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Comité Scientifique de l’ANCCLI

Comité Scientifique de l’ANCCLI Contribution à l’analyse du Dossier de déclaration de modification au titre de l’Article 26 du Décret n°2007-1557 du 2 novembre 2007 relatif aux rejets et aux prélèvements d’eau du site du Bugey et des Projets de décision de l’Autorité de sûreté nucléaire



LE COMITE SCIENTIFIQUE DE L’ANCCLI

Le Comité Scientifique de l’ANCCLI est composé de 15 personnalités indépendantes dont la compétence couvre les différents domaines liés au nucléaire : sûreté (technologie nucléaire facteur humain) rejets et déchets contamination de l’environnement impact sur



le Comité Scientifique de l’ANCLI - anccliorg

- de la plate-forme de modélisation et de l’intégration des données à différentes échelles - des hypothèses simplificatrices et des incertitudes retenues concernant l’évolution possible des propriétés pétrophysiques et hydrauliques de l’environnement géologique sur des périodes

NUCLÉAIRE ET TERRITOIRE

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vers une autre INB, toutes deux dotées de CLI. Si l"on voulait étendre la réUexion qui suit aux situations d"accidents de trrans-

port, le rôle prêté aux CLI pourrait être assuré en phaser de transition par l"ANCCLI, par la CLI la plus proche du lieu de l"accident, par la CLI du site d"où est parti le chargement ou par celle du site où il devait être acheminé. Une instance spér- ciNque pourrait ensuite être créée pour le suivi de long terrme. L"ANCCLI pourrait, s"il semble pertinent de statuer sur cette question, engager une réUexion spéciNque pour faire une pro- position au législateur.

La phase de préparationU:

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La phase post-accidentelleU :

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Néanmoins, la question de la distribution de comprimés d"iode rne devrait a priori pas se poser dans ce cas, dans la mesure où le risque

radiologique associé à l"iode est très limité pour les martières transportées en raison du temps d"entreposage des matièrres avan

t leur transport qui

permet une décroissance d"une très grande partie de l"iode rradioactif initialement présent.

2016, une telle extension a pour la première fois été ofN-

cialisée lors d"un point presse du Préfet de la Manche, à propos de Flamanville. Cependant, l"extension du rayon nécessite une modiN- cation du PPI qui ne pourra être effective pour chaque centrale qu"après consultation de chaque CLI concer- née. Cette con-sultation est en effet rendue obligatoire par l"article 123 de la loi relative à la transition énergé- tique pour la croissance verte pour " toute modiNcation du plan particulier d"intervention », ce dont l"ANCCLI se félicite. Toutefois, si l"extension à 20 km du rayon des PPI constitue une avancée, l"ANCCLI considère que ce périmètre reste trop restreint notamment au regard des enjeux d"information et de préparation des populations

à la culture de radioprotection, et maintien

sa recommandation en faveur d"une prise en compte de la notion de bassins de vie.

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Niveau maximal admissible.

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4. Voir l"exemple de Fukushima avec l"entreposage en urgence de plusierurs centaines de milliers de m

3 d"eau contaminée par le refroidisse ment des réacteurs. fi

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aJTeJAJ LJnJ ET iÉ ETOUÉ"6JETaJTOR fiƒ identiNé dans la Nche mesure, ne semble être déNnie dans aucun document faisant état des travaux réalisés autour de la gestion post-accidentelle. D"une manière plus générale, la rréor- ganisation de la communauté délocalisée ne semble pas antici- pée à moyen ou long terme. Comment maintenir le lien social entre les membres d"une communauté relocaliséeC? fl

