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LE CHRONOTOPE DE LA NUIT DANS LE RÉCIT FANTASTIQUE Je

Les contes fantastiques représentent dans la littérature française du. XIXe siècle



Parcours 1 : la littérature fantastique

Je me suis levé cette nuit. J'ai voulu voir si j'avais rêvé. Eh bien ! eh bien ! il est sorti du tableau rugit Gryde ...



Le récit fantastique

Après avoir débattu de ce que pourrait être la littérature fantastique il est moi



Fiche de lecture : Merveilleux et fantastique en littérature

Bien d'autres contes où n'interviennent pas les fées



Le fantastique chez Charles Nodier

Le deuxième chapitre est dédié à la littérature fantastique en premier lieu On commence avec le conte fantastique Smarra ou les Démons de la nuit (1821) ...



Dossier contes à lencre

nuits remplies de cauchemars… Un choix de nouvelles issues de trois recueils de Thomas. Owen considérés comme des classiques de la littérature fantastique 



FICHE DE SYNTHÈSE - Le surnaturel et la littérature fantastique

Essor considérable de la littérature fantastique en France où c'est certainement Tahar Ben Jelloun L'Enfant de sable



Pour une théorie générale du fantastique

25 avr. 2008 Louis Vax L'Art et la littérature fantastique



Dictionnaire littéraire de la nuit 1

15 janv. 2004 apparitions fantastiques) les nuits blanches de ... nuit en littérature. ... La littérature fantastique offre de nombreuses variations



La Nuit (Maupassant) — Wikipédia

Les filles de la nuit Le fantastique féminin de Silvia Moreno-Garcia PATRICK BERGERON Université du Nouveau-Brunswick Women have emerged from the shadows to claim the night1 (Moreno-Garcia et Stiles 2015 : 10) Selon Anne Richter « la femme qu’elle le veuille ou non a de tout temps



Peurs de la nuit angoisses de tous les jours le fantastique

Nuit blanche Dossier Peurs de la nuit angoisses de tous les jours le fantastique Gilles Pellerin Numéro 7 automne 1982 URI : https://id erudit org/iderudit/1638ac Aller au sommaire du numéro Éditeur(s) Nuit blanche le magazine du livre ISSN 0823-2490 (imprimé) 1923-3191 (numérique) Découvrir la revue Citer cet article Pellerin G (1982)



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La nuit de l’origine est celle du chaos affirmée aussi bien dans la Bible (au commencement « les ténèbres couvraient l’abîme ») que dans la Théogonie d’Hésiode : En tout premier Chaos naquit Du Chaos sortirent l’Érèbe et la Nuit obscure L'Éther et le Jour naquirent de la Nuit qui les conçut en s'unissant d'amour avec

Qui a écrit la nuit ?

La Nuit est une nouvelle fantastique de Guy de Maupassant, parue en 1887 .Le narrateur à la fin du récit coule petit à petit dans la Seine et ne peut remonter. Il meurt fou et sans comprendre pourquoi. La Nuit est tout d'abord parue dans Gil Blas le 14 juin 1887, puis dans la seconde édition augmentée du recueil Clair de lune de 1888.

Quels sont les meilleurs livres de l'histoire de la nuit ?

2011 Evening’s empire : A history of the night in early modern Europe (Cambridge, Cambridge University Press). 1995 Le roman « gothique » anglais (1764-1824) (Paris, Albin Michel). 1980 La Nuit dans le théâtre de Shakespeare et de ses prédécesseurs (Lille, Service de reproduction des thèses).

Qui a écrit les nuits de la Révolution française ?

La révolution de jeux de lumières sur les scènes théâtrales, in P. Bourdin (éd.), Les nuits de la Révolution française (Clermont-Ferrand, Presses universitaires Blaise-Pascal) : 269-289. [1921]?1971 La poésie de la nuit et des tombeaux en Europe au xviiie siècle (Genève, Slatkine reprints).

Qu'est-ce que le conte une nuit ?

Le conte Une Nuit s’inscrit dans la veine fantastique de l’auteur. Amoureux de la nuit, fuyant le jour, le narrateur sent chaque soir, quand tombe l ‘obscurité, son corps et son esprit se transformer. Il déambule dans les rues de Paris, et s’éveille au monde nocturne.

