur la période 2014-2017) Sur le périmètre du CLE le Conseil Départemental participe financièrement au programme Habiter Mieux
leay:block;margin-top:24px;margin-bottom:2px; class=tit wwwbulletin-officieldeveloppement-durablegouvfrMINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L
La possibilité de conditionner l’octroi des aides du programme Habiter mieux au respect des accords conclus par l’Anah en matière de CEE est prévue par le règlement des aides du Fonds d’aide à la rénovation thermique (FART) des logements privés (annexe au décret no 2013-610 du 10 juillet 2013)
![REVUES DE DÉPENSES REVUES DE DÉPENSES](https://pdfprof.com/Listes/20/4082-202016-M-114.pdf.pdf.jpg)
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Aides à la rénovation énergétique
des logements privésREVUES DE DÉPENSES
Les revues de dépenses constituent un dispositif innovant dépenses publiques, instauré par la loi de programmation des finances publiques 2014-2019 (article 22). Elles ont pour objectif explicite de documenter des mesures et des
réformes structurelles de redressement des comptes publics. Réalisées en toute les recommandations des donc pas le Gouvernement. Leur efficacité repose tant sur leur contenu opérationnel que sur leur procédure spécifique, qui associeétroitement Gouvernement et Parlement.
Un champ de compétence large associé à une démarche opérationnelle revues de dépenses est très large. Elles peuvent couvrir publique et tous les sous-secteurs des administrations publiques (État, agences,organismes de sécurité sociale, collectivités territoriales), comme tous les outils de
financement des politiques publiques (dépenses fiscales, crédits budgétaires, taxes affectées, etc.). s ivent dans une logique opérationnelle. Chaque revue de dépenses doit permettre dla connaissance des dépenses afin deà court ou moyen terme.
Une association du Parlement en parfaite articulation avec le calendrier de la préparation du budget annuel. Ces modalités de mise par la loi de programmation des finances publiques (LPFP) et constituent un élément clé deLa loi dispose ainsi que
concomitante avec le dépôt du PLF. La liste des thèmes faisant revue dedépenses est présentée dans une annexe budgétaire du PLF dédiée (" jaune »). Les
parlementaires sont ainsi informés des thèmes des revues et de leurs enjeux pour en débattre, le cas échéant, avec le Gouvernement. Les travaux des corps de contrôle doivent être finalisés au cours du premier trimestre. Ce calendrier permet ainsi que les conclusions des revues de dépenses puissent être intégrées à la construction du PLF suivant. Le Gouvernement en prévoit la diffusion, sans que celle-ci soit précisée dans la LPFP, non seulement dans unplus précis et le plus fin, propre à nourrir des échanges éclairés et de qualité au sein du
débat public.Inspection générale
des financesN° 2016-M-114
Conseil général
de l'environnement et du développement durable N°R6PPORTb
6%9'S bÀbL6bRÉNOV6T%O
NbÉN'RHÉT%QU'
b9' S bLOH'M'NTS
bPR%VÉSb
Établi par
8lairebW6YS6N9b
Inspectrice générale
des finances9avidbH'
N'TbInspecteur des finances
PierrehMa
rieb86RR6U9bInspecteur des finances MichèlebROUSS'6Ub
Ingénieure générale
des mines6lainbW'7
'RbInspecteur général de
l'administration du développement durable8harle
sb*'L7RONN'RbIngénieur en chef des ponts, des
eaux et des forêtsbAVRIL 2017 -
Rapport
SYNTHÈSE
Les objectifs souscrits par la France au niveau international prévoient une réduction des émissions des gaz à effet de serre (GES) de 40 % d'ici 2030 et de 75 % d'ici 2050 (" facteur quatre ») par rapport au niveau de 1990. Le bâtiment, à l'origine de 20 % des émissions de GES et de 40 % de la consommation finale d'énergie en France, doit y prendre sa part. b b b Si la mission a cherché à confronter les résultats obtenus aux objectifs assignés, elle s'est heurtée à plusieurs difficultés : bdivers objectifs, non hiérarchisésont été assignés par le législateur ble système statistique n'isole pas les rénovations énergétiquesbles politiques publiques de soutien à la rénovation énergétique ont été marquées
par une forte instabilité Le prix de l'énergie est un déterminant important des travaux de rénovationénergétique.
