H2O leau ressource indispensable à la vie p.12
Mél. : ecole.artistique@ccprhuys.fr espace empLoi de rhuys. ZA Kerollaire Nord - 56370 SARZEAU. Fax : 02 97 41 90 55. • « PAE-AIRE » : 02 97 41 73 44.
Zeitschrift für Religionskunde Forschung – Didaktik – Unterricht
Nicole Durisch Gauthier Haute école pédagogique du canton de Vaud établi depuis sa création ; d'autre part
Revue transatlantique détudes suisses
il faut attendre quelques minutes pour que le changement de langue soit effectif soutien aux langues minoritaires à l'école s'est souvent montrée sans ...
Zeitschrift für Religionskunde Forschung – Didaktik – Unterricht
Séverine Desponds Haute école pédagogique du canton de Vaud établi depuis sa création ; d'autre part
Geneviève HENTSCH Le Café Zähringer : ethnographie dun lieu
25 nov. 2003 Il faut bien sûr regarder avec prudence les théories qui postulent un ... décrivent leur univers de référence leur uniforme
Untitled
16 déc. 2010 I. 3.2) Taux de jeunes ayant quitté prématurement l'école dans l'UE 27 ... Enfin il faut préciser que les observations faites ne ...
Perspectives pour le bilinguisme en Alsace
Pour y arriver il faut passer de la négativation à la « positivation. ». Il s'agit déjà de considérer que tout ne se joue pas à l'école. L'école peut et
Bulletin officiel des séances du Grand Conseil Amtliches Tagblatt
2 nov. 2021 contrôle de la Haute Ecole Spécialisée de Suisse occiden- ... être contre les deux il faut dire non aux deux propositions
Sozialalmanach
25 avr. 2018 Introduire un quota de 15% de logements sociaux pour chaque ... quote-part supplémentaire accordée aux enfants qu'il faut imputer cet effet.
Revue transatlantique
d"études suisses6/7 · 2016/17
Diglossies suisses et caribéennes
Retour sur un concept (in)utile
Manuel
MEUNE, Katrin MUTZ
Université de Montréal
Revue tra
nsatlantique d'études suisses 6/7 .201 6/17Éditeurs:
Manuel Meune (manuel.meune@umontreal.ca)
Katrin Mutz (katrin.mutz@uni-bremen.de)
Directeur de la revue
: Manuel Meune© 201
7 - Section d'études allemandes
Département de littératures et de langues du mondeFaculté des arts et des sciences
Université de Montréal
ISSN - 1923-306X
3SOMMAIRE
___________ Avant-propos / Vorwort ...................................................... .......................... p. 5 Manuel MEUNE / Katrin MUTZ, " Les hauts et les bas de la diglossie: quelques perspectivestransatlantiques » ...................................................................................... p. 7-12
Perspektiven » ....................................................................................... p. 13-19
1. Le contexte suisse .................................................................. p. 21Raphael BERTHELE / Magalie DESGRIPPES, " À quoi (bon) cantonner les dialectes? L'allemand, ses standards et ses dialectes dans le débat politico-linguistique en Suisse » ............... p. 23-37
Rebekka STUDLER, " Diglossia or bil
ingualism: High German in German-speaking Switzerlandfrom a folk linguistic perspective » ............................................................... p. 39-57
Manuel M
EUNE, " Continuum dialectal, diglossie et bilinguisme. Les représentations des parlers alémaniques et de l'allemand standard dans la région bâloise » .............................. p. 59-86Helen C
HRISTEN, " 'Grü(e)zi' trifft 'Grüss Gott'. Unter welchen Bedingungen in der Deutsch-schweiz (doch) Hochdeutsch gesprochen wird » .............................................. p. 87-102
Josianne V
EILLETTE, " Dynamiques de cohabitation et relations asymétriques entre groupeslinguistiques en terre fribourgeoise: la diglossie, une question secondaire? » ......... p. 103-121
Claudine B
ROHY, "'Le suisse-allemand, ça s'apprend pas, ça s'acquiert'? Suivre des cours dedialectes alémaniques à l'Université de Fribourg » ......................................... p. 123-136
Natalia BICHURINA, " Entre transformation et disparition de la diglossie: les dynamiques bi-lingues dans la transmission du francoprovençal en Suisse et en Vallée d'Aoste »...... p. 137-154
2. Le contexte caribéen ......................................................... ..................... p. 155Darline
COTHIÈRE, " Le créole et le français en Haïti: peut-on encore parler de diglossie? » ......
