[PDF] Rendez-le possible: Bulletin dinformations sur lEquité de Genre et





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LA POLITIQUE DE CARE INTERNATIONAL EN MATIERE DE

prévention et la réponse aux violences basées sur le genre ainsi qu'à l'exploitation et aux abus sexuels c. Soutenir l'empowerment des femmes et des filles 



Faisons bouger les choses!

1 mars 2013 Conseillère Régionale du Programme Genre chez CARE International en Afrique de l'ouest ... femmes et aux violences basées sur le genre.



Issue 1 volume 1: September 2010

de l'Unité chargée des questions de genre à la Division sur l'impact et la qualité des programmes



NOTE TECHNIQUE SUR LES NORMES DE GENRE

21 Wikipedia 'Malian Family Code'



Rendez-le possible: Bulletin dinformations sur lEquité de Genre et

S'il vous plaît partagez largement! La boîte à outils ISHAKA peut être téléchargée en anglais et en français sur le CARE Gender Wiki.



Prendre en compte le sexe et le genre pour mieux soigner : un

3 août 2016 Ainsi l'endométriose a longtemps été ignorée car réduite à des ... sexuelle et reproductive et sur les violences à destination des ...



Faire la différence : Newsletter sur légalité des genres et la diversité

8 mars 2012 Care New York) ont participé à une remarquable formation sur la GED ... des réponses aux problèmes de la violence liée au genre des.



Analyse rapide du genre – COVID-19 :Afrique de lOuest

19 mai 2020 Les femmes souffrent de plus de violence basée sur le genre en raison du stress social général combiné aux tensions croissantes entourant le ...



La marginalisation comme déterminant de l'échec scolaire : perceptions des enseignants en Inde par le Dr Suman Sachdeva Directeur Technique Education, CARE Inde

Les attitudes, les perceptions et les pratiques

des enseignants ont un impact fort sur l'estime de soi et la participation des enfants. Les enfants marginali- sés, en particulier les filles, ont moins de possibilités et de ressources d'apprentissage à la maison et sont plus vulnérables aux attitudes et perceptions des en- seignants. En effet, ces dern iers sont les seuls à leur assurer une opportunité d'apprentissage. Une initiative de recherche expérimentale, menée par CARE Inde dans l'Uttar Pradesh et axée sur la promotion des approches pédagogiques sensibles au genre et centrées sur les enfants, a étudié les croyances et les perceptions des enseignants relatives aux déterminants de la réussite et de

l'échec scolaire chez les élèves. Les données obtenues à partir de l'observation de deux professeurs et d'entrevues quali-

tatives des enseignants dans 34 écoles primaires publiques sur trois ans (2010-2012), ont été utilisées pour comprendre les attitudes et les pratiques des enseignants. Ces données ont montré que les résultats des élèves sont faibles en général, mais plus faibles encore pour les filles.

Les conclusions de l'étude ont identifié des facteurs liés à l'environnement domestique, aux aptitudes et réussites

inhérentes aux étudiants comme des constructions confortant les perceptions et pratiques de l'enseignant.

La comparaison des résultats obtenus avec les perceptions des enseignants a montré que plus les attentes de l'enseignant

vis-à-vis de la réussite de l'élève sont faibles, plus ses résultats réels sont bas. Les perceptions que les enseignants ont de

leurs élèves jouent un rôle dans

la perpétuation de résultats faibles chez les élèves. En effet, leurs attentes les conduisent

à donner plus d'attention et d'encouragement à certains étu- diants et à accepter l'échec d'un grand nombre d'étudiants qu'ils blâment pour leurs mauvais résultats. En outre, des atten- tes plus faibles ne motivent pas certains élèves à obtenir des résultats plus élevés. Les enfants peuvent avoir le potentiel, mais ils apprennent à se considérer comme non-performants. Pour les enseignants, les enfants issus de communautés marginalisées ne peuvent pas améliorer leurs performances car leur destin serait scellé dès l'instant où ils sont nés. Les en- seignants ne voient pas non plus l'intérêt de s'informer sur la vie quotidienne et l'héritage culturel des élèves de leur classe, ce qui constituerait une première étape vers l'adaptation et l'amélioration des approches pédagogiques utilisées avec les enfants des communautés marginalisées. PERCEPTION DES EN-

