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Mémoire Sur le développement durable de lindustrie des gaz de

Mémoire. Sur le développement durable de l'industrie des gaz de schiste au Québec présenté au. Bureau d'audiences publiques sur l'environnement.



MÉMOIRE DÉPOSÉ PAR LE CÉGEP DE THETFORD AU BUREAU

11 nov. 2010 d'enquête du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) ... développement durable et l'industrie des gaz de schiste au Québec.



2 BAPE sur les gaz de schiste

au Bureau d'audience publique sur l'environnement (BAPE) d'enquête sur le développement durable de l'industrie des gaz de schiste au Québec et de tenir.



Mémoire sur le développement de lindustrie des gaz de schiste au

11 nov. 2010 Québec. Présenté au : Bureau d'audiences publiques sur ... Le Ministère du Développement Durable de l'Environnement et des Parcs (MDDEP) s' ...



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29 mai 2014 d'enquête du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) ... développement durable de l'industrie des gaz de schiste au Québec.



Mémoire présenté par : Pekuakamiulnuatsh Takuhikan Conseil des

29 mai 2014 Au Bureau d'audience publique sur l'environnement ... Le développement de l'industrie du gaz de schiste vise des territoires.



La criminalité environnementale et lindustrie du gaz de schiste au

sur les enjeux liés à l'exploration et à l'exploitation du gaz de schiste en 2011 industrie au Québec (Bureau d'audiences publiques sur l'environnement.



mémoire de la société dénergie talisman inc. consultations

le développement durable de l'industrie du gaz de schiste au Québec. En 2010 Talisman a participé au Bureau d'audiences publiques sur l'environnement.



GAZ DE SCHISTE Pour un développement durable et respectueux

MÉMOIRE PRÉSENTÉ AU. BUREAU D'AUDIENCE PUBLIQUES. SUR L'ENVIRONNEMENT auprès de la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et des autres.



ryrtcoræ

BUREAU D'AUDIENCES PUBLIQUES SUR L'ENVIRONNEMENT. SUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE DE L'INDUSTRIE. DES GAZ DE SCHISTE AU QUÉBEC. DES GAZ DE SCHISTE :.



Mémoire Sur le développement durable de l’industrie des gaz

Mémoire Sur le développement durable de l’industrie des gaz de schiste au Québec présenté au Bureau d’audiences publiques sur l’environnement Novembre 2010



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Développement durable de l’industrie des gaz de schiste au Québec Mémoire du Conseil régional de l’environnement du Centre-du-Québec 8 1 1 Les principes de prévention et de précaution Selon le principe de prévention « en présence d’un risque connu des actions de



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de participer à cette consultation sur le développement durable de l#industrie du gaz de shale au Québec A?n de formuler les recommandations présentées dans ce mémoire le ROBVQ a entrepris une démarche de recherche et de rédaction en collaboration directe avec les organismes de bassins



ENQUÊTE ET AUDIENCE PUBLIQUE : DÉVELOPPEMENT DURABLE DE L

durable de l’industrie des gaz de schiste au Québec Mémoire présenté au Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) le 11 novembre 2010 127 pages Rédaction du document François Cantin co-responsable de la commission Énergie Nature Québec Thomas Welt

La criminalité environnementale et lindustrie du gaz de schiste au Tous droits r€serv€s Les Presses de l'Universit€ de Montr€al, 2016 Ce document est prot€g€ par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne. l'Universit€ de Montr€al, l'Universit€ Laval et l'Universit€ du Qu€bec " Montr€al. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. https://www.erudit.org/fr/Document g€n€r€ le 3 oct. 2023 19:00Criminologie schiste au Qu€bec Green Criminology and the Shale Gas Industry in Quebec La criminalidad medioambiental y la industria del gas de esquisto en Qu€bec Yenny Vega Cardenas, LL.D. et Nayiv€ Vega, LL.M. Vega Cardenas, Y. & Vega, N. (2016). La criminalit€ environnementale et l'industrie du gaz de schiste au Qu€bec.