p. 157 -164 Hugues SAINT-FORT, " Bourdieu plutôt que Ferguson. Le 'marché linguistique' haïtien:fonctionnement, idéologie, avenir » ............................................................ p. 165-176
Revue transatlantique d"études suisses, 6/7, 2016/17 4Michel D
EGRAFF, " La langue maternelle comme fondement du savoir. L'Initiative MIT-Haïti: vers une éducation en créole efficace et inclusive » .......................................... p. 177-197Robert B
ERROUËT-ORIOL, " Das Recht auf die Muttersprache in einem nicht-monolingualenLand: eine Bilanz über die Unterrichtssprachen in Haiti » ................................. p. 199-211
Émilie U
RBAIN, " Hiérarchisation des langues et des locuteurs: différenciation sociale et discourssur la langue dans la francophonie louisianaise depuis la Guerre de Sécession » ....... p. 213-234
Stéphane T
ÉROSIER, " Apprendre une L3 dans le contexte diglossique de la Martinique: rôlemineur pour langue minorée » .................................................................. p. 235-252
Alan C
RANSHAW, " Shifting diglossia on Curaçao. Perceptions of Papiamentu speakers educated in Dutch .................... p. 253-265Caroline
P ATZELT, " Zwischen traditioneller Umgangssprache und Lingua France der Migranten:Katrin M
UTZ, " Diasporische Diglossie am St.-Lorenz-Strom? Sprachverhalten und Sprach- einstellungen von Mon trealern haitianischer Herkunft » ................................... p. 289-311 3. Épilogue ........................................................................ ..................... p. 313Manuel M
EUNE, " De la visibilité des langues en contexte de bilinguisme diglossique: le paysagelinguistique à Port-au-Prince et à Bâle »....................................................... p. 315-350
Avant-propos / Vorwort
Avant-propos
Les hauts et les bas de la diglossie: quelques perspectives transatlantiquesVoilà déjà plus de soixante ans que le concept de 'diglossie' a fait florès sous l'impulsion des linguistes
Charles Ferguson et Joshua Fishman. Lorsqu'il est question de ce terme, de nombreux textes continuent de
citer les deux articles fondateurs de 1959 et 1967. On peut y voir à la fois le signe que le concept, tout
imparfait qu'il peut être, reste utile, mais aussi le signe qu'il reste trop peu répandu hors des cercles de
linguistes pour être utilisé sans référence à ses 'créateurs' - et que son utilité est donc restée limitée.
Un concept évolutif et des contextes changeantsÀ l'origine, le concept par lequel Ferguson souhaitait insister sur la répartition fonctionnelle entre langue
formelle surtout écrite (high variety) et langue orale utilisée en situation informelle (low variety) s'appliquait à
quatre contextes et quatre couples de langues apparentées, en particulier sur le plan lexical: 1) le français et
le créole en Haïti; 2) l'allemand standard et le suisse-allemand en Suisse; 3) l'arabe littéraire et l'arabe
dialectal dans le monde arabophone; 4) la 'langue pure' (la katharevousa) et la 'langue populaire' (la
démotique) dans le monde grec. Le terme 'diglossie' avait ensuite été élargi par Fishman à des couples de
langues non génétiquement liées, avant d'être appliqué à des contextes linguistiques très variés. Le terme a
aussi été critiqué, pour deux raisons principales: 1) son application semble difficile à mesure que certains contextes diglossiques se révèlent plus
complexes - statut politique ambigu ou co-officialité des langues; présence de langues tierces; 'conquête de
l'écrit' par la 'langue basse' et prestige accru (après une standardisation ou de façon spontanée dans la
communication électronique); accès plus facile à la 'langue haute' sous sa forme orale dans certains médias
modernes, etc.; 2) une situation linguistique de type diglossique peut être perçue comme 'moins digne', en particulier à