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Le choix de ne communiquer que l"information ofNcielle n"est pas neutre aux yeux de la population. Dans un cas comme dans l"autre, la communication des CLI et de l"ANCCLI en phase de crise sera très délicate et nécessitera la plus grande prudencer. La disponibilité des membres : les membres du collège des élus peuvent être sollicités par ailleurs pour remplir leur fonction d'élus et n'auront éventuellement pas une grande disponibilité pour assurer une présence dans les CAI en tant que représentants des CLI ; les membres du collège des syndicats seront probablement occupés sur le site acci denté ; les membres du collège des associations et du col- lège des personnes qualifiées sont bénévoles et peuvent avoir une activité professionnelle par ailleurs limitant leur disponibilité à moyen et long terme. Tous peuvent égale- ment avoir été évacué et relogés ailleurs, et mobilisé s par les difficultés liées à la réorganisation de leur vie priv

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Le travail de la CLI ne se résume pas à sa présence dans les CAI. Des moyens humains seront également nécessaires pour remplir ses autres missions. Même en augmentant ses moyens humains, la CLI serait probablement rapidement submergée par l'ampleur du travail à accomplir. Le soutien actif des autres CLI et de l'ANCCLI serait alors indispen- sable pour la soulager des missions qu'il lui serait possible de déléguer. Enfin, les besoins en communication seront importants. Les CLI n'ont pas toutes un site internet, outil qui serait indis pensable à la CLI concernée par une situation accidentelle et post-accidentelle. Ce site devra supporter un grand nombre de connections simultanées. Les réseaux sociaux pourraient être un outil de communication important pour la CLI. Dans la mesure où un grand nombre de membres de la CLI peuvent être amenés à communiquer à l'extérieur, que ce soit auprès des populations dans les CAI, des médias ou sur son site inter- net et les réseaux sociaux, il est important que la CLI ait une organisation interne bien définie pour le partage des informations entre ses membres. Le périmètre et la composition des CLI sont définis par voie légis- lative en situation normale. En situation post-accidentelle, cette définition pourrait être remise en question. Le périmètre d'ac- tion de la CLI devrait-il s'étendre aux installations d'entrepo sage créées en urgence dans la ZPP ? à tout le territoire contaminé ? Faudrait-il intégrer de nouveaux membres tels que : les élus des communes de la ZPP, voire de la ZST qui n'étaient pas inclues dans le PPI, des représentants des pays frontaliers concernés par des dépôts radioactifs ; des représentants des intervenants sur les activités de décontamination et des représentants du milieu agricole ; des représentants d'associations nouvellement créées (pro- tection de l'environnement, parents d'élèves, collectifs de riverains...) qui voudraient prendre part aux travaux des CLI ; du personnel médical engagé dans le suivi des populations. Néanmoins, l'intégration de nouveaux membres ne serait per- tinente que dans la mesure où la CLI serait capable de les inté- grer rapidement dans son organisation interne. À un niveau intermédiaire, certains acteurs pourraient, sans être membres à part entière de la CLI, être invités ponctuellement pour t raiter des sujets les concernant. Ces modifications ne sont pas prévues dans la loi. Une modi- fication du décret n°2008-251 du 12 mars 2008 relatif aux commissions locales d'information auprès des installations nucléaires de base pourrait être envisagée pour permettre ces évolutions en situation post-accidentelle. Par ailleurs, les CLI pourraient intégrer de l'inter-territoria lité en phase de préparation en se rapprochant d'acteurs des départements voisins. Enfin, la loi TECV prévoit l'intégra tion de membres issus des pays frontaliers dans les CLI des INB situées dans un département frontalier. La dimension transfrontalière, d'autant plus importante dès lors que la zone de préoccupation est élargie au-delà des dis- tances des PPI actuels, mérite une réflexion à part entièr e autour de l'intégration et de la cohérence des approches rete- nues de chaque côté de la frontière. Il pourrait par exemple s'agir non seulement d'organiser une réciprocité de la parti ci- pation aux réflexions voire une symétrie de participation aux instances locales, mais aussi de coordonner la réalisation