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Modernité en poésie

De grands poètes comme Baudelaire



La Modernité et les Petits Poèmes en Prose de Baudelaire

forme de poésie et d'art qui s'adapte à cette modernité poétique et artistique. a donné la définition dans ces critiques d'art. il emploie ce terme.



Untitled

Modernité et contemporanéité poétiques: l'héritage du XIXe siècle f. La modernité a sa figure tutélaire: Baudelaire. Et sa définition: baudelairienne. Sa.



2020

1 jui. 2020 années trente du vingtième siècle dans cette modernité poétique en recherche de définition d'elle-même et de son rapport au monde



Corrigé de dissertation

définir la modernité poétique ? Vous développerez votre argumentation en vous appuyant sur l'œuvre les textes étudiés



Poesie et modernite

Le thème que je me propose d'explorer œ poésie et modernité œ est formé de tique le fondement du romantisme



2021

15 nov. 2021 Du reste l'anthologie poétique que Sozzi a publiée la même année ... la remise en question de la définition de « modernité poétique »3.



Séquence 1 La poésie entre tradition et modernité Objet détude

la modernité en poésie : extrait de la conférence sur l'Esprit Nouveau et les poètes définition de la modernité par Charles Baudelaire dans.



Au carrefour des influences: Yahya Kemal et la modernité de la

17 mar. 2014 Car la définition de la poésie de ce poète oriental correspond à celle du poète français le plus renovateur Arthur Rimbaud



LESTHETIQUE DE LA MODERNITE DANS LA POESIE DE

I-1-2-Une définition de la modernité…………………………………………25-26. CHAPITRE II : Les instruments du langage poétique prévertien : néologisme et collage.



Modernité en poésie - C Guerrieri enseignante de français

Définition La modernité caractérise ce qui est moderne dans l'art autrement dit elle transforme quelque chose de moderne en objet artistique Cependant la modernité n'est pas un mouvement Ainsi comment la définir ? La poésie étant l'art du langage rythmé c'est une démarche esthétique L'esthétisme est caractérisé non pas comme ce

Quelle est la différence entre la modernité poétique et la poésie traditionnelle ?

Productions des élèves (dans la colonne de gauche, la première approche de la notion, donnée en début de séance ; dans la colonne de droite, celle en fin de séance). « La modernité poétique s’oppose à la poésie traditionnelle. La poésie traditionnelle c’est les vers alors que la modernité c’est la prose, les vers libres.

Comment développer la modernité poétique ?

Les deux moments d’oral de travail, en petit groupe sur un seul texte puis en groupe recomposé sur les cinq poèmes, et l’oral de restitution face à la classe ont permis de faire évoluer la définition initiale pour enrichir, nuancer ou même rectifier l’approche de la notion de modernité poétique.

Qu'est-ce que la modernité poétique ?

IV. Corpus : Modernité poétique ? À partir du xixe siècle et jusqu'à nos jours, les poètes éprouvent le besoin de renouveler la poésie dans son fond et dans sa forme en utilisant de nouveaux sujets d'inspiration et en proposant d'autres formes poétiques.

Comment fonctionne la classe de modernité poétique ?

La classe est à présent composée de quatre groupes de cinq élèves et de deux groupes de six élèves. On distribue à chaque groupe une feuille A3, afin de permettre aux élèves de passer par un schéma ou une figure pour penser la notion abstraite de modernité poétique. 1.

Revue italienne d'études françaises

Littérature, langue, culture

11 | 2021

Les masques de l'Empereur

Victor Hugo poète

en Italie : perspectives

Victor Hugo poet in Italy: perspectives

Luciano

Pellegrini

Édition

électronique

URL : https://journals.openedition.org/rief/7225

DOI : 10.4000/rief.7225

ISSN : 2240-7456

Éditeur

Seminario di

lologia francese

Référence

électronique

Luciano Pellegrini, "

Victor Hugo poète

en Italie : perspectives

Revue italienne d'études françaises

[En ligne], 11

2021, mis en ligne le 15 novembre 2021, consulté le 18 novembre 2021. URL

: http:// journals.openedition.org/rief/7225 ; DOI : https://doi.org/10.4000/rief.7225 Ce document a été généré automatiquement le 18 novembre 2021. Les contenus de la RIEF sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modi cation 4.0 International.