SEIGNANTS

DES ENFANTS

MARGINALISÉS EN INDE

1

ISKAHA BOÎTE À OUTILS:

UN GUIDE POUR LES

FILLES '

AUTONOMISATION

ÉCONOMIQUE

2

MARGINALISATION DES

FILLES DANS LE PRIMAIRE DE

3

DIMINUTION DES FILLES

TAUX DE DÉCROCHAGE AU

T

IMOR-LESTE

3

LE PERSONNAL DE

CARE: PROMOUVOIR

L'ÉGALITÉ DES SEXES

AUX JEUNES 4

Dans ce numéro Juin 2013

Rendez-le possible:

Bulletin d'informations sur l'Equité de Genre et la Diversité

Bienvenue...

à la dernière édition du Newsletter "Egalité des Genres et Diversité de CARE USA! Ce bulletin se

concentre sur le développement d'enfants et les jeunes. Le thème de notre prochain numéro portera sur l'égalité des sexes et la charge de travail. Veuillez

envoyer vos idées au plus tard le Août 2013 à Doris Bartel, directeur principal de l'Équipe Genre et

Empowerment dans le Programme de la division Partenariats Apprentissage et plaidoyer (PPLA) à

dbartel@care.org ou Allison Burden, directeur par intérim pour le développement des talents et de

l'équité genre et de diversité dans la division des services de soutien mondial à aburden@care.org.

Pour plus d'informations sur ce rapport, s'il vous plaît communiquer avec le Dr Suman Sachdeva (ssachdeva@careindia.org)

Rendez-le possible Juin 2013, p. 2

La Boîte à Outils ISHAKA: Un guide pour l'empo- werment économique et social des filles à travers une plateforme de groupements solidaires d'épar- gne et de crédit par: Rosa Singer, Directeur, Strategic Partnerships & Alliances, CARE USA (TDY CARE Burundi) La boîte à outils ISHAKA: un guide pour l'empower- ment économique et social des filles à travers une plateforme de groupements solidaires d'épargne et de crédit, est un gui- de pratique destiné aux professionnels des ONG intéressés à dupliquer, apprendre et adapter le modèle du projet ISHAKA mis en oeuvre par CARE International au Burundi et qui a rencontré un vif succès. Le projet ISHAKA a eu un impact positif sur la vie de près de 12.000 adolescentes à Bujumbura (zone urbai- ne) et dans la province de Gitega (milieu rural) pendant 43 mois. Grâce à 2,58 millions de dollars de la Fondation Ni- ke, ce projet a été conçu et mis en oeuvre pour favoriser l'empowerment des filles dans ses 3 composantes : la capa- cité d'agir, les relations et les structures. 38,000 dollars ont été économisés par 11 577 filles au sein de 613 groupes solidaires, et 9030 filles (78% des 11 577) ont généré en- viron 146 390 dollars suite à une formation en activités génératrices de revenus et gestion de projets à but lucratif. A cette réussite financière s'ajoute une réduction de la vio- lence à l'encontre des filles, une meilleure sécurité, une plus grande capacité à répondre à leurs besoins de base sans avoir recours aux hommes et aux garçons, davantage de solidarité et de confiance entre les filles, et un meilleur ac- cès aux certificats de naissance pour leurs enfants. Cela a permis aux enfants d'accéder aux services publics de base tels que les soins médicaux et l'éducation. Note explicative sur l'égalité des Focus de CARE Le CARE Réseau Genre International a finalisé un court document qui clarifie les concepts et les stratégies clés pour assurer que CARE a une compréhension commune et cohérente, pratique et communication de l'égalité des sexes à travers CARE. Vous pouvez le trouver à Parmi les autres éléments marquants de l'évaluation finale, on peut citer: Les filles ont amélioré leur bien-être social grâce à la réduction de la violence physi- que et psychologique, y compris une réduc- tion considérable (de 17% à 7%) de la proportion de filles dont les revenus sont issus de la prostitution ou de la mendicité.

