Prévention et dépistage du diabète de type 2 et des maladies liées
Le référentiel de pratiques de l'examen périodique de santé. Traitements du diabète : stratégie éducation thérapeutique
Leçons tirées du deuxième cyclede lexamen périodique universel
nous leur expérience de l'examen périodique universel dans le cadre du présent Rapports des Nations Unies et des parties prenantes sur la santé et les ...
Dépistage et prévention du cancer du sein
Actualisation du référentiel de pratiques de l'examen périodique de santé Stratégie diagnostique du cancer du sein : examen clinique mammographie
Dépistage et prévention du cancer du col de lutérus
Le référentiel de pratiques de l'examen périodique de santé (EPS). Annexes. Aide-mémoire. Littérature source et conditions d'exploitation.
Détection précoce du cancer de la prostate
de l'examen périodique de santé (EPS). Mai 2013. État des connaissances sur le cancer de la prostate. Prévention secondaire : le diagnostic précoce du
MISSIONS DES CENTRES DEXAMENS DE SANTÉ EN MATIÈRE
115 centres d'examens de santé de l'assurance maladie. ? 500 000 bilans réalisés par an lors de l'examen périodique de santé les centres.
Dépistage et prévention du cancer colorectal
Le référentiel de pratiques de l'examen périodique de santé (EPS). Efficacité du dépistage sur la prévention secondaire du cancer colorectal.
Faites le point aujourdhui pour votre santé de demain
L'examen périodique de santé est gratuit. Nom. Prénom. Nom de jeune fille La CPAM de Bayonne et le Centre d'Examens de Santé me proposent.
Le Centre dExamens de Santé
Antenne de Quimper. Le Centre d'Examens de Santé. Antenne de Lanester. Renseignez-vous auprès du Une seule étape l'examen périodique de santé.
Leçons tirées du premier cycle de lexamen périodique universel
CHAPITRE 1 : L'EXAMEN PÉRIODIQUE UNIVERSEL ET LA SANTÉ ET LES DROITS. EN MATIÈRE DE SEXUALITÉ ET DE REPRODUCTION .
DES ENGAGEMENTS À L'ACTION
Leçons tirées du
deuxième cycle de l'examen périodique universelstate of world population 2013 wrl soe we dpt uisnsor raunluospt lwuisnsor nhqgqt,pj,FqNUjPgNPj,w,.,ijPUfFj,OE'Ž'''''''
"OE''''ŽOEOE''"''' "''''"OE'''""' ''"'š'''OEŽ ''''OE'"' - 'OE-''''''oe'
Résumé ........................................................................g.............................................................3
Analyse du premier cycle de lyexamen périodique universel .....................................................11
Portée et méthodologie du rapport ........................................................................g..................12
'''OE -''oe '˜''OE l drxoy l jm l md5e72m l Y0Yjm l m l j1m5x2mo l vbreq e3dm l doenmrJmjlFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF,9 Questions relatives à la santé et aux droits en matière de sexualité et de reproductionles plus et les moins considérées dans les recommandations .....................................................16
Questions clés relatives à la santé et aux droits en matière de sexualité et de reproduction .......19
Types de recommandations ........................................................................g.............................19
Rapports des États sur la sant
et les droits en mati re de sexualit et de reproduction .............21 Rapports des Nations Unies et des parties prenantes sur la santé et les droits en matière desexualité et de reproduction ........................................................................g.............................22
Analyse régionale
: questions prioritaires du deuxième cycle ....................................................25 '''OE l my l xd5 l rqeyJ l mo l2xye7rm
l m lJm5dxjeyb
l my l m l rmvrq dYyeqolFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF(éRemarques à lyintention des
tats examinés .......................................................................37Remarques à lyintention des
