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  • Quels sont les trois courants de l'éducation populaire ?

    Au cours du XXe si?le on a vu émerger trois courants et trois traditions de l'éducation populaire : la tradition laïque éducative, la tradition chrétienne humaniste et celle du mouvement ouvrier.
  • Quel est le rôle d'un animateur socioculturel ?

    L'animateur ou animatrice socioculturel intervient dans différentes structures publiques ou privées auprès de publics variés pour proposer des activités qui favorisent le développement du lien social, les échanges ou l'apprentissage.
  • Comment faire de l'éducation populaire ?

    Cette éducation est perçue comme l'occasion de développer les capacités de chacun à vivre ensemble, à confronter ses idées, à partager une vie de groupe, à s'exprimer en public, à écouter, etc. L'animation sociale et culturelle est un domaine d'investissement important d'éducation populaire.
  • Les acteurs de l'éducation populaire

    L'État.Les collectivités locales.Les mouvements d'éducations populaires.Les lieux permanents de mixité sociale.
Vers une théorie de laction associative: la praxis de léducation

É EUROPEENNE DE BRETAGNE

UNIVERSIT... RENNES 2 - HAUTE BRETAGNE

Ecole Doctorale Sciences Humaines et Sociales

CREAD EA 3875

VERS UNE THÉ :

ÉDUCATION POPULAIRE

ÉANIMATION SOCIOCULTURELLE CITOYENNE

ThËse de Doctorat

...ducation

Volume 1

PrÈsentÈe par Francine GRELIER

Directeur de thËse : Professeur ...mÈrite Paul TAYLOR

Soutenue le 09 fÈvrier 2010

Membres du Jury :

Dan Ferrand-Bechmann, Professeur ‡

È Paris 8 (Rapporteur)

Richard Wittorski, Professeur ‡

È de Rouen (Rapporteur)

Paul Taylor, Professeur ...mÈrite ‡

È de Rennes 2 (Directeur de thËse)

Jean-Claude Gillet, Professeur ...mÈrite ‡

È de Bordeaux

Jean-Claude Quentel, Professeur ‡ È de Rennes 2 2 3

VERS UNE THEORIE DE

POPULAIRE

Écitoyenne

4

¿ Sandrine et ‡

´ En vÈritÈ, il serait incomprÈhensible que la conscience de ma prÈsence dans le monde ne

signifi't dÈj‡ È de mon absence dans la construction de la prÈsence mÍme. Comme

prÈsence consciente dans le monde, je ne peux Èchapper ‡ la responsabilitÈ Èthique dans mon

Èvolution dans le monde. Si je suis un pur produit de la dÈtermination gÈnÈtique, culturelle ou de

classe, je suis irresponsable pour ce que je fais dans mon cheminement dans le monde et si je manque de responsabilitÈ Èthique. Cela ne signifie pas nier les conditionnements gÈnÈ

reconnaÓtre que nous sommes des Ítres conditionnés mais non des Ítres déterminés, programmés.

ReconnaÓÈ et non de déterminisme, que le futur,

permettez-moi de le rÈitÈrer, est problématique et non inexorable. ª (Freire, 2006, p. 36)

5

PRÉAMBULE

Ècris une thËse ‡

ÈrioritÈ erche : elle est inscrite dans

...ducation Populaire et de Jeunesse, avec une spÈcialitÈ en sciences È ‡ la Direction RÈgionale et DÈpartementale Jeunesse et Sports de Bretagne depuis 1981. Depuis vingt ans, je coordonne le

Centre Public de Formation au D.E.F.A. (DiplÙ

rattachÈ au Creps1 de Dinard- Ènierie des nouveaux diplÙmes ÈÙmes. Mon contexte professionnel est instable depuis cinq ans

Sport a une culture de mission Èducative, qui est actuellement recentrÈe sur la fonction

rÈ Èglementaire et sÈcuritaire des jeunes et des associations, dans le cadre de la rÈorganisation prÈfectorale des services.2 La rÈËre des formations sportives et socioculturelles a dÈmarrÈ Nationale Consultative Paritaire des MÈ Èbat est assez tendu pour dÈÈtendue de ce champ professionnel et ses objectifs disparates : entre loisirs, tourisme, Èquipements, services publics de proximitÈ, Èducation, formation