cause des concepts de high variety et low variety qui, symboliquement, semblent maintenir en état d'infério-rité les variétés linguistiques historiquement moins prestigieuses (ainsi que leurs locuteurs) et figer les
perceptions en suggérant que la standardisation ou l'officialisation d'une 'langue basse' n'est ni possible ni
souhaitable. Dans cette perspective, la 'diglossie' n'est qu'une forme de bilinguisme dans laquelle l'emploi
des deux langues suit des règles particulières, et le désir de remplacer le terme par un autre peut traduire
une approche performative visant à modifier la réalité sociolinguistique. On retrouvera dans les contributions qui suivent certaines de ces critiques, mais on se demandera aussi
s'il n'existe pas une façon neutre et désidéologisée d'utiliser le concept de 'diglossie', dès lors qu'on aaffaire, dans une société donnée, à l'utilisation de deux systèmes linguistiques ayant chacun un statut
sociopolitique différent - que ces langues soient maîtrisées par l'ensemble de la population ou non. Ceci ne
signifie toutefois pas qu'un contexte diglossique ne peut pas - comme toute forme de coexistencelinguistique - évoluer et faire l'objet de nouveaux aménagements. En tout état de cause, le constat de
diglossie ne doit être vu comme une injonction à pérenniser celle-ci, en même temps que les rapports
sociaux qu'elle traduit. Le créole entre spécificité et normalité Ce numéro de la Revue transatlantique d'études suisses est pensé un peu comme un retour aux sources, au sens où il est rare qu'on se penche conjointement sur les contextes qui ont jadis permis à Ferguson de développer son approche. Nous ne pouvons ici traiter de l'arabe et du grec, mais noussouhaitons comparer les contextes suisse et caribéen. A priori, il y a peu de choses en commun entre la
situation sociolinguistique de la Suisse et celle - du reste très diversifiée - de la Caraïbe, comprise dans un
sens large qui englobe à la fois l'Arc antillais et certaines régions côtières du continent américain, autour du
Revue transatlantique d"études suisses, 6/7, 2016/17 8 golfe du Mexique et au -delà (Plateau des Guyanes). Les créoles, ceux qui ont le français comme baselexicale tout comme les autres, sont le fruit du système esclavagiste (lié à l'économie de plantations) et du
choc entre les langues coloniales et diverses langues africaines. Si les locuteurs de créoles à base française
évoquent souvent leur créole en le rapprochant résolument du français (ceux de Sainte -Lucie ou de laDominique parlent parfois de broken French), les créoles dont il sera surtout question ici (haïtien, martini-
quais, louisianais et guyanais) sont généralement considérés par les linguistes non pas comme des
dialectes du français, mais comme des langues distinctes à l'évolution unique. Les structures grammaticales
semblent en effet se distinguer aussi bien du substrat que co nstituent les langues des Africains déportés(langues dont il semble ne rester que très peu de traces) que du superstrat qu'est le français (qui fournit à lui
seul près de 90% du matériau lexical). Cependant, la question de savoir dans quelle mesure les langues créoles, du point de vue typologique,
constituent un groupe linguistique distinct reste très controversée parmi les chercheurs créolistes - sachant
que dans la linguistique traditionnelle, la grammaire constitue l'élément central qui permet de dé
finir lesdifférents types de langue. La question connexe de la filiation généalogique est tout aussi controversée
: leslangues créoles à base romane sont-elles ou non 'filles' des langues romanes? Seraient-elles donc des
langues 'néo-romanes', de la même façon que les langues romanes sont parfois qualifiées de langues 'néo-
latines'? Si l'on se penche sur quelques ouvrages de référence récents en linguistique romane, l'image
qu'on obtient est assez contrastée - au sein même de la recherche dans les universités germanophones.