tats examinateurs .................................................................38 Remarques à lyintention du système des Nations Unies, de la société civile, des institutions nationales de protection et de promotion des droits delyhomme, des parlementaires et dyautres acteurs .................................................................38
Remarques à lyintention de lyensemble des parties prenantes ..............................................38
lwuisnsor "jMMjt miHqPGIOftIgfqO,pj,VI,tqFf-g-,FfUfVj eÈTMNgfVIgfqO,G-OfgIVj,"-MfOfOj mccqbvjFgf"t,pj,p-UjVqAAjMjOg,pNPIbVj ll gIg,jxIMfO- lnujxIMjO,A-PfqpfCNj,NOfUjPtjVLe présent rapport fait suite au rapport
tirées du premier cycle de lyexamen périodique universel. Sant et droits en matière de sexualit et de reproduction : des engagements à lyaction lyUNFPA en 2014, dyoù il ressortait que plus dyun quart des recommandations et des engagements pris volontairement se rapportait à la SDSR Ce rapport fait le bilan des réussites, des défis et des possibilités ayant marqué le deuxième cycle de lyEPU, et examine la façon dont ces enseignements peuvent orienter et soutenir les tats, le système des Nations Unies, la société civile et les autres parties prenantes en vue du troisième cycle Alors que les objectifs de développement durable (ODD) tiennent le haut du pavé sur la scène nationale et internationale, lyEPU peut syavérer un guide précieux pour les pays et inciter ces derniers à se montrer plus responsablesIl permet
non seulement dyaccélérer la mise en 7uvre desODD, en mettant en évidence les enjeux et les
groupes stratégiques devant faire lyobjet dyune intervention prioritaire de la part des tats, mais également dyévaluer leur avancement, en attirant lyattention sur les progrès accomplis et les efforts restantsPar ailleurs, les ODD ne couvrant que
partiellement les composantes de la SDSR, lyEPU peut contribuer à maintenir lyattention et la responsabilité des dirigeants politiques à lyégard de lyensemble des dimensions de la SDSR de sexualité et de reproduction durant le deuxième cycle de l"examen périodique unigversel cours du deuxième cycle, soit plus dyun quart du total des recommandations, concernent la SDSRùq2)rm
l mlrmYq22xo xyeqoJlmyl1moèxèm2moyJ
lvreJlnqjqoyxerm2moy CYCLE 1 CYCLE 2 rmYq22xo xyeqoJ l - ˜˜36 331 rmYq22xo xyeqoJ l rmjxyenmJ làljxlCVCL ™™-10 364 rmYq22xo xyeqoJ lyqyxjmJl rmjxye4 làljxlCVCLl%zX -oe29 vreJ lnqjqoyxerm2moyl rmjxye4J làljxlCVCLl -'46PjAPqpNFgfqO
MjO-,AIP,Vjt, gIgtè,CNf,I,AqNP,qbvjg,pLjxIMfOjP,gqNt,Vjt,CNIgPj,IOt,jg,pjMf, gIgt,MjMbPjt,pj, yMj,FDFVj,27957É7953è,
VLlnu,I,FqOgfON-,pj,"IFfVfgjP,Vj,pfIVqGNj,jOgPj,Vjt, gIgt,MjMbPjt,tNP,Vjt, jg,pjt VjParmi celles-ci, 76
% ont été acceptées par les tatsCet engagement constant et croissant des
tats membres en faveur de la SDSR conforte lyEPU dans son rôle primordial de maintien et de renforcement de la responsabilité dans ce domaineUne fois encore, les
tats examinateurs accordent bien plus dyattention à certaines questions de SDSR quyà dyautres : lyégalité des sexes et la violence à lyégard des femmes font lyobjet de plus de 4000 recommandations
au total, contre seulement 23, 35 et 48 recommandations pour lyéducation sexuelle, les grossesse précoces et la contraceptionLe simple
fait dyôter lyégalité des sexes et la violence sexiste de lyanalyse comparative des recommandations portant sur la SDSR fait aussitôt baisser considérablement le pourcentage global de recommandations dans ce domaine : environ un dixième seulement du total des recommandations concernent des questions de SDSR autres que lyégalité des sexes et la violence sexisteCes autres questions étant également des
composantes essentielles de la SDSR, lyéquilibre doit être rétabli afin que lyensemble des thématiques soient correctement prises en compteAu cours du deuxième cycle, les Nations Unies
et les acteurs de la société civile ont publié des rapports sur la quasi-totalité des questions de SDSR, dans lesquels ils faisaient généralement un bilan de la situation des droits de lyhomme dans le pays, évaluaient la mise en 7uvre des recommandations acceptées, et en formulaient dyautres visant à améliorer la situation en matière de SDSRCes rapports, qui, outre lyéventail
