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Zéros de fonctions

Le principe de dichotomie repose sur la version suivante du théorème des valeurs voici le nombre d'itérations suffisantes pour avoir une précision.



1 Convergence 2 Critère darrêt

où nmax est le nombre d'itérations maximal que l'on se fixe. Pour trouver un zéro de f la méthode de dichotomie consiste à calculer le point milieu m ...



Résolution déquations non linéaires 1. Méthode de dichotomie

Les deux derni`eres sont numériques car on ne peut effectuer qu'un nombre fini d'itérations pour le calcul. La continuité des fonctions considérées permet de 



Analyse Numérique

efficacité des calculs (ex : nombre de fonctions à calculer à chaque itération). 2.2.4.1 Méthode de dichotomie. Avantages : la convergence est assurée.



Réponses aux exercices du chapitre 2

c) Déterminer combien d'itérations de la méthode de la bissection seraient nécessaires pour calculer la racine la plus proche de 1 avec une précision de 



TP2: Résolution déquations non linéaire : Méthode de la bissection

et testons en Matlab cette méthode de dichotomie pour la résolution des Le nombre n d'itérations nécessaires pour avoir une approximation de la solution ...



Méthodes Numériques : Optimisation

l'algorithme est évidemment proportionnel à son nombre d'itérations. Figure 2.1 – La convergence linéaire de l'algorithme de dichotomie.



Untitled

Rechercher par Dichotomie la solution de f(x) = 0 dans l'intervalle ]0 1[ à 1/24 près. 3. Déterminer le nombre d'itérations nécessaires par Dichotomie pour 



1 La méthode de dichotomie 2 Lalgorithme de Newton

racine d'une fonction f donnée : la méthode de dichotomie et l'algorithme de Il peut aussi être judicieux de donner un nombre maximal d'itérations pour ...



Approximations numériques

Obtenir une précision donnée en un nombre minimal d'itérations i.e. construire des méthodes d'ordre le plus élevé possible. 3.2 Méthodes de dichotomie et 



1 Méthode de dichotomie 2 Méthode d'itération vers un point xe

Résolution numérique d'équations non linéaires TP 1 Méthode de dichotomie 1) Écrire une fonction [xvx]=dichotomie(fabtoln_max) qui applique la méthode de dichotomie pour estimer une solution de f(x) = 0 sur l'intervalle [ab] (on doit donc avoir f(a)f(b) < 0) Les paramètres donnés sont la fonction



EILCO : Analyse Numérique Chapitre 3 : Résolution Numérique

chaque itération nécessite une évaluation de f et une évaluation de f0 cette méthode est souvent appelée aussi méthode de Newton-Raphson la méthode de Newton est une méthode de point ?xe puisque xk+1 peut s’écrire sous la forme xk+1 = g(xk) avec g(x) = x f(x) f0(x): Cours d’Analyse Numérique Chapitre 3 : Résolution



Chapitre 3 Résolution numérique des équations non linéaires

Nous avons déjà vu que pour la méthode de dichotomie on a xn+1?x ? xn?x/2 L’erreur à l’itération n est dé?nie par en = xn ? x et on a en+1 ? en/2 On parle de convergence linéaire parce que l’erreur à l’itération n est une fonction linéaire de la précédente Dans le



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1 M´ethode de dichotomie On consid`ere un intervalle [ab] et une fonction f continue de [ab] dans R On suppose que f(a)f(b) < 0 et que l’´equation f(x) = 0 admet une unique solution ? sur l’intervalle [ab] La m´ethode de dichotomie consiste `a construire une suite (xn) qui converge vers ? de la mani`ere suivante : y = f(x) a

Comment calculer la dichotomie ?

On supposequef(a)f(b)

Agr´egation interneUFR MATH´EMATIQUES

R´esolution d"´equations non lin´eaires

On consid`ere une fonction r´eellefd´efinie sur un intervalle [a,b],aveca < b, et continue sur cet intervalle et on suppose quefadmet une unique racine surI=]a,b[, c"est-`a-dire qu"il existe un uniqueα?Itel quef(α) = 0.

