[PDF] [PDF] Lopposition répond à Lionel Jospin





Previous PDF Next PDF



Comment supprimer les virus de notre bio-ordinateur - Fnac

virus de notre bio-ordinateur Mustapha Mezzine psychiques de notre ordinateur biologique (notre et surtout les croyances limitatives (les virus



LES VIRUS PSYCHIQUES Mustapha MEZZINE - Bookelis

Mustapha MEZZINE « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « Nous sommes éduqués à croire et non à savoir la croyance peut être manipulée



[PDF] LA RESILIENCE DES ENTREPRISES AFRICAINES FACE - CGECI

dédiée au Secteur Privé Ivoirien la CGECI Academy a fait son Crise politique et sécuritaire : Comment les PME peuvent s'adapter



[PDF] Laccompagnement à lauto-réhabilitation du logement « tous publics

réaffirme ainsi sa maîtrise même relative sur son espace de vie » Mustapha Berra et Daniel Pinson « L'auto-réhabilitation comme reconstruction de 



[PDF] A chacun ses méthodes pour améliorer la qualité du vin - RERO DOC

2 oct 2012 · Larousse décrypte comment lui et son doigts crispés sur le clavier de son ordi! Patrick Par Anne Noschis auteure de la biographie



[PDF] A 9 ans Grégoire Huguenin accumule les titres de champion

27 oct 2011 · et champion romand 2011 dans sa catégorie Le kart c'est un virus qui a mordu toute la famille! 9000 tests par ordinateur



[PDF] histoire des sciences médicales - BIU Santé

Comment Charcot a obtenu sa chaire par le Pr Toby GELFAND 307 Charcot dans le sillage de Rayer par le Pr Jean THÉODORIDÈS



[PDF] Lopposition répond à Lionel Jospin

17 sept 1997 · son apparence frêle a des effets redoutables par le second co-premier ministre Hun Sen pour éliminer du gouverne- Comment s'in-



Comment supprimer les virus de notre bio-ordinateur

expliquer le fonctionnement du cerveau est de la comparer à un ordinateur Vue ce cher bio-ordinateur que nous possédons et qui nous gère en permanence je trouve que c’est à notre devoir de le protéger des virus psychologiques pour lui permettre de fonctionner correctement Donc il est préférable d’investir un peu de notre

LeMondeJob: WMQ1709--0001-0 WAS LMQ1709-1 Op.: XX Rev.: 16-09-97 T.: 11:21 S.: 111,06-Cmp.:16,13, Base : LMQPAG 53Fap:99 N

o :0572 Lcp: 196 CMYK

En Allemagne,

Helmut Kohl

relance l'offensive pour l'euro

CINQUANTE-TROISI¼ME ANNðE ± N

o

16372 ± 7,50 FFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MðRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIMERCREDI 17 SEPTEMBRE 1997

Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 9 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 45 FB ; Canada, 2,25 $ CAN ;Cþte-d'Ivoire, 850 F CFA ; Danemark, 14 KRD ;Espagne, 220 PTA ; Grande-Bretagne, 1£ ; Gr˜ce,400 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 2900 L ; Luxembourg,46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norv˜ge, 14 KRN ; Pays-Bas,3 FL ; Portugal CON., 250 PTE ; R•union, 9 F ;S•n•gal, 850 F CFA ; Su˜de, 15 KRS ; Suisse, 2,10 FS ;Tunisie, 1,2 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.

+ 70 % EN 6 ANS

7961 359

1990 1996

Temps partiel Ç involontaire È

LE MONDE INITIATIVES

a27 pages d'offres d'emplois aDemandez le deuxième cahier

International......... 2

France........... 6

Société..........10

Régions...........13

Horizons..........14

Carnet.............17

Entreprises..........18

Finances/marchés.... 20

Aujourd'hui......... 22Annonces classées... 23

Jeux................. 25

Météorologie....... 25

Culture............... 26

Guide culturel..... 28

Communication..... 29

Abonnements...... 30

Radio-Télévision...... 30

Kiosque.............. 31

POINT DE VUE

La droite, sa défaiteet le Front national

par Jérôme Jaffré A

U sein de la droite

modérée, encore anéantie par sa dé- faite des élections lé- gislatives, le débat fait rage sur les relations à entretenir avec le

Front national. Il porte sur deux

questions très vite liées entre elles : le mouvement de M. Le

Pen est-il responsable de la dé-

faite RPR-UDF ? Si oui, ne faut-il pas cesser de le diaboliser et ac- cepter avec lui à l'avenir une en- tente minimale, c'est-à-dire, pour parler clair le retrait réci- proque pour le candidat arrivé en tête dans toutes les élections comprenant deux tours de scru- tin ?