des exercices de crise ou la distribution de comprimés d'iode. Un travail spécifique de l'ANCCLI autour de ces questions pourrait sans doute aboutir à quelques recommandations pratiques. iRIETOUÉ"6JETaJTOR aJLTnɦJ LT vAJLLRIeJLTRV3T0N1T iRIETOUÉ"6JETaJTORT Sur de nombreux thèmes, les enjeux sont identifiés et les mesures qu'il faudrait prendre en théorie sont globalement connues. La réflexion est moins aboutie concernant leur dérou- lement et qui les mettra en oeuvre. Un gros travail a été réa lisé par le CODIRPA depuis 2005. Une part importante de ce travail a été réalisée avant l'accident de Fukushima, le retour d'expé- rience de cet accident n'a été que partiellement pris en compte. Il faut également noter que la réflexion du CODIRPA s'est dans un premier temps limitée à des accidents de dimensionnement : les préconisations de ce comité doivent donc être réexaminé es pour des accidents majeurs, avec le changement d'échelle dans les conséquences envisagées et donc dans la mise en oeuvre de mesures de protection et de remédiation que cela implique. Le CODIRPA a élargi le spectre des accidents pris en compte dans son nouveau programme de travail en 2013 ; celui-ci est prévu pour durer 5 ans. La réaction des populations face aux mesures qui seront prises en situation accidentelles n'a que peu, voire pas, été prise en compte dans la réflexion des différents acteurs. Le choix des mesures à prendre en cas d'accident, que ce soit en situation accidentelle ou post-accidentelle, est fait sur l'hypothèse d'u ne population globalement obéissante. Si une relativement bonne coopération de la population peut s'envisager en situation de crise, l'acceptation par la population en situation post-acciden- telle de mesures et de normes établies sans sa consultation est loin d'être acquise. Alors que le rôle des territoires et des CLI est assez limité en situation d'urgence, ils sont au coeur de la gestion post-acci- dentelle dès la levée de la situation d'urgence. Leur capacité à remplir leurs missions dépendra des moyens humains et finan ciers qui leur seront disponibles, mais également de leur capa- cité à avoir su en amont de l'accident se préparer et s'o rgani- ser, et sera sensible au degré de préparation et d'information préalable des populations. Pour pouvoir se préparer, les CLI ont besoin d'une définition claire de leurs missions en situatio n accidentelle et post-accidentelle. L"ASN considère en effet que la démarche de préparation est une première étape indispensable en vue de la gestion d"un éventuel accident nucléaire. Cette préparation peut constituer le point de départ d"un engagement des acteurs concernés dans des initiatives et des actions permettant de développer des outils et des méthodes pour la gestion de la phase post-ac- cidentelle et d"acquérir des habitudes de travail communes. L"ASN reste de plus attachée, ainsi que le stipule l"article 5.1r de la convention d"Aarhus, aux principes de transparence et d"impli cation des parties prenantes et de la population lors des travaux de planiNcation et de préparation, tels qu"ils ont prévalu lrors de l"élaboration de la doctrine par le CODIRPA. L"application effec- tive de ces principes constitue une condition nécessaire pour tenter de maintenir voire de reconquérir la conNance envers les pouvoirs publics en situation de crise nucléaire, puis de prépa- rer la reconquête de la vie économique et sociale. En effet, dans les zones contaminées après un accident nucléaire, au-delà de l"action des pouvoirs publics, une des conditions pour la réhabilitation des conditions de vie tient à l"implication des citoyens. Dans le but de consolider et de démultiplier les actions menées par les pouvoirs publics en situation post-accidentelle, il est important que les habitants, qui sont en prise directe avec le contexte local, soient parties prenantes de la réponse à la situation de contamination et du dispositif de vigilance. Les Commissions locales d"information (CLI) jouent un rôle d"information sur les installations nucléaires auprès des élrus et des populations locales ainsi que d"identiNcation des questions posées par celles-ci. En situation post-accidentelle, leur rôle serait maintenu et certainement renforcé. Il est donc impor- tant qu"en plus de l"information qu"elles relaient traditionnelr- lement, celles-ci puissent bénéNcier d"éléments de culrture pratique de radioprotection et qu"elles s"investissent sur les questions liées à la gestion post-accidentelle.

