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  • C'est quoi une réaction totale ?

    Transformation totale : une transformation chimique est totale si au moins l'un des réactifs a été entièrement consommé. Transformation non totale : une transformation chimique est non totale si tous les réactifs sont encore présents à la fin de la réaction.
  • Comment savoir si la réaction est totale ou pas ?

    Une réaction est totale si au moins un des deux réactifs a complètement disparu à la fin de la réaction ; une réaction est non totale si tous les réactifs et produits coexistent à la fin de la réaction.
  • On dit qu'une réaction est Totale ou Quantitative quand cette réaction n'est possible que dans un seul sens. En revanche, il ne se passe aucune réaction si on mélange les produits entre eux.
Konvergenzanalyse der Quasi-Steady-State Approximation im

Institut f¨ur Mathematik

Mathematisch-Naturwissenschaftliche Fakult

¨at

Universit

¨at Potsdam

Konvergenzanalyse der Quasi-Steady-State

Approximation im Rahmen der Theorie singul

¨ar

gest

¨orter Differentialgleichungen

Bachelorarbeit

eingereicht am 15. April 2014 von

Florian Hildebrandt

Matrikel-Nummer 754498

ErstgutachterProf. Dr. Wilhelm HuisingaUniversit¨at Potsdam ZweitgutachterProf. Dr. Carsten HartmannFreie Universit¨at Berlin

Zusammenfassung

Die Quasi-Steady-State Approximation ist eine Methode zur Dimensionsreduktion in dynamischen Systemen. Sie wird vor allem f

¨ur gew¨ohnliche Differentialgleichungen,

die chemische Reaktionssysteme beschreiben, verwendet. Trotz allgegenw¨artiger An- wendung der Quasi-Steady-State Approximation existiert eine theoretische Analyse des Approximationsfehlers nur f ¨ur den Spezialfall der Enzym-Substrat-Kinetik. In dieser Arbeit wird eine theoretische Rechtfertigung f

¨ur die Quasi-Steady-State Ap-

proximation mit Hilfe eines Mehrskalenansatzes basierend auf der Theorie singul¨ar gest ¨orter Differentialgleichungen dargestellt. Als theoretische Grundlage wurde da- zu Kapitel 15 des BuchesMultiscale MethodsvonPavliotisundStuartverwendet.

Mit Hilfe dieser Theorie werden anschließend f

¨ur Differentialgleichungen, die che-

mische Reaktionssysteme beschreiben, Kriterien f

¨ur die Anwendbarkeit der Quasi-

Steady-State Approximation entwickelt. Dazu erweist sich eine Transformation der Gleichungen, die Skalierung, als hilfreich. Die Idee zu dieser Transformation ist dem ArtikelThe Quasi-Steady-State Assumption: A Case Study in PerturbationvonSe- gelundSlemrodentnommen. Abschließend wird das wohl bekannteste Beispielf¨ur die Quasi-Steady-State Approximation, die Michaelis-Menten Approximation, be- handelt.

Inhaltsverzeichnis1 Einleitung5

2 Die Quasi-Steady-State Approximation 5

2.1 Heuristische Herleitung . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

2.2 Transformation einer gegebenen Gleichung . . . . . . . . . . .. . . . 7

2.3 Konvergenzanalyse der Quasi-Steady-State Approximation . . . . . . 10

3 Anwendung der Quasi-Steady-State Approximation auf Differentialglei-

chungen aus der Reaktionskinetik16

3.1 Deterministisches Modell der Reaktionskinetik . . . . . .. . . . . . . 16

3.2 Quasi-Steady-State Approximation f

¨ur Differentialgleichungen aus der

Reaktionskinetik . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17

3.2.1 Skalierung . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17

3.2.2 Quasi-Steady-State Approximation . . . . . . . . . . . . . . . 21

3.3 Enzymkinetik und die Michaelis-Menten Approximation . .. . . . . . 24

3.3.1 Totale Quasi-Steady-State Approximation . . . . . . . . . .. 31

4 Zusammenfassung und Diskussion35

Literatur37

4

1 EinleitungEine wichtige Technik zur Dimensionsreduktion in dynamischen Systemen ist die

Quasi-Steady-State Approximation. Sie findet in vielen Bereichen, besonders jedoch in der mathematischen Beschreibung chemischer Reaktionssysteme, eine Anwen- dung. Neben der Vereinfachung der Analyse und L