Victor Hugo poète en Italie :perspectives

Victor Hugo poet in Italy: perspectives

Luciano Pellegrini

1 En Italie, en tant que poète, Hugo demeure peu lu, peu traduit, peu connu. Rien n'a

changé depuis 2002, lorsque Lionello Sozzi affirmait que " la vaste production poétique de Hugo, dans le passé très diffusée auprès des lecteurs italiens, et souvent traduite, l'est beaucoup moins de nos jours » : sauf exceptions, " nous nous trouvons en face d'un silence généralisé »

1. Du reste, l'anthologie poétique que Sozzi a publiée la même année

chez Mondadori, pour le bicentenaire de la naissance de l'écrivain, est devenue vite introuvable

2. Point d'anthologie ni de nouvelles traductions de recueils, même

partielles, n'ont paru à la suite. Pourtant en France, depuis une quarantaine d'années,

la poésie de Hugo profite d'un retour d'intérêt : si d'un côté elle n'a jamais connu de

déclin dans les programmes et les manuels scolaires, de l'autre, elle avait vécu, pour une bonne partie du XX e siècle, une sorte de purgatoire, et ceci en raison de

l'affirmation d'une idée de modernité poétique défavorable à son éloquence abondante.

Ce purgatoire a pris sa fin à commencer par le foisonnement d'études, initiatives et

publications de l'année 1985, à l'occasion des cent ans de la mort du poète. Dès lors, son

oeuvre a connu en France une nouvelle fortune qui n'a cessé de s'accroître jusqu'à nos jours en connaissant une forte accélération en 2002, bicentenaire de sa naissance. Ce retour en force est allé de pair avec un renouvellement des études sur le Romantisme et la remise en question de la définition de " modernité poétique »

3. Or, rien de tel dans la

Péninsule, si l'on excepte l'attention portée aux Orientales - un recueil qui en Italie comme en France n'a jamais connu d'ombre

4 - et la publication de quelques études5 : la

fortune éditoriale et universitaire de Hugo poète y demeure modeste - même pas comparable à celle, par exemple, de Baudelaire.

2 La constellation des sept textes choisis pour cette nouvelle petite anthologie, dontquatre n'ont jamais été traduits en italien, se présente sous un ordre chronologique et

couvre presque cinquante ans de l'oeuvre du poète, de 1828 à 1872. Nous avons cherché

à fournir un cadre essentiel où se dévoilent, suivant leur évolution dans le temps, lesVictor Hugo poète en Italie : perspectives

Revue italienne d'études françaises, 11 | 20211 différentes voix de Hugo : le jongleur d'un art pour l'art d'avant-garde, celui des Djinns (1828), côtoie ainsi le poète religieux d'Extase (1828) ; au défenseur des " femmes qui tombent » (1835) correspond plus tard l'accusateur des horreurs de la guerre civile

dans L'Année terrible (1872) ; " l'élégie conceptuelle » (De Francesco) des Contemplations

(1856) fait place au biblique Booz endormi (1858), dont la récit religieux est en même temps bien différent de l'épopée de la Fin de Satan (1854-1860, posth. 1886).

3 Cette petite anthologie veut constituer une reconnaissance du poète par l'écriture. Sixtraducteurs sur sept sont des poètes. Tous, même s'ils l'ont fait de façons différentes,

ont actualisé Hugo. C'est-à-dire qu'ils ont d'abord incorporé, donc interprété, l'original,

pour le rendre ensuite à travers leur voix. Ce qui ne les a pas empêchés de revendiquer leur fidélité au texte. Les notes d'Alessandro De Francesco et de Riccardo Held offrent

de véritables aperçus interprétatifs, en montrant à quel point traduire a été, avant tout,

une façon de comprendre la poésie de Hugo.

4 Quant aux contraintes métriques assumées par les traducteurs, on y reconnaît desconstantes. Hugo n'écrivait qu'en vers réguliers et en ayant recours à des schémas derimes rigoureux. Tous ont adopté le vers et ont respecté la partition en strophes despoèmes, mais seulement trois d'entre nous, Chetro De Carolis, Valerio Magrelli et moi-

même avons adopté rigoureusement les équivalents métriques de l'original (par exemple, le doppio settenario pour l'alexandrin). En outre, personne n'a jugé profitable de s'imposer la contrainte de la rime, que je suis le seul à avoir adoptée. Reste que les traducteurs, dans un hommage silencieux ou inconscient à Henri Meschonnic, ont tous généralement compris le rythme comme la " composante principale d'un texte »

(Magrelli) et comme une clé privilégiée de la fidélité : la traduction a donc été surtout

une question, pour certains, de correspondance métrique (De Carolis, Magrelli,

Pellegrini), et, pour les autres, d'équivalence rythmique, une équivalence où la création

d'un rythme libre a constitué un gage de fidélité au sens le plus profond du texte. La richesse rythmique s'est révélée comme condition nécessaire à ce que les poètes arrivent à redonner la parole à Hugo. Emblématique, à ce propos, est la nouvelle force de frappe que le rythme de la traduction donne à deux poèmes engagés dont le côté sentimental risque de paraître suranné : Oh ! n'insultez jamais une femme qui tombe, traduit par Maddalena Bergamin, et Une femme m'a dit ceci..., traduit par Florinda Fusco.

