Bulletin de lAFIA
Oct 10 2021 récompensant des travaux de thèse brillants dans le domaine de l'IA. ... fense & IA)
École des mines dAlès
Mar 26 2015 mécatronique
De lIngénierie des Besoins à lIngénierie des Exigences: Vers une
May 26 2016 1.3 Conclusion : problématique RESULIS et objectifs des travaux . ... contrat CIFRE en partenariat avec le Laboratoire LGI2P de l'école des.
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Dec 1 2008 en 2006
RAPPORT DACTIVITÉ 2016
Dec 31 2016 Par ailleurs
Thèse Docteur de lUniversité Henri Poincaré Nancy I
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Vers lIntuition Artificielle HABILITATION À DIRIGER LES
Dec 11 2020 thèse : la fouille de données et plus spécifiquement l'Analyse Formelle de ... commune car le sujet manque de cohérence et de méthodes
Les CIFRE enseignementsup-recherchegouvfr
autant de motivations supplémentaires qui ont conduit Sopra Steria à proposer ce sujet de thèse avec son partenaire de longue date l’ENAC Objectifs L’objet de cette thèse est de considérer le transport à l’échelle de l’individu dans une démarche multimodale globale Au cours de cette thèse nous proposons de nous poser les
Guide de la CIFRE - Pantheon-Sorbonne
Contexte de réalisation du guide La thèse CIFRE (Convention Industrielle de Formation par la REcherche) est un dispositif de financement de la recherche qui permet à un·e doctorant·e de réaliser une thèse dans une entreprise ou une structure d’accueil Ce financement n’est pas sans impact sur la structuration
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LIRMMRAPPORT D'ACTIVITÉS 2005-2008
BILAN ET PROJET
Laboratoire
d'Informatique de Robotique et de Microélectronique de Montpellier SO MMAIR ERapport d'activités LIRMM 2005 - 2008
SOMMAIRE
3IMAGINER DEMAIN 05
POPULATION ET CROISSANCE 09
BUDGET 13
GOUVERNANCE 17
VIE SCIENTIFIQUE 25
FORMATION PAR LA RECHERCHE 27
BILAN ET PRODUCTION SCIENTIFIQUE 31
PLATEFORMES TECHNOLOGIQUES 37
RELATIONS INDUSTRIELLES ET CREATION D'ENTREPRISES 43 LE LIRMM DANS SON ENVIRONNEMENT INTERDISCIPLINAIRE 47RELATIONS INTERNATIONALES 49
INFORMATION ET CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE 51LE LIRMM DEMAIN 53
CONCLUSION : analyse SWOT 67
LES SERVICES 71
LES DEPARTEMENTS 77
INFO 81
ROB 89
MIC 93
LES EQUIPES-PROJETS 97 AlGCo 99
APR 109
ARITH 115
COCONUT 123
D'OC 129
IDC 141
MAB 147
RCR 153
SMILE 165
TAL 173
TATOO 179
DEXTER 189
NERO 201
SYSMIC 207
ICAR 229DEMAR 237
IHMH 245
ANNEXES 249 DALI 251IDH 259
LIRMM INFOS 265
Projet stratégique campus 273
Glossaire des acronymes 275
Le LIRMM (Laboratoire d'Informatique, de Robotique et de Microélectronique de Montpellier) est une unité mixte de recherche CNRS et Université Montpellier 2, structurée
en 3 départements de recherche scientifi que, 16 équipes-projets et des services communs. Créé en 1992, par une volonté scientifi que commune du CNRS et de l'Université
Montpellier 2, sur la base de la fusion de deux laboratoires (CRIM et LAMM), le LIRMM regroupe ainsi des informaticiens, des microélectroniciens et des roboticiens.
Il a été successivement dirigé par Gaston Cambon jusqu'en 2000 (adjointe : Danièle Hérin), Michel Habib de 2001 à 2004 (adjoint : Christian Landrault), puis Michel Robert
(adjoints : Stefano Cerri et François Pierrot) depuis le 01/01/2005.Avec un large spectre de compétences dans les domaines des sciences et technologies de l'information, de la communication et des systèmes, le LIRMM relève des sections
7 et 8 du Comité National de la Recherche Scientifi que, 27, 61 et 63 du Conseil National des Universités. De l'information aux systèmes, de la technologie à l'humain
et aux usages, les activités de recherche du LIRMM concernent la modélisation et la conception de systèmes logiciels et matériels (robots, circuits intégrés), les études
en algorithmique, bioinformatique, bases de données et intelligence artifi cielle. Fort de cette diversité, le LIRMM renforce son originalité en alliant théorie, outils,
expérimentations et applications dans tous ses domaines de compétence scientifi que, en favorisant l'émergence de projets interdisciplinaires au sein du laboratoire (image,
sécurité numérique, handicap,...) et à l'interface d'autres laboratoires et domaines scientifi ques (mathématiques, sciences du vivant, santé, neurosciences,...).