¨osung des Systems durch die

Dimensionsreduktion, ist ein entscheidender Nutzen die h

¨aufig folgende Verringe-

rung der Anzahl an Modellparametern. Das ist insbesondere dann vorteilhaft, wenn Parameter unbekannt und experimentell schwer zu bestimmensind. Des Weiteren k ¨onnen durch die Modellreduktion unter Umst¨anden Einsichten in die Natur des beschriebenen Vorgangs gewonnen werden, die in der Komplexit¨at des detaillierten Modells verdeckt blieben. Das bekannteste Beispiel f

¨ur die Quasi-Steady-State Ap-

proximation ist die Michaelis-Menten Approximation. In ihrem 1913 ver¨offentlichten Artikel [MM13] schlugen Michaelis und Menten ein Modell zur Beschreibung einer Enzym-Substrat Reaktion vor, das die experimentelle Beobachtung einer maximalen Reaktionsgeschwindigkeit bei hohen Substratkonzentrationen richtig widerspiegelte. Aus heutiger Sicht kann dieses Modell durch Anwendung der Quasi-Steady-State

Approximation abgeleitet werden. H

¨aufig werden Varianten der Michaelis-Menten

Approximation verwendet, ohne dass eine allgemeine theoretische Rechtfertigung daf ¨ur besteht. Das Ziel dieser Arbeit ist es, mit Hilfe der Theoriesingul¨ar gest¨orter Differentialgleichungen die Quasi-Steady-State Approximation f¨ur allgemeine Re- aktionssysteme zu rechtfertigen sowie Kriterien f

¨ur deren G¨ultigkeit anzugeben.

Zun ¨achst wird eine Theorie vorgestellt, die im Wesentlichen auf [PS08, Theorem

15.2] beruht. Anschließend wird gezeigt, wie man mit dieser Theorie Systeme aus

der Reaktionskinetik behandeln kann. Schließlich wird dieMichaelis-Menten Appro- ximation auf die vorgestellte Weise untersucht und das Ergebnis der Analyse mit dem von Segel und Slemrod verglichen, die in [SS89] eine Analyse dieses Spezialfalls der Quasi-Steady-State Approximation durchf

¨uhrten.

2 Die Quasi-Steady-State Approximation

In vielen dynamischen Systemen l

¨auft ein Teil der Dynamik wesentlich schneller ab als der ¨ubrige Teil der Dynamik. Man sagt in diesem Fall, dass das System eine langsame und eine schnelle Zeitskala hat. Eine solche Zeitskalentrennung erlaubt es unter Umst ¨anden, die Dynamik dahingehend zu vereinfachen, dass die schnelle Dy- namik nur noch"implizit" ber¨ucksichtigt werden muss. Dieses Konzept soll zun¨achst auf heuristische Weise erl

¨autert werden.

5

2.1 Heuristische HerleitungWir gehen analog zu [PS08, S. 127 f.] vor. Betrachtet werden Differentialgleichungen

der Form d dtx=f(x,y) (1a) d dty=1εg(x,y) (1b) mit 0< ε?1,x?Rk,y?Rl. Die Funktionenfundgseien geeignet gew¨ahlt (im n ¨achsten Abschnitt werden die Annahmen anfundgkonkretisiert). Sei?tx(y0) die L ¨osung von Gleichung (1b) f¨ur ein festgehaltenesxundε= 1, das heißt d dt?tx(y0) =g(x,?tx(y0)), ?0x(y0) =y0. Wir nehmen an, dass sich die Gleichungg(x,y) = 0 eindeutig zuy=q(x) aufl¨osen l ¨asst, das heißt es existiere eine Funktionq:Rk→Rlund g(x,y) = 0 gelte genau f