1. M´ethode de dichotomie

On consid`ere un intervalle [a,b] et une fonctionfcontinue de [a,b] dansR.On suppose quef(a)f(b)<0 et que l"´equationf(x) = 0 admet une unique solutionαsur l"intervalle [a,b]. La m´ethode de dichotomie consiste `a construire une suite (xn) qui converge versαde la mani`ere suivante : y=f(x) a

• •b.x0x1.x2.x3.

DichotomieInitialisation : on prend pourx0le milieu de [a,b].La racine se trouve alors dans l"un des deux intervalles ]a,x0[ ou ]x0,b[ ou bien elle est ´egale `ax0.

•sif(a)f(x0)<0, alorsα?]a,x0[.On

posea1=a,b1=x0.

•sif(a)f(x0) = 0, alorsα=x0.

•sif(a)f(x0)>0, alorsα?]x0,b[.On

posea1=x0,b1=b.

On prend alors pourx1le milieu de [a1,b1].

On construit ainsi une suitex0= (a+b)/2,

x

1= (a1+b1)/2,...,xn= (an+bn)/2

Etant donn´e une pr´ecisionε, cette m´ethode permet d"approcherαen un nombre pr´evisible

d"it´erations. Les principes de construction suivants consistent `a transformer l"´equationf(x) = 0 en une ´equation ´equivalenteg(x) =x. On peut poser par exempleg(x) =x+f(x), mais on prendra plus g´en´eralementg(x) =x+u(x)f(x) o`uuest une fonction non nulle sur l"intervalle I.Il reste `a choisirupour que la suite d´efinie parx0?Iet la relation de r´ecurrence x n+1=xn+u(xn)f(xn) soit bien d´efinie et converge vers la racineαdef. G´eom´etriquement, on a remplac´e la recherche de l"intersection du graphe de la fonctionf avec l"axeOx, par la recherche de l"intersection de la droite d"´equationy=xavec la courbe d"´equationy=g(x). y=f(x) a

• •bα•

Racine def

y=g(x)y=x a

• •bα•

Point fixe deg

Pr´eparation`a l"agr´egation interne UFR maths, Universit´e de Rennes I Le choix d"une m´ethode est conditionn´e par les r´eponses aux questions suivantes :

1) la suite (xn) converge-t-elle?

2) si la suite converge, sa limite est-elleα?

3) si on veut la solution `aεpr`es, comment arrˆeter les it´erations d`es que cette condition est

remplie?

4) comme dans tout calcul, on d´esire obtenir rapidement le r´esultat approch´e, il faudra donc

estimer la mani`ere dont ´evolue l"erreure=xn-αau cours des it´erations. Les deux premi`eres questions sont purement math´ematiques. Les deux derni`eres sont num´eriques, car on ne peut effectuer qu"un nombre fini d"it´erations pour le calcul.

La continuit´e des fonctions consid´er´ees permet de r´epondre `a la question 2 : si la suite converge,

elle converge vers une racine de l"´equation; si, de plus,xn?I, pour toutn, alors par unicit´e de la racine dansI, la suite converge versα.

2. Th´eor`eme du point fixe

D´efinition 1 -On dit que l"applicationg: [a,b]→Rest strictement contractante si Proposition 2 -Soitgune application de classeC1de l"intervalle [a,b] deRdansR.On suppose queg?v´erifie alors l"applicationgest strictement contractante dans l"intervalle [a,b]. Th´eor`eme 3 -Sigest une application d´efinie sur l"intervalle [a,b]`a valeurs dans[a,b], alors la suite (xn) d´efinie parx0?[a,b] et la relation de r´ecurrencexn+1=g(xn) converge vers l"unique solutionαde l"´equationx=g(x) avecα?[a,b].

D´emonstration : la suite

(xn)est bien d´efinie carg([a,b])?[a,b]. Montrons, par l"absurde, que l"´equationx=g(x)a au plus une solution. Supposons qu"il y ait deux solutionsα1etα2, alors orL <1donc n´ecessairementα1=α2.

