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Tristan Tzara vingt-cinq poèmes

berthe mon éducation ma queue est froide et monochromatique mfoua loua la au brésil aux antilles si tu penses si tu es content lecteur tu deviens pour ...



945 CHANSONS + 2TITRES

BONHEUR EST ENTRÉ DANS MON COEUR (LE ) 44 De son pull over vous mettent la tête à l'envers ! ... Pour que d'un homme je devienne une brute.



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berthe mon éducation ma queue est froide et monochro si tu penses si tu es content lecteur tu deviens pour un ... qui est une maladie ...



POÉSIES COMPLÈTES

les ressorts du cerveau sont des lézards jaunis qui se liquéfient parfois le pendu si tu penses si tu es content lecteur tu deviens pour un instant.



Des chansons populaires chez les anciens et chez les Français

4/ Gallica constitue une base de données dont la BnF est le Si Bacchustrouble ma tête



« De la musique avant toute chose ?»

30 janv. 2016 elle est si intimement liée à la vie humaine c'est parce qu'elle joue ... I – 4 – « Je ne pense qu'à ça / 4



Stéphanie Chanvallon Anthropologie des relations de lHomme à la

(ce qui est un réflexe de défense et non de courage) ni pour mon irrépressible révolte lorsque je vois supprimer la nature : on me tue mon.



Étude et analyse des besoins pour lélaboration dun outil de Suivi et

18 oct. 2013 la nature humaine c'est ce qui a dominé quand j'étais malade et ensuite ce qui m'a complètement bluffé c'est la plasticité du cerveau et je ...



UNIVERSITE DU QUEBEC MEMOIRE PRÉSENTÉ À LUNIVERSITÉ

tête et à grafigner mon sac à dos— II y a un bruit qui je sais ne peut que l'horreur d'un éternel état de maladie mortelle qui m'habite— Qui est en moi ...



Albert Londres - Chez les fous

J'eus peur qu'il me montrât aussi les tuiles du Adieu ! fit Clerembault me remettant mon ... maladie

Vingt-cinq-et-un poèmes Vingt-cinq-et-un poèmes 21 poèmes Vingt

tristan tzaravingt cinq et unpoèmesdessins de hans arpcollection l'âge d'or dirigée por Henri perisotéditions de la revue fontaine

J vingt-cinq-et-un poèmes

tristan tzaravingt cinq et unpoèmesdessins de hans arpcollection l'âge d'or dirigée par Henri parisotéditions de la revue fontaine

92le géant blanc lépreux du paysagele sel se groupe en constellation d'oiseaux sur la tumeurde ouatedans ses poumons les astéries et les punaises se balancentles microbes se cristallisent en palmiers de muscles balançoiresbonjour sans cigarette tzantzantza gangabouzdouc zdouc nfoùnfa mbaah mbaah nfoùnfamacrocystis perifera embrasser les bateaux chirurgien desbateaux cicatrice humide propreparesse des lumières éclatantesles bateaux nfoùnfa nfoùnfa nfoùnfaje lui enfonce les cierges d'ans les oreilles gangànfah héli-con et boxeur sur le balcon le violon de l'hôtel enbaobabs de flammesles flammes se développent en formation d'épongesles flammes sont des éponges ngànga et frappezles échelles montent comme le sang gangàles fougères vers les steppes de laine mon hazard versles cascadesles flammes éponges de verre les paillasses blessures paillassesles paillasses tombent wancanca aha bzdouc les papillonsles ciseaux les ciseaux les ciseaux et les ombresles ciseaux et les nuages les ciseaux les naviresle thermomètre regarde l'ultra-rouge gmbabàbaberthe mon éducation ma queue est froide et monochromatique nfoua loua lales champignons oranges et la famille des sons au delàq\j tribordà l'origine à l'origine le triangle et l'arbre des voyageursà l'origine

