[PDF] Mathématiques 1.3.4 La fonction





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Première S - Fonction valeur absolue

Fonction valeur absolue. I) Définition. On appelle fonction valeur absolue la fonction définie sur



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1.3.4 La fonction valeur absolue (?) . . . . . . . . . . . . . . 21 est naturellement définie par L son domaine de définition est R et elle donne.



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4.2.6 Fonction valeur absolue. 4.2.7 Fonction partie entière de définition et son domaine image sachant que son tableau de variation est le suivant.



Limites et continuité

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  • Comment trouver le domaine de définition d'une fonction avec valeur absolue ?

    L'ensemble de définition de toutes les fonctions de valeur absolue qui sont sous la forme �� ( �� ) = �� �� + �� est l'ensemble des nombres réels, ou ? , alors que l'ensemble image est �� ( �� ) ? 0 , ou [ 0 ; + ? [ .
  • Comment déterminer le domaine de définition d'une fonction PDF ?

    Si l'on veut trouver l'ensemble de définition, autrement dit l'ensemble des x, il suffit de lire graphiquement l'ensemble des abscisses des points de la courbe représentant f.
  • Lorsqu'on cherche la règle d'une fonction valeur absolue, 3 cas sont possibles. Dans tous les cas, on utilise la forme canonique simplifiée : f(x)=ax?h+k. f ( x ) = a x ? h + k .

Université du Maine

Licence BBTE - Première année

Mathématiques

Alexandre POPIER

Année : 2016-2017

Table des matières

1 Étude de fonctions 3

1.1 Rappel : nombres réels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

7

1.2 Fonctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

10

1.2.1 Représentation graphique . . . . . . . . . . . . . . . .

12

1.2.2 Variations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

12

1.2.3 Composition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

13

1.2.4 Bijection . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

13

1.3 Fonctions usuelles et à connaître . . . . . . . . . . . . . . . . .

14

1.3.1 Polynômes du second degré (? ? ?) . . . . . . . . . . .14

1.3.2 Fonctions puissance et racinen-ième (?) . . . . . . . .17

1.3.3 Fonctions polynomiales et fractions rationnelles . . . .

19

1.3.4 La fonction valeur absolue (?) . . . . . . . . . . . . . .21

1.3.5 La fonction logarithme (??). . . . . . . . . . . . . . . .22

1.3.6 La fonction exponentielle (??). . . . . . . . . . . . . . .2 3

1.3.7 Fonctions puissance (suite). . . . . . . . . . . . . . . .

24

1.4 Limite d"une fonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

26

1.4.1 Définitions précises . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

26

1.4.2 Opérations sur les limites (??) . . . . . . . . . . . . . .28

1.4.3 Continuité d"une fonction . . . . . . . . . . . . . . . .

29

1.5 Dérivée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

30

1.5.1 Dérivée en un point et fonction dérivée . . . . . . . . .

30

1.5.2 Calcul des dérivées (??) . . . . . . . . . . . . . . . . .32

1.5.3 Extremum (local) d"une fonction . . . . . . . . . . . .

33

1.6 Étude de fonctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

34

1.7 Modélisation de l"évolution d"un pathogène . . . . . . . . . . .

37

1.7.1 Premier cas :sur-linéaire . . . . . . . . . . . . . . . .39

1.7.2 Second cas :sous-linéaire . . . . . . . . . . . . . . .41

2 Probabilités 43

2.1 Espace de probabilité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

44

2.1.1 L"espace des observables

. . . . . . . . . . . . . . . .44

2.1.2 Les événements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

44

2.1.3 La probabilitéP. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .45

2.2 Probabilités discrètes finies, équiprobabilité . . . . . . . . . . .

47

2.2.1 Équiprobabilité sur les espaces finis . . . . . . . . . . .