Le pourcentage de filles libres de leurs

déplacements est passé de 47,86% à

96,30% à Bujumbura.

Le pourcentage de filles battues a diminué,

passant de 31,87% à 20,9% à Bujumbura et de 22,15% à 4,9% à Gitega. La boîte à outils fournit, étape par étape, des suggestions sur comment mettre en place un groupement solidaire d'épargne et de crédit pour les filles, incluant des composantes en connaissances financières et activités génératrices de revenus (AGR). Le groupement intègre également l'empo- werment social par des formations sur la santé sexuelle et reproductive (SSR), les compétences de vie et les droits humain s, l'engagement des hommes et des garçons et l'accès aux services cliniques.

En partageant la boîte à outils ISHAKA

avec vous, nous espérons que le modèle sera utilisé pour l'empowerment des filles à travers les pro- grammes de CARE. Nous vous offrons notre expé- rience et apprentissage et du " courage pour l'avenir»! ISH ISH-ISHAKA! Assurez-vous également de vérifier Ishaka de CARE Bu- rundi (Courage pour l'avenir) de projet sur le nouveau site de Girl Effect! S'il vous plaît visitez: (http:// world). S'il vous plaît partagez largement!

La boîte à outils ISHAKA peut être téléchargée en anglais et en français sur le CARE Gender Wiki.

Mettre en lumière les causes sous-jacentes de la marginalisation des filles dans le système édu- catif haïtien par Jane Kellum, Education et conseil- ler Genre, CARE International Haïti À première vue, Haïti est un modèle d'équité entre les sexes dans l'éducation, au moins en ce qui concerne la parité. Selon le ministère de l'Éducation haïtien, 49,3% des enfants des écoles primaires et 50,34% de ceux du se- condaire sont des filles. Cependant, cela ne reflète pas en- tièrement la réalité car près de 23% des enfants en âge d'aller au primaire ne sont pas scolarisés. En étudiant la ré- alité de ces jeunes non scolarisés et en analysant le contexte de plus près, l'inégalité dans l'éducation devient claire. De- puis Mai-Juin 2012, j'ai recherché les causes sous-jacentes de la marginalisation des filles dans le système éducatif haïtien grâce à des ateliers sur le modèle "Problème/Cause" orga- nisés sur une demi-journée avec une diversité d'acteurs dans deux zones où CARE Haïti mène ses programmes, et des en- tretiens avec les équipes national es de CARE sur le terrain. L'étude a fourni des informations précieuses sur la marginalisation des filles dans le système haïtien. Bien que nous connaissions certaines des caractéristiques d'un système d'éducation inéquitable entre les sexes (ex : stéréotypes de genre véhiculés par les enseignants en classe, manuels scolai- res favorables aux garçons), d'autres étaient nouveaux pour nous. Un élément surprenant et notable est l'existence d'un comportement inapproprié, exploitant et abusif des ensei- gnants, qui sont pour la plupart de sexe masculin, envers les filles, en particulier celles qui sont plus âgées que leurs cama- rades de classe. Ces comportements vont du flirt aux rela- tions sexuelles abusives. Le phénomène des élèves plus âgés que leurs camarades est un sérieux problème en Haïti, où environ 72% des enfants dans les classes de 1 à 6 sont plus âgés de deux ans par rapport à l'âge moyen de leur classe respective. Cette question est urgente et mérite une étude plus approfondie en raison de son lien avec une autre manifesta- tion de la marginalisation des filles dans l'éducation et la société en général: la pratique généralisée du " restavèk ». Rendez-le Possible Juin 2013, p. 3 Atelier en session sur les causes profondes de la marginalisa- tion des filles à Jérémie, en Haïti.