¨ur

y=q(x). Der Wertq(x) ist damit ein Fixpunkt (Steady-State Value) von Gleichung(1b), aber im allgemeinen kein Fixpunkt des vollen Systems. Wir bezeichnen daherq(x) als den Quasi-Steady-State Wert vonyf¨ur gegebenesx. Wir nehmen an, dass f¨ur die Gleichungd dty=g(x,y) mit festemxder Fixpunkty=q(x) global attraktiv ist, das heißt t x(y0)-→q(x) f¨urt→ ∞, unabh ¨angig vony0, wobei die Konvergenz gleichm¨aßig inxerfolge. Die Funktion t/ε x(y0) l¨ost die Gleichung d dty=1εg(x,y), y(0) =y0 f ¨ur ein festesx. F¨ur Zeitent, die groß gegen¨uberεsind, machen wir nun die Appro- ximation t/ε x(y0)≈q(x). Die Idee der Quasi-Steady-State Approximation ist die folgende: Betrachten wir wieder das volle System an Differentialgleichungen, so gehen wir davon aus, dass selbst wenn wirxnicht festhalten, y(t)≈q(x(t)) 6 f¨urtgroß gegen¨uberεeine gute N¨aherung bleibt. Das heißty(t) l¨asst sich nach kurzer Zeit als Funktion vonx(t) ausdr¨ucken. Dies f¨uhrt auf die Quasi-Steady-State

Approximation

x≈xred, wobeixreddie L¨osung der reduzierten Gleichung d dtxred=f(xred,q(xred)), xred(0) =x0 ist. Dabei l ¨asst sich die Wahl der Anfangsbedingungxred(0) =x0durch die N¨aherung x(t)≈x0 f ¨ur Zeitent, die klein gegen¨uber 1 sind, rechtfertigen.

2.2 Transformation einer gegebenen Gleichung

In diesem Abschnitt wird die Frage beantwortet, welche Bedingungen an eine Funk- tionggestellt werden m¨ussen, um die Existenz einer Funktionqmit den im vo- rigen Abschnitt erw ¨ahnten Eigenschaften sicherstellen zu k¨onnen. Weiterhin wird beschrieben, wie eine gegebene Differentialgleichung d dtZ=F(Z) unter gewissen Voraussetzungen auf eine Gleichung der Form (1) gebracht werden kann.

Gegeben sei die autonome Differentialgleichung

d dtZ=F(Z), Z(0) =Z0.(2) Dabei sei die FunktionF:Rn→Rnauf ganzRnstetig differenzierbar. Damit ist Fweiterhin lokal Lipschitz. IstM?Rnein Kompaktum, so ist die Einschr¨ankung vonFaufMglobal Lipschitz. F¨urZ0?M\∂Mexistieren also einδ >0 und eine eindeutig bestimmte L ¨osungZ: [0,δ)→Mf¨ur (2) (siehe [PW10, Kapitel 2]). Wir betrachten die Differentialgleichung auf einem quaderf

¨ormigen Kompaktum

M= [a1,b1]× ··· ×[an,bn]

mitai,bi?R,ai< bif¨uri= 1,...,n. Um die Quasi-Steady-State Approximation auf diese Differentialgleichung anwen- den zu k ¨onnen, gehen wir im Folgenden davon aus, dass Funktionenf0:M→Rk undg0:M→Rn-kexistieren, so dass sich Gleichung (2) mitZ= (X,Y) schreiben l

¨asst als

d dtX=f0(X,Y), X(0) =X0(3a) d dtY=g0(X,Y), Y(0) =Y0(3b) undg0die folgenden Bedingungen erf¨ullt. 7

Bedingungen (Q):

1. Es existiere eine eindeutig bestimmte stetig differenzierbare Funktion

q:M1→M2mit g

0(X,q(X)) = 0

f ¨ur alleX?M1. Dabei seienM1?RkundM2?Rn-kmitM=M1×M2.

