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bassins amont de la Loire et de la Seine.........................................................................171.3. Améliorer les connaissances....................................................................................21rbarfde>osoiMrécsroMiMéntoiMsrctr>o0oènMlcroMiMéntoiMaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaabv2.1. Améliorer la prévision des crues...............................................................................232.2. Établir un nouveau système de vigilance " inondation »...........................................32rvar'cstoiMrécrldoscaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaavD3.1. Rendre plus dynamique la mise en commun des informations pour la gestion
opérationnelle..................................................................................................................403.2. Développer des plans communaux de sauvegarde (PCS) de bonne qualité
opérationnelle et des exercices réguliers.........................................................................503.3. Conforter les pratiques de secours et d'évacuation..................................................523.4. Aspects spécifiques de la gestion de la crise............................................................563.5. Améliorer la communication de crise........................................................................60r€arS >dn0csr)7édn èo< csrctrid0nMosntoiMrécrènr0cstoiMrécsrli dsré-cn aaaaaaaEv4.1. Améliorer l'exploitation des ouvrages de navigation.................................................634.2. Tenue des digues, et notamment rupture de la berge du bief de Montambert sur lecanal de Briare................................................................................................................644.3. Surveillance des digues pendant la crise..................................................................654.4. Organisation des syndicats de rivière, compétence GEMAPI et futurs EPAGE et
EPTB...............................................................................................................................664.5. Gestion dynamique des cours d'eau.........................................................................68rNar5MécgMosntoiMsrctrdcti drYrènrMidgnècaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaL95.1. Dommages estimés et déclarations "CatNat"...........................................................715.2. Rendre plus pertinente l'intervention des assurances...............................................725.3. Mieux orchestrer la multiplicité des aides publiques.................................................74rEarfde>cMtoiMrctrmènMo-olntoiMrsmntonècaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaxN6.1. Documents stratégiques à l'échelle des bassins ou des territoires à risque important
d'inondation (TRI)............................................................................................................856.2. PPRI et inondation constatée...................................................................................866.3. Principaux enjeux relevés.........................................................................................90Inondations de mai et juin 2016 dans les bassins moyens de la Seine et de la
LoirePage 1/210
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ues ge Par note en date du 27 juin 2016, la ministre de l'environnement, de l'énergie et de la mer, et le ministre de l'intérieur ont demandé au Conseil général de l'environnement et du développement durable (CGEDD) et à l'Inspection générale de l'administration (IGA) de mener une mission de retour d'expérience concernant la gestion interministérielle des inondations dues aux crues d'affluents des bassins moyens de la Seine et de la Loire qui se sont déroulées, pour l'essentiel, du 25 mai au 6 juin 2016. Ces inondations ont touché une quinzaine de départements et, plus particulièrement, l'Essonne, le Loir-et-Cher, le Loiret et la Seine-et-Marne ainsi que Paris, les Yvelines, le Cher, et l'Yonne, pour des montants de dégâts dépassant 1 milliard d'euros, qui en font le deuxième événement le plus coûteux (le premier est la tempête Xynthia) enregistré depuis la création du régime des catastrophes naturelles. La mission, à partir de ses constats et des entretiens qu'elle a pu conduire, fait principalement les propositions suivantes : LAméliorer et sécuriser le système de prévision hydrologique, et clarifier les productions des services en les fondant, d'une part, sur les bulletins de prévision et, d'autre part, sur un s7st2gc r sogmèo-oeP r gnos r ligmèete r Y è-cMscgqècré rtcddotiodcPrécr>o0oènMlcr/roMiMéntoiMrB. Elle insiste pour que Météo-France se mobilise pour fournir aux services hydrologiques des prévisions de pluies que ceux-ci puissent exploiter et que