48

2.3 Dénombrement : quelques rappels . . . . . . . . . . . . . . . .4 9

2.3.1 Arrangements et permutations . . . . . . . . . . . . . .

49

2.3.2 Indiscernabilité des objets : combinaisons . . . . . . . .

50

2.4 Indépendance et probabilités conditionnelles . . . . . . . . . .

52

2.4.1 Indépendance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

52

2.4.2 Probabilités conditionnelles . . . . . . . . . . . . . . .

53

2.5 Évaluation d"un risque de trisomie 21 et tests médicaux . . . .

57

Alphabet grec 63

TABLE DES MATIÈRES1

Le texte qui suit constitue un résumé du cours de mathématiques de première année. Il ne saurait se substituer à un exposé complet et commenté et encore moins à la pratique d"exercices d"application. Il servira néanmoins de référence pour tous les groupes et d"aide-mémoire en ce qui concerne les notions et outils de base. Ces notes de cours sont évidemment une version préliminaire et nous serions reconnaissant à tout lecteur de nous faire part des fautes qu"il y aura détectées à l"adresse suivante : apopier@univ-lemans.fr.

2TABLE DES MATIÈRES

Chapitre 1

Étude de fonctions

Démarrons cette partie en considérant le problème de l"enzymologie (cf. cours de troisième année). Une enzyme est une protéine (sauf rares excep- tions), qui augmente la vitesse des réactions chimiques, sans en modifier le résultat et dont la structure se retrouve inchangée à la fin de la réaction. Cette réaction chimique transforme une molécule appelée substratSen un produitP.La difficulté est de quantifier cette vitessevde réaction. Entre un instantt et un instantt+t, avectpetit, la concentration du produit créé par la réaction chimique varie deCP(t)àCP(t+t). Classiquement la vitesse se définit alors comme la variation de concentration, soit C

P(t+t)CP(t)(t+t)t:

Sittend vers 0, on aura une vitesse instantanéevégale à la dérivée de la concentration : v=C0P(t) =dCPdt (t): On voit apparaître des notions vues au lycée : fonction (du temps), dérivée, etc. Cette vitesse de réaction va varier au cours du temps : Elle dimin uequand la quan titéde subs tratdimin ue. 3

4CHAPITRE 1. ÉTUDE DE FONCTIONS

Si un équilib reest p ossibleen treSetP, elle tend vers zéro. Si le pro duitinhib el"enzyme, la concen trationde Paugmentant, l"ac- tivité de l"enzyme diminue et la vitesse de réaction diminue. On retrouve les notions mathématiques de fonction croissante, décroissante, etc. Ce qui est étudié par les biologistes n"est donc pas la vitesse de réaction au cours du temps, mais la vitesse initiale de la réaction chimiquevi. Au début du XX e, les biologistes Leonor Michaelis et Maud Menten ont proposé le modèle simple suivant appelé équation de Michaelis-Menten : (1.1)vi=VmaxCSK M+CS; avec -Vmaxla vitesse maximale de réaction, -CSla concentration en substrat, -KMla constante de Michaelis spéficique de l"enzyme. Habituellement de l"ordre de101à108. Le pourquoi chimique de cette formule sera vu en troisième année. En tant que fonction deCS,viest une fraction rationnelle (voir le paragraphe 1.3.3)

dont le graphe est le suivant pourVmax= 3:Expérimentalement si on veut déterminerKM, on remarque que sivi=

V max=2, alors V max=2 =VmaxCSK

M+CS,KM=CS:

Ceci donne un moyen graphique de trouverKM.

5 Néanmoins cette technique demande de connaître précisémentVmaxqui n"est que la limite de la vitesse initiale lorsque la concentration en substrat devient infinie! Or expérimentalement il est impossible d"augmenter cette concen- tration infiniment. Pour cela on effectue un changement de variable; on va exprimer1=vicomme fonction de l"inverse de la concentration1=CS: 1v i=KM+CSV maxCS=KMV maxCS+CSV maxCS=KMV max1C S+1V max: Ainsi l"inverse de la vitesse initiale est une fonction affine (ou polynôme de degré 1) de1=CS, dont l"ordonnée à l"origine est1=Vmaxet la pente est K M=Vmax. C"est la relation de Lineweaver et Burk (1934).D"autres représentations sont possibles : Eadie et Hofstee (195 2): viest linéaire en fonction devi=CS: v i=VmaxKMv iC S: Hanes (1932) : CS=viest linéaire en fonction deCS: C Sv i=KMV max+1V maxC S:

6CHAPITRE 1. ÉTUDE DE FONCTIONS

Si mathématiquement ces formules sont équivalentes, expérimentalement le tracé de Hanes est plus précis que Lineweaver et Burk. Enfin voici quelques remarques concernant la fonction donnée par la for- mule (1.1). Dérivons cette fonction : dv idC C"est donc une fonction croissante deCS. EtVmax=KMest la pente de la tangente à la courbe pourCS= 0. De plus siCS<0;01KM, autrement dit siCSest petite, alors la dérivée est quasiment constante et donc v ikCS; oùkest une constante. On dit que la vitesse de réaction est d"ordre 1 (propor- tionnelle à la concentration). Inversement siCSest très grande,CS>100KM, alorsviVmaxet la vitesse est d"ordre 0 (constante). Ceci permet de sim- plifier l"étude deviet de donner une idée satisfaisante devi. Le modèle de Michaelis-Menten est le plus simple pour décrire la vitesse de réaction initialevi. Il peut être ensuite compliqué pour tenir compte de différents aspects de la réaction chimique. Ainsi si un excès de substrat a tendance à inhiber la réaction, on introduit une constanteKi, constante d"inhibition, et l"équation (1.1) devient : v i=Vmax1 + KMC S+CSK i; ou en multipliant tout parCSdans la fraction : (1.2)vi=VmaxCSK

M+CS+C2SK

i:

C"est toujours une fraction rationnelle dont le graphe est :Le graphe montre queviatteint une valeur maximale pour une concentration

donnée, puis diminue jusqu"à tendre vers zéro si la concentrationCSdevient

1.1. RAPPEL : NOMBRES RÉELS7

infinie. Cherchons la concentrationCSqui maximisevi. On dérivevipar rapport àCS: dv idC

S=VmaxK

M+CS+C2S=KiCS(1 + 2CS=Ki)(KM+CS+C2S=Ki)2=VmaxK

iK

MKiC2S(KM+CS+C2S=Ki)2:

Cette dérivée s"annule pourCS=pK

MKiet alors la vitesse initiale maxi-

male est v i=Vmax11 + 2 pK

M=Ki< V

max: On voit donc sur ce problème d"enzymologie l"importance de savoir mani- puler, étudier et tracer les fonctions usuelles. C"est l"objet de cette première partie de cours.

1.1 Rappel : nombres réels

Au collège, puis au lycée vous avez rencontré les nombres réels sous des formes différentes. En voici quelques exemples.

Les nom bresentiers naturelsourelatifs.

Les nom bresdécimauxa10noùaetnsont des entiers relatifs; par exemple3105et13102sont des nombres décimaux. Les nom bresrationnels, c"est-à-dire de la formeab oùaest un entier relatif etbun entier positif non nul. Un nombre décimal est un nombre rationnel. Les nom bresdéfinis p arleur développement décimal, comme 0,33..., où les points de suspension signifient que toutes les décimales valent 3. Un autre exemple est -4,896461616161..., où les trois points signifient que la suite des décimales continue comme indiquée, c"est-à-dire en mettant alternativement 6 et 1. En général on ne voit pas sur les premières décimales de règle permettant de trouver les décimales suivantes. Ainsi le nombrequi est le rapport de la circonférence d"un cercle à son diamètre est représenté par un développement décimal illimité : = 3;1415926535897932384626433832795028841971693993751 Ici les points de suspension indiquent simplement qu"il n"y a pas "d"arrêt», ni de règle simple pour obtenir les décimales suivantes. En revanche les nombres décimaux ont un développement qui se termine par des zéros :13102=0;130000:::. La réciproque est vraie : si un développement décimal se termine par des zéros alors le nombre est décimal. Un nombre réel peut être représenté par un développement décimal. Mais il existe d"autres "représentations». Les nom bresdéfinis par des op érationsà partir d"autres nom bresréels ; ainsi 1+p5 2 ,3p7ou(137)(25).