Près de 350 personnes sont regroupées aujourd'hui dans un bâtiment construit lors de la création du laboratoire en 1992, complété par la suite par une extension et une
halle technologique pour la robotique, sur un nouveau campus de l'Université Montpellier 2 (Saint-Priest) qui regroupera l'ensemble des laboratoires et des plateformes des
domaines des STICS et du SPI de l'Université Montpellier 2, grâce à une opération immobilière programmée dans le cadre du contrat de plan Etat-Région.
L'organisation du laboratoire en " équipes-projet » a amélioré la lisibilité des activités de recherche, mais également donné l'impulsion nécessaire pour orienter les
recherches aux frontières, dans un souci d'innovation et d'ouverture, permettant de couvrir un large champ de thématiques de recherche :
5Imaginer demainRapport d'activités 2005 - 2008
préambuleRapport d'activités LIRMM 2005 - 2008
Informatique• Algorithmique : bioinformatique, réseaux, cryptographie, graphes, combinatoire
• Gestion de données et extraction de connaissances : gestion de données distribuées, intégration d'informations, fouille de données, ontologies
• Génie logiciel : langages de programmation, objets, composants, ingénierie des modèles
• Intelligence artifi cielle : agents, apprentissage, contraintes, représentation des connaissances, raisonnement
• Interaction homme-machine : langage naturel, hypermédia, e-learningMicroélectronique• Conception et test de systèmes et circuits intégrés microélectroniques• Systèmes matériels-logiciels hétérogènes (Mixtes, MEMs, reconfi gurables...)Robotique• La rééducation et la suppléance fonctionnelle, le handicap
• La robotique médicale, la robotique de manipulation rapide • La vision pour la robotique, protection et analyse d'images • L'interaction haptique, la robotique humanoïde• La robotique d'exploration sous-marine et terrestre, les architectures de contrôle des robotsInformatique,
Microélectronique et
Robotique
• Image (analyse, traitement, codage), de la modélisation 3D à la réalité virtuelle et augmentée
• Sécurité numérique • SantéLe laboratoire visait trois objectifs principaux pour la période 2005-2008 : (i) gérer la croissance, (ii) assurer sa cohésion et (iii) tendre vers l'excellence.
Comme dans le passé, la croissance en effectif du LIRMM est restée très soutenue : le laboratoire a consenti de gros efforts fi nanciers (essentiellement sur fonds propres) et
consacré beaucoup d'énergie à réorganiser ses espaces de travail, créer de nouvelles surfaces, en rationaliser l'occupation.
L'adhésion des personnels à un modèle commun d'organisation mixte (départements pour faire vivre les interactions au sein des disciplines ; équipes-projets pour focaliser
les efforts de recherche et rendre leurs résultats visibles) a fortement participé au renforcement de la cohésion du laboratoire, cohésion qui trouve un deuxième point
d'appui dans l'organisation centralisée des services techniques et administratifs. Enfi n, des axes de recherche transversaux assurent un troisième niveau de cohésion.
Maîtrise de la croissance, cohésion et forte activité ont naturellement renforcé le rayonnement du LIRMM qui se mesure notamment par son implication dans de nombreux
projets nationaux et internationaux, notamment les projets fi nancés par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR) et ceux fi nancés par l'Union Européenne, par ses travaux
auprès de partenaires industriels de renom, par la participation de ses membres à de nombreux comités éditoriaux de revues internationales et comités de programme de
conférences internationales, par une forte activité de publication avec plus de 1300 publications de rang A en quatre ans.