Ces deux questions sont essen-

tielles : répondre oui à la pre- mière, c'est reconnaître une ex- traordinaire puissance politique au FN et poser presque automa- tiquement la question des rela- tions avec lui. Répondre oui à la seconde , ce serait modi®er de fond en comble le débat poli- tique et idéologique dans notre pays en ouvrant tôt ou tard laquestion de la participation au pouvoir de l'extrême droite.

La défaite de la majorité sor-

tante est-elle due à l'absence d'une entente minimale avec le

Front national ? A la vérité, le ré-

sultat ®nal s'est joué à si peu

± un mouvement de 0,7 % des

voix aurait suf® à l'inverser ± que toutes les explications peuvent

être avancées. On peut aussi bien

soutenir qu'un accord en bonne et due forme avec la fraction des

écologistes opposée aux Verts

aurait pu sauver le RPR et l'UDF, tout comme l'alliance PS-Verts a joué un rôle déterminant dans la victoire de la gauche.

Les triangulaires avec le FN ont

coûté cher à la majorité sortante puisqu'elle a subi 47 défaites sur les 76 circonscriptions concer- nées, alors même qu'elle a raté la majorité absolue de 34 sièges.

Jérôme Jaffréest vice-prï-

sident de la Sofres et chercheur associï au Centre d'ïtude de la vie politique.

Etats-Unis :

la police accusée a

LES MÉTHODES de lutte

contre la criminalité vio- lente appliquées à New York et ci- tées en exemple dans d'autres grandes villes provoquent une po- lémique aux Etats-Unis. Ce débat a

été ouvert après une bavure poli-

cière : le 9 août, un immigré haï- tien, Abner Louima, a été victime de graves sévices dans un commis- sariat de New York.

En pleine campagne électorale

pour la mairie de New York, cette bavure a terni l'image de vain- queur de la criminalité qu'avait réussi à se forger le maire, le répu- blicain Rudolf Giuliani. Elle remet en cause une conception du main- tien de l'ordre établie sur une pré- sence accrue de la police dans les lieux publics.

Lire page 2

Des " bonnets de lutin » hallucinants

NANCY de notre correspondante

Chaque annïe, ì l'approche de l'automne,

les gendarmes de La Bresse, dans les hautes Vosges, portent une attention particuliòre ì certains chercheurs de champignons. En gï- nïral, ces mycologues ont le nez au ras de la mousse des sous-bois et se font le plus dis- crets possible. C'est qu'ils traquent le psilo- cybe lancïolï, un champignon d'un ì deux centimòtres de haut que l'on trouve au-delì de mille mòtres d'altitude et de prïfïrence dans les prairies ì vaches.

Le ´ bonnet de lutin ª est connu pour ses

effets hallucinogònes. Des effets certains qui lui valent d'ñtre inscrit sur la liste des produits stupïAEants. Bref, sa collecte et sa consomma- tion sont formellement interdites par la loi. Ce week-end, les gendarmes ont cueilli cinq ama- teurs qui avaient fait provision de bonnets de lutin.

L'affaire est sïrieuse. ´ L'un d'entre eux

avait mñme du hachisch ª, indique le chef, Guy

Watrint, commandant de la petite brigade de

gendarmerie, que ces cueillettes ne font pas

rire du tout. ´ Quand on voit l'effet que celaproduit sur les gens, on ne rigole plus. J'ai eu af-

faire ì des gars qui en avaient consommï et qui

ïtaient agressifs, voire dangereux. ª

De gendarmesque, l'affaire est devenue ju-

diciaire. Le parquet du tribunal de grande ins- tance d'Epinal a engagï des poursuites pï- nales contre quatre ïtudiants nancïiens qui se sont rendus coupables d'avoir glaner en tapi- nois des bonnets de lutin. Pour avoir collecter cette espòce stupïAEante, ils encourent au terme de l'article L. 628 du code de santï pu- blique un an d'emprisonnement et