1 CONTES A L'ENCRE DE LA NUIT ZONE J EXPLOITATION PEDAGOGIQUE Auteur : Thomas Owen Titre : Contes à l'encre de la nuit Genre : fantastique Thèmes : fantastique, fantômes, monstres, étrange Public-cible (âge des lecteurs) : dès 12 ans 224 pages- 7 euros 1. LA PRÉSENTATION DU LIVRE 1.1. Deux mots sur l'auteur Thomas Owen (1910-2002) est un romancier belge. Il s'est illustré dans le roman policier et le récit fantastique. Thomas Owen est un pseudonyme. L'écrivain se nomme en réalité Gérald Bertot. Thomas Owen est le nom du détective qu'il imagina pour son roman Ce soir, huit heures et dont il signa, par la suite, son oeuvre littéraire. 1.2. Deux mots sur le livre 16 contes fantastiques où les fantômes hantent les châteaux, les monstres sont maléfiques, les nuits remplies de cauchemars... Un choix de nouvelles issues de trois recueils de Thomas Owen considérés comme des classiques de la littérature fantastique : La cave aux crapauds (1945), Pitié pour les ombres (1962), Cérémonial nocturne (1966). Le volume est donc une sélection inédite de récits parus antérieurement. 1.3. Les attentes que peut susciter la couverture Le titre et l'illustration de la première de couverture donne à penser que le livre appartient à la veine fantastique. Le texte en quatrième de couverture confirme cette hypothèse : rendez-vous est pris avec fantômes, démons, vampires et autres créatures à donner le frisson. 1.4. Ce qui pourrait plaire au jeune lecteur Le livre comprend seize récits brefs qui laissent au lecteur une grande liberté quant au rythme de lecture qu'il privilégie. Dès les premières lignes de chaque nouvelle, le lecteur est plongé, grâce à une description courte mais évocatrice, dans l'univers de l'histoire. Son attention ne risque pas de se dis perser, c 'est, en ef fet, un seul personnage qui l'accapar e, le héros, narrateur de l'histoire le plus souvent, qui vit une aventure dramatique. S'ide ntifier à ce personnage principal est facile : il évolue dans une atmosphère qui r essemble à notre quotidien, il éprouve des sentiments pouvant être les nôtres. Dans ces nouvelles où suspense et effets de surprise abondent, le jeune lecteur retrouvera des questions qui sont au centre de ses préoccupations , à savoir les conflits avec les pa rents, les problèmes lié s à l'accès à l'autonomie, à la liberté ; il découvrira le prix de l'amitié ; il comprendra aussi que l'homme est dans bien des cas l'artisan de son bonheur.

2 2. LA LECTURE TREMPLIN 2.1. La situation de l'extrait Tu vas lire une nouvel le complète, la de uxième du recueil. Pour rappel, l a nouvelle s e différencie du roman par sa brièveté ; l'histoire tient en quelques lignes ou en quelques pages ; l'auteur centre le plus souvent l'action sur un seul personnage ; l'action ne s'étire pas dans le temps. Le titre de cette nouvelle est " Cérémonial nocturne ». Sais-tu ce qu'est un cérémonial ? Si, oui, donne un exemple. Qu'évoque pour toi l'expression " cérémonial nocturne » ? 2.2. La consigne de lecture Au fil de ta lecture, demande-toi... - si les attentes que suscitaient en toi les pages de couverture sont comblées, - ce qui te procure du plaisir ou ce qui t'amène à réfléchir. Après la lecture, d'après vos seuls souvenirs, tes condisciples et toi dialoguerez sur la base des questions ci-dessus. 2.3. Le texte (p. 19- 23) Mon père ne m'imposait jamais aucune heure de rentrée lorsque je sortais le soir. Je devais uniquement me porter présent. Je frappais alors discrètement à la porte de la chambre. Mon père faisait : " oui ! » d'une voix bourrue. J'entrais et déjà la lampe de chevet se trouvait allumée. Ma mère dormait paisiblement. Mon père regardait sa montre et me dévisageait d'un coup d'oeil. Selon que l'heure était raisonnable ou tardive, il y avait de la bienveillance ou de la réserve sur son visage. Je l'embrassais au front. Son nez très fin percevait alors si j'avais trop fumé, trop bu, ou si le parfum d'une fille flottait autour de moi. Aucun mot n'était prononcé. Je montais alors me coucher à l'étage supérieur, heureux ou inquiet selon l'état de ma conscience. Je m'étais habitué à ce cérémonial noctur ne et l 'idée ne me serait jamais venue de m'y soustraire ou d'en être agacé. Un jour cependant, un de mes camarades me fit remarquer " qu'après tout, j'étais majeur » et que cette silencieuse reddition de comptes avait un côté humiliant ; qu'il n'aurait jamais pu, pour sa part, s'y plier. Je n'étais pas convaincu de la sincérité de ce propos et je soupçonnais même celui qui le tenait de jouir de moins de liberté que moi. Mais je fus néanmoins piqué au vif. Aussi décidai-je de rompre, à la première occasion, avec une tradition qui me faisait mal jugé. Une nuit, - il était vraiment très tard cette fois - je rentrais d'un bal où je m'étais ennuyé. J'ouvris la porte de la maison avec précaution et la refermai très doucement derrière moi. Sans allumer la lumière dans le corridor, pour éviter le bruit de l'interrupteur, je me déchaussai prudemment. Marche après marche, le coeur battant, je gravis l'escalier dans les ténèbres. La grande horloge du hall faisait son tic-tac familier, mais ce bruit, en ces circonstances, emplissait la maison silencieuse d'une solennité inaccoutumée. À la porte de la chambre de mes parents, je m'arrêtai hésitant. Je me sentais honteux de ce que je faisais. À travers la cloison, je croyais entendre le souffle un peu fort de mon père. À contrecoeur, je passai outre et abordai la seconde volée d'escaliers. L'obscurité était totale à présent, aucune fenêtre n'appo rtant à ma l ente ascension le concours d'une faible clarté nocturne venue du dehors.

