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![7e Document de suivi du Vade-mecum relatif à lusage de la langue 7e Document de suivi du Vade-mecum relatif à lusage de la langue](https://pdfprof.com/Listes/21/6313-217__me-document-de-suivi_vademecum_OIF-Octobre-2020_VF.pdf.pdf.jpg)
Document de suivi du
Vade-mecum
relatif à l'usage de la langue française dans les organisations internationalesPasser à l'action
OCTOBRE 2020I
7 eDocument de suivi du
Vade-mecum
relatif à l'usage de la langue française dans les organisations internationalesPasser à l'action
OCTOBRE 2020
Direction
Mme Nivine Khaled, directrice "
langue française et diversité des cultures francophones » (DLFDCF)Coordination et rédaction
M. Alexandre Wolff, responsable de l'Observatoire de la langue françaiseRédaction
Mme Aurélia Grosu, conseillère auprès de la directrice de la DLFDCFMme Francine Quéméner, spécialiste de programme à l'Observatoire de la langue française
Stagiaire
M. Fabien Lucianaz
Contributions
Pour l"OIF
Les Représentations permanentes de l'OIF à Addis-Abeba, New York, Bruxelles et Genève Mme Imma Tor Faus, Conseillère de Mme la Secrétaire générale de la Francophonie M. Iyade Khalaf, Mme Mathilde Landier, Mme Sandrine Le Jean et Mme Monique Vilayphonh, spécialistes deprogramme, et Mme Maryam Traoré, analyste-rédactrice (DLFDCF) M. Michel Carrié, coordonnateur de programme à l'OIF (DAPG) Les opérateurs de la Francophonie (AUF, TV5MONDE et Université Senghor d'Alexandrie) L"APF (Assemblée parlementaire de la Francophonie)Pour le Conseil de l"Europe,
Mme Sally Bailey-Ravet, référente pour le bilinguismePour l"ONU,
bureau du coordonnateur pour le multilinguisme, secrétariat des NURemerciements
Aux représentants des États et gouvernements membres, associés et observateurs de l'OIF, et aux Groupes d'ambassadeurs francophones.PRÉFACE
S.E. Mme Louise Mushikiwabo,
Secrétaire générale de la Francophonie 6
INTRODUCTION
M. Alexandre Wolff, responsable de l'Observatoire
de la langue française 8PARTIE 1
LE MULTILINGUISME
DANS LES ORGANISATIONS
INTERNATIONALES
ÉTAT DES LIEUX
Union européenne, Conseil de l'Europe,
ONU,Union africaine et Commission
Économique
des Nations Unies pour l'Afrique1.1 Prises de parole 12
1.2Traduction, interprétation et coopération
171.3 Évolutions 38
SOMMAIRE
PARTIE 2
LES FRANCOPHONES EN ACTION
2.1 Actions des gouvernements 46
2.2 Actions de la Francophonie 95
Plaidoyer de Mme la Secrétaire générale
de la Francophonie 95Vers un dispositif de veille, d'alerte et d'action 96
Actions de l'OIF : programmes et
Représentations permanentes
99Actions des opérateurs de la
Francophonie et de l'APF
117Dossier n° 1
Actions et initiatives des groupes d'ambassadeurs
francophones 127Dossier n° 2
Impacts et conséquences de la Covid-19
sur le multilinguisme dans lesOI 139
ANNEXES
1. Résolution sur la mise en uvre du Vade-mecum
relatif a l'usage de la langue française dans les organisations internationales 1502. Déclaration du GAF du 20/05/2020
auprès des Nations unies 1523. Guide de mise en uvre des Vade-mecum
relatifs à la promotion de l'usage du français et du multilinguisme par les représentants de la France 1544. Lettre conjointe du Groupe des Ambassadeurs
francophones et du Groupe des Amis de l'espagnol (mai 2020) 1575. Lettre de S.E. Mme Louise Mushikiwabo
adressée à Mme Ursula Von Der Leyen,Présidente de la Commission européenne 160
SIGLES ET ACRONYMES
1637 e
Document de suivi du
Vade-mecum relatif à l'usage de la langue française dans les organisations internationales 6Forte de ses 88 États et gouvernements membres, l"Organisation internationale de la Francophonie (OIF) est, à
plusieurs titres, une actrice majeure des relations multilatérales. Orchestrant une coopération solidaire et multisec-
torielle entre ses membres, elle anime leur concertation politique autour des grands sujets de l"agenda international
qui constituent autant d"enjeux pour l"avenir de nos sociétés : respect des droits de la personne, maintien de la paix,
égalité entre les femmes et les hommes, réduction de la fracture numérique... Elle entretient un dialogue constant
avec les autres organisations encadré par une quarantaine d"accords formels.L"OIF est à cet égard une observatrice privilégiée des activités et du fonctionnement du système international, depuis
son siège à Paris, et à travers ses quatre représentations permanentes situées à Addis-Abeba, Bruxelles, Genève
et New York. Depuis Antananarivo, Bucarest, Dakar, Hanoï, Libreville, Lomé, Port-au-Prince, Québec et bientôt
Tunis et Beyrouth, nos organes subsidiaires et représentations extérieures nous permettent également de suivre
les évolutions d"autres organisations multilatérales ou d"intégration régionale et sous régionale.