5 Par leur fidélité assumée et par leur langue contemporaine, ces traductions paraissent

rendre justice à la poétique linguistique de Hugo. Si ce dernier a été souvent vu par ses

contemporains comme " le » novateur de la poésie moderne, c'est par la création d'un langage aux possibilités virtuellement infinies, qui renvoie à la langue de tous les jours, et qui constitue en même temps un modèle de future langue pour tous. La vitalité de ces traductions ne fait presque aucune concession aux archaïsmes et aux tournures hyper-littéraires qui ont longtemps caractérisé la tradition poétique italienne. Comme si, en italien, l'adoption d'une langue tout simplement vivante, qui soit à la fois savante

et courante, était déjà une façon de reconnaître fidèlement Victor Hugo.Victor Hugo poète en Italie : perspectives

Revue italienne d'études françaises, 11 | 20212

NOTES1. L. Sozzi, " Le poesie di Hugo in Italia. Opinioni, traduzioni, imitazioni », dans Studi Francesi, 140,

mai-août 2003, p. 401-410, p. 401. C'est moi qui traduis.

2. V. Hugo, Poesie, éd. et tr. L. Sozzi, Milan, Mondadori, 2002.

3. Je me limite à signaler au lecteur les études de Jean-Pierre Bertrand, Pascal Durand et Alain

Vaillant, en particulier : J.-P. Bertrand et P. Durand, La Modernité romantique de Lamartine à Nerval,

Bruxelles, Les Impressions Nouvelles, " Réflexions faites », 2006 ; P. Durand, L'Art d'être Hugo.

Lecture d'une poésie siècle, Arles, Actes Sud, " Un endroit où aller », 2005 ; A. Vaillant, La Crise de la

littérature. Romantisme et modernité, Grenoble, Ellug, " Bibliothèque stendhalienne et

romantique », 2005.

4. Voir les traductions partielles du recueil réalisées par Gesualdo Bufalino (Sellerio, 1985) et

Riccardo Held (Mondadori, 1985).

5. Je me permets de renvoyer à mes propres travaux sur la première période de la poésie de

Hugo, entre autres : L. Pellegrini, " Épreuves d'enfance. La poésie de Hugo de 1815 à 1817 », dans

Revue d'Histoire Littéraire de la France, 115/2, 2015, p. 303-329 ; Id., " Lumières et gratuité. Le thème

de la retraite dans les Odes et Balades de Hugo », dans Revue italienne d'études françaises, 3, 2013,

consulté le 10/09/2021, URL : ; Id., La responsabilità del

nuovo. Saggio sulla poesia di Victor Hugo prima dell'esilio, Pisa, ETS, 2018 ; Id., " Prégnance historique

et modernité dans la poésie du premier Hugo », dans Revue italienne d'études françaises, 1, 2011,

consulté le 10/09/2021, URL : ; Id., " Mystère et

magistère. Victor Hugo académicien », dans Francofonia, 67, 2014, p. 121-138.

RÉSUMÉS

Ce texte précède une anthologie de sept poèmes de Victor Hugo traduits en italien. En Italie, la

poésie de Hugo demeure peu lue, peu traduite, peu connue. Dans ce texte d'introduction, j'aborde les raisons de ce manque de fortune italienne du poète qui dure depuis environ un siècle. Je souligne ensuite certaines constantes observables dans les méthodes de traduction des textes de

Hugo, pour étayer enfin l'ambition de ces sept traductions réalisées et commentées par des

poètes italiens contemporains: celle de contribuer au retour, en Italie aussi, de Hugo poète parmi

ceux à qui on ne cesse de redonner la parole. This paper precedes an anthology of seven poems by Victor Hugo translated into Italian. In Italy, Hugo's poetry remains little read, little translated, little known. In this preface, I recall the reasons for this cool reception of the poet in Italy for about a century, and then I underline the constants in the authors' methods of translation, in order to finally support the ambition of these seven translations that have been made and commented by Italian poets of our time: to

contribute to the return, in Italy too, of Hugo among the poets to whom we still give voice.Victor Hugo poète en Italie : perspectives

Revue italienne d'études françaises, 11 | 20213

INDEXKeywords : Hugo (Victor), poésie, traduction, fortune en Italie, interprétationVictor Hugo poète en Italie : perspectives

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