des questions de SDSR, analysaient souvent des aspects connexes omis par les tats dans leurs rapports nationaux, ont permis de combler des lacunes importantes à maintes reprisesIls ont
fait ressortir la propension des acteurs non- étatiques à fragmenter les informations relativesà la mise en 7uvre des recommandations en
matière de SDSR, et à aborder de multiples questions de manière superficielle sans en approfondir aucuneIl est donc primordial
que les Nations Unies et les parties prenantes, en tant quyévaluateurs indépendants de la mise en 7uvre des recommandations, améliorent la régularité et la précision de leurs rapports du premier cycle relatives à la santé et aux droits en matière de sexualité et de reproduction encourageantEnviron 90
% des tats ont donné suite à au moins la moitié des recommandations acceptées portant sur la SDSR, et 63 % des tats ont donné suite à au moins trois quarts des recommendations acceptéesLyEPU contribue
grandement à lyaccélération des interventions et de la responsabilité en matière de SDSR, aux fins notamment de la réalisation des ODD, comme en témoignent ces chiffres, et les mesures nationales données en exemple dans ce rapportOn constate également quyen tant que
plateforme collégiale, lyEPU a sensiblement renforcé la collaboration entre les acteurs de la société civile à lyéchelle nationale : ces derniers ont fait montre dyune plus grande concertation et coopération dans leurs efforts de plaidoyer collectif autour des grandes questions soulevées durant lyEPU "eJm lmoldnrml mJlrmYq22xo xyeqoJlxYYmvybmJlrmjxyenmJlàljxlCVCL relatives à la SDSR que les États ont entrepris de mettre en uvrePourcentage (et nombre) de pays
ayant pris des mesuresž€oe¢
£0è,),2%3
7É(9
,)è7,),2573 (5É%( ,)7%,),2(53 %É599 ,)0,),25753 recommandations relatives à la SDSR 90des États
Donnent suite à au
moins la moitié desg recommandations acceptéesDonnent suite
à au moins
trois quarts des recommandations acceptées 63des États des États examinés
Dialoguer en permanence avec les diverses
parties prenantes nationales, notamment la société civile, les groupes marginalisés et les institutions nationales de défense des droits de lyhomme (INDH), et demander l'appui technique de lyUNFPA et dyautres partenaires des Nations Unies, afin dyélargir le champ des questions deSDSR examinées dans le cadre de lyEPU
1Mener un dialogue national inclusif,
participatif et, si possible, fondé sur les recommandations dyautres mécanismes de défense des droits de lyhomme, afin de mettre efficacement en 7uvre les recommandations reçues 1Communiquer des informations pour
chacune des recommandations reçues, afin de donner une vue dyensemble de la mise en 7uvre Les tats peuvent solliciter lyappui technique de lyUNFPA, et impliquer un large éventail de parties prenantes dans le contrôle et le suivi de la mise en 7uvre 1Les États sont fortement encouragés à
communiquer des informations, portant non seulement sur la mise en 7uvre des recommandations formulées lors des précédentsEPU, mais également sur les nouvelles
problématiques liées aux droits de lyhommeAfin de pallier le manque de place, le détail
des opérations de mise en 7uvre peut être annexé au rapport national ou faire lyobjet de rapports volontaires à mi-parcours 1 Les États, qui sont nombreux à syinvestir en faveur de lyamélioration de la SDSR sur leur territoire, peuvent afficher leurs volontés et leurs priorités pour le cycle suivant en prenant volontairement des engagements au cours de la procédure dyexamenÉtats examinateurs
Traiter les différents aspects de la SDSR dans les recommandations, afin dyaméliorer les résultats et de souligner la dimension globale de lyEPU 1Formuler des recommandations ciblées et
mesurables, le cas échéant, afin dyinciter ly tat à se montrer responsable 1Reprendre les nombreuses données
provenant du système des Nations Unies, des INDH et des OSC dans les questions et les recommandations formulées 1Assurer le suivi des recommandations
émises lors des précédents cycles et