Montrons que la suite(xn)est convergente. On a

et par r´ecurrence

On en d´eduit que

Cette suite v´erifie le crit`ere de Cauchy; elle est donc convergente versα?[a,b], or l"applicationgest continue donc la limiteαv´erifieg(α) =α. On a aussi une ´evaluation de l"erreur en faisant tendrepvers l"infini, on obtient

1-L·

On constate que, pournfix´e, l"erreur est d"autant plus petite queLest proche de 0.

3. M´ethode de la s´ecante

- 2 -

R´esolution d"´equations non lin´eaires

3.1. Description de la m´ethode

Cette m´ethode est ´egalement appel´ee m´ethode de Lagrange, m´ethode des parties propor-

tionnelles ou encore regula falsi... On consid´ere un intervalle [a,b] et une fonctionfde classeC2de [a,b] dansR.On suppose quef(a)f(b)<0 et quef?ne s"annule pas sur [a,b], alors l"´equationf(x) = 0 admet une unique solution sur l"intervalle [a,b]. Remarque -L"hypoth`ese "fd´erivable" suffirait, mais demanderait une r´edaction un peu plus fine des d´emonstrations. La m´ethode de la s´ecante consiste `a construire une suite (xn) qui converge versαde la mani`ere suivante : soit Δ

0la droite passant par (a,f(a)) et (b,f(b)), elle coupe l"axeOx

en un point d"abscissex0?]a,b[.On approche donc la fonctionfpar un polynˆomePde degr´e 1 et on r´esoutP(x) = 0. y=f(x)Δ 0 a

••bα••x0x

1• f(x0)• ?a,f(a)?•• ?b,f(b)? M´ethode de la s´ecanteEnsuite, suivant la posi-tion deαpar rapport `a x

0, on consid`ere la droite

passant par (a,f(a)) et (x0,f(x0)) si f(x0)f(a)<0 ou celle passant par (x0,f(x0)) et (b,f(b)) sif(x0)f(b)<0.

On appellex1l"abscisse

du point d"intersection de cette droite avec l"axeOx.

On r´eit`ereensuite le proc´ed´e.

Plaons-nous dans le cas o`uf?>0 est d´erivable etfest convexe (i.e.f??≥0), alors la suite (xn) est d´efinie par???x 0=a x n+1=bf(xn)-xnf(b) f(xn)-f(b) En effet, sifest convexe, on remplace l"intervalle [xn,b] par l"intervalle [xn+1,b].L"´equation d"une droite passant par?c,f(c)?et?b,f(b)?avecc?=besty-f(b) =f(b)-f(c) b-c(x-b). On cherche son intersection avec l"axeOxdonc on prendy= 0 et on obtient la formule donn´ee plus haut. Remarque -sifest convexe, alors sa repr´esentation graphique est au dessus des tangentes et en dessous des cordes.

On poseg(x) =bf(x)-xf(b)

f(x)-f(b)=x-b-xf(b)-f(x)f(x) d"o`uxn+1=g(xn).

Montrons que cette suite (xn) est d´efinie.

Pour cela, il suffit de montrer queg([a,b])?[a,b].V´erifions d"abord quegest de classe C

1sur [a,b].Elle l"est de mani`ere ´evidente sur [a,b[.L"applicationgest continue enbet