l'opérateur ne diffuse plus des alertes ou des vigilances qui introduisent de la confusion. LDévelopper de nouveaux modes d'organisation des centres opérationnels départementaux (COD), plus ouverts et plus transversaux, permettant un partage d'information plus fluide entre acteurs concernés par un même enjeu. La mission rappelle toute l'importance d'échanges verbaux, aux niveaux adaptés, pour, dès le début de la crise, faire partager l'appréciation de son ampleur. LAméliorer la qualité des plans communaux de sauvegarde et les développer, et prévoir le renouvellement régulier d'exercices : l'exercice Sequana, bien que traitant d'un tout autre type de crue, a considérablement aidé les acteurs qui y avaient participé, à réagir rapidement et efficacement. LEngager, à l'initiative de Voies navigables de France (VNF) les discussions nécessaires pour sécuriser son réseau ; améliorer la formation et l'organisation de la surveillance des digues domaniales et, pour les collectivités, s'organiser en syndicats de taille adaptée pour la compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI), notamment pour le canal d'Orléans, pour le bassin du Loing et pour le bassin Orge-Yvette. LCompléter les approches existantes de prévention des risques par la cartographie réglementaire (plans de prévention des risques - PPR) par des prescriptions d'ordre plus général, sous la forme de documents techniques unifiés (DTU) susceptibles d'être mieux pris en compte par les constructeurs, ainsi que par les assureurs dans le cadre des remises en état après sinistre. LPour faire face à des événements de plus grande ampleur, accroître les efforts de sécurisation des réseaux de distribution électrique, préparer des mécanismes de gestion de crise en situation dégradée et former des agents qui puissent venir seconder les spécialistes en cas de crise de longue durée. Le présent résumé rappelle les principaux points développés dans ce rapport. Inondations de mai et juin 2016 dans les bassins moyens de la Seine et de la LoirePage 3/210 9rJ hS6V8p8ryrOcsrld csrogmidtnMtcsr< oriMtrliMlcdMerècsrn--è cMts
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Les rivières concernées par des crues très importantes sont la Sauldre, le Cosson, le Cens, le Beuvron et de nombreux petits cours d'eaux de Sologne, les cours d'eau, temporaires ou non, de Beauce et de la forêt d'Orléans, le Loing, l'Essonne, l'Orge, l'Yvette et l'Yerres. La rapidité de la montée des eaux de ces rivières n'a rien d'anormal pour des précipitations de cette ampleur inhabituelle. Les rivières intermittentes comme la Retrève drainant les secteurs karstiques des calcaires de Beauce posent des difficultés particulières, les cumuls de précipitations susceptibles de créer des crues majeures devant être alors calculés sur de très longues périodes, pouvant atteindre plusieurs mois. Les crues du cours moyen de la Seine et de la Loire, de l'ordre d'une fréquence décennale, ne sont dues qu'à l'apport de ces affluents, et non à des crues formées en amont. Cela explique pourquoi les délais de formation de ces crues ont semblé assez courts. La culture collective, formée autour de la crue de 1910, phénomène qui a été d'une toute autre nature que le présent événement, a induit chez les gestionnaires de la crise un sentiment erroné que cette crue était anormalement rapide. Il n'y avait guère de doute possible, dès le début de l'événement, et en l'absence de crue formée
à l'amont, que celui-ci ne prendrait pas une grande ampleur sur la Seine. Divers éléments expliquent que les pouvoirs publics et les médias aient un peu surinterprété cet événement, sans que cela ait eu de conséquence fâcheuse. b r j r fu%45V5S6 r OCV r hu.CV r C8 r OCV r 56S6Op85S6Vry r ngeèoidcd r ct sel doscd r èc r s7st2gc r éc r mde>osoiM r écs r oMiMéntoiMs r ct r sogmèo-ocd r ècs
gcssn0csrmndr Mrs7st2gcr Mo-oerécr>o0oènMlcr/roMiMéntoiMrB Le système de prévision implique, pour partie, Météo-France, en ce qui concerne les pluies, mais essentiellement le service central d'hydrométéorologie et d'appui à la prévision des inondations (SCHAPI) et les services de prévision des crues (SPC), chargés de prévoir les débits et les niveaux des rivières, ainsi que l'étendue des zones
inondées. Il a pu remplir sa fonction, malgré de nombreuses difficultés concernant les réseaux d'observation et dans certains cas les modèles hydrologiques. La mission fait des propositions pour, d'une part, sécuriser et compléter les réseaux de mesure et les outils à disposition des prévisionnistes, d'autre part, clarifier les rôles des uns et des autres et améliorer et simplifier la formulation des avertissements diffusés. Il s'agit : Ld'appuyer la mde>osoiM hydrologique sur un système plus sûr de collecte de données (dans ce domaine, la mission reprend à son compte les propositions des SPC) et d'une révision des modèles pour tenir compte des connaissances nouvelles apportées par ces crues, et d'orienter les efforts de Météo-France pour fournir au SCHAPI et aux SPC des données de prévision de pluies exploitables par ceux-ci ; Lde substituer progressivement à l'ensemble existant, hétérogène et mal compris,un système simplifié, en charge du seul système SCHAPI et SPC, de vigilance