participer à la mise en 7uvre à lyéchelle nationale, grâce à la coopération internationale, Sud-Sud et triangulaireNations Unies, de lga société civile, dges
institutions nationagles de protection et de promotion des droits de l"homme, des parlementaires et d"autres acteursOrienter, soutenir et conseiller les États et
la société civile au cours de la préparation des informations qui sous-tendent lyEPU, afin de garantir la qualité et la pertinence de leurs rapports 1 Assurer le suivi systématique de la mise en 7uvre des résultats de lyEPU, et communiquer des données ciblées et détaillées en vue des futuresévaluations de la mise en 7uvre par les
tats 1Accompagner les groupes marginalisés dont les
droits en matière de santé sexuelle et reproductive sont le plus souvent insatisfaits, notamment les adolescentes et les personnes LGBTI en les impliquant dans la procédure de lyEPU, afin que les politiques et les programmes ayant une incidence sur leur vie soient des vecteurs dyamélioration de leurs droits et de leur situation l"ensemble des parties prenantesAccroître le nombre de rapports, de
recommandations et de projets de mise en7uvre ayant trait aux questions de SDSR
jusquyalors moins prises en compte dans lyEPU, par exemple la contraception et la planification familiale, lyavortement sans risques, la SDSR des adolescents, le travail du sexe et lyéducation sexuelle ltzfOpjP,cjbjbj j1m5x2mo lvbreq e3dmldoenmrJmjtldol2bYxoeJ2ml mlJdenel mljxlJeydxyeqol mJl rqeyJ l mlj1sq22mldoe3dmlmolJqolèmormFlTmJl-yxyJl2m2)rmJlm5x2eomoytlyqdJl jmJ l3dxyrmlxoJlmyl m2etljxlJeydxyeqol mJl rqeyJl mlj1sq22ml mlYsxYdol mJl ,w( l- yxyJ l2m2)rmJl mlj1SrèxoeJxyeqol mJlùxyeqoJlAoemJFlMmlvrqYmJJdJl4xnqreJml jm l exjqèdmlmoyrmljmJl-yxyJl2m2)rmJlJdrljmJl3dmJyeqoJlmJJmoyemjjmJlrmjxyenmJlxd5l rqeyJ l mlj1sq22mtlmylrmo4qrYmljxlYqjjx)qrxyeqol2djyeJmYyqremjjmlmoyrmljmJl-yxyJll my ljmJlxYymdrJloqolbyxye3dmJlneJxoylàlvrq2qdnqerlYmJl rqeyJl xoJljmJlvx0JFlMïuIÉiLE
l LyEPU syeffectue en toute transparence, cyest-à-dire que la totalité des informations transmises par les tats, ainsi que la procédure dyexamen, sont rendues publiquesLyEPU facilite la participation
dyautres parties prenantes : le système des Nations Unies, les INDH et les acteurs de la société civile ont ainsi la possibilité de communiquer des informations sur un large éventail de questions liées aux droits de lyhomme, lesquelles sont ensuite analysées au cours de lyexamen LyEPU a incité les États à renouveler leurs actions, en vue de faire appliquer tout le spectre des droits de lyhomme et de renforcer les dispositifs de suivi de lyeffectivité de ces droitsSon rôle
dnu lm poéeoi jéuséqFeN,irneéremul rseéieù,r Uuéeméeséto,q rneéreméeuédulmocr liePeméseéiw,wéùéirse.eqg,cr li,
uéTnoè,795k4 de ly tat vis-à-vis du respect des droits de lyhomme est donc avéréLyEPU exerce également
un poids politique : son dispositif dyexamen par les pairs en fait un outil précieux pour attirer lyattention sur les questions liées aux droits dequotesdbs_dbs42.pdfusesText_42[PDF] Formation en courtage immobilier, commercial et hypothécaire
[PDF] Licences professionnelles
[PDF] Conseils pédagogiques pour l activité patinage sur glace
[PDF] Des outils innovants au service du
[PDF] CATALOGUE 2012 ECOLE NATIONALE DU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER. www.enfi.fr. Stages de formation. E-learning. Séminaires pour décideurs
[PDF] de la Vision et de la Stratégie pour la réforme budgétaire par le Professeur Daniel MUKOKO SAMBA Vice-Premier Ministre et Ministre du budget filetype:
[PDF] IMMOBILIER. ACHETEUR VENDEUR : qui paye quoi?
[PDF] 1ère ETUDE NATIONALE DE COÛTS du dispositif Accueil, Hébergement, Insertion
[PDF] L approche du cadre logique
[PDF] LIVRET DE FORMATION EN MILIEU PROFESSIONNEL
[PDF] Convention de gestion et de réussite éducative/rapport annuel de l établissement
[PDF] DEFINITION D UNE POLITIQUE HABITAT
[PDF] Cahier d inscription Courtage immobilier résidentiel (EEC.1Y) Possibilité d inscription jusqu au 1 er mars 2014
[PDF] MARCHAND DE BIENS I. DEFINITION 02/08/2011