10mes cerveaux s'en vont vers l'hyperbolele caolin fourmille dans sa boîte crânienne •dalibouli obok et tombo et tombo son ventre est unegrosse caisseici intervient le tambour major et la cliquettecar il y a des zigzags sur son âme et beaucoup derrrrrrrrrrrrrr ici le lecteur commence à crieril commence à crier commence à crier puis dans ce criil y a des flûtes qui se multiplient des corailsle lecteur veut mourir peut-être ou danser et commenceà crieril est mince idiot sale il ne comprend pas mes vers il crieil est borgneil y a des zigzags sur son âme et beaucoup de rrrrrrrnbaze baze baze regardez la tiare sousmarine qui sedénoue en algues ovorhozondrac tracnfoùnda nbabàba nfoùnda tatanbabàba

11mouvementgargarisme astronomiquevibre vibre vibre vibre dans la gorge métallique des hauteurston âme est verte est météorologique empereuret mes oreilles sont des torches végétalesécoute écoute écoute j'avale mbampou et ta bonnevolontéprends danse entends viens tourne bois vire ouhou ouhououhoufaucon faucon de tes propres images amèresmel o mon ami tu me soulèves le matin à panamaque je sois dieu sans importance ou colibriou bien le phoetus de ma servante en souffranceou bien tailleur explosion couleur loutrerobe de cascade circulaire chevelure intérieure lettrequ'on reçoit à l'hôpital longue très longue lettrequand tu peignes consciencieusement tes intestins tachevelure intérieuretu es pour moi insignifiant comme un faux-passeportles ramoneurs sont bleus à midiaboiement de ma dernière clarté se précipite dans legouffre de médicaments verdis ma chère mon parapluietes yeux sont clos les poumons aussidu jet-d'eau on entend le pipiles ramoneurs

12la grande complainte de mon obscurité unfroid tourbillon zigzag de sangje suis sans âme cascaa'e sans amis et sans talents seigneurje ne reçois pas régulièrement les lettres de ma mèrequi doivent passer par la russie par la norvège et parl'angleterreles souvenirs en spirales rouges brûlent le cerveau sur lesmarches de l'amphithéâtreet comme une réclame lumineuse de mon âme malheurjailli de la sphèretour de lumière la roue féconde des fourmis bleuesnimbe sécheresse suraiguë des douleursviens près de moi que la prière ne te gêne pas elle descend dans la terre comme les scaphandres qu'oninventeraalors l'obscurité o'e fer en vin et sel changerasimplicité paratonnerre de nos plantes prenez gardeles paratonnerres qui se groupent en araignéeainsi je deviens la couronne d'un christ énormepays sans forme arc voltaïqueles aigles de neige viendront nourrir le rocheroù l'argile profonde changera en laitet le lait troublera la nuit les chaînes sonnerontla pluie composera des chaîneslourdesformera dans l'espace des roues des rayonsle sceptre au milieu parmi les branchesles vieux journaux les tapisseriesun paralitiquenimbe sécheresseroue féconde des fourmis bleues

Ém i

15seigneur doigt o''or fourneau sphingeriepourquoi l'étrangler pourquoiaprès le coup de foudre la marche militaire éclateramon désespoir tube en fer d'étain mais pourquoi pourquoialors?ainsi ainsi toujours mais le chemintu dois être ma pluie mon circuit ma pharmacie nu maiplânge nu mai plânge veux-tu

16la grande complainte de mon obscurité deuxregarde mes cheveux ont pousséles ressorts du cerveau sont des lézards jaunis qui seliquéfientparfoisle pendutrouéarbrele soldatdans les régions boueuses où les oiseaux se collent ensilencechevalier astraltapisseries fanéesacide qui ne brûle pas à la manière a'es panthères dansles cagesle jet-d'eau s'échappe et montevers les autres couleurstremblementssouffrance ma fille du rien bleu et lointainma tête est vide comme une armoire d'hôteldis-moi lentement les poissons des humbles tremblentet se cassentquand veux-tu partirle sablepasse-portdésiret le pont rompre à tierce résistancel'espacepoliciersl'empereurlourdsablequel meuble quelle lampe inventer pour ton âme

