Ex 1 Transformation quasi-totale On considère la réaction suivante
de constante d'équilibre K = 1044 . A l'état initial
Konvergenzanalyse der Quasi-Steady-State Approximation im
3.3.1 Totale Quasi-Steady-State Approximation . . . . . . . . . . . 31 Enzym-Substrat Reaktion vor das die experimentelle Beobachtung einer maximalen.
Enzymatische Reaktion Thermodynamik & Enzyme im Detail
zur totalen Enzymkonzentration: Die Carboanhydrase mit 600.000 Umsetzungen pro Sekunde stellt die höchst gemessene Wechselzahl unter Enzymen dar. 4. Michaelis -
Chapitre 10 :Léquilibre chimique
Réaction quasi-nulle quasi-totale
Bestimmung von totalen und differentiellen Wirkungsquerschnitten
des totalen Wirkungsquerschnittes der Reaktion p + d ? 3He + ? nicht mit her- Verlauf der Spektren für beide Überschussenergien quasi identisch ist.
Physikalische Chemie I
sogenannte Reaktion pseudo 1. Die quasi-stationäre Näherung kann in der Regel ... Für eine infinitesimale ¨Anderung gilt dann das totale. Differential:.
Cours de Thierry Briere - LA REACTION CHIMIQUE
On dit qu'une réaction est Totale ou Quantitative quand Cas d 'une réaction non totale - Equilibre Chimique ... quasi totale si K.
Système chimique et équilibre
Toutefois peut-on dire que la réaction est quasi-totale et que l'avancement final xf est égal à xmax ? 2 - En raisonnant sur la loi d'action des masses établir
10 - Prévision dune réaction
disjoints : ils vont donc réagir l'un avec l'autre selon une réaction acido-basique quasi-totale (tous les réactifs étant des solutés la réaction conduit
Analyse der Li(d He) He-Reaktion Petra Haefner
Mit Hilfe von (1.37) kann man die totale kinetische Energie berechnen: quasi-freien Reaktion am Target 6Li(d2He)6He mit der analogen Reaktion am Was-.
[PDF] Ex 1 Transformation quasi-totale On considère la réaction suivante
Déterminer toutes les concentrations à l'exception de celle du réactif limitant en supposant la réaction totale 5 A partir de la constante d'équilibre et
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On dit qu'une réaction est Totale ou Quantitative quand cette réaction n'est possible que dans un seul sens En revanche il ne se passe aucune réaction si on
[PDF] transformation et reaction chimique - AC Nancy Metz
Dans ce programme on ne parle plus de transformation peu avancée ou très avancée ou quasi-totale Il ne reste que les transformations dites totales et les
[PDF] Chapitre 2 :Réactions en solution aqueuse - Melusine
Cette réaction obéit à la loi d'action de masse : B) Réactions acide/base constante d'acidité est donc quantitative (voire quasi-totale)
[PDF] Chapitre 10 :Léquilibre chimique - Melusine
Réaction totale ou nulle : - Réaction totale : Réaction quasi-nulle quasi-totale équilibrée : Réaction sans phase solide/liquide pure :
[PDF] ? ? ?
REACTION CHIMIQUE ET EQUATION BILAN : Une réaction chimique est une transformation de la matière au cours de laquelle les espèces chimiques sont modifiées : les
[PDF] Équilibres chimiques - Étienne Thibierge
Lorsque K > 103 ? 104 et que l'équilibre est atteint la réaction peut généralement être considérée comme quasi-totale Remarque : Ce critère doit être un peu
[PDF] Les transformations de la matière - Chimie en PCSI
20 oct 2017 · Si la réaction est quasi-totale ou dans quelques cas particuliers totale on peut utiliser la flèche simple ? Si la réaction est limitée
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Toutefois si la quantité de l'un des réactifs devient très faible on dira que la réaction est quasi-totale ou plus simplement totale L'appellation «réaction
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Une transformation n'est pas toujours totale et la réaction chimique qui lui est associée a lieu dans les deux sens ! Page 4 Terminale S Chimie – Partie B –
Comment montrer qu'une réaction est Quasi-totale ?
