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Dynamiques du développement en Afrique 2021

digitale de l'Afrique et des actions prioritaires mises en œuvre offrant ainsi des Vue d'ensemble des principales stratégies de l'Afrique.

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© 20

22 Fonds monétaire international

Rapport du FMI n° 22/8

SÉNÉGAL

RAPPORT DES SERVICES DU FMI POUR LES CONSULTATIONS DE

2021 AU TITRE DE L'ARTICLE IV, QUATRIÈME REVUE DU

PROGRAMME APPUYÉ PAR L'INSTRUMENT DE

COORDINATION

DE LA POLITIQUE ÉCONOMIQUE, PREMIÈRES REVUES AU TITRE

DE L'ACCORD DE CONFIRMATION ET DE L'ACCORD

AU TITRE DE

LA FACILITÉ DE CRÉDIT DE CONFIRMATION

ET DEMANDE DE

MODIFICATION DE CRITÈRES

DE RÉALISATION ET D'OBJECTIFS

QUANTITATIFS

Dans le contexte du rapport des services du FMI pour les consultations au titre de l'article IV et de la quatrième revue du programme appuyé par l'instrument de coordination de la politique économique, premières revues au titre de l'accord de confirmation et de l'accord au titre de la facilité de crédit de confirmation et demande de modification de critères de

réalisation et d'objectifs quantitatifs, les documents ci-après ont été publiés et sont inclus

dans le présent dossier : Un communiqué de presse comprenant une déclaration du président du conseil d'administration. Le rapport des services du FMI établi par une équipe des services du FMI pour examen

par le Conseil d'administration le 10 janvier 2022. Ce rapport a été établi à l'issue des

entretiens avec les autorités sénégalaises sur l'évolution et les politiques économiques du

pays qui sous-tendent l'accord conclu avec le FMI au titre de l'instrument de coordination de la politique économique, de l'accord de confirmation et de l'accord au titre de la facilité de crédit de confirmation, qui ont pris fin le 29 novembre 2021. La rédaction du rapport des services du FMI, qui repose sur les informations disponibles au moment de ces entretiens, a été achevée le

20 décembre 2021.

Une annexe d'information préparée par les services du FMI. Une analyse de viabilité de la dette préparée par les services du FMI et de la Banque mondiale. Un e déclaration de l'administrateur pour le Sénégal. La politique de transparence du FMI autorise la suppression, dans les rapports des services du

FMI et autres documents publiés, d'informations délicates au regard des marchés et d'informations qui divulgueraientde façonprém aturée les inten tionsde politique

économique des autorités.

Ce rapport peut être obtenu sur demande à l'adresse suivante :

International Monetary Fund Publication Services

PO Box 92780

Washington, D.C. 20090

Téléphone : (202) 623

-7430 Télécopie : (202) 623-7201 Courriel : publications@imf.org Web : http://www.imf.org

Prix : 18 dollars l'exemplaire imprimé

Fonds monétaire international

Washington, D.C.

Janvier 2022

©International Monetary

Fund. Not for Redistribution©International Monetary Fund. Not for Redistribution PR22/2 Le conseil d'administration du FMI achève la quatrième revue du programme appuyé par l'instrument de coordination de la politique économique (ICPE), et la première revue de l'accord de confirmation et de l'accord au titre de la facilité de crédit de confirmation (FCC), et conclut les consultations de 2021 au titre de l'article IV

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

Les indicateurs récents indiquent qu"une reprise robuste est en cours, tirée par la production industrielle, les services et les activités de vente au détail. Le nombre de cas de COVID-19 reste peu élevé par rapport à d"autres pays et environ 14 % de la population adulte est vaccinée. Les résultats enregistrés dans le cadre du programme restent satisfaisants. Parallèlement au programme appuyé par l"ICPE, l"accord de confirmation et l"accord au titre de la FCC

contribuent à soutenir les autorités dans leur riposte à la crise, à favoriser une reprise

généralisée, à mobiliser des financements concessionnels supplémentaires et à renfo

rcer la position extérieure de l"UEMOA. L"achèvement de la revue de l"accord de confirmation et de l"accord au titre de la FCC permet de décaisser 129,4 millions de DTS (environ 180
millions de dollars).