6 7Pour la période qui s'annonce, le LIRMM va s'engager dans la réponse à plusieurs défi s :
• Maîtriser la croissance des effectifs qui reste à la fois une chance et une source de diffi cultés ; nous aurons à coeur de viser une amélioration des conditions d'accueil
des personnels en profi tant des nouvelles surfaces qui seront mises à notre disposition sur le Campus Saint Priest ;
• Valoriser la diversité des origines des nouveaux entrants, permanents ou étudiants ; ceci sera au coeur de nos préoccupations, afi n de faire de notre attractivité au plan
international une richesse pour chacun ;• Conforter nos réussites disciplinaires et faire que ces réussites rejaillissent sur l'attractivité de nouveaux étudiants dans les fi lières de formation de l'Université
associées au laboratoire ;• Réussir notre intégration dans la nouvelle organisation du système d'enseignement supérieur et de recherche qui se dessine à l'échelle du Languedoc-Roussillon et
développer les opportunités de nouveaux partenariats scientifi ques avec l'INRIA et l'Institut Télécom ;
• Accompagner le développement économique régional par notre investissement dans des projets de création d'entreprises ;
• Donner l'impulsion nécessaire pour orienter les recherches aux frontières de nos disciplines, dans un souci d'innovation et d'ouverture, en particulier vers les sciences
du vivant, de la santé à l'environnement.Le LIRMM contribuera ainsi à imaginer et à concevoir les outils de base de la science et de la technologie qui permettront au monde de demain de créer les objets et les
solutions du futur, et d'explorer de nouveaux chemins.Le présent rapport résume l'activité du LIRMM sur la période 2005-2008. A cette occasion, le laboratoire tient à remercier ses deux tutelles (CNRS et Université Montpellier
2) et ses partenaires, pour leur soutien constant dans ses activités.
Michel Robert
1 , directeurStefano Cerri
2 , directeur adjointFrançois Pierrot
3 , directeur adjoint et tous les membres du LIRMM 1 et 2 : PR UM2 - 3 : DR CNRS) La population du LIRMM au 30 juin 2009 est de 353 personnes. Comme c'est le cas depuis sa création en 1992, le LIRMM a connu, ces dernières années, une croissance importante de ses effectifs de personnels permanents ; en effet, nous avons enregistré un accroissement net de 52 personnes (sur la période2005-2008) :
• 58 arrivées pour les chercheurs et enseignants-chercheurs, et 14 départs (4 mobilités vers un autre laboratoire ; 10 départs en retraite) ; • 10 arrivées pour les ingénieurs et techniciens (8 CNRS ; 2 UM2) et 2 départs en retraite (1 CNRS et 1 UM2). Cette croissance est bien entendu une force, fruit de :• l'attractivité du laboratoire (pourtant, malgré les progrès récemment réalisés,
nous sommes encore très loin globalement du niveau nécessaire à un soutien pérenne des activités de recherche par du personnel technique de haut niveau -Ingénieur de recherche-, comme c'est le cas dans d'autres disciplines plus anciennes -physique, chimie) • des formations auxquelles il est associé, • mais aussi de la confi ance que lui accordent ses tutelles et partenaires. Le laboratoire tient à saluer l'impact majeur du CNRS en ce qui concerne le personnelingénieur et technicien : en effet la part CNRS correspond aujourd'hui à 1,3 chercheur par ITA, alors que la part UM2 correspond à 8,5 EC par BIATOSS. Dans le même temps,
le CNRS a affecté un nombre très important de jeunes chercheurs au LIRMM : il s'agit d'une période " record » en la matière. L'action de l'UM2 se mesure plus particulièrement dans le recrutement d'enseignants- chercheurs : un effort notable de redéploiement des postes vers nos disciplines a été initié sur la période, et cet effort se poursuit actuellement. Enfi n, s'il est encore marginal en volume, l'impact de l'INRIA a été vécu très positivement, et devrait se renforcer. Une telle croissance est également source de diffi cultés : • les locaux mis à notre disposition sont, de manière chronique, sous dimensionnés ; nous avons consenti des efforts fi nanciers et une énergie considérables pour pallier ce problème, mais les marges de manoeuvre sont très faibles ;• malgré les progrès récemment réalisés, nous sommes encore très loin globalement
du niveau nécessaire à un soutien pérenne des activités de recherche par du personnel technique, et les charges administratives croissantes imposent le recours à des emplois précaires. La période qui nous intéresse a malheureusement été marquée par la triste disparition de notre collègue Claude Boksenbaum, décédé en 2007. 9 Population et CroissanceS'adapter à l'évolution du groupe gouvernance et animationRapport d'activités LIRMM 2005 - 2008
10Croissance de la population du LIRMM
Types de collaborateurs Nombre
Chercheurs
CNRSInria35
305
Enseignants-chercheurs
Dont UM2
Hors UM2104
9212 IT CNRS
Inria24
231
BIATOSS*11
Doctorants151
Chercheurs contractuels (hors doctorants)23
IT contractuels (services généraux)5
Les forces du LIRMM au 30/6/09
* en considérant que les 11 personnels Biatoss (Bibliothécaires, ingénieurs, administratifs, techniciens, ouvriers, de service et de santé) ont
des missions extérieures au laboratoire (notamment dans les composantes d'enseignement) leur ETP (équivalent temps plein) est estimé à
environ 8. La palette des compétences du LIRMM se retrouve dans la diversité des instances représentées en son sein : Répartition de la population dans les instancesParmi cette population, on compte 62 HDR.