Jane Kellum prenant une pause d'un atelier

Signifiant littéralement "rester avec», ce terme dési- gne l'asservissement domestique par lequel les familles avec moins de moyens économiques envoient leurs enfants, géné- ralement les filles, vivre avec une famille ayant des moyens économiques supérieurs (pas toujours significativement plus élevés) pour travailler comme domestique. Les " restavèk » fréquentent l'école irrégulièrement, au mieux, et représentent un nombre important de jeunes filles ayant dépassé l'âge moyen de leur classe. Elles ont un risque élevé de subir des abus sexuels et d'être exploitées par les ménages dans les- quelles elles vivent. Ne plus être en âge scolaire les rend doublement vulnérables. L'étude a également identifié certaines causes sous- jacentes de cette marginalisation, dont: Les normes, pratiques et opinions discriminatoires envers les femmes et les filles profondément enracinées et répandues dans la société, y compris dans la langue créole haïtienne. La pauvreté " genrée », c'est-à-dire touchant davanta- ge les femmes et les filles. L'équité et l'égalité des genres ne sont pas une priorité des politiques, stratégies et financements du Gou- vernement d'Haïti (GH), comme on peut le constater dans le cas du Ministère de l'Éducation (MdE). Enfin, les résultats de l'étude indiquent qu'il serait souhaitable de rentre le prog ramme d'éducation de CARE

Haïti plus sensible au genre.

Par exemple, notre équipe a

récemment créé un module de formation participative pour les enseignants et les directeurs sur les droits de l'enfant et l'équité de genre en milieu scolaire. L'équipe éducation est en train de mettre à jour le module et d'intégrer des activités adaptées à partir de la méthodologie Analyse et Action Sociales développée par la " Health Equity Unit » de CARE

USA. Nous envisageons égalemen

t de conduire un groupe de travail sur le genre au sein de la Commission Nationale de l'Education (co-initiée et déve loppée par CARE après le tremblement de terre de 2010 en tant qu'organisme de dé- veloppement de l'éducation à long terme), et étudions les possibilités de faciliter la collaboration entre le Ministère de la Condition Féminine et aux Droits de la Femme et le Minis- tère de l'Éducation afin de re ndre l'éducation plus équitable entre les genres en Haïti. Pour lire le rapport complet, rendez-vous sur le CARE Gender Wiki

Nous aimerions exprimer nos remerciements aux auteurs pour leurs observations perspicaces. S'il vous plaît envoyer vos idées ou réflexions pour le

prochain numéro de l'équité entre les sexes et la diversité Bulletin, en se concentrant sur la charge de travail et l'égalité des sexes en Août 2013 á

Doris Bartel à dbartel@care.org ou Allison Burden à aburden@care.org Rendez-le Possible Juin 2013, p. 4 Réfléchir sur ce que nous faisons pour promouvoir l'égalité des genres avec les jeunes; discussion du Groupe de travail sur la diversité et l'équité des gen- res Par: Allison Burden, directrice du développement des talents et de l'égalité des sexes et de la diversité. Un échange parmi le personnel de CARE concernant ce qu'ils font en dehors du travail pour promouvoir l'égalité des gen- res avec les jeunes a attiré une grande variété de contributions venant d'aussi loin que le Congo, le Bangladesh ou l'Éthiopie. Leurs réflexions ont souligné la nécessité de changer de modèle dans nos propres vies : les hommes de CARE ont évoqué le partage de la charge de travail à la maison avec leurs parte- naires, les femmes de CARE s'assurent également que filles et garçons fassent leur juste part du travail à la maison. D'autres ont parlé de la façon dont ils défient les normes sociales en veillant à rédiger un testament partageant leur terre entre leurs filles et leurs fils dans des contextes où les fils sont habituellement les seuls héritiers. Un autre père a expliqué qu'il discute de la charge de travail domestique et des aspirations de carrière avec sa femme, mais échoue souvent à atteindre l'équilibre souhaité. Dans de nombreux cas, ces actions vont à contre-courant et peuvent être vécues comme un combat. Un homme a expliqué être accusé d'être ensorcelé par sa femme quand il faisait la vaisselle ou recueillait de l'eau. Une femme a été accusée d'être une "briseuse de ménage » quand elle est intervenue pour soute- nir un parent qui était dans un mariage abusif. Les contributeurs ont également partagé des articles non issus de CARE : aux États-Unis un blogueur a réagi sur un viol col- lectif récent par une réflexion sur "ce que les mères peuvent faire pour leurs fils» pour aider à prévenir de tels crimes. Le caractère sexiste du titre a été relevé, et nous avons réfléchi à comment ces conseils peuvent être utiles pour les pères et les autres personnes chargées de l'éducation. Ce blog avait quatre conseils simples:

Enseigner à nos fils à êtres gentils

Enseigner à nos fils ce que signifie être courageux - "le courage c'est de faire ce dont on a peur"

Dire à nos fils la vérité sur le sexe

Et donner à nos fils les outils dont ils ont besoin pour se protéger eux-mêmes et les autres. Enfin, certains participants ont noté comment il peut être difficile de trouver un bon équilibre à la maison à cause du plaisir que nous prenons dans notre travail. Le personnel estime que " le travail de CARE est si inspirant et motivant que nous voulons nous impliquer là-dedans » et cela peut signifier ne pas consacrer as- sez de temps à nos vies à la maison. D'un autre côté, cela peut en soi être un modèle inspirant pour nos enfants. Par exemple, Rose au Congo fait face à de nombreux défis en travaillant avec les personnes déplacées, ce qui a inquiété sa fille mais lui a aussi appris davantage sur le travail que sa mère faisait. Elle en est venue à comprendre et à soutenir l'importance de ce travail.

La promotion de l'éducation des jeunes femmes

dans une jeune nation (YMYN) par Seema Pawar, spécialiste en éducation de CARE International au Ti- mor-Leste YWYN est une initiative de CARE en partenariat avec le Gouvernement du Timor-Leste pour diminuer le taux de décrocha- ge scolaire des filles entre le primaire et le premier cycle du se- condaire (grades 7 à 9). Le projet a été mené dans neuf écoles primaires pilotes, en comparant les résultats à un groupe d'écoles primaires de référence. Il cible les jeunes filles, leurs familles et les enseignants. Les groupes de filles participent à des activités parascolaires, à des quizz, à des concours artistiques et prati- quent différents sports. Le projet inclue une campagne de sensibi- lisation comprenant diffusion de brochures, affiches, spots radio et organisation de formations pour les leaders communautaires et les enseignants. Durant ces activités, des filles des écoles rurales ren- contrent celles inscrites dans le premier cycle du secondaire et des parents aux ressources limitées qui ont réussi à maintenir leurs filles à l'école sont célébrés publiquement. Trois séries de données ont été recueillies pour étudier les évolutions dans le taux d'abandon - en 2010, 2011 et 2012. Les données couvrent uniquement le taux d'abandon pendant une année. Les taux d'abandon scolaire des filles dans les écoles pilo- tes ont considérablement diminué dans les classes 5 et 6, tandis que les taux ont augmenté dans les écoles de référence. Le taux de décrochage chez les filles a considérablement réduit passant de 2,98% à 0,53% en cinquième année et de 3,92% à zéro en sixième année. Le taux d'abandon global a également réduit de manière significative, passant de 3,19% à 0,50% en cinquième et de 4,90% à zéro en sixième année. Le taux de décrochage des garçons dans les écoles pilotes a également diminué de 3,45% à

0,47%. Le modèle YWYN a donc un fort potentiel pour contribuer

à améliorer l'accès à l'éducation des filles au Timor Leste. Vous pouvez lire un résumé complet des débats à http://gender.care2share.wikispaces.net/

GED+Institutional+Working+Group

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