Le maintien de la stabilité macroéconomique, l"amélioration de la prestation des services publics, la suppression progressive des subventions à l"énergie, l"accroissement des investissements dans l"éducation et la protection sociale, ainsi que l"accélération des

réformes visant à éliminer les principaux obstacles au développement du secteur privé favoriseront une croissance vigoureuse, inclusive et porteuse d"emplois. Washington, le 10 janvier 2022. Aujourd'hui, le conseil d'administration du Fonds monétaire international (FMI) a achevé la quatrième revue du programme appuyé par l'instrument de coordination de la politique économique (ICPE) 1 et la première revue de l'accord de confirmation 2 et de l'accord au titre de la facilité de crédit de confirmation (FCC) 3 L'achèvement de la revue permet de décaisser 129,4 millions de DTS (environ 180 millions de dollars), ce qui porte le total des décaissements au titre des accords à 258,8 millions de DTS 1

L'instrument de coordination de la politique économique (ICPE) est un outil non lié à un financement qui est à la disposition de tous

les pays membres du Fonds monétaire international (FMI). Il permet aux autorités de manifester leur volonté de réforme et d'accélérer

la mobilisation de financements issus d'autres sources. La mise en place de l'ICPE s'inscrit dans l'action plus globale du FMI

consistant à renforcer le dispositif mondial de sécurité financière, un ensemble d'instruments d'assurance et de prêt que les pays

peuvent solliciter s'ils sont confrontés à une crise. 2

Lorsque leur économie est en crise, les pays ont souvent besoin de financement pour pouvoir surmonter leurs problèmes de balance

des paiements. Depuis sa création en juin 1952, l'accord de confirmation du FMI constitue le principal instrument de prêt à l'intention

des pays émergents et des pays avancés. Il a été réaménagé en 2009, au même titre que l'ensemble des instruments du FMI, pour lui

donner plus de souplesse et ainsi mieux répondre aux besoins des pays membres. Les conditions ont été rationalisées et simplifiées,

et les pays bénéficiaires disposent d'emblée de davantage de fonds. En outre, les nouvelles modalités élargissent les possibilités d'un

niveau d'accès élevé à titre de précaution. 3

La facilité de crédit de confirmation (FCC) fournit une aide financière aux pays à faible revenu qui ont des besoins immédiats sur le

plan de la balance des paiements. La FCC a été créée comme guichet du fonds fiduciaire pour la réduction de la pauvreté et pour la

croissance (fonds fiduciaire RPC) dans le cadre d'une réforme plus large visant à assouplir le soutien financier du FMI et à

mieux

l'adapter aux besoins divers des pays à faible revenu, notamment en période de choc ou de crise.

©International Monetary

Fund. Not for Redistribution

(environ 360 millions de dollars). Approuvé le 10 janvier 2020, le programme triennal appuyé

par l'ICPE du Sénégal repose sur trois piliers : i) réaliser une croissance inclusive et tirée par

le secteur privé, ii) consolider la stabilité macroéconomique au moyen d'une politique budgétaire prudente et d'une saine gestion de la dette, et iii) gérer de façon durable et transparente les recettes tirées du pétrole et du gaz (voir le communiqué de presse n° 20/06

L'accord combiné de 18

mois conclu avec le Sénégal au titre du mécanisme des accords de confirmation et de la FCC pour un montant total équivalant à 140
% de sa quote-part a été approuvé le 7 juin 2021 dans le but d'accompagner la riposte des autorités à la crise de la COVID-19, de mobiliser des financements concessionnels supplémentaires et de renforcer la position extérieure de l'UEMOA (voir le communiqué de presse n°

21/259). Les autorités

tiennent leurs engagements s'agissant de la transparence sur les dépenses liées à la

COVID-19 : elles ont publié des rapports d'exécution budgétaire détaillés, les résultats d'un

audit spécial portant sur le fonds COVID-19 et ceux d'un audit consacré à la conformité des

procédures de passation de marchés liés à la COVID-19. Le rapport final de la Cour des

comptes sur le budget 2020 et l'exécution des dépenses liées à la COVID-19 est attendu pour

mars 2022.