" inondation » et d'éviter que Météo-France vienne perturber la lisibilité de ces messages par ses propres alertes " pluies-inondations » ou " inondations ». La mission propose quelques lignes directrices pour cette refonte, qui méritera de la part des services concernés des études plus approfondies et la mise en place de dispositions transitoires. Inondations de mai et juin 2016 dans les bassins moyens de la Seine et de la LoirePage 4/210 VsoDDdénaignrvmvriucgnavDorciMiucod9néupuaocépunTC>OPnaignaéri cépugnavDorciMiucolig aig n cirrécpérig n T>>/Pf n i9Dlpécouc n upcoMMiuc n aig n orcig n ai n àpuig n aséupuaocépug
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montre qu'il faut encore approfondir la réflexion sur l'implantation des établissementsles plus sensibles. La réflexion peut certainement être généralisée à tous les
établissements abritant des personnes qui ne peuvent pas se déplacer de façon autonome, qu'il s'agisse comme ici de détenus, ou qu'il s'agisse de malades, de personnes âgées ou handicapés. La reconversion de la friche Matra à Romorantin avait fait l'objet d'un projet prenant en compte la possibilité pour la Sauldre d'emprunter un lit d'écoulement temporaire à travers un quartier résidentiel neuf. Cet exemple a montré à quel point une conception de l'urbanisme adaptée pouvait améliorer très sensiblement la résilience au risque de débordement. Malheureusement, les reconstructions et rénovations de bâtiments inondés, notamment des commerces de centre-ville, ont été réalisées à l'identique pour laplupart. L'occasion d'améliorer l'existant en tirant les leçons de l'événement n'a pas été
saisie. La mission considère que la mise en place d'un document technique unifié (DTU) venant compléter les DTU existants sur la protection des constructions contre les eaux, permettrait de généraliser des prescriptions simples, plus faciles d'appropriation par les constructeurs que les prescriptions des zonages des PPRI, qui sont très adaptées au contexte, mais sont complexes à mettre en oeuvre. LrJ C6VC5'6CÀC68V r fS.u r OCV r %4%6CÀC68V r OC r f3.V r 'up6OC pÀf3C.uryrs-id0nMoscdrmi drgoc Tr-nodcr-nlcrn rdos< crécrld csrgnGc dcs0eMednèosecs r liggc r lcèècs r é r goèoc r é r A5A
cr so2lèc r ct r nlldi"tdc r èn desoèocMlcré rs7st2gcrécréostdoq toiMreècltdo< crcMr5ècJécJ»dnMlcra Plusieurs départements touchés simultanément (une vingtaine sur toute la France, dont une dizaine dans le périmètre de la présente mission et six plus particulièrement), des inquiétudes et une mobilisation médiatique sur une crue de la Seine à Paris, plus d'un milliard d'euros de dommages, font de cet événement la principale référence récente pour des crues généralisées sur une partie significative du territoire. Néanmoins, l'absence de crue formée antérieurement sur l'amont des bassins a conduit à ce que ces crues importantes sur de nombreuses rivières n'aient pas d'effet significatif sur les très grandes agglomérations et notamment dans les vallées très urbanisées de la Seine et de la Loire. La durée globale de la crise n'a été que de quelques jours. Cette circonstance favorable a évité que cet épisode soit d'une ampleur majeure au plan national. Inondations de mai et juin 2016 dans les bassins moyens de la Seine et de la LoirePage 7/210Von ér dlocépunrpdcéLrinicnmirrptéoérinusonvcvncpd jvinedinDpu cdilliMiucfnlign pdDdrig
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en oeuvre de certaines de ces drecommandations sont présendtées dans un deuxième tabldeau.Page
DGPR : sécuriser le fonctionnement des réseaux hydrométriques ; compléter, à la marge, les
réseaux existants. dFiabiliser et améliorer les méthodes de prévision des crudes en développant notamment l'usage des modèles pluies-débits det intégrer progressivement des prévisions de pluiesd. 25 DGPR : faire évoluer le didspositif de vigilance " crue » vers une vigilance " inondation » sous
la responsabilité du SCHAPI et en faire une ddes priorités de sa stratégie 2017-d2020. 37 'cstoiMrécrènrldosc DGSCGC : organiser un fonctionnement souple et modulaire des centres dopérationnels départementaux (COD).49 DGSCGC : inciter les préfetsd à renforcer, avec les maires, lad pertinence des plans communaux de secours.50 S >dn0csr)7édn èo< cs
VNF : procéder à une revue détaillée de dses ouvrages du point de vue de la tenue et de lda