5 000 francs d'amende, ou ´ l'une de ces deux

peines seulement ª. ´ En gïnïral, les personnes qui en sont trouvïes porteuses viennent ici en toute connaissance de cause. Ce n'est pas par hasard qu'on cueille le psylocybe lancïolï. On le cherche ! ª, explique le chef Wadrint dont la brigade rïalise chaque annïe une vingtaine d'interpellations ì l'orïe de l'automne. L'ac- tion des gendarmes dans le grand Est ne se li- mite pas ì la surveillance des cueilleurs. Plu- sieurs mïthodes sont employïes pour ïradiquer le phïnomòne. Elles vont de l'ïcra- sage mïcanique au sulfatage des zones oü pousse le champignon.Au Centre antipoison de Nancy, on s'intï- resse de pròs ì ce petit champignon qui sous son apparence frñle a des effets redoutables.

Entre 1993 et 1995, les Centres antipoison de

Nancy et Reims ont reÿu quinze patients souf-

frant d'intoxication au psilocybe lancïolï. Les symptomes varient en fonction des individus et de la dose absorbïe. Mais ils sont specta- culaires. Un mïdecin du Centre antipoison de

Nancy indique que les personnes ayant

consommï du psilocybe lancïolï sont sujettes ´ ì une sensation d'ïbriïtï proche de l'ivresse, de vacillements, d'effets d'hallucinations et de troubles visuels caractïrisïs par des visions colo- rïes ª.

On note aussi des troubles psychiques, une

hyper-acuitï auditive et, souvent, une dï- connexion de la rïalitï. Les petits champi- gnons vosgiens ne sont dïcidïment pas ano- dins. Des chercheurs amïricains qui ont travaillï sur les champignons hallucinogònes ont dïcouvert que des araignïes ì qui ils en avaient administrï ïtaient incapables de tisser leur toile.

Monique Raux

aL'armée inquiète

Le sort réservé à la loi de programma-

tion militaire 1997-2002 inquiète les chefs d"état-major. Pour Lionel Jospin, en visite lundi au camp de Canjuers (Var), " la professionnalisation est l'enjeu du moment ». p. 8 aM. Debré à la tête des députés RPR Jean-Louis debré a été élu, mardi, pré- sident du groupe RPR de l"Assemblée nationale contre Frank Borotra.p. 32 aLe contrôle des écoutes

Dieudonné Mandelkern remplace Paul

Bouchet à la tête de la commission

nationale de contrôle des interceptions de sécurité.p. 32 aLe téléphone en concurrence

Le 1er

janvier 1998, composer un numé- ro commençant par un 0 signifiera que l"on s"en remet à son opérateur local, dans 99,99 % des cas à France

Télécom. p.18

aLucky Luke a cinquante ans

Les aventures du héros exemplaire créé

par Morris se sont vendues à 250 mil- lions d"exemplaires. " OK Corral » vient de sortir. p.14 aInterdiction de deux " coupe-faim »

Les laboratoires Servier arrêtent la

commercialisation dans 85 pays de l"Isoméride et du Pondéral.p.12 aL'affaire

Captain Hôtel

Les maires de plusieurs communes

pourraient être mis en cause après la faillite du groupe Captain Hôtel. L"en- quête pourrait établir un lien avec l"homme d"affaires Michel Pacary.p.10 aMaxim's bouge encore

Qui peut encore rentrer dans ce vestige

d"un monde disparu ? Jean-Pierre

Quélin, amateur et nostalgique.p. 24

aAthènes entre métro et archéologie

Plus de 10 000 antiquités ont été

découvertes durant le forage des lignes de métro au coeur d"Athènes. p. 22Fête triste

PRÉSENTATEUR-vedette du

journal télévisé de France 2 depuis 1990, Bruno Masure quittera son poste le 6 octo- bre, jour de la Saint-Bruno, souligne-t-il. La direction de la principale chaîne du service public a con®é le " 20 heures » à Daniel Bilalian et

Bruno Masure a fait part de

son ´ amertume profonde ª.

Lire page 29 et la chronique

de Pierre Georges page 32

BRUNO MASURE

QUATRE responsables de la dé-

mocratie chrétienne allemande, proches du chancelier Kohl, ont pu- blié, mardi 16 septembre, un docu- ment sur l'Union économique et monétaire, véritable plaidoyer en faveur de la monnaie unique. Sou- lignant ´ les intïrñts et la responsabi- litï ªde l'Allemagne, le texte est une réponse aux eurosceptiques d'outre-Rhin qui avaient mené cam- pagne pour un report de l'euro. Une majorité d'Allemands redoute de sacri®er le deutschemark au pro®t d'une monnaie européenne affaiblie par la participation de pays suppo- sés peu vertueux comme la France et l'Italie. Le texte du groupe parle- mentaire CDU-CSU explique que l'UEM a été conçue sur le ´ mo- dòle ªallemand d'économie sociale de marché et de stabilité.