Aux prix actuels de l'énergie
cependant, d'une part les travaux restent pour nombre d'entre eux insuffisamment rentables, d'autre part leur coût n'est pas supportable sans soutien pour les ménages aux revenus modestesRapport
Des politiques
spécifiques ont aussi été mises en uvre. L'État y a consacré 3,2 Mds en 2016, dont un peu plus de la moitié consacrée au Crédit d'impôt transition énergétique (CITE), un peu moins du tiers au taux réduit de TVA à 5,5 %, et un peu plus d'un huitième au programme HabiterMieux de l'Agence nationale pour l'habitat
(Anah) destiné aux ménages à revenus modestes. Au regard de l'effort financier réalisé, les résultats de la politique de soutien à la rénovation énergétique paraissent modestes : bles données suggèrent qu'à politique inchangée et malgré la trajectoire de contribution climat-énergie prévue, les économies de consommation énergétique devraient être nettement en deçà de l'objectif sectorielbla répartition des efforts de rénovation dans le logement privé n'est pas en adéquation avec les besoins
La question de la pertinence de l'approche actuelle mérite donc d'être posée. Le marché ne parait cependant pas mûr pour un basculement à très court terme vers une logique d'aide totalement liée à la performance (aide globale) La mission recommande dès lors de faire évoluer les dispositifs existants b b bRapport
debréformerbleb8%T'b€bb lab9H88RWèb àb»fb"""bbpourbunebpersonnebseulebetbf0b"""bbpourbunbcouple afinbdebmieuxb prendrebenb b4b enbréduisantblabdépensebfiscalebassociéebaubremplacementbdesbfenêtresb€ lab h améliorationbdesblogements dubtauxbspécifiqueêtrebobservéb4bb
souhaitablesb4b consacrée b4b publiantbun bvaleurbverteb»bd"unb performantesyb La mission insiste enfin sur la pertinence de stabiliser les dispositifs sur une durée longue (quinquennat) une fois qu'ils auront évolué - sauf effet pervers majeur n'ayant pas été prévu - afin d'offrir de la visibilité aux ménages comme aux entreprises. Un engagement pourrait être pris en ce sens. b hbêbhb INTRODUCTION ........................................................................ ................................................................... 1b b b1.1.bLa rénovation énergétique des logements doit répondre à une pluralité
d'objectifs, peu hiérarchisés, entre volume de rénovations et recherche deperformance ................................................................................................................................................ 2b
1.1.1.bLa rénovation énergétique des logements s'inscrit dans le cadre des accords internationaux auxquels la France a souscrit, dont les
engagements ont été déclinés par secteurs au niveau national .................................. 2b
1.1.2.bLes mesures de soutien à la rénovation énergétique des bâtiments se sont vu assigner une pluralité d'objectifs qui vont au-delà des seuls objectifs
environnementaux............................................................................................................................ 3b
1.1.3.bReflet partiel de cette pluralité d'objectifs, les politiques de soutien à la
rénovation thermique semblent hésiter entre deux logiques : l'efficacitédes travaux menés et leur volume .............................................................................................. 3b
1.1.4.bLa pluralité et l'absence de hiérarchie des objectifs fixés sont sources de
complexité pour l'évaluation et ont conduit la mission à faire des choix ................ 4b
1.2.bLes dispositifs publics d'aide à la rénovation énergétique des logements ont connu une forte variabilité au cours du temps et forment aujourd'hui un
ensemble hétérogène .............................................................................................................................. 4b
1.2.1.bLe signal-prix est un déterminant majeur pour inciter à la réalisation de
démarches de rénovation énergétique .................................................................................... 5b
1.2.2.bLes principaux dispositifs existants s'appuient essentiellement sur une approche " par éléments » de la rénovation énergétique des logements
privés ....................................................................................................................................................... 6b
1.2.3.bLes initiatives pour encourager une approche plus globale des rénovations
énergétiques sont marginales ou réservées à des populations particulières ........ 8b