protection contre lesd inondations à l'aune des enjeux de sécuritdé, proposer une hiérarchisation des interventions et leds financements correspondant aupdrès de l'ensemble des acteurs concernés (notamment l'État et les codllectivités locales).62 DGPR : améliorer les capacitéds de mobilisation et dla compétence pour la surveillancde des ouvrages hydrauliques.63 DGPR et DEB, avec les pdréfets coordonnateurs de bassin : saisir l'opportunitdé de la SOCLE pour encourager la constitution d'EPAGE ou d'EPTB sur des bassidns où les syndicats actuels ne permettendt pas une coordinationd suffisante de l'exerciced de la compétence GEMAPI.64
pmd2sJldosc DGSCGC, en lien avec lad direction du budget : dans l'hypothèse d'une reconduite du dispositif d'aides individuelled d'urgence aux sinistrés, affecter des montants établis sur lda
base de critères simpldes aux communes sinistrées et à dleurs CCAS, pour qu'ils lesd distribuent en cohérenced avec leurs propres dispositifs, dans des conditions d'attribution prescrites par l'Étatd.75 DGSCGC : structurer et précisder davantage, pour des événements majeurs comme leds crues de mai-juin 2016, les retours d'expérdience des préfets de département pour prendre la mesure des " aspects de la crise » et du retour à la normale.80 Inondations de mai et juin 2016 dans les bassins moyens de la Seine et de la LoirePage 9/210 >8'%8%nUnmoérinduinvtoldocépun pMDlLcianaignaégDpgécémgnméuou éirgnDpdrnlignDvrépaignain régai
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DGPR : organiser un programme de recherche pour exploiter les informations hydrologiques collectées à l'occasion de la crue. Organiser un séminaire spécialisé au dernier trimestre de 2017
pour permettre une première capitalisation de ces travaux.22 SCHAPI et SPC, avec l'appui d'IRSTEA : approfondir les calages, voire la structure des modèles pluie-débit utilisés tant pour les bassins amont que pour les apports intermédiaires, au vu des
enseignements de cet épisode. Tester en parallèle l'apport de modèles distribués, en veillant à en
éviter la surparamétrisation.25
SCHAPI et SPC : développer des procédures multimodèles pour aider les prévisionnistes à faire
face à la multiplicité des situations de modes dégradés de fonctionnement de la collecte et des
modèles auxquels ils sont inéluctablement confrontés dans des épisodes de crues. 25
DGPR : négocier, au meilleur niveau, les conditions pour coordonner avec Vigicrues certains systèmes de collecte d'information et de prévision développés par des syndicats de rivières
(EPAGE ou EPTB demain) ayant fait leurs preuves. Rendre par convention les préfets, les SPC et les DDT destinataires des alertes des cours d'eaux gérés par des collectivités locales.26
DGPR : développer en interne, auprès de la hiérarchie et des cadres de permanence, la culture
des aléas et incertitudes hydrologiques, et s'exercer à tirer des diagnostics simples d'une information nécessairement complexe produite par les prévisionnistes. 28
Météo-France : privilégier maintenant la précision de la prévision plutôt que la profondeur de son
échéance et construire un modèle à maille fine à l'échelle du coeur de l'Europe. 29
DGPR et Météo-France : dans le cadre du contrat d'objectif de Météo-France, intégrer un objectif
dans les prochaines années, de fournir aux services de prévision des crues des scénarios de pluies par pas de temps de trois heures spatialisés à une maille de l'ordre de 100 km² sur une
profondeur de prévision de l'ordre de deux jours dans un premier temps. Chiffrer les besoins de développement correspondants.30 Météo-France : fournir dès 2017 des prévisions de fourchettes de lames d'eau les plus probables
par pas de 10 mm en trois heures, et par pas de temps de trois heures sur une profondeur de prévision de deux jours environ complétées par une caractérisation des probabilités d'occurrence
de scénarios extrêmes les dépassant. 31
DGPR : orienter la vigilance " inondation » vers une qualification des aléas à venir à court terme
pour qu'elle puisse couvrir l'ensemble du territoire. Ne pas étendre pour autant le réseau surveillé, sauf à la marge. Mobiliser les outils hydrologiques permettant de qualifier les aléas à
venir à partir des pluies et de l'état du bassin sur les bassins amont et en veillant à intégrer
l'ensemble des informations dans un système unique de diffusion.37 DGPR : poursuivre par ailleurs le développement des outils pour caractériser l'ampleur des impacts des inondations possibles. Compléter les diffusions des vigilances " inondations » par ces informations sur les risques d'atteinte aux personnes, aux biens et aux activités, indispensables notamment pour les autorités concernées par les décisions de sécurité civile, aux
niveaux national, zonal et départemental. 37
pltoiMsrliMli dnMtrYrè-ngeèoidntoiMrécrènr0cstoiMrécrldosc DGCSGC : rappeler la distinction entre l'activation du centre opérationnel départemental (COD) et la prise de responsabilité par le préfet du rôle de directeur des opérations de secours (DOS).