g(b) =b-f(b)/f?(b).On a, pour toutx?[a,b[ g ?(x) = 1-f?(x)b-x =f(b)f(b)-f(x)-(b-x)f?(x) ?f(b)-f(x)?2· On en d´eduit queg?est continue enbetg?(b) =f(b)f??(b)/?2f?(b)2?.De plus, l"application fest convexe, doncf(b)-f(x)-(b-x)f?(x)≥0. On a ´egalementf(b)>0 - 3 - Pr´eparation`a l"agr´egation interne UFR maths, Universit´e de Rennes I carfcroissante etf(a)f(b)<0.La fonctiongest donc croissante sur [a,b].On a alorsg([a,b])?[g(a),g(b)].De plus,g(a) =a-f(a)(b-a) f(b)-f(a), orf(a)<0 et (b-a) f(b)-f(a)≥0 par croissance def; doncg(a)≥a.De mˆemeg(b) =b-f(b)f?(b), or f La croissance degmontre que la suite (xn) est croissante carx1=g(a)≥a=x0, or elle est dans l"intervalle [a,b], donc elle converge versl?[a,b] tel que, par continuit´e deg, Soitx?]a,b[ tel quef(x) = 0, alors il est imm´ediat queg(x) =x.R´eciproquement, soit x?]a,b[ tel queg(x) =x, alorsb-x f(b)-f(x)f(x) = 0, orx?=betf(x)?=f(b) carfest strictement croissante etx?]a,b[.On en d´eduit quef(x) = 0.Il y a unicit´e de la racine def, doncl=αet la suite (xn) converge versα.

3.2. Rapidit´e de convergence de la m´ethode de la s´ecante

On axn-α=g?(ξ)(xn-1-α).On en d´eduit, par continuit´e deg?enα, que lim n→+∞|xn-α| |xn-1-α|=|g?(α)|=g?(α).

4. M´ethode de Newton

On cherche les points fixes de la fonctiong(x) =x+u(x)f(x), et on a vu que lim n→+∞|xn-α| |xn-1-α|=|g?(α)|=g?(α). Pour obtenir une convergence plus rapide, on peut chercherutel queg?(α) = 0. On a, si les fonctions ont les r´egularit´es n´ecessaires,g?(x) = 1 +u?(x)f(x) +u(x)f?(x) et on en d´eduit queg?(α) = 0 siu(α) =-1/f?(α).Si la fonctionf?ne s"annule pas, on peut donc choisiru(x) =-1/f?(x).On obtient alors la m´ethode de Newton.

4.1. Description de la m´ethode

On consid`ere une fonction r´eelle d´efinie sur un intervalleI= [a,b] de classeC2telle que f(a)f(b)<0; on suppose que les fonctionsf?etf??ne s"annulent pas et gardent chacune un signe constant surI.On pose g(x) =x-f(x) f?(x)· Sif?f??est positive (respectivement n´egative) sur [a,b], on posex0=b(respectivementa). On d´efinit alors la suite (xn) par la donn´ee dex0et la relation de r´ecurrencexn+1=g(xn). Th´eor`eme 4 -La suite (xn) converge versαl"unique racine defsur [a,b]. D´emonstration : pour simplifier la r´edaction, on va supposer quef?est strictement positive etf??est strictement n´egative surI.Les autres cas se traitent de mani`ere similaire. Ces hypoth`eses assurent l"existence et l"unicit´e deα?Itel quef(α) = 0. On va montrer que la suite(xn)est croissante et major´ee parα.On ax0=a, donc x f?(xn)et que la fonctionf? - 4 -

R´esolution d"´equations non lin´eaires

est positive, doncfest croissante, on en d´eduit imm´ediatement quexn+1≥xnet la suite (xn)est croissante. De plus,xn+1-α=g(xn)-g(α) =g?(ξ)(xn-α)avecξ?]xn,α[.

Org?(x) =f(x)f??(x)

La suite(xn)est croissante et major´ee; elle est donc convergente. Notons?sa limite. La continuit´e degpermet d"´ecrire que?=g(?)et doncf(?) = 0d"o`u?=α.

4.2. Interpr´etation graphique

La m´ethode de Newton consiste `a remplacer la courbe par sa tangente en une de ses deux extr´emit´es. Le pointx1est l"intersection de cette tangente avec l"axeOx.