Lire page 4

et notre éditorial page 15

L'opposition répond à Lionel Jospin

bNicolas Sarkozy d•nonce, dans " Le Monde », le " socialisme dogmatique » du premier ministre bL'UDF cr•dite le gouvernement d'une volont• de " recentrage » bA l'Assembl•e, les emplois-jeunes de Martine Aubry divisent l'opposition

LES DÉCLARATIONS de Lionel

Jospin au Monde du 16 septembre

suscitent des commentaires contrastés à droite. Dans l'entre- tien qu'il nous a accordé, Nicolas

Sarkozy, porte-parole du RPR, dé-

nonce le ´ socialisme particuliòre- ment dogmatique ªdont ferait preuve le premier ministre avec la création des emplois pour les jeunes dans le secteur public, la re- mise en question de la réduction d'impôts pour les emplois fami- liaux, la non-privatisation d'Air

France et de France Télécom.

S'agissant de l'avenir de la droite,

M. Sarkozy souligne la nécessité

d'une alliance au sein du RPR entre gaullistes libéraux et gaullistes so- ciaux.

De son côté, l'UDF crédite

M. Jospin d'une ´ volontï de recen-

trage ª, selon la formule de son pré- sident François Léotard, même si

François Bayrou, président de

Force démocrate et du groupe UDF

de l'Assemblée nationale, reproche au premier ministre d'avoir, durant la campagne électorale, pris ´ des engagements intenables ª.Le débat sur le projet de loi de

Martine Aubry, créant les trois cent

cinquante mille emplois-jeunes dans les administrations d'Etat, les collectivités locales et le secteur as- sociatif, continuait mardi 16 sep- tembre à l'Assemblée nationale. La discussion générale, lundi, a mon- tré l'embarras de l'opposition, par- tagée entre la critique de mesures d'inspiration " étatique » et la dif®- culté de voter contre des mesures visant à permettre aux jeunes d'ac- céder à un emploi.

Les précisions de M. Jospin sur la

conférence salaires-emplois- temps de travail, qui s'ouvrira le

10 octobre, soulèvent des critiques

dans les milieux patronaux et syn- dicaux. Bien que le premier mi- nistre ait écarté comme ´ anti-

ïconomique ªla formule ´ trente-

cinq heures payïes trente-neuf ª, le

CNPF, dont l'assemblée générale se

réunissait mardi, af®rme son hosti- lité à une loi-cadre sur la réduction de la durée hebdomadaire du tra- vail.

Lire pages 6 et 7

LeMondeJob: WMQ1709--0002-0 WAS LMQ1709-2 Op.: XX Rev.: 16-09-97 T.: 10:38 S.: 111,06-Cmp.:16,14, Base : LMQPAG 46Fap:99 N

o :0651 Lcp: 196 CMYK 2

INTERNATIONAL

LE MONDE / MERCREDI 17 SEPTEMBRE 1997

Le mystère " Toto » Constant

NEW YORK

de notre correspondante

Pourquoi Emmanuel Constant, ex-leader du

Fraph, l'organisation paramilitaire qui a torturé et tué des centaines de partisans du président Aristide après le coup d'Etat qui l'envoya en exil en 1991, est-il toujours en liberté aux Etats-

Unis ? Bien des Haïtiens de New York, auxquels

il arrive de le rencontrer dans le quartier de Queens, aimeraient connaître la réponse à cette question. Car celui que tout le monde en Haïti connaît sous le nom de " Toto » Constant fait l'objet d'une demande d'extradition de la part des autorités haïtiennes, pour son rôle joué à la tête du Fraph (Front républicain pour l'avance- ment et le progrès en Haïti) jusqu'au retour du président Aristide, à la faveur de l'intervention américaine d'octobre 1994.