Rappeler que lorsque le préfet prend cette responsabilité de DOS, les maires ne sont pas dessaisis et qu'ils continuent de contribuer activement à la gestion de la crise.44 DGSCGC, en lien avec la DGPR : s'agissant d'événements dont la fréquence est rare, inciter les
préfets à renforcer leurs dispositifs d'alerte et d'information des maires, en intégrant le besoin de
contacts téléphoniques et de dialogue permettant une compréhension partagée des enjeux des
alertes diffusées . 46
DSGCGC : développer les moyens des préfectures pour organiser des salles virtuelles de gestion de crise de périmètres adaptés à des territoires ou des événements rendant nécessaire
49
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en oeuvre de certaines de ces drecommandations sont présendtées dans un deuxième tabldeau.Page
DGPR : sécuriser le fonctionnement des réseaux hydrométriques ; compléter, à la marge, les
réseaux existants. dFiabiliser et améliorer les méthodes de prévision des crudes en développant notamment l'usage des modèles pluies-débits det intégrer progressivement des prévisions de pluiesd. 25DGPR : faire évoluer le didspositif de vigilance " crue » vers une vigilance " inondation » sous
la responsabilité du SCHAPI et en faire une ddes priorités de sa stratégie 2017-d2020. 37 'cstoiMrécrènrldosc DGSCGC : organiser un fonctionnement souple et modulaire des centres dopérationnels départementaux (COD).49 DGSCGC : inciter les préfetsd à renforcer, avec les maires, lad pertinence des plans communaux de secours.50S >dn0csr)7édn èo< cs
VNF : procéder à une revue détaillée de dses ouvrages du point de vue de la tenue et de lda
protection contre lesd inondations à l'aune des enjeux de sécuritdé, proposer une hiérarchisation des interventions et leds financements correspondant aupdrès de l'ensemble des acteurs concernés (notamment l'État et les codllectivités locales).62 DGPR : améliorer les capacitéds de mobilisation et dla compétence pour la surveillancde des ouvrages hydrauliques.63 DGPR et DEB, avec les pdréfets coordonnateurs de bassin : saisir l'opportunitdé de la SOCLE pour encourager la constitution d'EPAGE ou d'EPTB sur des bassidns où les syndicats actuels ne permettendt pas une coordinationd suffisante de l'exerciced de la compétenceGEMAPI.64
pmd2sJldosc DGSCGC, en lien avec lad direction du budget : dans l'hypothèse d'une reconduite dudispositif d'aides individuelled d'urgence aux sinistrés, affecter des montants établis sur lda
base de critères simpldes aux communes sinistrées et à dleurs CCAS, pour qu'ils lesd distribuent en cohérenced avec leurs propres dispositifs, dans des conditions d'attribution prescrites par l'Étatd.75 DGSCGC : structurer et précisder davantage, pour des événements majeurs comme leds crues de mai-juin 2016, les retours d'expérdience des préfets de département pour prendre la mesure des " aspects de la crise » et du retour à la normale.80 Inondations de mai et juin 2016 dans les bassins moyens de la Seine et de la LoirePage 9/210>8'%8%nUnmoérinduinvtoldocépun pMDlLcianaignaégDpgécémgnméuou éirgnDpdrnlignDvrépaignain régai
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DGPR : organiser un programme de recherche pour exploiter les informations hydrologiquescollectées à l'occasion de la crue. Organiser un séminaire spécialisé au dernier trimestre de 2017
pour permettre une première capitalisation de ces travaux.22 SCHAPI et SPC, avec l'appui d'IRSTEA : approfondir les calages, voire la structure des modèlespluie-débit utilisés tant pour les bassins amont que pour les apports intermédiaires, au vu des
enseignements de cet épisode. Tester en parallèle l'apport de modèles distribués, en veillant à en
éviter la surparamétrisation.25