Gabriel et Meisenburg (2007, 59)
1 voient ainsi dans les langues créoles un " type linguistique particulier », mais Bossong (2008, 30) 2 tend à les classer dans la même famille que leurs langues d'origine respectives, et il enrichit la fam ille traditionnelle des langues romanes en leur adjoignant un groupe linguistique 'créolo roman' (" Kreol-Romanisch »). Quant à Glessgen (2008, 52), 3 il distingue, d'une part, les langues romanes" proprement dites » et, d'autre part, les langues créoles à base romane. Pour lui, l'étude de ces derniers
relève de la linguistique générale plutôt que de la linguistique romane, en raison des différences d'ordre
typologique entre les créoles et les langues qui fournissent la base lexicale (français, portugais ou
espagnol). Au-delà des aspects strictement linguistiques, certains spécialistes de créole décèlent une dimension
politique ou idéologique dans le traitement des créoles comme objets 'exotiques' appartenant à une classe
typologique 'à part' au motif que leur contexte de naissance est particulier, et s'étonnent que les créoles à
base romane ne fassent généralement pas partie de la famille 'officielle' des langues romanes. Michel
DeGraff fait valoir qu'historiquement, la catégorisation des langues telle qu'elle a été conçue en Europe
reflète la hiérarchisation plus ou moins latente des peuples et des cultures. Si ce statut d''exception' attribué
aux créoles n'est sans doute pas sans effets sur leur perception comme 'langues inférieures', tant chez les
locuteurs que chez les non-locuteurs de créole, les langues créoles peuvent néanmoins également être un
symbole identitaire central et positif, en raison de leur fonction de véhicule par excellence de l'histoire
complexe - et souvent douloureuse - des divers peuples caribéens.Créole vs
suisse-allemand: parallèles et différences d'ordre historiqueQuoi qu'il en soit, face au créole, le suisse
-allemand, si particulier soit-il, n'apparaît pas comme lesymbole par excellence d'une expérience unique dans l'histoire de l'humanité. De plus, son histoire est
beaucoup plus ancienne et les conditions de sa naissance sont plus difficiles à dater. Contrairement, par
exemple, au créole haïtien, le suisse -allemand n'est habituellement pas perçu par les linguistes comme unelangue distincte dont les amarres auraient été rompues avec une 'langue mère' - comme ce peut être le cas
du néerlandais, historiquement lié aux dialectes bas-allemands. Ceci n'empêche toutefois pas les locuteurs
de suisse-allemand de considérer celui-ci parfois comme une 'langue à part entière' plutôt que comme un
dialecte de l'allemand, car dans ce cas comme dans tant d'autres, les logiques identitaires et les représen-
tations linguistiques des 'profanes' ne coïncident pas forcément avec le discours d es scientifiques (lui-mêmehétérogène) sur les critères de catégorisation des langues. En termes linguistiques, le dialecte alémanique
de Suisse se présente comme un ensemble de parlers appartenant au domaine de l'allemand supérieur
(Oberdeutsch); il est marqué par l'appartenance séculaire à un ensemble politique qui lui a assuré une
1 Gabriel, Christoph/Meisenburg, Trudel, 2007, Romanische Sprachwissenschaft, Stuttgart: UTB. 2 Bossong, Georg, 2008, Die romanischen Sprachen. Eine vergleichende Einführung, Hamburg: Buske. 3Glessgen, Martin-Dietrich, 2008, Linguistique romane. Domaines et méthodes en linguistique française et romane,
Paris: Colin.