173septembre de papier gazdans l'imprimerieje t'aime les citrons qui gonflent sur la glace nous séparent ma mère mes veines le long du seigneurma mèrema mère ma mère tu attends dans la neige amassée électricitéfabuleuxa'isciplineles feuilles se groupent en constructions d'ailes noustranquillisent sur une île et montent comme l'ordredes archangesfeu blanc

18verre traverser paisiblela joie des lignes vent autour de toi calorifère de l'âmefumée vitesse fumée d'aciergéographie des broderies en soiecolonisée en floraison d'épongesla chanson cristalliséedans levase du corps avec la fleur de fuméevibration du noirdans ton sangdans ton sang d'intelligence et de sagesse du soirun oeil ridé bleu dans un verre clairje t'aime je t'aimeune verticale descend dans ma fatigue qui ne m'illumineplusmon coeur emmitouflé dans un vieux journaltu peux le mordre : sifflerpartonsles nuages rangés dans la fièvre des officiersles ponts déchirent ton pauvre corps est très grand voirces ciseaux de voie lactée et découper le souveniren formes vertesdans une direction toujours dans la même directions'agrandissant toujours s'agrandissant

/21droguerie - consciencede la lampe d'un lys naîtra un si grand princeque les jets d'eau agrandiront les usineset la sangsue se transformant en arbre de maladieje cherche la racine seigneur immobile seigneur immobilepourquoi alors oui tu apprendrasviens en spirale vers la larme inutileperroquet humidecactus de lignite gonfle-toi entre les cornes de la vachenoirele perroquet creuse la tour le mannequin saintdans le coeur il y a un enfant - une lampele médecin déclare qu'il ne passera pas la nuitpuis il s'en va en lignes courtes et aiguës silence formation silicieusequand le loup chassé se repose sur le blancl'élu chasse ses enfermésmontrant la flore issue de la mort qui sera causeet le cardinal de france apparaîtrales trois lys clarté fulgurale vertu électriquerouge long sec peignant poissons et lettres sous la couleurle géant le lépreux du paysages'immobilise entre deux villesil a des ruisseaux cadence et les tortues des colliness'accumulent lourdementil crache du sable pétrit ses poumons de laine s'éclaircir

l'âme et le rossignol tourbillonnent dans son rire - tournesolil veut cueillir l'arc-en-ciel mon coeur est une astérie depapierà missouri au brésil aux antillessi tu penses si tu es content lecteur tu deviens pour uninstant transparentton cerveau éponge transparenteet dans cette transparence il y aura une autre transparence plus lointainelointaine quand un animal nouveau bleuira dans cettetransparence

23retraiteoiseaux enfance charrues viteaubergescombat aux pyramides18 brumairele chat le chat est sauvéentréepleurevalmyvive vire rougepleuresdans le trou trompette lents grelotspleureles mains gercées des arbres ordrepleureluipostesvers le blanc vers l'oiseaupleuronsvous pleurezglissetu portes clouées sur tes cicatrices des proverbes lunaireslune tannée déploie sur les horizons ton diaphragmelune oeil tanné dans un liquide visqueux noirvibrations le sourdanimaux loura*s fuyant en cercles tangentsde muscles goudron chaleurles tuyaux se courbent tressentles intestinsbleu