1.2.4.bLa mobilisation des différentes aides par les ménages demeure complexe ........ 10b
b b2.1.bLa dynamique de travaux reste faible malgré les dispositifs publics existants ........... 12b
2.1.1.bLa comparaison entre la trajectoire actuelle et l'objectif de baisse des
émissions de GES
à atteindre est difficile ............................................................................. 12b
2.1.2.bEn revanche, le rythme actuel des rénovations est très en deçà des objectifs
de la loi de transition énergétique .......................................................................................... 13b
2.2.bLes dispositifs fiscaux existants sont coûteux et parfois mal ciblés, laissant notamment de côté des gisements importants d'économies ............................................... 15b
2.2.1.bLe CITE ne permet pas de cibler les travaux permettant de réduire le plus les émissions de GES et les consommations énergétiques ............................................ 15b
2.2.2.bLa TVA à taux réduit ne permet pas de cibler les dépenses efficaces et constitue un signal trop faible pour susciter une véritable dynamique de
travaux de rénovation énergétique ........................................................................................ 19b
2.3.Le développement des dispositifs de financement et d'accompagnement est à
surveiller .................................................................................................................................................... 21
3.LE BASCULEMENT VERS UNE POLITIQUE D'AIDE GLOBALE CENTRÉE SUR LA
PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DES RÉNOVATIONS EST SÉDUISANT MAIS PARAIT PRÉMATURÉ ........................................................................ ............................................. 253.1.L'adoption d'une politique d'incitation à la rénovation énergétique axée sur une
démarche d'ensemble (" aide globale ») accroîtrait l'efficacité de l'euro dépensé,même si l'exemple allemand incite à la prudence .................................................................... 25
3.2.L'offre n'est pas suffisamment structurée pour envisager à court terme une massification des rénovations globales incluant un objectif de performance .............. 26
3.3.Le coût d'une rénovation globale reste un obstacle important pour les ménages, en particulier avec des coûts de l'énergie faibles ..................................................................... 28
4.LA MISSION RECOMMANDE D'INCITER LES MÉNAGES À ENGAGER DES TRAVAUX PLUS PERFORMANTS ET LES PROFESSIONNELS À MIEUX SE
STRUCTURER ........................................................................ ............................................................ 294.1.La réduction des émissions de GES doit constituer l'objectif premier des
politiques de soutien à la rénovation énergétique ................................................................... 29
4.2.Les dispositifs existants doivent gagner en efficacité ............................................................. 29
4.3.Plusieurs mesures transversales présentent également une utilité ................................. 34
bb b b bb b bSIGNATURES
...................................................................... 38bRapport
INTRODUCTION
bvolet évaluatif bvolet prospectif b b bRapport
1.La politique de soutien à la rénovation énergétique des logements
poursuit des objectifs multiples qui la rendent peu lisible et instable dans le temps1.1.La rénovation énergétique des logements doit répondre à une pluralité
d'objectifs, peu hiérarchisés, entre volume de rénovations et recherche de performance1.1.1.La rénovation énergétique des logements s'inscrit dans le cadre des accords
internationaux auxquels la France a souscrit, dont les engagements ont été déclinés par secteurs au niveau national1/ Les dispositifs publics de soutien à la rénovation énergétique des bâtiments
s'inscrivent en premier lieu dans le cadre des engagements pris par la France lors duConseil européenbd"octobrebf"»0
1èbtraduitsb
àblabtransitionbénergétiquebpourblabcroissancebverteb,T'8V.èbet réaffirmés à l'occasion de
l'Accord de Parisybb notammentbsurb€b etbdeb 5" bgbd"icibf"5"yb2/ Les engagements de la France ont ensuite été déclinés par secteurs par le
etbdeb0" loibT'8Vb€b l"articleb» er 2 b4b f yan.èbcebquibcorrespondbauxbétiquettesb
àbhorizonbf"5"ybb
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