En tant que Secrétaire générale de la Francophonie, j"ai la ferme conviction que la vitalité et l"efcacité du multilaté-
ralisme et de la coopération internationale sont étroitement liées à la mise en uvre d"un multilinguisme effectif et
respectueux de la diversité culturelle du monde.Je suis ère de constater que le plaidoyer que je porte pour la diversité linguistique sur la scène internationale ren-
contre un écho de plus en plus large auprès des dirigeants des organisations elles-mêmes, comme des Chefs d"État
et de gouvernement membres de la Francophonie. Ce plaidoyer est au cur de la promotion de la langue française
dont j"ai fait l"une des grandes priorités de mon mandat.La langue française reste le fondement de notre Organisation et le lien qui unit ses membres. Avec un regain d"effort,
elle aura un bel avenir devant elle, grâce notamment à la progression constante du nombre de ses locuteurs comme
du nombre de ses apprenants. Mais nous devons rester vigilants : de la même manière qu"il nous faut soutenir nos
LOUISE MUSHIKIWABO
SECRÉTAIRE GÉNÉRALE DE LA FRANCOPHONIE
membres pour qu"ils offrent une éducation de qualité en langue française, de la même manière qu"il nous incombe
de promouvoir l"enseignement du français partout dans le monde, nous devons veiller à ce que le français reste très
présent et utile à l"international, permettant ainsi à tous nos États et gouvernements de faire valoir leurs positions et
de contribuer à la stabilité du monde, dans cette langue qui est ofcielle et de travail de nombreuses organisations.
C"est la raison pour laquelle, dans le cadre du Groupe de travail des Instances de la Francophonie consacré à la
langue française que j"ai créé et que j"anime régulièrement, j"ai mis en place un Dispositif de veille, d"alerte et d"action
en faveur de la langue française et du multilinguisme dans les organisations internationales. À mon invitation, les
Ministres chargés de la Francophonie des États et gouvernements membres de l"OIF ont désigné un point focal
chargé de la mise en uvre de ce dispositif au niveau national.Par une action coordonnée de tous les acteurs concernés, je souhaite en effet qu"on mobilise plus efcacement
la communauté francophone, an de faciliter le partage d"informations et la concertation pour assurer une veille
permanente au sein des organisations internationales. Et je me dois de rappeler que la responsabilité de veiller
au respect des engagements souscrits en matière de multilinguisme est collective, partagée par les États et gou-
vernements francophones et par les enceintes internationales. À travers ses représentations extérieures, comme
depuis Paris, l"OIF prend sa part de responsabilité : elle est mobilisée dans un plaidoyer fort qu"elle mène à tous
les niveaux, ainsi qu"à travers différentes activités, parmi lesquelles le renforcement des compétences en langue
française des diplomates et fonctionnaires nationaux et internationaux, le renforcement des capacités des services
de traduction et d"interprétariat et l"animation des Groupes d"ambassadeurs francophones (GAF) et des réseaux de
fonctionnaires internationaux. Nous devons redoubler d"efforts car, comme le montre ce 7e document de suivi duVade-mecum relatif à l"usage de
la langue française dans les organisations internationales, notre ambition de faire " reculer le recul du français », n"est
pas encore une réalité : les moyens alloués à la traduction et à l"interprétation ne sont pas à la hauteur des enjeux, les
processus de recrutement privilégient de plus en plus le recours à une seule langue, le travail quotidien des services
et les réunions préparatoires des grandes négociations internationales se déroulent trop souvent sans possibilité
de choisir la langue que l"on maîtrise le mieux. Même à l"Union européenne, qui partage 19 de ses membres avec
la Francophonie et dont une inme minorité de ses 447 millions de citoyens s"exprime quotidiennement en anglais,
c"est toujours la forme internationalisée de cette langue qui sert de médium de communication courant.