24sainteformation marine pierreuse ascendance arborescentemultiplication mon souvenir dans les guitares du trembles mon souvenirle caphre le clown le gnou enguirlandent l'engrenagel'ange se liquéfie dans un médicament et dissonancesgrimpent sur le paratonnerre devenir panthères naviresengrenage arc-en-ciel qui les aspireles sons tous les sons et les sons imperceptibles et tousles sons se coagulentma chère si tu as mal à cause des sons tu dois prendreune piluleconcentration intérieure craquement des mots qui crèvent crépitent les décharges électriques a'es gymnotes l'eau qui se déchirequand les chevaux traversent les accouplements lacustrestoutes les armoires craquentla guerrelà-baso le nouveau-né qui se transforme en pierre de granitqui devient trop dur et trop lourd pour sa mèrele chant du lithotomiste broie la pierre dans la vessie il y enfonce des lilas et des journauxsilence fleur de soufrefièvre typhoïde silencele coeur horloge microbes sable mandragoreau vent tu l'agites comme la torche de mercure vers lenordl'herbe lézards pourris o mon sommeil attraper les mouches caméléon astronomiqueo mon sommeil d'aniline et de zoologie

27ta tête sectionnée pourrait siffler de belles couleursjadis la nuit jardin chimique mettait les ordres de l'ambassadeurla lumière propre circulaire verdie dans le coeur desicônesquand tu marches dans l'eau les poissons multicolores secomposent autour des piea's comme la fleurles rayons solaires de l'accouchement l'oniromancienneau coeur boréalla grande chandelle dans le puitsles fruits les oeufs et les jongleurs se rangent dans nosnuits autour du soleil gélatineux pour notre lumièrequi est une maladie

28sage danse marsla glace casse une lampe fuit et la trompette jaune estton poumon et carré les dents de l'étoile timbreposte de jésus-fleUr-chemise la montre tournez tournez pierres du noirdans l'âme froide je suis seul et je le sais je suis seul etdanse seigneur tu sais que je l'aime vert et mince car je l'aime grandes roues broyant l'or fort voilàcelui qui gèle toujoursmarche sur les bouts de mes piedsvide tes yeux et mords l'étoileque j'ai posée entre tes dentssiffleprince violon siffle blanc d'oiseaux

29sage danse deuxaccroissement d'un brouillard d'hélices imprévuesarc voltaïque impassible visseles corridors échine des maisons et la fuméegradation du vent qui déchire le lingedans un tiroir la tabatière écorces ovoranges et des ficelleso soupape de mon âme vidéela fiole liée au coules trains se taisent tout d'un coup

péfamidea e ou o youyouyou i e ou oyouyouyoudrrrrrdrrrrdrrrrgrrrrgrrrrrmorceaux de durée verte voltigent dans ma chambrea e o i i i i e a ou i i i i ventremontre le centre je veux le prendreambran bran bran et rendre centre des quatrebeng bong beng bangoù vas-tu iiiiiiiiupftmachiniste l'océan a o u itha o u ith i o u ath a o u ith o u a ithles vers luisants parmi nousparmi nos entrailles et nos directionsmais le capitaine étudie les indications de la boussoleet la concentration des couleurs devient follecigogne litophanie il y a ma mémoire et l'ocarina dans lapharmaciesériciculture horizontale des bâtiments pélagoscopiquesla folle du village couve des bouffons pour la cour royalef'hôpital devient canalet le canal devient violonsur le violon il y a un navireet sur le bâbord la reine est parmi les émigrants pourmexico

335la grande complainte de mon obscurité troischez nous les fleurs des pendules s'allument et les plumes encerclent la clartéle matin de soufre lointain les vaches lèchent les lys deselmon filsmon filstraînons toujours par la couleur du mondequ'on dirait plus bleue que le métro et que l'astronomienous sommes trop maigresnous n'avons pas de bouchenos jambes sont raides et s'entrechoquentnos visages n'ont pas de forme comme les étoilescristaux points sans force feu brûlée la basiliquefolle : les zigzags craquenttéléphonemordre les cordages se liquéfierl'arcgrimperastralela mémoirevers le nord par son fruit doublecomme la chair cruefaim feu sang

froid jaunenous allons nuages parmi les esquimauxembellir la convalescence de nos pensées botaniquessous les crépuscules tordusordure verdie vibranteblanj'ai rangé mes promesses confiserie hôtelier dans sa boutiquepaulownias définitivesl'éloignement se a'éroule glacial et coupant comme unediligenceéloignement pluvieuxadolescentailleurs sonorepiéton fiévreux et pourri etrompu et broderies réparablesje pensais à quelque chose de très scabreuxcalendrier automnal dans chaque arbremon organe amoureux est bleuje suis mortel monsieur bleubleuJet du cadavre monte un pays étrangemonte monte vers les autres astronomies