- Si K > 1000 la réaction peut être considérée comme étant totale vers la droite. Le réactif en défaut ou les deux réactifs A1 et B2 disparaissent quasi complètement. - Si K < 0,001 la réaction n'a pratiquement pas lieu. La réaction inverse, elle, serait quasi totale.C'est quoi une réaction totale ?
Transformation totale : une transformation chimique est totale si au moins l'un des réactifs a été entièrement consommé. Transformation non totale : une transformation chimique est non totale si tous les réactifs sont encore présents à la fin de la réaction.Comment savoir si la réaction est totale ou pas ?
Une réaction est totale si au moins un des deux réactifs a complètement disparu à la fin de la réaction ; une réaction est non totale si tous les réactifs et produits coexistent à la fin de la réaction.- On dit qu'une réaction est Totale ou Quantitative quand cette réaction n'est possible que dans un seul sens. En revanche, il ne se passe aucune réaction si on mélange les produits entre eux.
![Analyse der Li(d He) He-Reaktion Petra Haefner Analyse der Li(d He) He-Reaktion Petra Haefner](https://pdfprof.com/Listes/18/8081-18dipl-haefner.pdf.pdf.jpg)
Institut f¨ur Kernphysik
Westf¨alische Wilhelms-Universit¨at
M¨unster
HINWEISE AUF EINESOFT-DIPOLE
RESONANZ
IMHALO-KERN
6 HEAnalyse der
6 Li(d, 2 He) 6He-Reaktion
Diplomarbeit
vorgelegt vonPetra Haefner
M¨unster
M¨arz 2004
i "Das Experiment irrt nie, es irren nur eure Vorurteile, die sich eine andere Wirklichkeit versprechen, als sie in unsererErfahrung begr
¨undet sind.
Leonardo da Vinci
italienischer Maler, Bildhauer, Architekt, Naturforscher und Ingenieur (1452 - 1519) ii iiiF¨ur Erich, der immer stolz auf mich war!
ivInhaltsverzeichnis
Vorwort 1
Einleitung 3
0.1 Der Halo-Kern
6He........................... 3
0.2 Die (d,
2He)-Reaktion.......................... 6
1 Theoretische Grundlagen 9
1.1 EigenschaftendesDeuterons...................... 9
1.2 Kernmodelle............................... 13
1.2.1 DasSchalenmodell....................... 13
1.2.2 DasRotationsmodell...................... 20
1.2.3 DasVibrationsmodell...................... 22
1.3 Kernreaktionen ............................. 23
1.3.1 Die Elastische Streuung.................... 24
1.3.2 DasOptischeModell...................... 27
1.3.3 DieGlobalenModellevonBojowaldundDaehnick...... 32
1.3.4 Die Inelastische Streuung . . ................. 37
2 Experimentelle Methoden 41
2.1 Strahlerzeugung am Zyklotron AGOR ................. 41
2.2 AufbaudesBig-BiteSpektrometers .................. 43
2.3 DerEurosupernova-Detektor...................... 44
2.4 Elektronik................................ 46
2.5 Datenaufnahme............................. 48
v vi3 Extraktion physikalischer Gr
¨oßen 51
3.1 Spurrekonstruktion mitVESNA
n .................... 513.2 Winkelr¨uckrechnung.......................... 53
3.3 Kinematische Berechnungen...................... 54
3.4 BestimmungdesStrahl-Offsets..................... 55
3.5 Bestimmung der Zeitnullpunkte.................... 56
3.6 BestimmungderDetektoreffizienz................... 57
3.7 2He-Variablen.............................. 58
3.8 KinematischeKorrektur......................... 58
4 Analyse der (d,d")-Reaktion 61
4.1 Durchf¨uhrungdesExperiments..................... 61
4.2 Berechnung der Wirkungsquerschnitte ................. 61
4.3 Berechnung der Winkelverteilungen . ................. 63