Criminologie

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(2), 241...261. https://doi.org/10.7202/1038424ar

R€sum€ de l'article

Le Qu€bec a amorc€ une vaste r€flexion sur le d€veloppement de l'industrie du gaz de schiste en 2009 et a mandat€ " deux reprises le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE). Celui-ci a d€pos€ un premier rapport sur les enjeux li€s " l'exploration et " l'exploitation du gaz de schiste en 2011 et un deuxi†me en d€cembre 2014. Force est de constater qu'il existe autour de la fracturation hydraulique et de l'industrie du gaz de schiste d'importantes controverses reli€es aux cons€quences des proc€d€s de cette industrie pour la sant€ humaine et pour l'environnement. De plus, le cadre juridique au Qu€bec ne semble pas ‡tre suffisant pour pr€venir et sanctionner les dommages qui peuvent ‡tre caus€s " la sant€ et " l'environnement " la suite des activit€s de cette industrie. Les principes mis de l'avant par l'€cole de pens€e portant sur la criminalit€ environnementale peuvent nous €clairer face " cette probl€matique. En fait, cette €cole souligne l'importance de sanctionner criminellement les conduites qui g€n†rent des dommages graves non seulement " la sant€ humaine, mais €galement " tous les ‡tres vivants et " leur

habitat sur la plan†te, et ce, m‡me si ces activit€s peuvent ‡tre consid€r€es

comme licites.

La criminalité environnementale

et l'industrie du gaz de schiste au Québec

Yenny Vega Cardenas, LL.D.

1

Conseillère en développement international

Chargée de cours, Faculté de droit, Université de Montréal yenny.vega.cardenas@umontreal.ca

Nayivé Vega, LL.M.

Consultante en droit de l'environnement

nayivevega@yahoo.es

RÉSUMÉ •

Le Québec a amorcé une vaste réflexion sur le développement de l'industrie du gaz de schiste en 2009 et a mandaté à deux reprises le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE). Celui-ci a déposé un premier rapport sur les enjeux liés à l'exploration et à l'exploitation du gaz de schiste en 2011 et un deuxième en décembre

2014. Force est de constater qu'il existe autour de la fracturation hydraulique et de

l'industrie du gaz de schiste d'importantes controverses reliées aux conséquences des procédés de cette industrie pour la santé humaine et pour l'environnement. De plus, le cadre juridique au Québec ne semble pas être suffisant pour prévenir et sanctionner les dommages qui peuvent être causés à la santé et à l'environnement à la suite des activités de cette industrie. Les principes mis de l'avant par l'école de pensée portant sur la criminalité environnementale peuvent nous éclairer face à cette problématique. En fait, cette école souligne l'importance de sanctionner criminellement les conduites qui génèrent des dommages graves non seulement à la santé humaine, mais également

à tous les êtres vivants et à leur habitat sur la planète, et ce, même si ces activités

peuvent être considérées comme licites.MOTS CLÉS • Protection de l'eau, gaz de schiste, criminalité environnementale, droit de

l'eau, droit de l'environnement.1. Faculté de droit, Université de Montréal, Pavillon Maximilien-Caron, C. P. 6128,

succursale Centre-ville, Montréal (Québec), Canada, H3C 3J7.