Grâce au recrutement, le laboratoire a légèrement rajeuni sur la période 2002-2005, avec une moyenne de 44 ans, mais la " pyramide » des âges fait apparaître deux facteurs de risques : • la moyenne d'âge des ITA reste préoccupante (47 ans, alors que la moyenne pour les chercheurs est de 43 ans) ; une politique prévisionnelle de recrutements devra être imaginée pour éviter que le laboratoire perde certaines compétences ;• le poids des jeunes générations laisse présager de tensions futures pour l'évolution
des carrières ; ceci est à considérer globalement sur le long terme, mais pour certaines communautés (CNU 61 ou 63, par exemple), la question se posera très vite. CNU 27 CNU 61 CNU 63 CN 01 CN 07 CN 08 CN 29 INRIA71 21 12 1 22 6 1 5
Pyramide des âges - permanents du LIRMM (juin 2009) 11 Le bilan des 58 nouveaux chercheurs est le suivant : • sur 30 MCF recrutés, 25 sont des recrutements externes (c'est-à-dire : " n'ayant pas fait sa thèse au LIRMM, ou ayant effectué une mobilité de 3 ans au moins ») • sur 8 PR recrutés, 2 sont des recrutements externes • sur 14 CR recrutés, 13 sont des recrutements externes • sur 6 DR recrutés, 1 est un recrutement externe Pour les jeunes, nous avons privilégié les recrutements extérieurs, sans s'interdire le choix d'un candidat local quand l'excellence le justifi ait ; pour les seniors, nous avons privilégié les promotions internes, sans s'interdire des recrutements extérieurs quand une opportunité s'est présentée. L'attractivité du LIRMM en matière de recrutement se mesure à notre capacité à attirer des talents venus de toute la France, mais également du monde entier, etce, pour les étudiants (à la rentrée 2008, la moitié des doctorants recrutés étaient
étrangers) comme pour les permanents (6 nouveaux recrutés sur la période, en provenance du Japon, de Singapour, d'Italie ou de Roumanie).Attractivité :
répartition par pays (hors France) - 2006/2009 - toutes populations confonduesAttractivité :
nouveaux entrants 2008 - toutes populations confondues RessourcesLe budget consolidé du LIRMM en 2008 est de 17,1 M€. En moyenne annuelle, les ressources nouvelles du laboratoire se sont élevées à près de 3 M€, en progression de 36% par rapport à la période précédente. La gestion en est assurée à 60% au CNRS et 40% à l'UM2. Compte tenu d'un report de l'ordre de 2,5 M€ (quasi exclusivement sur ressources contractuelles), le volant fi nancier sur lequel peut compter le laboratoire est donc de 5,5 M€. Notons que c'est grâce à ce type de report que nous avons pu auto-fi nancer des travaux importants dans nos locaux, pour un montant considérable, voisin de 0,6 M€ (cf LIRMM Infos spécial Locaux p.15 et 16).Notons quatre éléments importants :
• Le total du soutien de base de nos deux tutelles compte pour environ15% des ressources annuelles. Ces ressources sont employées pour le fonctionnement des services du laboratoire et pour les dépenses
communes. Le conseil scientifi que a par exemple été doté de moyens fi nanciers pour soutenir ponctuellement une équipe sur un projet. Il est à noter que la direction du LIRMM ne procède à aucun prélèvement sur les contrats. • Le budget a évidemment été fortement impacté par l'essor des projets fi nancés par l'ANR ; ainsi, en 2008 plus de 850 k€ en provenance de l'ANR sont venus donner un élan nouveau à nos travaux. • Le montant lié à nos activités d'organisation de colloques est également conséquent, à l'image du dynamisme des équipes qui accueillent ces manifestations internationales. • Enfi n, nos sources de fi nancement sont très diverses, même si cette diversité est ici en partie masquée par les agrégats utilisés dans nos tableaux : cette diversité est bien sûr une force, mais également une source de travail considérable pour les équipes administratives. 13 BudgetGérer des crédits en croissance au service du groupe gouvernance et animationRapport d'activités LIRMM 2005 - 2008