La biographie du rapport à savoir

1 CREPS : Centre RÈer

2 RÈvision GÈnÈrale des Politiques Publiques 2008-2012

6 Je fais partie des premiËres gÈnÈrations de filles qui ont bÈnÈficiÈ Ës massif ‡ Èducation

secondaire. Les collËges sont crÈÈËre, je dois faire des Ètudes, alors que mes deux frËres ne sont pas poussÈs ‡

ans en 1968, je suis une spectatrice passionnÈe de ces ÈvËnements. Je bÈnÈficie de toutes les

luttes fÈministes. Quand je suis enceinte en 1979, la radio vulgarise la psychanalyse et FranÁoise

‡ sonne. Je fais ma formation ‡ 3 CarriËres Sociales de Rennes de 1970 ‡ socioculturelle Ètait un mÈÈputation sulfureuse parce que la formation Ètait en autogestion (pȇ 17 ans tout de suite aprËs

le baccalaurÈat, sans avoir mÍme encadrÈ une colonie de vacances, alors que tous mes collËgues

...ducation populaire. Je suis hors norme ‡

Èpoque en tant que ´purª produit de la professionnalisation. Je suis animatrice socioculturelle

en associations ‡ partir de 1972, et je deviens conseillËre ‡ Jeunesse et Sports ‡ partir de 1981.

Je suis imprÈgnÈe de ma rÈgion la Bretagne : je suis nÈe ‡ È ‡ Brest, prËs de

Morlaix et ‡ Ècu la rÈvolution Èconomique bretonne. Avant les annÈes 70, ´ nous ª

Ètions des ´ ploucs ª des provinciaux arriÈrÈs ou des bÈ -‡-dire un prolÈtariat

domestique. La discrimination Ètait lisible et offensante. La rÈvolution culturelle des annÈes 70 a

ÈtÈ dÈfensive (´ dÈfendons notre diffÈrence et le peu que nous avons, restons au pays ª), mais

elle Ètait aussi le droit de se relever du passÈ fasciste des annÈes 40. Le mÈtissage culturel des

annÈes 90 est plus offensif et crÈatif : ´ Nous ª devenons riches de nos spÈcificitÈs qui peuvent donc alimenter une ouverture et un partage de savoir culturel.

En Bretagne, la rÈfÈrence ‡ ...ducation populaire fait encore sens dans les rÈseaux associatifs et

les politiques locales, sans doute gr'ce ‡ Èration agricole, puis du dÈ ´ dÈveloppement durable ª. Les rÈseaux politiques sont aussi collaboratifs dans les intercommunalitÈ annÈes 60 en Bretagne en font une force dans les annÈes 80. La politique de la Ville (Rennes,

ÈÈparation, les quartiers sont peu

´ ghettoÔsÈs ª -droit. Dans les quartiers, il y a une attention ‡ la mixitÈ sociale et encore la prÈsence des militants associatifs.

3 I.U.T. Institut Universitaire de Technologie

7 Des rencontres thÈoriques ont ÈtÈ Èclairantes, conscientisantes. Elles ont fait repËre pour

construire mon identitÈ professionnelle. Mes curiositÈ ÈtÈ

interdisciplinaires, voire transdisciplinaires. Dans ma formation initiale, la mise en scË-directivitÈ

de Carl Rogers (introduite en France en 1970 par Max PagËÈ Group selon le dispositif de Kurt Lewin. Le moniteur non- Ùle de ‡ Èrience des rËgles de la

dynamique des groupes. Les acquisitions de connaissances Ètaient construites autour des intÈrÍts

et des nÈcessitÈs de chacun

Ènomme ´ autoformation ª

plus ´ sidÈrante ª ÈtÈ orges Lapassade4. Hormis la ÈpistÈmologie politique Ètaient trËs prÈgnantes : faut-il changer les structures pou- les structures Èes de Marx et de Freud Ètait alors une hÈrÈsie (le rapprochement a ÈtÈ amorcÈ promotion sociale, en licence et maÓÈconomique et sociale. Cette formation

proposait une lecture multiple en sociologie, droit et Èconomie pour comprendre les complexitÈs

socio-Èconomiques. Entre autres, nous y avons ÈtudiÈ le Capital de Marx. Puis jÈrences de

È de Haute Bretagne. Gagnepain construisait sa modÈlisation en voulant faire Èmerger les sciences de la culture.