La tendance à l"unilinguisme reste forte, et la crise sanitaire que nous traversons, parce qu"elle a multiplié les réunions
à distance sans possibilité d"interprétation, a encore mis en lumière cette situation. Plus que jamais, face à cette
crise et à tous les autres dés économiques, sécuritaires, climatiques auxquels le monde est confronté, la réponse
globale et solidaire de la communauté internationale ne peut s"exprimer que dans plusieurs langues. La diversité
linguistique, en plus d"être un formidable vecteur d"innovation et d"inclusion, est le gage d"un multilatéralisme fort et
efcace. Alors, mobilisons-nous davantage, ensemble ! _Louise MUSHIKIWABO
Secrétaire générale de la Francophonie
PRÉFACE
7INTRODUCTION
Ce 7e document de suivi du
Vade-mecum relatif à l'usage de
la langue française dans les organisations internationales nous donne l"occasion d"observer - comme à chacune de ses publica- tions biennales - les évolutions des pratiques linguistiques et des moyens mis en uvre par les organisations an d"agir en faveur d"un multilinguisme effectif. Il permet également de s"interroger sur l"intensité et la pertinence des engagements souscrits par les États et gouvernements de l"OIF en matière de promotion du français et du multilinguisme, et sur l"accompagnement dont les uns et les autres bénécient de la part de l"OIF, des opérateurs de la Francophonie, de l"APF et des acteurs de la coopération linguistique. À cette n, le lecteur trouvera, en première partie, le résultat de la veille exercée par l"Observatoire de la langue française, avec l"ap- pui des représentations extérieures de l"OIF, concernant, d"une part, les prises de parole ofcielles des représentants des pays membres et, d"autre part, l"état des lieux des pratiques en vigueur au sein de quelques grandes organisations (système onusien, Union européenne, Conseil de l"Europe et Union africaine), ainsi que la réalité des moyens alloués par ces dernières à la traduction et à l"interprétation. Une 2ème
partie est par ailleurs consacrée aux initiatives prises par les États et gouvernements membres, associés et observateurs de l"OIF, propres à traduire dans les faits les recommandations formulées, à la suite duVade-mecum adopté en 2006, dans la
Résolution sur sa mise en uvre adoptée lors de la Conférence ministérielle d"Antananarivo (Madagascar, les 23 et 24 novembre2016). Elle se propose également de présenter les actions entre-
prises par la Secrétaire générale de la Francophonie, par l"OIF, par les opérateurs des Sommets et par l"APF, qui font l"objet d"une présentation détaillée permettant de mesurer l"impact du plaidoyer et des activités de formation et de production de res- sources des uns et des autres. C"est dans cette rubrique que nous avons également souhai- té mettre en avant les effets produits par l"action des Groupes d"ambassadeurs francophones à travers le monde, et proposer un dossier qui aborde " les impacts et conséquences de la CO-VID-19 sur le multilinguisme dans les OI
», ainsi que les langues
présentes sur les sites de nombre d"entre elles, dans les circons-tances inédites liées à la crise sanitaire.À l"heure où la Secrétaire générale de la Francophonie engage
tous les États et gouvernements membres à s"impliquer dans un dispositif de veille, d"alerte et d"action en faveur de la langue fran- çaise et du multilinguisme dans les organisations internationales, ce 7e document de suivi nous révèle plusieurs raisons d"espérer, mais aussi quelques motifs d"inquiétude. Du côté positif, on peut se réjouir des efforts de la plupart des représentants des pays membres de l"OIF pour favoriser l"usage du français et faire vivre le multilinguisme lors de leurs interven- tions ofcielles, même si quelques exceptions demeurent. On se félicitera aussi des initiatives relevées émanant des OI elles- mêmes et de leurs dirigeant(e)s, comme celle de la directrice générale de l"ONUG qui a instauré l"initiative des " champions du multilinguisme», ou comme la mise en place du cadre des
Nations unies pour les langues (nalisé en décembre 2019), qui permettra d"harmoniser et de renforcer les formations linguis- tiques des agents de l"ONU, mais aussi de mieux prendre en compte et de valoriser les compétences plurilingues. De nouveaux outils normatifs - dont un projet de circulaire du Secrétaire général ofcialisant ce cadre et un autre portant sur l"égalité des langues de travail du Secrétariat - devraient d"ailleurs suivre... De même, la présentation du rapport du Secrétaire général de l"ONU sur le multilinguisme (mars 2019), suivi de l"adoption de la résolution biennale sur le même sujet (septembre), témoigne de l"importance accordée à cette dimension essentielle du fonc- tionnement de l"Organisation, tout comme le fait que le corps commun d"inspection ait inscrit à son programme de travail une étude sur le multilinguisme en tant que valeur fondamentale des Nations unies, qui devrait être publiée avant la n de l"année 2020quotesdbs_dbs32.pdfusesText_38[PDF] Rapport intermédiaire. Comptes du Groupe au 30 juin 2014
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