3 La main gauche à la rampe qui craquait parfois imperceptiblement, je progressais le coeur gonflé à la fois d'orgueil et de remords. - Quelle tragique coïncidence, me disais-je, si mon père venait à mourir cette nuit dans son sommeil ! Et j'essayais en vain d'ailleurs de chasser cette sotte pensée. Tout à coup, je me sentis glacé d'effroi et je me tins immobile. " Quelque chose » descendait à ma rencontre. Je n'entendais aucun bruit, mais tout mon être hérissé m'avertissait. La main tenant ferme la rampe, le bras tendu en avant pour parer toute surprise et me protéger en même temps le visage, j'attendais... Ce fut trè s rapide. Il y eut comme un gli ssement léger, dont je ressentis la vibration et , soudain, passa sur ma main agrippée à la rampe, une autre main, toute froide, une main seule, qui n'appartenait pas à un corps, puisque je ne sentis qu'elle qui " enjamba » tout simplement mon poignet et continua à descendre dans les ténèbres. Dès que " cela » m'eut croisé, la sensation d'avoir quelque chose devant moi disparut. Je n'avais plus à me défendre d'une rencontre, mais je restais figé d'horreur et, après tant d'années, j'avoue ressentir encore à ce souvenir un indicible malaise. Combien de temps demeurai-je ainsi figé ? Quelques secondes sans doute, car on perd en de telles circonstances la notion exacte de la durée. La voix de mon père me parvint d'en bas - " Oui ! » - disait-il bourru. Puis, de nouveau, d'un ton impatient : " oui ! ». Je dévalai les marches jusqu'à sa chambre et entrai puisqu'il m'y invitait. La lampe brûlait déjà. Mon père me regardait. - Pourquoi attends-tu si longtemps après avoir frappé ?... Tu deviens sourd ? Mais de voir l'altération de mon visage, mon père s'inquiéta. - Ça ne va pas ? Il se redressa brusquement et ma mère s'éveilla en poussant un cri qui ajouta à l'étrangeté du moment. - Si, si, ça va, fis-je la gorge serrée. - Tu es vert, dit mon père. - Quelle heure est-il ? demanda ma mère. Il l'apaisa d'un geste et s'allongea à nouveau en remontant la couverture jusqu'à son menton. Je l'embrassai au front. Je perçus à cet instant avec quelle intensité il cherchait à me deviner, mais rien d'autre ne fut dit... je me retirai bouleversé et trouvai bien difficilement le sommeil. Par la suite, le cérémonial nocturne se déroula sans le moindre accroc, jusqu'au moment où je quittai la maison de mes parents pour me marier. Mais, jamais plus, depuis bientôt trente ans, je ne monte un escalier dans l'obscurité. 2.4. Les objectifs - Faire découvrir les caractères génériques du fantastique. - Faire découvrir les thèmes sous-tendant l'irruption du fantastique, thèmes universels, nourris d'une réflexion sur l'homme. - Faire découvrir les sources du plaisir retiré à la lecture de ce genre de récit.

