[PDF] Plan de conférence sur les archives privées universitaires





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Mesures transitoires et bonnes pratiques de gestion des documents

Jun 10 2009 Mesures transitoires et bonnes pratiques de gestion des documents numériques. Proposées et adoptées par le. Sous-comité des archivistes.



Mesures transitoires et bonnes pratiques de gestion des documents

Mesures transitoires et bonnes pratiques de gestion des documents numériques. Proposées par le Sous-comité des archivistes. Février 2009 



Plan de conférence sur les archives privées universitaires

La pratique archivistique dans les universités québécoises appliquer la Politique de gestion des documents inactifs adoptée en 1991



Gestion des courriels : stratégies technologies et bonnes pratiques 1

Mesures transitoires et bonnes pratiques de gestion des documents numériques. Proposées et adoptées par le Sous-comité des archivistes. Conférence des recteurs 



vol. 42 no 2 Document numerique

documents numériques et les développements archivistiques qu'elles ont suscités. Mesures transitoires et bonnes pratiques de gestion des documents.



Les défis de l« âge numérique »

développent et implantent leur programme de gestion des documents numériques sur la base du système et du plan d'action proposés dans le présent rapport 



RAPPORT FINAL

Mar 23 2018 La 12e session du Sous-comité du programme



Fonds darchives de la Cie Philippe Saire: guide pour la mise en

Elle est garante non seulement de la bonne gestion des documents mais aussi de la 3) Mesures proposées dans la politique de conservation.



Institutions nationales pour les droits de lhomme — Historique

Dec 18 2008 des expériences et échangé de bonnes pratiques sur leur dialogue avec le ... Le droit aux INDH de faire paraître des documents sous leur ...



DIRECTIVE (UE) 2019/ 790 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU

May 17 2019 (2). Les directives qui ont été adoptées dans le domaine du droit d'auteur et des droits voisins contribuent au fonction nement du marché ...



Guide des bonnes pratiques en gestion des documents numériques

En attendant afin de commencer dès maintenant à gérer vos documents numériques le service des archives et de la gestion documentaire (SAGD) a mis en place des bonnes pratiques en gestion des documents numérique L’application de ces bonnes pratiques vous servira d’étape préparatoire et

1 Les archives universitaires, un apport pour la communauté La pratique archivistique dans les universités québécoises Je vous remercie de votre invitation à venir prendre la parole devant vous dans le cadre place ne politique d'archives globale permis de réfléchir encore plus à la question de la gestion des archives universitaires et de mettre en perspective Au cours de cette conférence, après avoir brossé un tableau des fondements légaux et poursuivrais en examinant les liens possibles entre archivistes et bibliothécaires et terminerais en vous faisant part de notre expérience en matière de gestion des archives numériques.

Fondements légaux

Au Canada, qui est comme la Suisse, un état fédéré, la gestion des archives est une juridiction partagée. Les archives des organismes fédéraux sont régies par la Loi sur la Bibliothèque et les Archives nationales du Canada (L.C.2004, c. 11). Loi sur les archives (L.R.Q. chap. A-21.1) adoptée pour la première fois le 31 mars 1983 et modifiée à quelques reprises depuis, qui détermine le cadre légal de la gestion des archives publiques et privées. La loi québécoise offre un certain nombre de similitudes avec la Loi sur les archives publiques du Canton de

Genève (LArch) que ce soit au niveau ou

de ses principes. La loi québécoise offre un certain nombre de similitudes avec la Loi sur les archives publiques du Canton de Genève (LArch) que ce soit au niveau de ses définitions, de son de ses principes. Comme dans le cas de la Loi genevoise, correspond aux établissements et corporations de droit public cantonaux et communaux.1 Du côté québécois, la nomenclature des organismes réputés publics se i qui décline, en sept paragraphes répartis entre trois catégories, la liste des organismes visés : dans un premier temps les ministères et les 2 organismes gouvernementaux ainsi que les tribunaux, ensuite, le Lieutenant-gouverneur et finalement, les organismes du secteur municipal, ceux des transports publics, les établissements de santé et, finalement, ceux du domaine de décentralisés. Comme votre Loi sur les archives publiques du Canton de Genève, la Loi sur les dans son application, Cette inclusion a été renforcée par le lien fait entre la Loi sur les archives et une nouvelle législation adoptée en 2001, la Loi concernant le cadre juridique des (L.R.Q., chap. C-1.1). Lde cette loi était ivalence juridique et fonctionnelle aux documents quel Cette loi, originale par son contenu offre une vision actualisée du terme " document » : " Un document est constitué d'information portée par un support. L'information y est délimitée et structurée, de façon tangible ou logique selon le support qui la porte, et elle est intelligible sous forme de mots, de sons ou d'images. L'information peut être rendue au moyen de tout mode d'écriture, y compris d'un système de symboles transcriptibles sous l'une de ces formes ou en un autre système de symboles2. » Cette Loi va encore plus loin en assimilant les bases de données aux documents : " Pour l'application de la présente loi, est assimilée au document toute banque de données dont les éléments structurants permettent la création de documents par la délimitation et la structuration de l'information qui y est inscrite.3 »