Ètait nÈcessaire pour

rÈaliser une observation rÈ socioculturels, et pour expliciter les modalitÈs de leur formation expÈÈ

une lecture des pÈdagogies Èmancipatrices : la diffusion par Paul Taylor des thËses de Paolo

Freire sur la pÈdagogie des opprimÈs et la conscientisation (quasi oubliÈ en France) ; les

ÈÈÈthodologie et par

Jean- Les annÈes de thËse sont aussi les annÈes ´cancerª

Èrience intime, corporelle et psychique,

È ‡ la discrÈtion et

4 Lapassade, G. (1963) éè. Paris, Minuit.

8 au tout pouvoir du mÈdecin : opacitÈ, infantilisation, mauvaise foi, dÈni de la personne par la

structure mÈdicale (les personnels sont solidaires mais dÈbordÈs). La maladie fait passer dans la

quatriËme dimension des exclus, hors du monde social codÈ et connu, dans le clan des

Ètait un espace pour sortir de la main de, une conscientisation intime de la nÈcessitÈ de

È È Èlaborer se construit

paradoxalement sur les incapacitÈs liÈes ‡ Íme fatigue et ‡ la dÈpression. Le deuil

momentanÈ des aptitudes, qui vont me faire dÈfaut pendant deux ans, va Ítre rÈvÈlateur, Èclairant

des capacitÈs antÈrieures quand je les retrouve : ma capacitÈ Ècoute empathique dans la vie du

groupe, et la compÈ È des situations problËÈlaboration intellectuelle, de la jouissance intellectuelle inter-legere, cueillir ses ´lÈgumesª : oser les rendez-vous de fouilles intimes et pour dire le monde et le transformer.

Implication du praticien : inférer le questionnement Le terrain de recherche est la formation professionnelle des animateurs socioculturels comme

Èducation populaire : Èvaluer quels sont les effets de la pÈdagogie non scolaire et expÈrientielle pour ÈÈta regard ...ducation populaire5 sont un objet È avec distance. La recherche est un espace et un temps pour faire une pause. Je prends ‡ Ètudie, la dÈfinition que -mÍme. Cette recherche est construite comme une poupÈe gigogne : je rÈalise un travail rÈflexif sur ma pratiq -mÍme ‡

Èrieur du systËÈ

stagiaires ont ‡ rȇ

rÈaliser avec leur propre public dans leurs contextes professionnels. ÈÈducation professionnelle ‡

incertain que le mÈtier auquel il prÈpare. La thËse est en partie une biographie professionnelle. Je

suis dans une posture inductive pour tirer un enseignement de ma pratique pÈdagogique rÈalisÈe

par t' Èes. Ma participation observante me permet

5 Tout au long de cette thËse, je vais Ècrire ...ducation populaire avec une majuscule quand elle dÈsignera un systËme

ÈÈducation anthropologique .

9 Èes en formation avec les stagiaires et les mÈmoires

rÈflexifs sur leurs expÈÈtier de pÈdagogue ou plutÙ Ètant initialement un praticien du social, un animateur socioculturel. Je suis reprÈsentative des formateurs de la formation ‡ de la communautÈ È (hormis les formations des carriËres sociales en instituts universitaires de technologie).

Èritage des premiËres formations

depuis 1973, pour une catÈgorie spÈ animateurs socioculturels au niveau III de la

de la formation entre service public et privÈ existe depuis les origines de la profession : un IUT

crÈe en 1968, et deux centres de formation : privÈ en 1975 (IRTS6) et public en 1981(Creps7).