4 2.5. Les questionnaires 2.5.1. Les élèves ne disposant plus du texte 1. Le titre Maintenant que tu as lu le texte, es-tu toujours d'accord avec l'explication que tu avais fournie au sujet du terme " cérémoni al » ? Dans le cas contr air e, quelle rectification pourrais-tu donner ? 2. La peur - As-tu eu peur comme on l'avait prédit ? A quel moment surtout ? Pourquoi ? - Les autres se rallient-ils à ton avis ? Oui ou non ? Pourquoi ? 3. Le récit - S' agit-il bien d'un r écit fanta stique ? Pour répondre base-toi sur ce que tu sais du fantastique. - Si on te demandait la preuve manifeste, laquelle donnerais-tu ? - Tes condisciples sont-ils du même avis ? Oui ou non ? Pourquoi ? - Exprime avec des mots et des phrases à toi comment le surnaturel se manifeste ici. - Pourquoi ce fait peut-il être considéré comme surnaturel ? - Ce t événement es t-il en adéquat ion avec le contexte, les cir constances dans lesquelles l'histoire se déroule ? Explique. - Pe ux-tu énoncer le thème qui a fa it naître ce surnaturel ? C ela te para ît-il logique ? Pourquoi ? - Peut-être te moquais-tu volontiers du surnaturel et, de surcroît, de ceux qui y croyaient. Après la lecture de ce récit, adopterais-tu encore une attitude aussi intransigeante ? Oui ou non ? Pourquoi ? 4. Le plaisir de la lecture As-tu lu le texte en oubliant que tu y étais contraint(e), en d'autres termes y as-tu trouvé du plaisir ? Si oui, précise de quoi était fait ce plaisir, quelles en étaient les sources. 5. Le résumé Résume l'action en tenant compte qu'un résumé doit être le plus concis possible, mais qu'il doit garder l'essentiel de façon à faire comprendre au destinataire ce qui s'est passé et qu'il doit être fidèle au texte de base. Tes camarades sont invités à apporter des modifications en justifiant leur point de vue. 2.5.2. Les élèves pouvant consulter le texte 1. Le héros - Que sais-tu de ses traits de caractère, de son degré de sensibilité, de son intelligence ? - Ce que tu sais du héros t'aide-t-il à comprendre certaines de ses réactions, de ses prises de décision, à comprendre sa souffrance ? Explique clairement en t'appuyant sur des exemples pris dans le texte. - Vois-tu un intérêt au fait que ce soit lui qui raconte l'histoire ? Justifie ta réponse. - Il a vécu des événements fort traumatisants. Le juges-tu responsable de ce qui lui arrive ? - Comment penses-tu que cela aurait pu être évité ?

5 2. La fin de l'histoire. Beaucoup d'histoires ont une fin heureuse ou malheureuse. Quel est le cas ici ? Donne des arguments qui étayent ta prise de position. Compare avec tes camarades. 3. Le merveilleux et le fantastique Tu as lu des récits merveilleux, là aussi, l'inexplicable se produisait, tu ne t'en émouvais pas. Ce n'est pas le cas ici. Comment peux-tu expliquer cette différence ? À quoi est-elle due selon toi ? 4. La valeur symbolique du récit fantastique De nombreux auteurs de récits fantastiques puisent leur inspiration dans leurs observations de la vie quotidienne, sur laquelle ils jettent un regard critique. À ton avis, est-ce le cas ici ? Estimes-tu que Thomas Owen ait donné à entendre une " leçon » de vie ? Si oui, laquelle ? Au terme de cette observation du texte, tu dois être capable de compléter un tableau dans lequel sont repris les caractères spécifiques du fantastique. Pour t'aider, une grille sur le conte merveilleux t'est proposée comme modèle. Remplis ce que tu peux, compte tenu de ce que tu as retenu. Récit merveilleux Récit fantastique Cadre spatio-temporel Epoque lointaine, non précisée Endroit non déterminé géographiquement Univers de l'histoire Différent du nôtre, non soumis aux lois de la nature. Plusieurs fa its invraisemblables, inexplicables selon les lois de la nature Caractéristiques du récit Récit bref Ordre chronologique respecté Auteur-narrateur explicite Attention centrée sur un seul personnage Leçon à tirer (ex : les faibles triomphent par leurs efforts et leur intelligence) Caractéristiques de l'histoire Fin heureuse Héros Pas de nom de fa mille, actif (il prend l'initiative de l'action), caractéris tiques physiques, morales peu détaillées. Cherche à devenir quelqu'un mais non à comprendre ce qui se passe dans son monde. Ne connaît pas la peur, le non-respect des lois de la nature ne l'effraie pas.

6 3. LES SUGGESTIONS DE QUESTIONNEMENT APRÈS UNE LECTURE INTÉGRALE 1. Comme " Cérémonial nocturne », beaucoup de récits fantastiques traitent du thème de la mort. Cites-en un aut re, ti ré du recueil, qui t raite de ce thème . Ce r écit t'a-t-il impressionné(e) ? Pourquoi ? 2. Quelle nouvelle t'a le plus a) surpris(e), b) ému(e) ? Pourquoi ? 3. À ton avis, la première nouvelle du recueil, " Le petit fantôme » relève-t-elle du genre fantastique ? Quelle que soit ta réponse, étaie-la par des arguments. 4. Estimes-tu que le personnage du petit fantôme a) incarne une valeur, b) revendique un droit ? Si oui, lequel ? 5. Le héros de " Une aile de papillon mort » s'étonne et souffre de ne peser plus rien. D'après toi, ce qui lui arrive a-t-il un rapport avec son caractère et son rôle dans la société ? Crois-tu que Thomas Owen donne à entendre ici une leçon de vie. Si oui, laquelle ?

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