2. Es existiere eine Konstanteα >0, so dass f¨ur alleX?M1undY,Y??M2

gilt

Die Quasi-Steady-State Approximation f

¨ur das System (3) lautet dann

d dtXred=f0(Xred,q(Xred)), Xred(0) =X0.(5) Pavliotis und Stuart zeigen in [PS08, S. 240], dass Bedingung (4) die in der heuri- stischen Herleitung geforderte Eigenschaft garantiert, dass f¨ur ein festgehaltenesX die Dynamik gegenq(X) konvergiert: Ist?tX(Y0) mit d dt?tX(Y0) =g0(X,?tX(Y0)), ?0X(Y0) =Y0, so gilt wobei? · ?die Euklidische Norm bezeichne. Wir wollen nun ein geeignetesεbestimmen. Der Parameterεsollte ein Maß daf¨ur sein, wie schnell sich dieX-Dynamik im Vergleich zurY-Dynamik¨andert. Wir sahen bereits in Ungleichung (6), dassαein Maß f¨ur die¨Anderungsgeschwindigkeit der Y-Dynamik, genauer gesagt, die Geschwindigkeit, mit der sich dieY-Dynamik der Mannigfaltigkeit (X,q(X)) ann¨ahert, ist: Je gr¨oßerαist, desto schneller konvergiert der Abstand zur Mannigfaltigkeit gegen 0. Wir definieren die charakteristische Rate f

¨ur dieY-Dynamik durch

Y=α.

Wir wollen nun etwas Analoges f

¨ur?tY(X0), derX-Dynamik bei festgehaltenemY,

definieren. Sei dazuC >0 mit DieX-Dynamik¨andert sich desto langsamer, je kleiner die KonstanteCist, denn ??tY(X0)-X0?=????? t 0 f(?sY(X0),Y)ds???? t 0 8 Also setzen wir als charakteristische Rate f¨ur dieX-Dynamik X=C. Die charakteristischen Raten sind nicht eindeutig,τYsollte aber stets so groß undτX so klein wie m ¨oglich gew¨ahlt werden. Die Annahme, die uns zur Quasi-Steady-State

Approximation f

¨uhrte, war, dass im vollen System dieY-Dynamik viel schneller gegen die Mannigfaltigkeit (X,q(X)) konvergiert, als sich dieX-Dynamik¨andern kann. Also fordern wir

X?τY

und erhalten so den gesuchten Parameter

ε=τX

τY=Cα.

Um unsere Differentialgleichung auf die gesuchte Form (1) zu bringen, f¨uhren wir nun die neue Zeit

T=τX·t

ein und erhalten f

¨ur die Funktionen

x(T) =X(T/τX) undy(T) =Y(T/τX) (7) die Differentialgleichungen d dTx=1τXf

0(x,y),

d dTy=1τXg

0(x,y).

Setzen wir nun

f(x,y) :=1

τXf

0(x,y),

g(x,y) :=1

τYg

0(x,y),

so erhalten wir d dTx=f(x,y), x(0) =X0,(8a) d dTy=1εg(x,y), y(0) =Y0.(8b) Wir bemerken, dass nach dieser Transformation die Funktionenfundgim All- gemeinen vonεabh¨angen werden und wir eigentlichf=fεundg=gεschreiben m ¨ussten. Vorerst werden wir jedochεals festen Parameter betrachten und k¨onnen 9 daher zun¨achst auf diese Notation verzichten. F ¨ur die Funktionenfundgaus den transformierten Gleichungen gilt sowie f ¨ur allex?M1undy,y??M2. Als reduzierte Gleichung erhalten wir d dTxred=f(xred,q(xred)), xred(0) =X0.(11) Dafundqnach Voraussetzung stetig differenzierbar sind, ist die Funktionf(·,q(·)) : M

1→Rklokal Lipschitz. Also existiert einδ >0 und eine eindeutige L¨osung

x red: [0,δ)→M1f¨ur Gleichung (11) (siehe [PW10, Kapitel 2]).

2.3 Konvergenzanalyse der Quasi-Steady-State Approximation

In diesem Abschnitt soll untersucht werden, unter welchen Bedingungen wir die Konvergenz der Quasi-Steady-State Approximation zeigen k

¨onnen.

Im Beweis der Konvergenzaussage verwenden wir folgendes Lemma 2.1(Gronwall (differentielle Form), siehe [PS08, S. 61] ).SeiT >0und η: [0,T]→[0,∞)eine stetig differenzierbare Funktion, die der Differentialunglei- chungd f ¨ur allet?[0,T]gen¨ugt. Dabei seia?Rundψ: [0,T]→[0,∞)eineL1- integrierbare Funktion. Dann gilt 0+? t 0 exp(-as)ψ(s)ds? f

¨ur allet?[0,T].

Folgender Satz gibt eine Fehlerabsch

¨atzung f¨ur die Quasi-Steady-State Approxi- mation an. Theorem 15.2 aus dem Buch [PS08] ist hier f

¨ur den Spezialfall unserer

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