SCHAPI et SPC : développer des procédures multimodèles pour aider les prévisionnistes à faire
face à la multiplicité des situations de modes dégradés de fonctionnement de la collecte et des
modèles auxquels ils sont inéluctablement confrontés dans des épisodes de crues. 25DGPR : négocier, au meilleur niveau, les conditions pour coordonner avec Vigicrues certains
systèmes de collecte d'information et de prévision développés par des syndicats de rivières
(EPAGE ou EPTB demain) ayant fait leurs preuves. Rendre par convention les préfets, les SPCet les DDT destinataires des alertes des cours d'eaux gérés par des collectivités locales.26
DGPR : développer en interne, auprès de la hiérarchie et des cadres de permanence, la culture
des aléas et incertitudes hydrologiques, et s'exercer à tirer des diagnostics simples d'une information nécessairement complexe produite par les prévisionnistes. 28Météo-France : privilégier maintenant la précision de la prévision plutôt que la profondeur de son
échéance et construire un modèle à maille fine à l'échelle du coeur de l'Europe. 29DGPR et Météo-France : dans le cadre du contrat d'objectif de Météo-France, intégrer un objectif
dans les prochaines années, de fournir aux services de prévision des crues des scénarios depluies par pas de temps de trois heures spatialisés à une maille de l'ordre de 100 km² sur une
profondeur de prévision de l'ordre de deux jours dans un premier temps. Chiffrer les besoins de développement correspondants.30Météo-France : fournir dès 2017 des prévisions de fourchettes de lames d'eau les plus probables
par pas de 10 mm en trois heures, et par pas de temps de trois heures sur une profondeur deprévision de deux jours environ complétées par une caractérisation des probabilités d'occurrence
de scénarios extrêmes les dépassant. 31DGPR : orienter la vigilance " inondation » vers une qualification des aléas à venir à court terme
pour qu'elle puisse couvrir l'ensemble du territoire. Ne pas étendre pour autant le réseausurveillé, sauf à la marge. Mobiliser les outils hydrologiques permettant de qualifier les aléas à
venir à partir des pluies et de l'état du bassin sur les bassins amont et en veillant à intégrer
l'ensemble des informations dans un système unique de diffusion.37 DGPR : poursuivre par ailleurs le développement des outils pour caractériser l'ampleur des impacts des inondations possibles. Compléter les diffusions des vigilances " inondations » par ces informations sur les risques d'atteinte aux personnes, aux biens et aux activités,indispensables notamment pour les autorités concernées par les décisions de sécurité civile, aux
niveaux national, zonal et départemental. 37pltoiMsrliMli dnMtrYrè-ngeèoidntoiMrécrènr0cstoiMrécrldosc DGCSGC : rappeler la distinction entre l'activation du centre opérationnel départemental (COD)
et la prise de responsabilité par le préfet du rôle de directeur des opérations de secours (DOS).
Rappeler que lorsque le préfet prend cette responsabilité de DOS, les maires ne sont pas dessaisis et qu'ils continuent de contribuer activement à la gestion de la crise.44DGSCGC, en lien avec la DGPR : s'agissant d'événements dont la fréquence est rare, inciter les
préfets à renforcer leurs dispositifs d'alerte et d'information des maires, en intégrant le besoin de
contacts téléphoniques et de dialogue permettant une compréhension partagée des enjeux des
alertes diffusées . 46DSGCGC : développer les moyens des préfectures pour organiser des salles virtuelles de
gestion de crise de périmètres adaptés à des territoires ou des événements rendant nécessaire
49Inondations de mai et juin 2016 dans les bassins moyens de la Seine et de la LoirePage 11/210
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