4.4 ErgebnisseundVergleichderOptischenModellparameter....... 64
5 Analyse der
6 Li(d, 2 He) 6He-Reaktion 73
5.1 Durchf¨uhrungdesExperiments..................... 73
5.2 Bestimmung der Winkelakzeptanzschnitte............... 73
5.3 Untergrundsubtraktion . . ....................... 76
5.4 Akzeptanzkorrektur........................... 77
5.5 Winkelverteilungen des Wirkungsquerschnitts . ............ 79
5.5.1 Einteilung in Winkel-Bins................... 79
5.5.2 Experimentelle Wirkungsquerschnitte . ............ 80
5.5.3 Quasi-freier Untergrund.................... 81
5.5.4Fittender Zust¨andeundResonanzen.............. 85
5.6 Modellrechnungen........................... 91
5.6.1 Schalenmodell-Rechnungen mitOXBASH........... 91
5.6.2 DWBA-Rechnungen mitACCBA................ 92
5.7 B(GT)-Wert des Grundzustands¨ubergangs............... 94
vii6 Ergebnisse 97
6.1 Vergleich mit DWBA-Rechnungen . . ................. 97
6.2 VergleichmitanderenReaktionen ................... 102
6.3 Hinweise auf eineSoft-DipoleResonanz................ 104
6.4 Vergleich mit theoretischen Drei-K¨orper-Rechnungen......... 106
7 Ausblick 109
8 Zusammenfassung 111
A Eingabe-Dateien f¨ur ECIS97 113
A.1 Vibrationsmodell ............................ 113 A.2 Rotationsmodell............................. 114B Analyse-Hilfsmittel 115
B.1 Ausgabe vonFPPDAQbeiderT0-Bestimmung ............ 115B.2 Daten und Korrekturen der (d,
2He)-Reaktionen ............ 116
B.3 Bestimmung der Anregungsenergie im Restkern ............ 117 B.4 Winkelakzeptanz-Schnitte ....................... 118C Spektroskopische Amplituden 119
D Eingabe-Datei f¨ur ACCBA 123
Literaturverzeichnis 135
Abbildungsverzeichnis 135
Tabellenverzeichnis 135
viiiVorwort
In der vorliegenden Arbeit soll Hinweisen auf eine sogenannte"weiche Dipolre- sonanz (Soft-Dipole Resonance, Soft-DR) nachgegangen werden. Der Kern 6He ist
insofern besonders, als dass er eine Halo-Struktur besitzt und als Prototyp f¨ur Bor- rom¨aische Systeme gilt. Einen Halo-Kern kann man sich als festen Rumpf vorstellen, der von einer Wolke aus Neutronen in großem Abstand umgeben ist. Dadurch ist derDurchmesser des
6 He-Kerns, der gerade einmal aus sechs Teilchen besteht, genauso groß wie ein Bleikern mit 208 Nukleonen (s. Abb. 1). Borrom¨aische Systeme wurden nach der Familie Borrommeo aus Mailand benannt, welche die Borrom¨aischen Ringe in ihrem Familienwappen tragen. Dieses sehr alte und verbreitete Symbol besteht aus drei Ringen, die so miteinander verschr¨ankt sind, dass alle drei zusammen halten, ob- wohl keine zwei einzelnen miteinander verbunden sind (s. Abb. ). Zerschneidet man einen der drei Ringe, fallen alle auseinander, ohne Zerscneiden sind sie jedoch nicht zu trennen. Im Falle von Atomkernen spricht man von Borrom¨aischen Systemen, wenn ein Kern, den man sich aus drei Teilen zusammengesetzt denken kann, einen gebun- denen Zustand besitzt, obwohl die Zwei-Teilchen-Systeme ungebunden sind. Dies ist ein rein quantenmechanischer Effekt und kann klassisch nicht erkl¨art werden. Bei der- artigen Systemen kann eine besondere Schwingungsform auftreten, bei welcher der Neutronen-Halo gegen den Rumpf oszilliert - dieSoft-DipoleResonanz. Im Folgenden soll zun¨achst ein¨Uberblick ¨uber bisherige Erkenntnisse zum Halo- Kern 6 He gegeben und die von unserer Arbeitsgruppe in den letzten Jahren auf ver- schiedenen Gebieten der Kernphysik eingesetzte (d, 2He)-Reaktion vorgestellt werden.