Mais tout ce qui entoure ce personnage

baigne dans l'ambiguïté : la façon dont, à la tête d'une petite bande de voyous avinés gesticulant

sur le quai de Port-au-Prince, en 1993, il ®t fairedemi-tour à un navire de guerre américain, le

Harlan-County, alors qu'il était réputé émarger au budget de la CIA ; la façon dont il échappa (en restant simplement chez lui) à un raid des troupes américaines au siège du Fraph dans la capitale haïtienne, le 3 octobre 1994 ; la confé- rence de presse qu'il donna une semaine avant le retour de Jean-Bertrand Aristide en plein centre de Port-au-Prince sous la protection des

GI's et avec l'appui logistique de l'ambassade

des Etats-Unis ; la façon dont il entra aux Etats-

Unis, deux mois plus tard, avec un visa de tou-

risme ; et la façon dont il y est resté depuis. Lorsqu'il fut révélé que le chef du Fraph se trouvait le plus légalement du monde aux Etats-

Unis, Warren Christopher, alors secrétaire

d'Etat, révoqua son visa de tourisme et les ser- vices de l'immigration décidèrent de le renvoyer en Haïti où il était sous le coup d'un mandat d'arrêt. Mais le département d'Etat bloqua l'ordre d'expulsion et Emmanuel Constant se retrouva dans une prison du Maryland d'où, en1995, dans une longue interview à CBS, il af®rma qu'il avait été agent de la CIA de 1991 à

1994. Quelque temps plus tard, l'ex-chef du

Fraph fut libéré et autorisé à regagner son domicile de Queens, à New York. Depuis, l'exé- cution de l'ordre d'expulsion est régulièrement reportée. Début août, les services de l'immigration ont de nouveau décidé de surseoir à son expulsion pour six mois, parce que, nous a expliqué un porte-parole de ces services, " les autorités amé- ricaines ont conclu que son expulsion constitue- rait un fardeau excessif pour le système judiciaire et pénal haïtien ». La liberté dont jouit

M. Constant à New York, souligne ce porte-

parole, est assortie de " quelques restrictions ».

Mais il en faudrait davantage pour convaincre

les nombreux partisans de M. Aristide, à New York, que " Toto » Constant ne continue pas, en fait, de béné®cier de la protection de la CIA. S. K.

NEW YORK

de notre correspondante

Cela a commencé comme une

vulgaire bavure policière, plus cho- quante que la moyenne, certes, dans le sadisme des tortionnaires, mais présentée comme un " acte criminel isol• »par les autorités de

New York, qui espéraient s'en tirer

avec l'arrestation de quatre poli- ciers. Plus de cinq semaines après le sinistre incident du commissariat du 70 e district à Brooklyn, au cours duquel un immigré haïtien de trente ans, Abner Louima, inter- pellé lors d'une altercation à la sor- tie d'une boîte de nuit, fut passé à tabac puis sodomisé par des poli- ciers à l'aide d'un manche de ven- touse qui lui fut ensuite enfoncé dans la bouche, lui brisant plu-quotesdbs_dbs43.pdfusesText_43
[PDF] 5 - REGIME DES PRESTATIONS FAMILIALES EN VIGUEUR A ST PIERRE ET MIQUELON

[PDF] Politique indemnitaire en faveur des personnels BIATOSS

[PDF] Animations : Intermèdes musicaux, etc (programme en cours d élaboration et susceptible d évoluer)

[PDF] complément familial ; allocation d adoption ; allocation de présence parentale.

[PDF] Joyeuses Pâques. Business Collection Pâques 2014. Créations individuelles pour Pâques. Boîte «Lapin de Pâques» Boîte avec ruban à motif pascal

[PDF] Master Informatique 1ère année

[PDF] Demande d'inscription pour les épreuves de sélection aux IFAS

[PDF] DOSSIER D INSCRIPTION 2012/2013 BESANCON TRIATHLON

[PDF] REPUBLIQUE DU SENEGAL. Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE

[PDF] ANNEXE 9. spécialisé de Seine-et-Marne. Votre identité. Nom et coordonnées du responsable légal ou de la personne référente : Curateur Tuteur Autres

[PDF] Prévention des risques professionnels : Des outils à destination des donneurs d ordre

[PDF] Fonds d impulsion vert. Demande de subvention dans le cadre du Fonds d impulsion vert pour Jeunes Entreprises innovantes

[PDF] Master en Informatique De l Université de Bretagne-Sud France

[PDF] «Intervenant en organisations Accompagnateur du changement»

[PDF] APPEL A CANDIDATURE ARCHITECTE DANS LE CADRE DE L APPEL A PROJET «UN ARCHITECTE POUR HABITER DANS LE MARAIS POITEVIN»