À l'issue des délibérations du conseil d'administration, M. Okamura, directeur général adjoint

et président par intérim, a fait la déclaration ci-après : " La pandémie de COVID-19 a mis un coup d'arrêt à la forte croissance et aux progrès en

matière de développement enregistrés depuis une décennie au Sénégal. Elle a été à l'origine

de graves difficultés pour de nombreux ménages, même si la riposte énergique des autorités

a atténué ses répercussions sur l'économie sénégalaise, qui est désormais sur la voie d'une

reprise vigoureuse.

Les perspectives sont favorables, à condition que les risques et la vulnérabilité croissante

soient bien gérés. Les perspectives risquent d'être révisées à la baisse, notamment en raison

des incidences persistantes de la pandémie, de l'augmentation des cours du pétrole, de

l'instabilité de la situation sécuritaire dans la région, d'une mise en œuvre ralentie des

réformes, et de retards dans le lancement de la production de pétrole et de gaz. La dette publique ayant continué d'augmenter ces dernières années, il convient de suivre avec attention les risques qui pèsent sur la viabilité de la dette. Appuyé par l'instrument de coordination de la politique économique, l'accord de confirmation et l'accord au titre de la facilité de crédit de confirmation, le programme de réformes des

autorités reste approprié pour atteindre les objectifs du programme, à savoir promouvoir une

croissance forte et inclusive, tout en préservant la stabilité macroéconomique et en maîtrisant

les risques pesant sur la viabilité de la dette. La politique budgétaire doit rester ancrée par un équilibrage crédible, fondé sur l'augmentation des recettes et axé sur l'objectif d'un déficit de 3 % du PIB d'ici 2024, conformément aux engagements pris au sein de l'UEMOA. La communication et la mise en œuvre de la stratégie

de mobilisation des recettes à moyen terme seront essentielles à cet égard, de même que des

mesures destinées à limiter les subventions aux carburants, qui doivent s'accompagner d'une protection des groupes vulnérables.

La réalisation d'une croissance plus inclusive nécessitera également d'améliorer davantage le

climat des affaires, de renforcer le dispositif de protection sociale, d'élargir l'accès à une

éducation de qualité et de lutter contre le chômage des jeunes. L'allocation de DTS dégage

des marges de manœuvre pour soutenir la protection sociale, le secteur de la santé et la reprise économique. Les réformes en cours visant à améliorer la gestion des finances

publiques contribueront à renforcer l'efficacité et la transparence des dépenses, en particulier

©International Monetary

Fund. Not for Redistribution

celles liées aux DTS.

Bien que le système financier ait résisté à la pandémie, il convient de corriger des faiblesses

de longue date, notamment celles du cadre de la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, et d'accélérer les réformes visant à promouvoir l'inclusion financière. » Le conseil d'administration a également achevé les consultations de

2021 au titre de

l'article IV 4 avec le Sénégal. Une reprise vigoureuse est en cours depuis mi-2020, tirée par la production industrielle et le

secteur tertiaire, si bien que la croissance de 2021 a été révisée à la hausse, de 3 ½ % à

environ 5 %. La reprise devrait se poursuivre en 2022 et au-delà, et la production de pétrole et de gaz lui donnera un coup de fouet temporaire au cours de la période

2023-24.