12 fm9,5 fm6
He 208Pb Abbildung 1: Vergleich der Gr¨oßenverh¨altnisse von Helium-6 und Blei-208 [She96]. 1 2 Abbildung 2: Die Borrom¨aischen Ringe und das Wappen der Familie Borromeo. Im zweiten Kapitel werden die f¨ur die sp¨atere Analyse wichtige Streutheorie und ver-
schiedene Kernmodelle erl¨autert. Das n¨achste Kapitel gibt eine¨Ubersicht ¨uber die Ein-
richtungen am Kernfysisch Versneller Instituut (KVI Groningen), an denen die Mes- sungen durchgef¨uhrt wurden. Das Kapitel 4 widmet sich der Bestimmung relevanter physikalischer Gr¨oßen w¨ahrend der Analyse. Ergebnisse mehrerer (d,d )-Messungen, die der Erg¨anzung und Vorbereitung von (d, 2He)-Experimenten dienen, sind im f¨unf-
ten Kapitel zusammengestellt. Im folgenden Kapitel wird die Analyse der eigentlichen d, 2 He)-Reaktion beschrieben. Kapitel 6 stellt die erhaltenen Ergebnisse zusammen. Es wird mit anderen Reaktionen und theoretischen Vorhersagen verglichen.Einleitung
0.1 Der Halo-Kern
6 He Der Gedanke eines Halo-Kerns wurde 1974 von Migdal aufgebracht, der als erster die Theorie formulierte, dass es in Kernen, die als 3-K¨orper-Systeme beschreibbar sind, einen gebundenen Zustand mit sehr kleiner Bindungsenergie geben kann, ob- wohl die 2-K¨orper-Subsysteme beide ungebunden sind. Auf Grund der attraktiven starken Wechselwirkung und dem Fehlen der Coulomb-Abstoßung sagte er insbe- sondere das Auftreten von Di-Neutron-Zust¨anden an der Kernoberfl¨ache voraus. Da- mit waren gleich zwei neue Ideen geboren: Borrom¨aische Systeme als gebundener3-K¨orper-Zustand mit ungebundenen 2-K¨orper-Systemen und Halo-Kerne, die aus ei-
nem Rumpf mit einer Nukleonenwolke bestehen, welche den ¨ublichen Kernradius um ein Vielfaches ¨uberschreiten kann. Der erste experimentell nachgewiesene Halo-Kern war 11 Li, der beide vorhergesagten Eigenschaften erf¨ullt. Er ist beschreibbar als 3-K¨orper-System aus einem
9 Li-Rumpf und zwei Neutronen, die nur sehr schwach ge- bunden sind und den Rumpf in großem Abstand umgeben. Das 2-K¨orper-System 10 Li, zusammengesetzt aus 9 Li + n, besitzt dagegen keinen gebundenen Zustand. Seit dieser Pionierarbeit wurden viele Fortschritte auf dem Gebiet der theore- tischen Beschreibung von Halo-Kernen gemacht und eine Vielzahl weiterer Halo- Kandidaten experimentell untersucht und best¨atigt. Eine¨Ubersicht der heute bekann- ten Halo-Systeme ist in Abbildung 3 zu finden. Nach 11Li gilt
6He als Kern mit der
