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NUMERATION : quelques exercices et problèmes supplémentaires.

A étudier sans regarder tout de suite le corrigé ! EXERCICE 1. D'après CRPE



MATHÉMATIQUES

Retrouvez Éduscol sur de divisibilité et de nombres premiers ... La résolution de problèmes mettant en jeu des entiers naturels (comme les problèmes de.



Mathématiques Résoudre des problèmes mobilisant les nombres

Le produit de deux entiers consécutifs est un nombre pair. Exercice 4 : Soit un entier naturel. Démontrer que si est impair alors 8 divise 



Pour enseigner les nombres le calcul et la résolution de problèmes

naturel » et des moments où l'enseignant intervient plus directement pour apporter Par exemple



CONCOURS GÉNÉRAL DES LYCÉES — SESSION 2020

Problème 1 : Nombres pointus. Soit n un entier naturel non nul. On dit que n est pointu si n admet au plus un facteur premier ou bien si.



Le nombre au cycle 3

Ce que l'on doit apprendre au cycle 3 sur les nombres entiers. des problèmes mesurer sont ainsi à la fois des mises en application et des contri-.



Utiliser les nombres pour comparer calculer et résoudre des

1. la multiplication d'un entier naturel par un entier négatif sollicite le sens premier de la multiplication comme addition itérée ? 2 × (?3) 



Sur une classe de problèmes de dénombrement liés au treillis des

3 févr. 2010 possède la propriété suivante : il existe un entier naturel (3 tel ... Les opérations qui précèdent permettent le calcul du nombre.



Les entiers qui sont la somme dau moins deux entiers naturels

naturels consécutifs : nombres trapézoïdaux. Analyse mathématique du problème : Après avoir expérimenté sur des sommes d'entiers consécutifs on conjecture 

Sur une classe de problèmes de dénombrement liés au treillis des

CAHIERS DUBUROGERMAINKREWERAS

liésautreillisdespartitionsdesentiers Cahiers du Bureau universitaire de recherche opérationnelle.

Série Recherche, tome 6 (1965), p. 9-107

© Institut Henri Poincaré - Institut de statistique de l"université de Paris, 1965, tous droits réservés. L"accès aux archives de la revue " Cahiers du Bureau universitaire de re- cherche opérationnelle. Série Recherche » implique l"accord avec les condi- tions générales d"utilisation (http://www.numdam.org/conditions). Toute utili- sation commerciale ou impression systématique est constitutive d"une in- fraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente mention de copyright.Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques http://www.numdam.org/

AVANT-PROPOS

L'idé

e initiale du présent travail provient d'un type de problè me s qui se rencontre assez fréquemment en économie et dans la théori e de la décision. U n ensembl e fin i E (de situations économiques, de candidats à un examen, de villes, etc. ) peut être apprécié selon plusieurs critères , et l"absence d"opposition entre ces critères définit sur E un e relatio n qui est un ordre partiel. Or il appartient souvent à l'autorité (planificatrice, universitaire, implantatrice, etc. ) de fixer su r E un ordre total qui soit compatible avec cet ordre partiel. D'o ù la question concrète de savoir de combien de manières cela es t possibl e : la réponse permet, si l'on veut, de donner un sens à la notion de "degré d'intervention" de l'autorité concernée par la fixatio n de l'ordre total. E n langag e mathématique , une forme stylisée de la question es t la suivante : étant donné le produit cartésien de n ensembles fini s totalement ordonnés, de cardinaux p , . . . , p , sur les (p . . . pn) ! ordre s totau x possible s combie n sont-il s compatible s ave c l'ordr e partie l "naturel" ? Ayan t rapidement soupçonné le problème de soulever, lorsqu"on l e pose dans sa généralité, des difficultés sérieuses, nous avons d"abor d limit notr e intérêt au cas particulier où n = 2. Ce cas, qu i fai t l"obje t de nos chapitres 1 et 2, est commun à notre pro blèm e et à un problème plus général, rencontré et résolu par A. Youn g [13] à propos de l"étude de la réduction du groupe symétrique Sn : celui du dénombrement des "tableaux standard" de forme donnée , chaqu e "forme " étant caractérisée par une partition de l'entier m. I l nou s est apparu que ce problème trouvait dans la structure de treillis (distributif) de l'ensemble T des partitions d'entiers une formulatio n et des méthodes de résolution assez naturelles ; en outre l e treillis T s'introduit en quelque sorte "de lui-même" lorsque l'on 10

étudi

e l a fonction de deux suites d'entiers que nous nommons "anti- factorielle" . Nous avons pu, par cette démarche, non seulement re trouve r le s résultats de Young, mais les étendre sur un point im portan t (introduisan t simultanémen t le s partition s d e deu x entier s m ' et m), et les situer dans un ensemble de propriétés dont quelques- une s s'appliquen t e n statistiqu e non-paramétriqu e (constructio n d e loi s de distribution finies régissant les comparaisons d'échantillons). L e chapitre 1 a donc un caractère introductif. On y établit , pa r de s procédé s

élémentaires

le s propriété s d"un e class e d e dé terminant s qui jouent un rôle d"outil de démonstration privilégié pour le s propriétés présentées ultérieurement. O n part de l"idée triviale que z~T (antifactorielle de z) est un e manièr e commode d"écrire (z 1 )-1 et qu'il est naturel d'éten dr e l'écritur e z~~ z (E Z, ensemble des entiers rationnels, par l a conventio n z 0 > z~~? = 0. (La propriété de la fonction Y d'une variabl e complexe de n'avoir pas de zéros est une justification sup plémentaire no n mentionné e dan s l e texte) O n étend ensuite la signification du symbole "antifactorielle" à Y , Y" ! , où Y et Y" appartiennent tous deux à Y, ensemble des sui te s illimitée s d'entier s d e Z don t u n nombr e fin i seulemen t son t no n nul s

Y = (yx y2... yr..)

Y " = (y; y;... y;...).

Forman

t le tableau illimit e n lign e i e t colonne j, des nom bre s y - y! - i + j 1 , on montre que la restriction de ce tableau carr au x n première s ligne s e t colonne s engendr e u n déterminan t don t la valeur se stabilise pour n assez grand : c"est cette valeur qu i défini t Y Y U n Y de Y pour lequel les entiers y - i sont tous distincts es t appel é régulier. Pour que Y, Y' ! ^ 0 il est nécessaire (mais no n suffisant) que le niveau (somme des termes non nuls) de Y' soit a u moins

éga

l 0 e t a u plu s a u nivea u d e Y e t qu e Y e t Y soien t tou s deu x réguliers Un e relation "antécédent-conséquent" est en outre définie a ) dans Y, par le fait que deux suites ne diffèrent que par ur terme e t pou r c e term e pa r un e unité 11 b ) dans la partie régulière YR de Y, par restriction à YR. O n établit ensuite deux relations fondamentales entre les quatre somme s d'antifactorielles que l'on obtient à partir de Y~, Y' ! si l'o n remplace Y ou Y', supposés dans YR, par leurs antécédents ou conséquent s dans YR. O n montre enfin que l'existence de chaînes finies d'antécédents o u conséquents "partitionne" YR en une infinité de treillis distributifs tou s isomorphe s u n mêm equotesdbs_dbs32.pdfusesText_38
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