[PDF] Français Victor Hugo Les Contemplations





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VICTOR HUGO - LES CONTEMPLATIONS – 183. ELLE ETAIT

Tout d'abord dans la première strophe





Lecture analytique 2 - Victor HUGO (1802-1885) Les

Lecture analytique 2 - Victor HUGO (1802-1885) Les Contemplations(1856). « Elle était déchaussée



Lumni - Amour et poesie

Elle était déchaussée elle était décoiffée de Victor Hugo. ? Les Beautés que j'adore de Rémy Belleau. ? Veillée heureuse de Renée Vivien.



Hugo : « Elle était déchaussée elle était décoiffée… » Intro : V

Intro : V. Hugo appartient au XIXème siècle et au romantisme. Le recueil poétique Les Contemplations se divise en deux parties : « Autrefois » et 



Français

Victor Hugo Les Contemplations



• Parcours: Les Mémoires dune âme

Pauca meae » Victor Hugo Les Contemplations (1856) Les Contemplations



Contemplations de Hugo « Elle était déchaussée »

Je vis venir à moi dans les grands roseaux verts



Lumni - Amour et poesie

Elle était déchaussée elle était décoiffée de Victor Hugo. ? Les Beautés que j'adore de Rémy Belleau ... Victor Hugo



Lecture analytique n°3/ Hugo « Elle était déchaussée»

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VICTOR HUGO - LES CONTEMPLATIONS 183 ELLE ETAIT DECHAUSSEE

Le poème « Elle était déchaussée elle était décoiffée » fait partie du livre 1ier de la partie I du recueil Les Contemplations de Victor Hugo L’écriture de ce poème est antérieure à la mort de sa fille Léopoldine moment qui marque la césure



« Elle était déchaussée » (Victor Hugo Les Contemplations

Elle était déchaussée elle était décoiffée Assise les pieds nus parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là je crus voir une fée Et je lui dis : Veux-tu t’en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons Et je lui dis : Veux-tu c’est le mois où l’on aime

Qui a écrit elle était déchaussée ?

Voici une analyse du poème « Elle était déchaussée, elle était décoiffée… » issu de la première partie « Autrefois » des Contemplations (1856) de Victor Hugo. Les Contemplations (1856) est un recueil de poèmes de Victor Hugo, chef de file du mouvement romantique en France.

Qu'est-ce que les Contemplations ?

Les Contemplations (1856) est un recueil de poèmes de Victor Hugo, chef de file du mouvement romantique en France. Le poète, écrivain, dramaturge et homme politique, présente Les Contemplations comme « les Mémoires d’une âme » (préface) car il y dresse le journal poétique de son existence.

Quelle est la daté du recueil de Hugo ?

Mais la plupart des dates du recueil sont inexactes. La majorité des poèmes de ce recueil ont été écrits pendant l’exil, à l’instar de celui-ci, daté du116 avril 1853 sur le manuscrit. La trame chronologique est donc symbolique : Hugo réécrit les étapes de sa vie à travers ses poèmes.

Pourquoi Victor Hugo ne cesse de penser à la vieille chanson du jeune temps ?

À la fin de la « vieille chanson du jeune temps » le poète n'avait pas su voir la beauté de sa compagne de jeu, et depuis, il ne cesse d'y penser… Qu’en sortant des grands bois sourds. « Soit ; n’y pensons plus ! » dit-elle. Depuis, j’y pense toujours. Victor Hugo, Les Contemplations (I,19), 1956.

Dire l'amour - Amour et poésie

Niveau : 4e

Questionnement : Dire l'amour

Textes support :

→ Elle était déchaussée, elle était décoiffée... de Victor Hugo → Les Beautés que j'adore de Rémy Belleau → Veillée heureuse de Renée Vivien → Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie de Louise Labé → Bonsoir de Marceline Desbordes-Valmore

1 / Texte des poèmes :

Elle était déchaussée, elle était décoiffée... Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis : Veux-tu t'en venir dans les champs ?

Elle me regarda de ce regard suprême

Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis : Veux-tu, c'est le mois où l'on aime,

Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ?

Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive ;

Elle me regarda pour la seconde fois,

Et la belle folâtre alors devint pensive.

Oh ! comme les oiseaux chantaient au fond des bois !

Comme l'eau caressait doucement le rivage !