" Avant-propos » 9 certaine cohésion et pérennité, la Confédération suisse - tandis que plus au nord, en particulier sousl'impulsion de Luther, se constituait une langue devenue peu à peu la langue écrite commune de l'espace
germanophone. Si les sociétés diglossiques sont nombreuses dans les Caraïbes, elles deviennent rares en Europe
occidentale, et la Suisse, avec sa diglossie très dynamique, fait figure d'exception. De ce point de vue, la pe tite république alpine (41 285 km 2 ) se rapproche donc tout particulièrement d'Haïti, petite république antillaise (21750 km
2 , soit un tiers de l'île d'Hispaniola) sur laquelle il convient d'insister. Certes, il existe des différences notables entre les de ux contextes. Ainsi, l'éventuelle fin de la diglossie en Haïti, à laquelleaspirent ceux qui souhaitent que le créole devienne une 'vraie langue officielle', voire la seule, peut être
interprétée comme un désir de mener à son terme la décolonisation, alors que la question diglossique, en
Suisse, ne peut se poser dans les mêmes termes. Car si la Suisse s'enorgueillit d'être l'une des démocraties
européennes les plus stables depuis 1848, tout autant qu'Haïti se montre fière d'être devenue en 1804 la
première république indépendante noire, il importe de rappeler qu'Haïti la révolutionnaire, après sa victoire
sur les troupes napoléoniennes, a été ignorée et isolée par les puissances occidentales. La France, après
s'être enrichie grâce au travail de la main -d'oeuvre servile de la 'Perle des Antilles', a fait payer au prix fortleur indépendance aux Haïtiens, leur extorquant sous la menace d'une nouvelle invasion des sommes
colossales pendant plus d'un siècle. Tout cela a longtemps hypothéqué les possibilités d'essor d'Haïti et explique en partie ses difficultés
actuelles, mais cela n'a pas bridé la créativité et l'effervescence culturelle d'une société irriguée par le
créole. Et même si l'élite dirigeante a transmis jusqu'à aujourd'hui l'ancienne langue coloniale, le français, et
que les intellectuels haïtiens, reconnus dans la francophonie, ont grandement contribué à sa richesse, le
créole est aujourd'hui beaucoup plus vivant en Haïti que dans les territoires caribéens restés dans le giron
de la France - Martinique, Guadeloupe et Guyane. L'appartenance au 'monde francophone' ne peut doncs'y faire sur le même mode que dans des sociétés désormais largement marquées par la primauté du
français comme langue (co -)maternelle (Suisse romande et Québec, mais aussi, dans une moindre mesure, régions etdépartements français des Amériques). La Suisse, bien que relativement pauvre à certaines périodes de son histoire, est devenue aux 19
e et 20 esiècles un pays très prospère. Mais alors qu'en Allemagne et en Autriche, les dialectes régionaux
s'estompaient à mesure que progressait l'alphabétisation, la partie germanophone de la Suisse a maintenu
une pratique vivante des parlers alémaniques, tout en ne se coupant pas de l'allemand standard dont elle
partage l'usage écrit (e t parfois oral) avec d'autres pays. Certes, les liens avec l'Allemagne sont complexeset les Suisses déplorent parfois leur statut périphérique ou 'exotique' au sein de l'espace germanophone,
mais ils semblent par ailleurs y trouver leur compte . Et si le suisse-allemand est vu comme la langue del'authenticité, la participation des Suisses à la culture écrite de l'espace germanophone est si ancienne et si
centrale que personne ne songe à la penser en termes de (dé)colonisation, comme ce peut être le cas dans
des sociétés post-esclavagistes. 'Le point' vs. 'Arena': un exemple en provenance du monde médiatiqueLes lectrices et lecteurs qui connaissent mieux un contexte que l'autre pourront se faire leur propre idée
des différences et ressemblances entre le s espaces helvétique et caribéen et du bien -fondé de la compa-raison. Tenons-nous-en ici à un seul exemple, celui d'émissions télévisées proposant des discussions sur
des sujets politiques ou sociétaux en Suisse allemande et en Haïti: 'Arena', émission phare de la chaîne
quotesdbs_dbs22.pdfusesText_28[PDF] Avantages et inconvénients sociaux liés ? l 'innovation - Hal-SHS
[PDF] STREET ART
[PDF] 4ème étape : Donnez le motif de votre appel - Eplucheur commercial
[PDF] baccalaureat professionnel commerce guide d 'accompagnement
[PDF] PRÉSENTER DES PRODUITS /ARGUMENTER/CONVAINCRE
[PDF] « L 'argumentation juridique»
[PDF] La parole en spectacle - Eduscol - Ministère de l 'Éducation nationale
[PDF] Ressources humaines et communication - Eduscol - Ministère de l
[PDF] How to Write an Argumentative Essay - Bellevue College
[PDF] L 'importance des études - HSBC
[PDF] Procédure d 'inscription ? l 'Université de Strasbourg pour les élèves
[PDF] Brochure 2017 des formations de l 'ARIFTS
[PDF] guide de lecture de la métaphysique d 'aristote - Grand portail Saint
[PDF] 1 La logique d Aristote