Pour faire le dessin, on va se placer dans le cas ´etudi´e pourla m´ethode de la s´ecante, i.e.

f ?>0 etf??<0.On prend alorsx0=b. y=f(x)a

••bα• •x1f(x1)•

a,f(a)?•? b,f(b)?• M´ethode de NewtonTraons la tangente `a la courberepr´esentative defpassant par?b,f(b)?.L"´equation de cette tangente esty=f?(b)(x- b) +f(b).Son intersection avec l"axeOxa une ordonn´ee nulle et son abscisse vaut x

1=b-f(b)

f?(b).On trace en- suite la tangente `a la courbe au point?x1,f(x1)?.Le r´eel x

2est l"abscisse de l"intersec-

tion de cette deuxi`eme tan- gente avec l"axeOxet on r´eit`ere ce proc´ed´e. Remarque -Si on prenait la tangente `a la courbe en?a,f(a)?, son intersection avec l"axe Oxne serait pas, sur ce dessin, dans l"intervalle [a,b].

4.3. Rapidit´e de convergence de la m´ethode de Newton

On suppose que la fonctionfest de classeC3surI= [a,b], que l"on af(a)f(b)<0 et que les fonctionsf?etf??sont toutes deux strictement positives sur [a,b]. Ceci nous garantit l"existence et l"unicit´e d"une racine simpleαdefsur [a,b]. On a doncf(α) = 0 etf?(α)?= 0.

On poseg(x) =x-f(x)

f?(x)et on d´efinit la suite (xn) parx0=bet la relation de r´ecurrence x n+1=g(xn). Th´eor`eme 5 -On a alors limn→+∞|xn+1-α| |xn-α|= 0 et limn→+∞|xn+1-α||xn-α|2=12f (2)(α)f?(α)·

D´emonstration : puisquefest de classeC3,gest de classeC2; on ag?(α) =f(α)f??(α)(f?(α)2)=

0carαest racine simple def.

La formule de Taylor `a l"ordre 1 s"´ecritxn-α=g(xn)-g(α) = (xn-α)g?(ξ)org?est continue sur[a,b], donclimn→+∞|xn+1-α| |xn-α|=g?(α) = 0.

La formule de Taylor `a l"ordre 2 s"´ecrit

x n-α=g(xn)-g(α) = (xn-α)g?(α) +1

2(xn-α)2g??(ξ) =12(xn-α)2g(2)(ξ)

org?(2)est continue sur[a,b], donc lim n→+∞|xn+1-α| |xn-α|2=g(2)(α) =12f (2)(α)f?(α)· - 5 - Pr´eparation`a l"agr´egation interne UFR maths, Universit´e de Rennes I Remarque -Le r´esultat est encore vrai si on suppose quefest de classeC2.La d´emonstration est plus difficile... Remarque -On peut utiliser la m´ethode de Newton avec un point de d´epart dans ]a,b[, mais la convergence de la suite n"est pas garantie. En pratique, on utilise souvent la m´ethode de dichotomie pour trouver unx0assez proche de la racine.

5. Ordre de convergence

La convergence de la suite ne suffit pas num´eriquement, on aimerait avoir une estimation de la rapidit´e de convergence. On poseen=xn-α. enest l"erreur absolue au pasn.L"erreur relative vauten/α. D´efinition 6 -La m´ethode d´efinie parxn+1=g(xn) est dite d"ordrepsi|en+1| |en|pa une

limite non nulle en +∞.La m´ethode de la s´ecante est donc d"ordre 1 sig?(α)?= 0, tandis

que la m´ethode de Newton est d"ordre 2 sig(2)(α)?= 0. D´efinition 7 -Lorsque la m´ethode est d"ordre 1 (respectivement 2), on ditque la convergence est lin´eaire (respectivement quadratique). - 6 -

APPROXIMATION D"UNE SOLUTION

D"UNE´EQUATION NON LIN´EAIRE

1. M´ethode de dichotomie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . 1

2. Th´eor`eme du point fixe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . 2

3. M´ethode de la s´ecante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . 2

3.1. Description de la m´ethode . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . 2

3.2. Rapidit´e de convergence de la m´ethode de la s´ecante .. . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

4. M´ethode de Newton. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . 4

4.1. Description de la m´ethode . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . 4

4.2. Interpr´etation graphique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . 5

4.3. Rapidit´e de convergence de la m´ethode de Newton . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . 5

5. Ordre de convergence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . 6

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