Les fÈdÈrations associatives assurent la prÈparation des diplÙmes de niveau IV. ÈÈducatif, est encore ‡

pour les collectivitÈs locales que pour les fÈdÈrations associatives de Bretagne. Quelques

exemples : la mÈdiation sociale (les nouveaux mÈtiers de la

socioculturelle (Optima ‡ Rennes, MÈdiateurs de rue ‡ Brest) mais en parallËle, les fÈdÈrations

associatives imaginent une pÈdagogie de rue. ¿ Rennes, des animateurs de rue /CPB8 pour

ramener vers les Èquipements, ‡ Brest /FOL9 pour les enfants qui ne frÈquentent plus les

ÈÈs dans leurs activitÈs, ‡ Quimper /MPT10 pour un Èquipement socioculturel est excentrÈ. Les ´ jeudis chauds ª de Rennes ont

eu une rÈponse policiËre puis une rÈponse socioculturelle avec ´ les nuits du jeudi ª organisÈes

par le CRIJ11. Les conflits durs entre jeunes et animateurs ne sont pas banalisÈs, ces ÈvËnements

sont encore prÈsentÈs publiquement comme inadmissibles et hors du commun : ils entraÓnent des

Èquipements et un dÈbat dans la presse.

6 IRTS : Institut RÈgional du Travail Social

7 CREPS : Centre RÈgional Education Populaire et Sport

8 CPB : Cercle Paul Bert

9 FOL : FÈdÈration des uvres LaÔques 10 MPT : Maison Pour Tous

11 CRIJ : Centre RÈgional Information Jeunesse

10 Mon implication de for ...ducation populaire est complÈtÈe et interrogÈe par mes

pratiques de bÈnÈÈducation populaire en Èlu local et Èlu associatif : dÈ deux mille habitants, projet de territoire et de dÈveloppement durable sur la communautÈ de communes.

Je reprÈ :

- la posture du bÈnÈvole instrumentalisÈ par le professionnel salariÈ de la communautÈ d

e communes animant un rÈseau de bibliothËques ; - la posture du bÈnÈÈ animateur socioculturel, ayant ‡ promouvoir, convaincre la municipalitÈ

- la posture du bÈnÈvole dÈlÈguÈ du conseil municipal dans une association assumant la politique

- la posture du bÈnÈvole militant dans une association alternative de dÈveloppement durable ;

- la posture du bÈnÈvole Èlu, adjoint municipal, ayant ‡ construire une collaboration pour les

ÈrÍt gÈnÈral communaux, et pour les enjeux du dÈveloppement durable ‡ Èchelon communautaire.

Cette double position, de bÈnÈgilance sur

les relations difficiles, toujours ‡ dÈbattre, entre le technicien expert de la participation et le

bÈnÈvole riche de son expÈrience et de ses rÈ ‡ un poste de

Èquipement de quartier de deux mille adhÈ

ma passion pour ce mÈtier : il faut en mÍme temps Ítre trËs pragmatique, rÈpondre aux besoins

relationnels et logistiques qui se posent au quotidien, et aussi avoir une vision prospective,

dÈÈrationnaliser en cohÈrence. Les fondations de la recherche consistent ‡ reconstruire mon trajet de conscientisation en tant

´ observateur indigËne, sociologue profane ª, ‡ Ècrire la mÈmoire de ma pratique

professionnelle en explicitant mes affiliations, ce ‡ quoi je me suis nourrie, et ce que je transmets

et qui est ‡ uvre dans mon projet Èducatif, pour problÈmatiser mon expÈrience de formateur.

renforcement Èpistȇ

reconstruire mon parcours, le sens de mon action, ‡ historicitÈ de ma lÈgitimitÈ ‡ Ítre

11 formateur. J-action, o˘

ÈÈobjet

de la recherche est de se reprÈsenter les racines et les impacts, de travailler les reprÈsentations, et

de dÈÈquation entre les intentions -‡-dire la fonction sociale rÈ cohÈrence. Le risque est de ne pas assez dÈ Mon engagement dans une recherche ‡ partir de ma propre pratique a une visÈÈmancipation, une autorÈflexion critique. ´

ÈitȪ Èducation populaire

ÈmancipÈ, mais il me semble essentiel de ne pas rester dans la foi, la mÈÈÈducation populaire est une pratique instituante et novatrice et/ou une in Èologie ‡ valeur unifiante, moralisante ?