Je vis venir à moi, dans les grands roseaux verts,

La belle fille heureuse, effarée et sauvage,

Ses cheveux dans ses yeux, et riant au travers.

Victor Hugo, Les Contemplations, 1853.

Les beautés que j'adore

Cent fois le jour je rebaise la main,

Folâtrement qui dedans l'eau glissante

Toucha de près ta cuisse blanchissante,

Ton pied mignard

1 , ta grève 2 et ton beau sein.

Cent et cent fois je prie Dieu, mais en vain

3

Et les saints feux de la nuit brunissante,

Me faire voir ta tresse blondissante,

Tes yeux, ta bouche, et ton visage plein.

Si j'ai cette heur

4 de les revoir encore

Je chanterais les beautés que j'adore,

Et les honneurs d'un si brave sujet :

Mais les voyant ma vue est éblouie,

Je perds le sens, la raison et l'ouïe

Par les rayons d'un si gentil objet.

Rémy Belleau, La Bergerie, 1565.

1

Mignard : mignon, joli.

2

Grève : jambe.

3

En vain : sans succès.

4

Heur : bonheur.

Veillée heureuse

J'épie avec amour, ton sommeil dans la nuit :

Ton front a revêtu la majesté de l'ombre,

Tout son enchantement et son prestige sombre...

Et l'heure, comme une eau nocturne, coule et fuit ! Tu dors auprès de moi, comme un enfant... J'écoute

Ton souffle doux et faible et presque musical

S'élevant, s'abaissant, selon un rythme égal...

Ton âme, loin de moi, suit une longue route...

Tes yeux lassés sont clos, ô visage parfait ! Te contemplant ainsi, j'écoute, ô mon amante ! Comme un chant très lointain, ton haleine dormante,

Je l'entends, et mon coeur est doux et satisfait.

Renée Vivien, Dans un coin de violettes, 1910

Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie

Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ;

J'ai chaud extrême en endurant froidure :

La vie m'est et trop molle et trop dure.

J'ai grands ennuis entremêlés de joie.

Tout à coup je ris et je larmoie,

Et en plaisir maint grief

5 tourment j'endure 6

Mon bien s'en va, et à jamais il dure ;

Tout en un coup je sèche et je verdoie.

Ainsi Amour inconstamment me mène ;

Et, quand je pense avoir plus de douleur,

Sans y penser je me trouve hors de peine.

Puis, quand je crois ma joie être certaine,

Et être au haut de mon désiré heur

7

Il me remet en mon premier malheur.

Louise LABÉ , Sonnets, 1555.

5

Grief : grave.

6

J'endure : je subis, je supporte péniblement.

7

Heur : bonheur.

Bonsoir

Il a demandé l'heure ; oh ! le triste présage 8 Autrefois j'étais seule attentive à ce soin.

Qui peut avant le soir l'appeler au village ?

Hélas ! pour me répondre, il est déjà si loin !

Je l'ai suivi des yeux pour rencontrer sa vue,

Et sans me regarder il a doublé ses pas.

Il n'a donc pas senti ma douleur imprévue ?

Je le devinais mieux quand il souffrait tout bas !

Eh bien, je ne veux pas lui dire que je l'aime ;

Je ne l'aimerai plus, j'en aurai le pouvoir ;

Je l'ai déjà ; déjà je ne suis plus la même... Ah ! pour le lui prouver, que je voudrais le voir ! Non, qu'il ne vienne pas ! il prévient mon envie. Bonsoir... pourquoi mes pleurs tombent-ils sur ma main ? Il m'a repris son coeur, je lui reprends ma vie...

Mais, si je le pensais, vivrais-je encor demain !

Marceline Desbordes-Valmore, Romances, 1830.

8 Présage : signe qui permet de deviner l'avenir.

2 / Pistes d'analyse

→ Co mment exprimer le sentim ent amoureux à tr avers l'écriture poétique ? → Quel chemin peut prendre l'amour ?

3 / Prolongements

Travail d'imagination :

En vous aidant du sac à voyage poétique, écrivez un poème à l'être que vous aimez, avez aimé ou aimerez.

Ouverture culturelle :

Lisez de nombreux poèmes d'amour, notamment de Louise Labé,

Marceline Desbordes-Valmore ou Renée Vivien.

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