La propose aussi la

notion de " document technologique » comme étant un document dont le support fait appel aux technologies de l'information. À compter de 2001, cette nouvelle définition du terme document devient celle de la Loi sur les archives, renforçant, si besoin était, la resp leurs documents numériques. Responsabilité des universités en matière de gestion des archives

publics décentralisés lui confère la responsabilité de ses archives pendant tout le cycle

de vie de ses documents, de leur création à leur élimination ou leur conservation 3 La loi québécoise se distingue cependant de la Loi sur les archives publiques du Canton de Genève les universités à élaborer, tenir à jour et appliquer un calendrier de conservation, souvent appelé de ce côté-" tableau de tri », " tableau de gestion », ou " ». Ce calendrier détermine, pour chaque série de documents, la durée de conservation aux stades actif et semi-actif, de même que le support de conservation et la disposition finale au stade inactif4, soit la La Loi oblige aussi ces universités à se doter urs documents actifs et semi-ils doivent appliquer la Politique de gestion des documents inactifs adoptée, en 1991, par le gouvernement. Cette dernière politique module les obligations et responsabilités selon le type ceux la Loi sur les archives, obligations qui leur sont conférées soit : " selon le cas, [de] conserver ou éliminer ses documents inactifs conformément [à leur ] son calendrier de conservation approuvé s'assurer que ses archives sont classées et décrites de façon satisfaisante, c'est-à-dire qu'elles sont clairement identifiables et repérables dans un délai raisonnable. s'assurer que ses archives sont entreposées dans des conditions de conservation adéquates. assurer l'accès à ses archives en établissant des modalités de consultation souples et adaptées aux besoins de son milieu tout en respectant les exigences de la Loi sur l'accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels5. » La p canadiennes

Plusieurs

la Loi sur les archives en 1983, pour se préoccuper de la gestion de leurs archives. universitaire Montréal emboîte le pas en 19666. s le modèle de gestion des archives pratiqué 4 archives telle que nous la connaissons au Québec : une vision intégrée de record management » anglo-saxon et la personnels en 1982 puis à la Loi sur les archives , a eu un " impact majeur sur la gestion documentaire en obligeant tous les organismes assujettis y

compris les université, à se doter de systèmes administratifs adéquats7. » On peut donc

s de gestion des archives à presque 30 ans, ce qui est relativement récent. Il faut cependant relativiser les choses en se rappelant que les universités elles-mêmes remonte tout au plus à ne sont nées au début des années 19708.

Avec ses 71 530 étudiants de

Montréal est la plus grande université francophone du Québec. Créée en 1876 comme elle-même située dans la ville de Québec, Université alors catholique, obtient de Rome un rescrit qui lui accorde son autonomie en 1919. Cette décision devait se concrétiser dès que la corporation se se charte laïque, ce qui fut fait le 14 février 1920, il y a donc maintenant quatre-vingt-dix ans. théologie), "

(médecine vétérinaire), chirurgie dentaire et pharmacie qui, avec les années, obtiendront

le statut de facultés; ainsi que de nouvelles facultés, philosophie, lettres et sciences 9» Écoles affiliées, (HEC-Montréal et Polytechnique), 2 000 professeurs et chercheurs,

1 800 professeurs de clinique, près de 1 500 chargés de cours et de clinique, et plus de

3 000 employés répartis dans près de 200 unités administratives, dont un Service de la

gestion de documents et des archives (SGDA)10. premiers travaux de ce Service furent consacrés à : 5 " a) [la] réunion de la documentation administrative dispersée en maints endroits ; b) [au] triage et [à imination de papiers inutiles ; c) [au] classement sommaire et [au] regroupement des archives courantes et historiques ; d) [au] classement ordonné des livres, publications des professeurs et annuaires des universités dans la bibliothèque ; e) [et à aménagement [puis au] déménagement des locaux11. » centrale des archives » se résumait à 4 personnes, y -même. Son mandat consistait alors à recueillir, classifier, conserver, repérer et reproduire, lorsque requis, les documents officiels de l'Université. En fait, il constituait en quelque sorte, le greffe du Secrétariat général. a) [le] dépouillement et indexation des procès-verbaux des instances décisionnelles

Université ;

b) des documents essentiels ; c) [et la] papiers » des anciens officiers.

La Commission Deschênes

aussi

mandat afin que soit créé " un véritable dépôt central [des] archives afin de répondre

adéquatement à un besoin de plus en plus grand de demandes de renseignements12. » Ce projet est repris et développé dans un mémoire déposé le 27 mai 1969 à la sous le nom de " Commission Deschênes ». Le mémoire, qui sera accueilli favorablement, contient douze recommandations qui ont formé la base du mandat de notre Service depuis lors.