ausgepr¨agtesten Halo-Struktur und als Prototyp f¨ur Borrom¨aische Systeme. In elektro- magnetischen Dissoziationsprozessen wurden bei beiden Kernen erh¨ohte Wirkungs- querschnitte bei kleinen Anregungsenergien festgestellt, was auf das Vorliegen niede- renergetischer Dipol-St¨arke hinweist [K89, Kob92, A99]. Kobayashi et al. entwickel- ten die Hypothese, dass auf Grund der Halo-Struktur eine neue Resonanzform, die Soft-DipoleResonanz (Soft-DR), auftreten kann [K89]. Bei dieser Form oszilliert al- lein der Neutronen-Halo gegen den Rumpf, im Gegensatz zurGiant-DipoleResonanz (GDR), bei der alle Protonen gegen alle Neutronen schwingen, und derSpin-Dipole Resonanz (SDR), bei der die Protonen mit Spin↑gegen die Protonen mit Spin↓oszil- lieren und die Neutronen mit Spin↑gegen die Neutronen mit Spin↓ebenso (s. Abb.4). Auf Grund der geringen Bindungsenergie der Valenzneutronen ist f¨ur dieSoft-
DipoleSchwingung wenig Energie erforderlich, und sie kann bereits bei niedrigenAnregungsenergien auftreten.
3 4 stabil protonenreich neutronenreichProtonen-Halo
1-Neutronen-Halo
2-Neutronen-Halo
4-Neutronen-Halo
n p345678910
1 2 6 He246810
12 1416
8 He 10 He 11 Li 12 Be 11 Be 14 Be 17 B 19 B 22C 19 C 15 C 17 F 17 Ne 8 B Abbildung 3:¨Ubersicht der heute bekannten Protonen- und Neutronen-Halo-Kerne. Ein einfaches Modell, das allein der Veranschaulichung dienen soll, ist in Abbil- dung 5 gezeigt. Das Potenzial eines Harmonischen Oszillators wird durch folgende
Gleichung beschrieben:
V HO (r)=-V 0 +12Mω
2 r 2 (1)Er besitzt die Energieeigenwerte
E=? N+3 2?·¯hω-V
0 mit N=2·(n-1)+ln,l?IN (2) Diese Energieniveaus werden von Protonen und Neutronen besetzt. Abgesehen von den zwei untersten Niveaus, sind die L¨osungen f¨ur verschiedene Paare der Werte von n (1,2,3,...) und l (0,1,2,...) beim Harmonischen Oszillator entartet. In erster N¨ahe- rung, unter Vernachl¨assigung der Coulomb-Abstoßung der Protonen, ist die Energie der Zust¨ande von Protonen und Neutronen gleich. Bei einem Halo-Kern wird die ra- diale Ausdehnung sehr groß, d.h. das Potenzial ist viel breiter als bei anderen Ker- nen des gleichen Massenbereichs. Ein breiteres Potenzial f¨uhrt nach Gleichung 2 zwangsl¨aufig zu einem geringeren EnergieabstandΔE der Niveaus. Auf Grund der Form des Spin-Bahn-Potenzials ist zudem ein zweiter Effekt vorhergesagt worden. Nimmt der Kernradius stark zu, kann es zu einer unter Umst¨anden erheblichen Verrin- gerung der Spin-Bahn-Aufspaltung der einzelnen Drehimpuls-Niveaus kommen. Da- durch wird der Abstand zwischen verschiedenen Schalen verringert (s. Abschn. 1.2.1), und Dipol- ¨Uberg¨ange in h¨ohere Schalen sind bei geringeren Energien m¨oglich. Im0.1. DERHALO-KERN
6 HE5 pn GDR2nα
Soft-DR
d 6 LiL=1, ΔS=1
ΔL=1,
ΔS=0
SDR nn ppAbbildung 4: Schema der Schwingungsformen im
6He [NYA00, MK94].
quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39[PDF] moralisme mouvement littéraire
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