Criminologie, vol. 49, n

o

2 (2016)_Crimino_49-2.indb 2412016-12-05 14:26

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2

Introduction

Le gaz de schiste, qui est extrait d'une roche compacte et impénétrable dans le sous-sol, présente de nombreuses similarités avec les sables bitumineux. Bien que cela ne fasse pas l'unanimité, il demeure qu'il s'agit de deux hydrocarbures non ordinaires qui utilisent dans leurs procédés de grandes quantités d'eau pour leur extraction. Par consé- quent, ces industries génèrent d'abondants déchets toxiques qui sont placés dans des lacs de décantation (Mousseau, 2010). L'eau est un des éléments vitaux de tous les écosystèmes de la planète Terre. Les eaux souterraines, quant à elles, jouent un rôle vital dans le maintien de l'habitat de plusieurs espèces, dont l'humain, car celles-ci alimentent un grand nombre de lacs et de rivières, et servent comme principale source d'approvisionnement pour une grande partie de la population mondiale (Vega et Vega, 2014). L'utilisation de produits chimiques dans la fracturation hydraulique présente un risque important de contamination des eaux souterraines, non seulement à cause de ce qui est ajouté à l'eau pour faire l'extraction du gaz, mais aussi à cause des fuites de méthane qui peuvent atteindre les aquifères. En fait, ce risque est devenu la principale préoccupation qui, à ce jour, a été déterminante pour l'acceptabilité sociale de cette industrie au Québec (Bureau d'audiences publiques sur l'environnement [BAPE], 2014). Le Québec a amorcé une vaste réflexion sur le développement de l'industrie du gaz de schiste en 2009 et a mandaté à deux reprises le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (ci-après BAPE) pour entreprendre des consultations auprès de la population. Celui-ci a déposé un premier rapport sur les enjeux liés à l'exploration et à l'ex- ploitation du gaz de schiste en 2011 (BAPE, 2011) et un deuxième en décembre 2014 (BAPE, 2014). À la suite des rapports, le gouvernement actuel a décidé de ne pas aller de l'avant pour le moment avec le déve- loppement de cette filière énergétique au Québec (Sioui, 2014). Étant donné le caractère temporaire de cette décision, nous tenons à exposer dans le présent texte la faiblesse réglementaire entourant cette activité au Québec qui ne permettrait pas, relativement à un possible dévelop- pement de cette industrie, d'assurer le droit des populations et de toutes les espèces vivantes à la conservation des ressources en eau propre pour leur avenir (Vega et Vega, 2014). La criminologie environnementale, ou criminologie verte, est une nouvelle école de pensée qui propose de sanctionner les conduites qui _Crimino_49-2.indb 2422016-12-05 14:26 243
causent des dommages graves à l'environnement. Cette école de pensée laisse de côté la définition du crime impliquant uniquement des dom- mages causés à l'humain, pour s'intéresser aux dommages portés à l'environnement. Ainsi, en identifiant des victimes, autres que l'humain, cette école tente de couvrir un grand nombre de dommages qui touchent les autres espèces vivantes et leur habitat sur la planète. Elle propose de changer l'approche traditionnelle du droit criminel centré sur l'humain uniquement pour se situer dans une perspective plus large qui couvrirait le monde entier, soit l'environnement comme un tout qui doit être protégé (Lynch et Stretesky, 2014). Dans le présent article, nous analyserons la problématique de la contamination de l'environnement et des eaux souterraines qui est soulevée par le développement de l'industrie du gaz de schiste, et ce, à la lumière des principes mis de l'avant par l'école de la criminologie environnementale. Nous exposerons tout d'abord les principales assises de cette école de pensée (1), pour ensuite cerner les risques de dom- mages à l'environnement posés par les activités d'exploration et d'ex- ploitation du gaz de schiste (2). Nous analyserons ainsi, à la lumière des principes proposés par cette école, l'efficacité du cadre réglementaire existant au Québec pour assurer la protection de l'environnement relativement au développement de cette filière énergétique (3).

1. La criminalité environnementale

La criminologie environnementale est un courant de pensée qui s'est vivement développé dans les années 1990, notamment lorsque le pro- fesseur Lynch (Lynch, 1990) a fait un appel à la reconnaissance de la criminologie environnementale, compte tenu du constat des dommages incommensurables causés à l'environnement et de l'absence d'une typologie criminelle existante pour sanctionner ce type de destruction de la planète (Stretesky, Long et Lynch, 2014). Cette école de pensée souligne l'envergure des atteintes à l'environ- nement qui peuvent, en termes de dommages, être même plus impor- tantes que les dommages reliés aux crimes ordinaires associés la plupart du temps à la propriété. On fait référence aux impacts comme la déforestation, la pollution de l'air et des sols, la disparition d'espèces, les milliers de cours d'eau pollués, le réchauffement climatique qui fait fondre les glaciers et les neiges des montagnes, le changement dans la salinité et l'acidité des océans (Lynch et Stretesky, 2014). La criminalité environnementale et l'industrie du gaz de schiste au Québec _Crimino_49-2.indb 2432016-12-05 14:26

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2 L'impact des crimes faits à l'environnement ne se limite pas à la destruction des écosystèmes. En effet, ces crimes intensifient l'injustice sociale, car ils affectent la santé et la sécurité humaine, et par le même effet, la jouissance des droits fondamentaux à la vie, à la santé et à l'alimentation (Manirabona, 2014). Ainsi, dans la plupart des cas de criminalité environnementale, les victimes sont tant les humains que les non-humains (la faune, la flore et leurs habitats), et ces conduites peuvent être assimilées aux crimes contre la vie, la sécurité et même, contre l'humanité (Manirabona, 2011). Il est à noter que des dommages graves à l'environnement peuvent découler tant des activités illégales que des activités légales (Manirabona,