12 SOMMAIRE

VERS UNE THEORIE DE : ..................................................................................... 3

TION POPULAIRE ..................................................................................................... 3

PR...AMBULE .......................................................................................................................................................... 5

SOMMAIRE .......................................................................................................................................................... 12

INTRODUCTION .................................................................................................................................................. 15

PREMIERE PARTIE ............................................................................................................................................... 27

IER .......................................................................... 27

INTRODUCTION ....................................................................................................................................................... 28

A - FORMATION DES ANIMATEURS SOCIOCULTURELS .......................................................................... 31

CHAPITRE 1 FRAGILITE IDENTITAIRE DU CHAMP PROFESSIONNEL ........................................................................ 35

1.1 - Instituer la reconnaissance de la profession ............................................................................................. 36

1.4 - La nouvelle actualité de l'Éducation populaire ......................................................................................... 51

CHAPITRE 2 FORMATION EXPERIENTIELLE ET DIALOGIQUE .................................................................................. 58

2.1 - Analyse de pratiques dans le groupe en co-développement ...................................................................... 59

2.2 - Témoigner entraîne la compétence dialogique ......................................................................................... 67

B - ETHNOMETHODES POUR S .................................................................................................... 82

CHAPITRE 3 OBSERVATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES.......................................................................... 85

3.1 - Le recueil et le traitement des informations ............................................................................................. 87

3.1.1 - Les interviews collectives dans les groupes en co-dÈveloppement ................................................................. 88

3.1.2 - Le mÈmoire professionnel comme biographie de son expÈrience. .................................................................. 91

3.1.3 - Deux grilles de lecture pour dÈcoder le discours ............................................................................................. 94

3.2 - Les marqueurs de collaborations appauvries ........................................................................................... 98

3.2.1 - CohÈÈquipe faible................................................................................................................................. 99

3.2.2 - Manque de franchise pÈdagogique ................................................................................................................ 100

3.2.3 - Expertise et identitÈ incertaines ..................................................................................................................... 102

3.2.4 - Flou des statuts, des rÙles, des fonctions ....................................................................................................... 103

3.2.5 - Conflits de valeur .......................................................................................................................................... 105

CHAPITRE 4 EXPERTISES A PARTAGER ................................................................................................................ 107

4.1 - Compétences pour remplir les missions ................................................................................................. 108

4.1.1 - Les intentionnalitÈs Èducatives ...................................................................................................................... 108

13 4.1.2 - Les mythes cohÈsifs dans le choix des interventions..................................................................................... 112

4.2 - Rituels et épistémè ........................................................................................................ 117

4.2.1 - Pouvoir participer ‡ la dÈcision ..................................................................................................................... 117

4.2.2 - ............................................................................................................. 121

4.3 - Rituels et épistémès pour contracter ....................................................................................................... 124

4.3.1 - Se reconnaÓtre comme partenaires ................................................................................................................. 124

4.3.2 - DÈlibÈrer sur le changement .......................................................................................................................... 127

CHAPITRE 5 INTENTIONS DAPPRENTISSAGE DE L'EDUCATION SOCIOCULTURELLE ............................................. 136

5.1 - Le projet de socialisation intergénérationnelle ....................................................................................... 138

5.2 - éducation permanente et de démocratie culturelle ............................................................... 143

5.3 - Le projet de citoyenneté participative .................................................................................................... 149

CHAPITRE 6 CONTRAINTES DE LORGANISATION DU TEMPS LIBRE ..................................................................... 155

6.1 - La société ......................................................................... 157

6.2 - La position des classes moyennes et des classes populaires ................................................................... 160

6.3 - Les logiques économiques au risque de la marchandisation .................................................................. 165

6.4 - ............................................................... 169

EN CONCLUSION .................................................................................................................................................... 178

DEUXIEME PARTIE ............................................................................................................................................. 181

INTRODUCTION ..................................................................................................................................................... 182

CHAPITRE 7 DECODER LE VOULOIR APPRENDRE ................................................................................................. 189

7.1 - Historicité et praxis ................................................................................................................................. 190

7.2 - Processus de conscientisation ................................................................................................................. 197

7.3 - Institutionnalisation des interactions sociales ........................................................................................ 204

7.4 - Rationalités et médiations au monde ....................................................................................................... 210

CHAPITRE 8 POUVOIR PENSER LAGIR ................................................................................................................ 217

8.1 - Le droit de produire du sens ou valoriser aussi le sens commun ............................................................ 218

8.2 - Elucider ses cadres de perception pour mettre le monde en mots ........................................................... 228

8.3 - Compétence communicationnelle pour témoigner .................................................................................. 239

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