La deuxième loi de finances rectificative

pour l'année 2021 intègre de nouvelles dépenses

exceptionnelles liées à l'utilisation d'environ deux tiers de l'allocation de DTS du Sénégal

(0,9 % du PIB) pour soutenir la reprise ainsi que renforcer la protection sociale et le secteur de la santé, notamment la production de vaccins dans le pays. Conjugué à des dépenses supplémentaires consacrées aux subventions à l'énergie, cela portera le déficit 2021 à 6,3 % du PIB. La dette du secteur public du Sénégal devrait atteindre 73 % du PIB en 2021 avant de diminuer progressivement pour pa sser au-dessous de 60 % du PIB. Le déficit du compte des transactions courantes en

2021 devrait se creuser à 10,6 % du PIB puis diminuer à environ

5 % du PIB à moyen terme Le système financier a bien résisté à la pandémie, grâce en partie

à la politique accommodante de la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO), qui a notamment fourni des liquidités supplémentaires aux banques.

Les perspectives laissent entrevoir le maintien d'une activité plus vigoureuse, parallèlement à

l'atténuation des répercussions de la pandémie, mais elles sont entourées de fortes

incertitudes et risquent d'être révisées à la baisse. Les risques concernent des flambées

successives de COVID-19, une détérioration de la situation sécuritaire dans la région, des

retards dans le démarrage de la production de pétrole et de gaz, et une hausse rapide des taux d'intérêt au niveau mondial.

Évaluation du Conseil d'Administration

5

Les administrateurs souscrivent à l'orientation générale de l'évaluation effectuée par les

services du FMI. Ils félicitent les autorités pour leur riposte vigoureuse à la pandémie et

l'avancement des réformes dans le cadre des programmes appuyés par le FMI. Les administrateurs conviennent que les paramètres fondamentaux de la croissance restent

solides, bien que les perspectives risquent d'être révisées à la baisse. Ils incitent les autorités

à mettre en oeuvre leur programme de réformes avec détermination afin de poser les fondations d'une croissance vigoureuse, inclusive et durable. Les administrateurs avertissent que la politique budgétaire doit rester ancrée par le critère de 4

Conformément aux dispositions de l'article IV de ses Statuts, le FMI procède, habituellement chaque année, à des consultations

bilatérales avec ses pays membres. Une mission des services du FMI se rend dans le pays, recueille des données économiques et

financiè

res, et s'entretient avec les responsables nationaux de l'évolution et des politiques économiques du pays. De retour au siège

les membres de la mission rédigent un rapport qui sert de cadre aux délibérations du conseil d'administration.

5

À l'issue des délibérations, la directrice générale, en qualité de présidente du conseil d'administration, résume les vues des

administrateurs, et ce résumé est communiqué aux autorités du pays. On trouvera une explication des termes convenus utilisés

comm unément dans les résumés des délibérations du conseil d'administration à l'adresse

©International Monetary

Fund. Not for Redistribution©International Monetary Fund. Not for Redistribution convergence de l'UEMOA qui limite le déficit budgétaire à 3 % du PIB à l'horizon 2024. Compte tenu de la réduction de l'espace budgétaire et de l'augmentation de la dette publique,

ils conviennent qu'un rééquilibrage budgétaire à moyen terme axé sur les recettes sera

essentiel pour favoriser la stabilité macroéconomique, atténuer la vulnérabilité liée à la dette

et renforcer la stabilité extérieure de l'UEMOA. Il est par ailleurs capital de limiter les

subventions à l'énergie afin de dégager de l'espace budgétaire en faveur d'autres dépenses

prioritaires. À cet égard, les administrateurs se félicitent qu'une augmentation des dépenses

sociales soit déjà prévue au budget 2022. Les administrateurs encouragent les autorités à

privilégier les emprunts concessionnels et soulignent qu'une amélioration de la gestion de la dette publique aidera à préserver la viabilité de la dette. Les administrateurs saluent les progrès accomplis sur les mesures de bonne gouvernance