Entre autres choses,

archives, présidée par le Secrétaire général. Cette Commission a été créée le 21

septembre 1970 avec le mandat ques relatives aux archives que le Service avait pour mandat de faire appliquer. Composée du Secrétaire général qui la comprend aussi des représentants des secteurs académique et administratif et un

étudiant.

6 Le rôle de la Commission a été déterminant pour faire accepter des décisions qui venaient bouleverser des façons de faire dans les unités. La légitimité de cette Commission des archives qui reposait en grande partie sur sa représentativité, le 15 février 1973, le Comté exécutif obligeait, par règlement, toutes les unités administratives et académiques, à verser au Service des archives " tous les documents ou série de documents antérieurs au 1er charte actuelle13. » On se doute bien même enthousiasme dans toutes les unités. Quelques unes, parmi les plus anciennes ont opposé une certaine résistance. La présence au sein de la Commission des archives représentant des doyens et du secrétaire général a alors permis

Politique sur la gestion des documents et l

En 1973, la Commission des archives adopte quatre règlements concernant les archives définit ce qui fait partie des archives soit, " -ci est le la Commission des archives a autorité sur ceux-ci, soit de façon absolue, soit en conformité avec les contrats ou ententes par lesquels ces documents ont l14. ». Ces quatre règlements ont bien sûr évolué, se sont fusionnés en un seul pour finalement se transformer, en 2007, en une Politique sur la gestion de documents et les (la Politique). Comme les versions antérieures des règlements, cette politique " vise les documents sur support papier ainsi que ceux faisant appel à des ectif la gestion sécuritaire et

15 ».

La Politique

légal à Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) et à Bibliothèque et Archives Canada (BAC). La Politique indique en outre, que les travaux de tous genres par les étudiants font partie 7 " Nonobstant le paragraphe précédant, les travaux tels que manuscrits de livres, inventions etc. ne sont pas considérés de plein droit comme partie des archives

16. »

Cette nuance apparaissait déjà dans la première version des règlements concernant les archives adoptés en 1973. De plus, la Politique stipule documents de source privée qui viennent compléter la mémoire institutionnelle et qui che. universités québécoises.

Modèle de gestion des archives universitaires

Dans un article publié en 1977 dans la revue Janus, intitulé : " Dis-moi ce que tu collectes, je te dirai qui tu es. Peut-on définir un modèle unique de collecte pour les archives des universités ? », Marcel Caya, identifiait trois modèles de collecte et partant de là, de gestion des archives universitaires : le modèle administratif, le modèle académique et le modèle mixte. 17

Modèle administratif, académique ou mixte

spécialisées, un centre de documentation ou un service externe , le soin de collecter les archives de recherche y compris les fonds de ses professeurs et chercheurs. pourrait se limiter à la

Au milieu, et qui réfère à la

notion . Celle-ci embrasse à la fois les archives administratives, dont la collecte est basée conservation, non-institutionnelles qui complètent la mémoire institutionnelle " en vue de soutenir le

18. »

8 grande majorité des universités au Québec et au Canada, même si dans certaines universités anglophones se côtoient un service qui a le mandat de gérer les archives institutionnelles et non institutionnelles privées, selon un : archives institutionnelles ou archives privées ? soulève pas de discussions, il en est tout autrement de celle des archives produites par le personnel enseignant. Peut- on, doit-on, les considérer comme des archives institutionnelles, donc publiques, ou comme des archives non-institutionnelles et donc privées ? Tous les documents produits par des professeurs et des chercheurs sont-ils de la même espèce ou est-ce possible une certaine distinction et si oui, laquelle ? la lecture de certains documents officiels nous aide à effectuer cette distinction. Outre la Politique sur la gestion de documents et les archives évoquée plus haut, la la propriété intellectuelle adoptée en 1994, offre un pour déterminer si tous les documents produits par un professeur dans le cadre de ses fonctions de recherche font partie des archives institutionnelles. Cette Politique fait une distinction entre les " produits universitaires » et les " produits personnels », les premiers désignant : par un che que locaux, équipement, fournitures ou aide technique, professionnelle, " produit personnel.19 »

Cette même Politique : "

sont traitées comme des produits personnels et un professeur intention de publier [... à moins que cette publication ne] donne lieu à des retombées commerciales20. » 9

Les archives associées : origine du concept

installations, des infrastructures de recherche ou des conditions de recherche offertes

à ses de

, au milieu des années 1990 concept de mémoire associée : " Ni totalement institutionnelles, ni tout à fait privées, ensembles documentaires mémoire organique et consignée institutionnelle21. » Conçue dans le cadre de ses études doctorales portant sur la mémoire organisationnelle appliquée au Mouvement Desjardins22, la notion de mémoire associée, a été étudiée visant

à préciser ce concept23.

Dans ces travaux, madame Cardin identifie plusieurs types de mémoire institutionnelle : la mémoire coutumière, pragmatique et expressive. La mémoire coutumière est celle qui les HQFDGUHPHQWDGPLQLVWUDWLI>quotesdbs_dbs43.pdfusesText_43
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