2014). En effet, les modes de développement qu'a connus l'humanité

ont causé des pertes incommensurables à l'environnement, même si ces pertes ont été causées par des activités qui sont considérées comme étant légales ou licites. Plus encore, de nouvelles activités qui compromettent la survie des écosystèmes et qui risquent également de porter atteinte à la santé humaine se développent sans cesse. C'est le cas de l'exploita- tion du gaz et du pétrole dans le schiste, industries qui augmentent de façon importante les risques de dommages à l'environnement et à la santé humaine, non seulement à cause de leur impact sur le plan des changements climatiques, mais aussi à cause du risque de pollution des eaux et des sols. Certes, ces activités ne sont pas définies par la loi comme étant des activités criminelles, mais elles peuvent produire des dommages irrépa- rables à l'humanité et à la planète entière. Par conséquent, plusieurs auteurs revendiquent la reconnaissance de ces dommages comme étant criminels et devant être bannis par la société, comme le professeur

Lynch l'explique

just because a behavior isn't defined as criminal behavior doesn't mean there is no harm, that the harm is minor, or that the harm is adequately defined in law. And, it's the harmful outcome, not the behavior as defined by the rule of law that should be examined and should become the subject matter of criminology. (Lynch et

Stretesky, 2014, p. 7)

L'une des principales limites que présente l'école de la criminologie environnementale est la difficulté à définir ce que l'on considère comme dommage à l'environnement. En fait, les dommages, et par conséquent les conduites à proscrire, sont définis par la société qui doit déterminer ce qui est dommageable. Ce débat impose en soit de décider entre les intérêts de l'économie et de la protection de l'environnement, les limites _Crimino_49-2.indb 2442016-12-05 14:26 245
à la croissance économique, mais aussi de discerner de quel côté la balance devrait pencher, dans un cas en particulier, soit l'homme, les animaux ou les écosystèmes comme un ensemble qui doit être préservé (White, 2007). Les sociétés devront donc mettre dans la balance les divers intérêts pour arriver à un modèle plus équilibré de vie qui assure pour certaines sociétés soit le développement durable ou pour d'autres, le bien-vivre (Vega, 2015). Il est à souligner que dans des pays fédéraux comme le Canada, la définition des crimes peut s'avérer d'une com- plexité majeure. En fait, un tel débat devra se faire à une double échelle, soit à l'échelle canadienne, mais aussi à celle des provinces, et ce, à l'intérieur de leurs pouvoirs respectifs, en vertu du partage des compé- tences (Vega et Vega, 2010). Parmi les définitions le plus répandues de ce qui devrait être consi- déré comme dommage ou crime à l'environnement, on retrouve celle en vertu de laquelle le crime environnemental est toute conduite humaine qui cause la destruction et la dégradation de l'environnement. Il sera ensuite important de déterminer la fine ligne entre le degré de destruction qui permet quand même à l'humain de vivre et celui qui devra être sanctionné en fonction des répercussions ou du spectre des conséquences des dommages sur l'humain, sur la société et sur la bio- diversité. Une fois définie la conduite comme portant atteinte à l'environne- ment, et notamment lorsqu'elle est définie comme criminelle, il est essentiel d'y réagir. Il y a une panoplie d'interventions possibles qui vont de la simple persuasion (cibles de performance environnementale) à l'utilisation des poursuites criminelles. Le renforcement du droit de l'environnement devient une des pierres angulaires de la lutte contre la pollution, surtout lorsqu'il a été prouvé que le comportement des entre- prises diffère selon le cadre juridique étatique. Ainsi, une entreprise multinationale aura un comportement plus responsable au niveau de la protection de l'environnement là où le cadre juridique lui impose des contraintes et des cibles de protection que dans un pays où la législation est permissive à cet égard (White, 2008). Enfin, comme une faiblesse réglementaire généralisée pour sanction- ner comme il se doit les dommages causés à l'environnement a été constatée, mais aussi compte tenu de la difficulté à prouver une faute répréhensible en droit lorsque des dommages surviennent, cette

école

de pensée prône la reconnaissance du droit à être protégé de toute dégradation environnementale et du droit à la prévention des dommages La criminalité environnementale et l'industrie du gaz de schiste au Québec _Crimino_49-2.indb 2452016-12-05 14:26

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2 avant que ceux-ci ne surviennent (White, 2013). Cette école préconise en fait d'agir en amont, en considérant non seulement le principe de précaution qui gravite autour de la question du risque, mais aussi le principe d'équité intergénérationnelle en vertu duquel les générations futures ont le droit de jouir d'un environnement de qualité égale ou supérieure à celui dont jouit la génération présente (White, 2007). Ayant exposé brièvement certaines assises de l'école de la crimino- logie environnementale, étudions maintenant les dommages à l'envi- ronnement qui peuvent être causés par des activités liées à l'industrie du gaz de schiste. 2. L'impact environnemental des activités liéesquotesdbs_dbs32.pdfusesText_38
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