35le dompteur de lions se souvientregarde-moi et sois couleurplus tardton rire mange soleil pour lièvres pour caméléonsserre mon corps entre deux lignes larges que la faminesoit lumièredors dors vois-tu nous sommes lourds antilope bleue surglacier oreille dans les pierres belles frontières - entends la pierrevieux pêcheur froid1 grand sur lettre nouvelle apprendreles filles en fil de fer et sucre tournent longtemps les flacons sont grands comme les parasols blancsentends roule roule rougeaux coloniessouvenir senteur de propre pharmacie vieille servantecheval vert et céréalescorne crieflûtebagages ménageries obscuresmords scie veux-tuhorizontale voir

36printempsà h arpplacer l'enfant dans le vase au fond de minuitet la plaieune rose des vents avec tes doigts aux beaux onglesle tonnerre dans des plumes voirune eau mauvaise coule des membres de l'antilopesouffrir en bas avez-vous trouvé des vaches des oiseaux?la soif le fiel du paon dans la cagele roi en exil par la clarté du puits se momifie lentementdans le jardin de légumessemer des sauterelles briséesplanter des coeurs de fourmis le brouillard de sel unelampe tire la queue sur le cielles petits éclats de verreries dans le ventre des cerfs enfuitesur les points des branches noires courtes pour un cri

39amer aile soirpar astronomique révolution nocturne tu m'as donnéconnaissancepapieramiarchitecturesuède 1attendreje téléphone ailes et tranquillité d'un instant de limiteconstruire en colonnes de sel : des lampes de nuageneige et lampions de musique zigzag proportionsanneaux monts de jaune jaune jaune jaune o l'âmequi siffla la strophe du tuyau jauni en sueur d'encensoirla soeur du noir mémoire miroirles tubes craquent et s'élèventet les crécelles éclatent séparant l'air en zigzagdans les poumons obscurs profondément le sommeil estrougedurles grillages des squelettes lourdsles eaux adorent la direction vers quelle aile d'ébèneilluminée est-tu partiemères'étiolertraversepouquoisanglantroioriginechandelle

40mes pensées s'en vont - au pâturage les moutonsvers l'infinisymétriquementdomestiqueles colliers lourds de lumièrenoiremaigresurfacepierre

- Jsoleil nuitson roi de glace et son nom descendet apparaît en mer dans le poisson le requin son corpsgardien maritimenaîtrevoracité ouverte aux sons des lances et de la porte vertesois ma soeur en large marche de planète trop longtemps j'ai vu squelette lesmannequins aux parapluies dans la mine blanchechaudeet je dessine le pays et tes bijoux sont des yeux vivantsla vache accoucha un grand oeil vivant de douleur ou deferau bord de la mer monte en spirale la sphèrela tempêtela vierge écrasa sa chair et mourut dans le désertle feu à l'intérieur de grosses pierres volcaniquesson image et les fruitsla pluie sera fleur de la famine de la sécheressemanteau imperméable de nos coeurs facilite-nous la fuiteet l'embarcation du seigneur couvert de plantes43

moi touche-moi touche-moi seulement tu fumes la pipe amère dans la nuit mes dents sont plusblanches étoile dans le coffre-fort remue vivementdigère sur la pierre feu jaune mon frèregymnastique dans l'autre chambretuyaux tuyaux arrangez-vousverticale coupéeintérompremécanisme drrrrr rrrrrrrr barres écartéesébranlement des rayons perce-nous trouve le chemin dela citénos racines nos bouts de cigarettes allumées fixées entout petits champignons dans le cerveau humidebateau rouge accroché audessus de l'eau tu ne peux pas dormir à côté de moije suis tramway quelque-part va-et-vient dans l'amourle bruit dans la gorge des grands chats en métal videmes veines sont couvertes de braceletsmorduesdans mon corps des masses obscures coussins qui gonflentsur l'eau d'amertume verdi est le coeurl'explosionsans savoir comment ni pourquoiserrées courtesmontrent le chemind'un couppourrir en or de pierre grandedense