142005 2006 2007 2008 Moy. Annuelle
(% 2008) (% moyen)Total1706 3747 3330 3258 3010
ANR0 498 902 877 27% 569 19%
Europe328 594 384 519 16% 456 15%
Industrie278 493 388 465 14% 406 13%
colloques62 86 68 275 9% 123 7%Région120 221 69 178 5% 147 5%
Autres ressources226 643 233 162 5% 316 10%
Contrats
ministères140 399 703 133 4% 344 11%Ressources fi nancières du LIRMM (hors report)
Masse salarialeLa masse salariale du LIRMM est donnée ici à partir d'informations validées par nos
tutelles pour ce qui concerne les salaires des permanents et d'une estimation pour ce qui concerne les doctorants. Notons que le personnel de l'UM2 n'est ici pris en compte que pour sa part de travail recherche (50% en équivalent temps plein). Salaires UM2 (2008 - permanents + ATER, pour leur part recherche) 4.0 M€ Salaires CNRS (2008 - permanents + non permanents) 3.6 M€Salaires doctorants (estimation) env. 4.0 M€ Total masse salariale env. 11.6 M€
Budget consolidé 2008 (y compris les reports) env. 17.1 M€ DépensesUne des conséquences les plus importantes de l'essor des contrats ANR est l'explosion du poste de dépenses " salaires des CDD ». Les autres postes subissent des fl uctuations peu signifi catives, à l'exception d'un transfert technique entre les postes " missions » et " fonctionnement » suite à la mise en place de BFC (" Budget, fi nance et comptabilité ») et du marché Missions à partir de 2007.Bilan Ressources / DépensesSur la période considérée, les dépenses ont donc été supérieures aux ressources
annuelles (env. 0,4 M€). Le LIRMM a consommé une partie des reports des années précédentes, principalement dans des opérations de restructuration de locaux fi nancées sur fonds propres.2005 2006 2007 2008 Total
Moy. Ann.
Ress. - Dép.-889 1276 -163 -597 -373 -93,25
2005 2006 2007 2008 Moyenne annuelle
(% 2008) (% moyen)Total 2595 2471 3493 3855 3104
Salaires 755 852 1262 1612 42% 1120 36%
Equipement 559 279 572 465 12% 469 15%
Missions 535 522 386 328 9% 443 14%
LIRMMInfos
numéro interne 01 - 07Etat des lieux et problèmes identifiés
Suite à divers échanges (AG, CL, directoires, commissions), la direction a iden- tifié, en 2005, comme prioritaires, des actions à mener sur la rénovation de nos locaux et leur extension. Les éléments les plus critiques recensés ont été les suivants : ?des problèmes d"étanchéité de la toiture non réglés depuis des années pour des aspects juridiques (qui a construit ? qui est responsable ? faut-il appliquer et comment faire appliquer la garantie décennale ? qui paye ? impossibilité d"in- tervenir pour des questions juridiques ?...). ?une situation difficile pour les doctorants résidant dans les deux halles (3 et 4) du dernier étage : locaux inadaptés, non-conformes aux règles de sécu- rité, ... comment intervenir ? quand (c"est-à-dire après avoir réglé les problèmes de sécurité et d"étanchéité) ? avec quels moyens ? ?des problèmes préoccupants de manque de place, en raison de la crois- sance forte du laboratoire, sans aucune solution programmée au 1/1/2005. ?la prise en compte de demandes particulières, comme par exemple la créa- tion de plateformes expérimentales (visualisation,...). ?achèvement de l"installation du contrôle d"accès. www.lirmm.frquotesdbs_dbs31.pdfusesText_37[PDF] COLLÈGE D ENSEIGNEMENT GÉNÉRAL ET PROFESSIONNEL MARIE-VICTORIN. Politique numéro 33 POLITIQUE D INTERNATIONALISATION DE LA FORMATION
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