s'agissant des dépenses liées à la COVID-19. Ils soulignent la nécessité de poursuivre la

mise en oeuvre des réformes de la gestion des finances publiques afin d'améliorer la

transparence et l'efficacité des dépenses, en réduisant notamment le recours aux contrats de

marchés publics sans appel d'offres. Les administrateurs indiquent qu'une plus grande portion de l'allocation de DTS aurait pu être utilisée pour atténuer les risques budgétaires, tout en

insistant sur l'importance de veiller à la transparence et à la responsabilité s'agissant des

dépenses liées aux DTS. Les administrateurs saluent le programme de réformes structurelles des autorités. Ils convienn ent que l'accélération de sa mise en oeuvre et la réalisation d'une croissance plus inclusive exigeront d'améliorer davantage le climat des affaires, de renforcer le dispositif de

protection sociale, d'élargir l'accès à une éducation de qualité et de lutter contre le chômage

des jeunes. Les administrateurs prennent note des retombées bénéfiques pour la croissance qui

découleront du lancement de la production de pétrole et de gaz. Ils encouragent les autorités

à parachever le cadre budgétaire pour la gestion des recettes issues du pétrole et du gaz en amont de la préparation du budget 2023, et à communiquer les projections de recettes en toute transparence. Les administrateurs conviennent que le système financier reste globalement sain. Ils prônent

des mesures décisives visant à améliorer l'inclusion financière, à s'attaquer aux poches de

vulnérabilité restantes et à limiter les risques budgétaires engendrés par les institutions

financières en difficulté. Les administrateurs soulignent également l'importance de remédier

aux défaillances du cadre de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme afin d'éviter des répercussions économiques néfastes. Il est prévu que la prochaine consultation avec le Sénégal au titre de l'article

IV se déroulera

dans les 24 mois, conformément à la décision du conseil d'administration sur le cycle des consultations pour les pays membres ayant conclu un accord avec le FMI.

©International Monetary

Fund. Not for Redistribution

Tableau 1. Sénégal : principaux indicateurs économiques et financiers, 2019-26

2019 2020 2021 2022 2023 2024 2025 2026

Prel. EBS/21/44 Est. EBS/21/44 Proj. EBS/21/44 Proj. Projections

Revenu national et prix

PIB à prix constants 4.4 1.5 1.5 3.7 5.0 5.5 5.5 9.5 10.3 5.4 5.5 Dont: PIB hors hydrocarbures 4.4 1.5 1.5 3.7 5.0 5.5 5.5 5.9 6.0 6.0 6.0 Dont: PIB hydrocarbures ... ... ... ... ... ... ... ... 137.1 -3.1 -2.4 Dont: PIB hors agriculture 4.4 -0.8 -0.8 3.8 5.1 5.6 5.5 10.2 11.2 6.1 6.0 Déflateur du PIB 1.9 2.3 2.3 1.9 2.5 2.1 2.3 2.0 1.8 1.9 1.9

Prix à la consommation

Moyenne annuelle 1.0 2.5 2.5 2.0 2.5 2.0 2.5 1.5 1.5 1.5 1.5 Fin de période 0.6 2.4 2.4 2.2 3.6 1.7 1.5 0.8 2.1 1.0 1.9

Secteur extérieur

Exportations, f.à.b. (francs CFA) 15.5 -10.5 -7.1 6.4 17.1 16.2 9.6 20.4 33.8 4.8 2.3 Importations, f.à.b. (francs CFA) 6.2 -6.7 -6.1 11.5 12.7 6.7 8.1 11.5 12.9 6.5 4.1 Volume des exportations 18.8 -7.2 -1.7 2.8 -1.5 15.2 7.9 29.0 39.2 5.6 3.4 Volume des importations 3.9 3.9 1.0 3.5 3.9 13.0 8.6 11.4 7.6 8.0 4.2