danse caoutchouc verremaladie obscurité fleurir en allumettes dans nos organismesgelermoi touche-moitouche-moi seulementescargot monte sur axe pays blancvent veutincoloreveut veuttremblesveutqui qui oui veutmonsieurtzacatzacparasolcasse casseglace glissemonsieurmonsieurnoix d'encre fait un bruit la fleur-timbre-poste

48pays voir blancà maya chruseczles ors des 10 heures ont brisé la mortbrûlé la fenêtre en argile et orséparer le bon de l'eau dans des carrés de cuiret le poisson alerte fixé avec une épinglecuire des yeux d'or av insecteje suis la mauvaise vibration de la chaleurdans les battements du coeur striéles os sont aussi des cuillères pour ton âmemais nous voulons reconstruirevert sonore sous porcelainedort dans le crâneet poursuis les petits hommes dans leur voyellecoupe-les par le train le long de la sonnerieet poursuis les petits hommes dans leur voyellele petit feu dans le caliceet poursuis les petits hommes dans leur voyellepoursuis les petits les petits hommes dans leur voyelle

mmmM

51sauf blanc cristalà m iancosur un cloumachine à coudre décomposée en hauteurdéranger les morceaux de noirvoir jaune coulerton coeur est un oeil dans la boîte de caoutchouccoller à un collier d'yeuxcoller des timbres-postes sur tes yeuxpartir chevaux norvège serrerbijoux vers tourner sècheveux-tu ? pleurelèche le chemin qui monte vers la voixabraham pousse dans le cirquetabac dans ses os fermenteabraham pousse dans le cirquepisse dans les osle chevaux tournent ont des lampes électriques au lieude têtesgrimpe grimpe grimpe grimpearchevêque bleu tu es un violon en feret glousse gloussevertchiffres

petite ville en sibérieune lumière bleue qui nous tient ensemble aplatis sur leplafondc'est comme toujours mon camaradecomme une étiquette des portes infernales collées surun flacon de méotecinec'est la maison calme mon ami trembleet pujs la danse lourde courbée offre la vieillesse sautillantd'heure en heure sur le cadrante collier intact des lampes de locomotives coupées descend quelquefois parmi nouset se dégonfle tu nommes cela silence boire toits en fer- blanc lueur de boîte de hareng et mon coeur décentsur des maisons basses plus basses plus hautes plusbasses sur lesquelles je veux galoper et frotter lamain contre la table dure aux miettes àe pain dormir oh oui si l'on pouvait seulementle train de nouveau le veau spectacle de la tour du beauje reste sur le bancqu'importe le veau le beau le journal ce qui va suivre ilfait froid j'attends parles plus hautdes coeurs et des yeux roulent dans ma boucheen marcheet de petits enfants dans le sang [est-ce l'ange? je parlede celui qui s'approche]courons plus vite encoretoujours partout nous resterons entre des fenêtres noires

55garedanse crie casseroule j'attends sur le banctout-de-même quoi P les nerfs sont silencesd'instants coupéslis tranquillementviragesle journalregarde qui passe ?je ne sais passi je suis tout seulla lumière écoute mais de quelcôté et pourquoile vol d'un oiseau qui brûleest ma force virile sous la coupoleje cherche asile au fond flamboyantvolant du rubisj'ai donné mon âmeà la pierre blanchedieu sans réclameprécis et sageordre en amitiédire : la douleur du feua noirci mes yeuxet je les ai jetés dans la cascadepartirvois mon visage