Autorité de sûreté nucléairefi- ASN

Jacques REPUSSARD

Directeur général de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléairefi- IRSN - Février 2016

5. KotobaC: signiNe "Cles motsC» en japonais.

Voir les articles suivantsC:

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Un Livre Blanc consacré à l"implication des acteurs territo- riaux et des CLI dans la gestion post-accidentelle est donc tout à fait le bienvenu. La gestion de la situation d"urgence a fait l"objet d"un rapporrt établi par le Comité scientiNque à la demande de l"ANCCLIr "CLes Plans particuliers d"intervention (PPI) - Mesures de pro tection, Rayons d"intervention, Distribution préventive d"iode stableC»C [22] Décret n°2008-251 du 12 mars 2008 relatif aux commissions locales d'information auprès des installations nucléaires de base. Circulaire interministérielle DGS/DUS n°2011-340 et DSC n°2011-64 du 11 juillet 2011 relative au dispositif de stockage et de distribution des comprimés d"iodure de potassium hors des zones couvertes par un plan particulier d"intervention (PPI).

ACirculaire interministérielle des exercices d'urgence nucléaire et radiologique du 13 décembre 2012

Instruction interministérielle des exercices d"urgence nucléaire et radiologique, Paris, 2 décembre 2013. Ministère de l"Intérieur, Réponse à un accident nucléaire ou radiologique majeur - Evolution de la doctrine nationale pour l"élaboration ou la modiNcation des PPI autour des CNPE exploités par EDF, Circulaire du 3 octobre 2016. Plan national de réponse à un accident nucléaire ou radiologique majeur, N°200/SGDSN/PSE/PSN et Fiches mesures, février 2014. Retour d"expérience de l"exercice majeur Secnuc 13, 15 septembre 2014.

HERCA, WENRA, Approach for a better cross-border

coordination of protective actions during the early phase of a nuclear accident, Stockholm, 22 octobre 2014.

ASN, Réponse à l"ANCCLI à la Demande de

communication du rapport de retour d"expérience de l"exercice de crise nucléaire des 11 et 12 juin 2013 à Saint-

Laurent-des-Eaux, 18 septembre 2014.

Eléments de doctrine pour la gestion post-accidentelle d"un accident nucléaire, Version Nnale, 5 octobre 2012. Lignes directrices de préparation à la gestion sur le long terme de territoires contaminés suite à un accident nucléaire sur le territoire français, Document de travail,

Septembre 2012.

ASéminaire du 5 et 6 mai 2011, Session 1, Une gestion reposant sur la mise en place d'un zonage post- accidentel, Cessac, IRSN. AProposition de zonage à mettre en place à la sortie de la phase d'urgence, 11 décembre 2009.

Synthèses et rapports des groupes de travail

AIRSN, ACTA, Guide d'aide à la décision pour la gestion du milieu agricole en cas d'accident nucléaire, Version 2012.

CEPN, Analyse des démarches locales pour

l"appropriation de l"outil OPAL et la sensibilisation des acteurs locaux face à une situation post-accidentelle, novembre 2013.

8˜—AAAccident de la centrale nucléaire de Fukushima Dai-Ichi

- Décontamination et gestion des déchets - Point de la situation en mars 2015, 9 mars 2015 Méthodologie appliquée par l"IRSN pour l"estimation des coûts d"accidents nucléaires en France, PRP-CRI/

SESUC/2013-00261, 2013.

Documents internes relatifs à l"exercice de crise de

Cattenom, 2013.

Situation de crise nucléaireC: préparation et organisation, Réponses de l"ANCCLI, Document interne, 2014C(avecquotesdbs_dbs32.pdfusesText_38
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