Termes de l'échange ("-" =

détérioration) -4.8 7.4 1.7 -3.8 9.6 6.8 2.0 -6.8 -8.4 0.6 -1.0 Taux de change effectif nominal -1.3 ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... Taux de change effectif réel -1.8 ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... Monnaie au sens large 8.2 12.4 12.3 6.2 15.3 8.6 13.0 ... ... ... ... Avoirs intérieurs nets 7.4 14.4 16.4 7.6 9.3 10.7 11.1 ... ... ... ... Crédit à l'État (net) 1.7 15.4 15.4 2.3 7.0 4.0 7.1 ... ... ... ... Crédit à l'économie (net) 6.1 1.2 1.2 5.9 3.7 7.9 5.1 ... ... ... ...

Opérations financières de l'État

Recettes 20.4 20.0 20.0 20.2 20.4 21.0 21.0 21.4 21.7 22.9 23.8

Dons 1.6 2.3 2.3 1.9 1.5 2.1 1.8 1.8 1.6 1.5 1.5

Dépenses totales et prêts nets 24.3 26.4 26.4 25.7 26.7 25.2 25.7 25.1 24.7 25.9 26.9

Solde budgétaire global

Base ordres de paiement,

dons exclus -5.5 -8.7 -8.7 -7.4 -7.9 -6.3 -6.6 -5.5 -4.6 -4.5 -4.5

Base ordres de paiement,

dons inclus -3.9 -6.4 -6.4 -5.4 -6.3 -4.2 -4.8 -3.7 -3.0 -3.0 -3.0

Capacité de financement (hors

SENELEC/DSSI) -3.1 -6.3 -6.3 -5.1 -6.0 -4.0 -4.5 -3.7 -3.0 -3.0 -3.0 Solde budgétaire primaire -1.9 -4.3 -4.3 -3.3 -4.2 -2.1 -2.6 -1.6 -1.0 -1.0 -1.0

Épargne et investissement

Solde courant (transferts officiels

inclus) -8.1 -10.5 -10.0 -11.3 -10.6 -10.5 -9.4 -7.2 -4.0 -4.4 -4.4

Solde courant (transferts officiels

exclus) -8.4 -11.9 -11.5 -11.8 -10.8 -11.1 -9.8 -7.6 -4.3 -4.6 -4.6 Investissement intérieur brut 31.9 30.6 32.9 32.4 33.7 33.1 32.4 34.4 31.9 30.8 29.4

Publique

2

6.3 6.9 6.9 7.1 7.7 7.6 8.0 7.7 7.7 7.8 7.9

Non publique 25.7 23.8 26.0 25.3 26.0 25.6 24.4 26.8 24.2 22.9 21.5 Épargne nationale brute 23.8 20.2 22.8 21.1 23.1 22.6 23.0 27.3 27.9 26.4 25.1 Publique 6.7 5.7 4.8 5.7 4.8 6.2 5.0 4.7 4.9 5.6 6.0 Non publique 17.1 14.5 18.0 15.4 18.3 16.5 18.0 22.6 23.0 20.8 19.1

Dette publique totale

3

63.8 68.7 68.8 70.9 73.0 69.9 71.6 67.7 63.1 61.5 60.0

Dette publique intérieure

4

11.0 14.6 14.7 14.0 15.1 13.3 14.4 14.3 13.6 14.6 15.0

Dette publique extérieure 52.8 54.1 54.0 56.9 57.9 56.6 57.2 53.4 49.5 46.8 45.0

Service de la dette publique

3

En pourcentage des recettes

publiques 22.1 25.4 25.5 20.4 25.3 23.8 26.9 26.6

26.2 27.3 29.9

Pour mémoire

Produit intérieur brut (milliards de

FCFA)

13,655 14185

14,185 14998

15,273 16,159

16,485

18,415

20,668

22,200

23,857

Dont non-hydrocarbures

(milliards de FCFA)

13,655 14185

14,185 14998

15,273 16,159

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