56dans le cercle du soir ou dans la valiseou dans la cage neigeje pars ce soirl'étincelle pleuredans mon lit dans l'usine hurlent les chiens et les jaguarsas-tu aussi donné ton âmeà la pierre braceletsaltimbanque au crâne oblong mon frère monteje fus honnêtesoeur infinifini pour cettenuitcoeurs des pharmacies plantess'ouvrent aux lueurs sphéroïdaleset les liqueurs de la religion c'est vrailes lions et les clowns

59instant note frèrerien ne monte rien ne descend aucun mouvement latéralil se lèverien ne bouge ni l'être ni le non-être ni l'idée ni le prisonnier enchaîné ni le tramwayil n'entend rien autre que luine comprend rien autre que les chaises la pierre le froidl'eau - connaît passe à travers la matière duren'ayant plus besoin cf'yeux il les jette dans la ruedernier éclat du sang dans les ténèbresdernier salut il arrache sa langue - flamme transpercée par uneétoiletranquilliséeautomne morte comme une feuille de palmier rougeet réabsorbe ce qu'il a nié et dissolu le projette dansl'autre hémisphère seconde saison de l'existencecomme les ongles et les cheveux croissent et retournent

60remarquesfemme étrange à double masquecourbe blanche d'une danse obscèneviens près de moi seul accordde membres lasopinions sans importance spécialebleu équivoque sang d''ébèneet le pourboirecache ton désirdevant la mort à huit heures vingtsi je pouvais recommencer la nuit ce matindieci soldi : voilàmon âmetu n'auras point ce soirle dernier raffinement de ma virilitédepuis longtemps j'ai surpassé l'industrie mensongèreoù tu traînes en ce moment ton être de soleil putrideainsi je passe tu passes comme la mère l'enfantlentement plus vite lentementun après l'autre ou tous ensembleoeil de souteneur en or d'éternité timidedisparaîtcloche d'un sentiment ail rastaqouèrereine sage-femmeet c'est tout-à-fait dépourvu d'intérêt

63vle sel et le vinle sel et le vin les plaintes et les grands hurlementsétant debout de la nuit secrète étudeflambeairainsolitudele sexe au milieu planté au milieu des branchesdans leurs manteaux on a versé le tourbillonspirales blanches et rouges soutenant la voixet les barques avançant comme la divinité dans la chairlonguementles ailes des flambeaux divisent les tuyaux de solitudeles tympans d'airain et les clochersle vent contraireles veines solaires bandées de parchemin et les esclaveshurlentmourir voir son fruit mort

9table9 le géant blanc lépreux du paysage1 1 mouvement12 la grande complainte de mon obscurité un16 la grande complainte de mon obscurité deux18 verre traverser paisible21 droguerie-conscience23 retraite24 sainte28 sage danse mars29 sage danse deux30 pélamide33 la grande complainte de mon obscurité trois34 froid jaune35 le dompteur de lions se souvient36 printemps39 amer aile soir43 soleil nuit44 moi touche-moi touche-moi seulement47 danse caoutchouc verre48 pays voir blanc51 saut blanc cristal52 petite ville en Sibérie55 gare59 instant notre frère60 remarques63 le sel et le vin

les vingt-cinq poèmes ont été publiéspour la première fois en 1918 collectiondada zurich avec des bois de hans arple dernier poème du présent recueil datéde 1917 et inédit a été aimablementcommuniqué aux éditeurs par la bibliothèque jacques doucet

de cet ouvrage achevé d'imprimer sous la direction de henriparisot le dix-huit février milneuf cent quarante six il a ététirédix exemplaires sur madagascarmarqués de a à jvingt-cinq exemplaires sur archesnumérotés de I à XXVcent cinquante exemplaires suralfa numérotés de 1 à 150six cents exemplaires sur surglacé d'édition numérotés de 151à 750exemplaire690

imprimerie grou-radenezparis - o. p. I. 31.1115n* d'imprimeur 54quotesdbs_dbs31.pdfusesText_37
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