8CHAPITRE 1. ÉTUDE DE FONCTIONS

Des nom bresparticuliers, fréq uentsutilisés en mathématiques (ou en physique, mécanique, etc.), qui ont une notation spéciale : le nombre ou encore le nombree, base du logarithme népérien.

Notations :dans tout ce cours,

-Nest l"ensemble des nombres entiers positifs ou nuls, -Zl"ensemble des entiers relatifs, -Dl"ensemble des nombres décimaux, -Ql"ensemble des nombres rationnels, -Rl"ensemble des nombres réels.

Ces ensembles vérifient

NZDQR:

Ceci signifie qu"un nombre entier positif est un nombre entier, que tout entier est décimal, tout décimal est rationnel, tout rationnel est réel. Autrement dit les ensembles sontinclusles uns dans les autres. Rappelons quelques notations utiles : Si Aest un sous-ensemble deR,x2Aindique que le nombre réelx appartient à l"ensembleA. Si AetBsont deux sous-ensembles deR,A[Bdésigne l"union des ensemblesAetB:A[Bcontient tous les éléments deAet tous les

éléments deB.

-A\Best l"intersection deAetB:A\Bcontient tous les éléments qui sont à la fois dansAet dansB. -Acest le complémentaire deA: les éléments qui sont dansAcsont exactement ceux qui ne sont pas dansA. On ne donnera pas ici de définition précise de l"ensembleR. Néanmoins les propriétés suivantes sont à connaître. Théorème 1.1Rest un corps commutatif qui contient le corps des nombres rationnelsQ. L"addition et la multiplication deRprolongent celles deQ. Ce théorème résume en deux phrases les règles de calcul suivantes, qui sont celles que vous avez toujours pratiquées : a+b=b+a;0+a=a; a+b= 0,a=b; a+(b+c) = (a+b)+c; ab=ba;1a=a; ab= 1,a= 1=b; a(bc) = (ab)c; a(b+c) =ab+ac; ab= 0,(a= 0oub= 0): On peut ajouter, soustraire, multiplier et diviser par un nombre réel différent de zéro, sans se soucier de l"ordre dans lequel sont effectuées les opérations.

L"ordre surR

Tout nombre réel non nul est (strictement) positif ou (strictement) né- gatif. On noteR+= [0;+1[l"ensemble des nombres réels positifs ou nul et

1.1. RAPPEL : NOMBRES RÉELS9

R =]1;0]les nombres négatifs ou nul. Siaetbsont deux nombres réels, on dit que Définition 1.1aestinférieur ou égal àbsi le nombrebaest positif ou nul. Cette relation se noteabouba. La seconde notation correspond en français à :best supérieur ou égal àa. Si abeta6=b, on dit queaest strictement plus petit queb, ce qui se note a < boub > a. Propriétés 1.1Rest muni d"une relation d"ordre, notée, qui satisfait par définition : -8x2R; xx(réflexivité), -8(x;y)2R2; xyetyx)x=y(anti-symétrie), -8(x;y;z)2R3; xyetyz)xz(transitivité),

De plus cette relation vérifie également

1. l"or dreest t otal,i. e.8(x;y)2R2; xyouyx; 2. la r elationd"or dreest c ompatibleave cl"addition et la multiplic ation:

8(x;y;z)2R3; xy)x+zy+z;

8(x;y)2R2;8z2R+; xy)xzyz:

On rappelle que siz0, alorsxy)xzyz: on " retourne » l"in- égalité. Lorsqu"on prend l"inverse d"une inégalité entre deux nombres ayant le même signe, alors on change le sens : siabetaetbsont non nuls et ont le même signe (sont tous les deux positifs ou tous les deux négatifs), alors 1a 1b On définitle plus grand nombre des nombres réelsaetben posant max(a;b) =bsiba asiab On définit de mêmemin(a;b),le plus petit des nombresaetb. L"ordre surRpermet également de définir la notion d"intervalle deR.quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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