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N° 2424 ASSEMBLÉE NATIONALE RAPPORT DINFORMATION

29 juin 2005 Quelles disciplines étudier dans le cadre des enseignements artistiques ... départementaux de l'éducation nationale d'Ille-et-Vilaine.



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Telles furent nos jeunes années

1939-1945

Telles furent

nos jeunes années

Le Pays Castelbriantais

sous l"Occupation (Deuxième édition, revue et enrichie)

Des jours meilleurs

se lèveront demain

René Perrouault

Fusillé à Châteaubriant

Que ces témoignages,

en combattant l"oubli, servent la cause de la Liberté, de la Dignité humaine et de la Paix

Marcel Letertre

Edition : Les dossiers de La Mée

Ceci est la copie du livre paru en octobre 2009. Il peut présenter quelques petites différences avec le texte original.

Seul le livre

fait foi . On peut le trouver chez les libraires castelbriantais ou au +33 (0)9 77 81 55 98 au prix de 32 € port compris.
1

Remerciements

Ce livre est un ouvrage collectif. Non pas une oeuvre d"historien, résultat d"une longue collecte de témoignages. De nombreuses personnes ont accepté de raconter, fouillant leur mémoire et leurs archives. Merci à tous ceux qui, d"une façon ou d"une autre, ont participé à la réalisation de cet ouvrage. Citons par ordre alphabétique, en espérant n"avoir oublié personne :

Guy ALLIOT

Paulette et Jacques AVERBUCH

Henri BARON

Thérèse BARTHELEMY-PIETIN

Charles BESNARD

Yves BLAIS

Paulette BLOND-FONTAINE

Michèle BOISGARD-MIGLIORETTI

Denise BOISSEAU-GICQUEL

Jean et Evelyne BOLLEROT

Marie Louise et Jeanne BOUCHERIE

Joséphine BOUCHET

Jeanne BREMONT

Robert BROSSEAU

Georgette CASSIN

Madeleine et Marcel CHARRON

Michel CHARRON

Alexis CHEVALIER

René CHRETIEN

Gaby COSSON-LEROY

Yves COSSON

Michèle COTTREL-GICQUEL

Arthur DEROCHE

Célestin DEROCHE

Marc DROUET

Michel DUBLE

André DUFLAND

Sylvie ETIENNE-LEPRON

Carlos FERNANDEZ

Roland FEUVRAIS

Jacqueline FOURNIER

Jean GAUCHET

Marie-Françoise GICQUEL-COTTREL,

Jean GILOIS

(voir page 293)

Raoul GIQUEL

Augustin GROSDOY

Hugo HERVE

Germaine et Paul HUARD

Daniel JOLYS

André et Denise LEBASTARD Solange LEROY et l"ALC Emile LETERTRE Marcel LETERTRE (fils) Marcelle MAIGNAN Robert MAISONNEUVE Maurice MARCHAND Auguste MARTIN Eric MICHAUX Quentin MIGLIORETTI Marcel MISERIAUX Odette NILES Paul ORDRONNEAU Christiane PALOU-BIGNON Fernande PASCAUD-BROSSEAU Yves PELON Michel PERRINEL René PHILIPPOT Paulette PILETTE-MARSOLLIER Monique de PONTBRIAND Bernadette POIRAUD

Rose MERRIEN-PUYBOUFFAT

Jacqueline REGIS

Jeannette RIALLAND-CHEVROLIER

Simone ROBERT

Paul ROUL

Emile ROUX

Michel RUCHAUD

Jean SIMON

André et Germaine SINENBERG

André SINOIR

Voici donc ce livre,

il est sûrement incomplet.

Il peut rester des erreurs

et des oublis, involontaires

Que les Historiens

reprennent le récit et l"analyse de cette période riche et troublée.

La Mée, aoû

t 2009 2

Avertissement

La seconde guerre mondiale

Et plus particulièrement la Résistance

Un sujet exaltant, mais "dangereux" à traiter

Tant sont encore vifs les souvenirs

Et les émotions

Tant d"années après,

il y a toujours des choses à ne pas dire,

Et des choses à dire,

Mais peut-être à ne pas dire ici

Ou à ne pas dire comme cela.

La Mée prend le risque de remuer les mémoires,

Tant qu"il est temps

Ce sera forcément incomplet

Voire frustrant pour quelques personnes.

La Mée prend le risque de décevoir

Mais ce risque n"est rien

A côté de celui que prirent les Résistants,

Ces " soldats de l"ombre »,

Dans leur combat contre les nazis.

Ce livre n"est destiné, modestement,

Qu"à entretenir le souvenir

De la vie à Châteaubriant et région sous l"Occupation

Et de perpétuer

L"admiration et le respect

Pour ceux qui luttaient

Pour la Démocratie.

Pour la Liberté.

Ne souhaitant pas voir retomber sur des familles entières le comportement de quelques individus, volontairement, La Mée ne parlera ni des quelques Castelbriantais qui pratiquèrent la collaboration avec l"ennemi ni de ceux qui ont eu un comportement interlope (il y en eut, hélas ! comme partout). 3

Première partie :

Tourments

Les Allemands étaient chez moi

On m"a dit " Résigne-toi »

Mais je n"ai pas pu ...

Emmanuel d"Astier de la Vigerie

4-5

Châteaubriant en 1939

En 1939, Châteaubriant, une cité de 8112 habitants, coule des jours tranquilles dans la Vallée de la Chère, au pied du Château érigé par Brient 1 er , au centre d"un cercle de forêts. Petite ville de province, elle a dépassé les caractéristiques d"un gros bourg rural. Sous-préfecture du département de Loire-Inférieure (alors partie de la Bretagne), elle tient le rôle de ville-centre par rapport aux bourgs environnants, elle offre de nombreux services administratifs (liés à la présence de la sous-préfecture), une gare SNCF-voyageurs et une gare SNCF-marchandises, une gare routière, un hôpital et un autre établissement hospitalier de renommée mondiale (où le docteur André BERNOU, assisté de Lucienne MARECAUX, réalise des miracles dans les soins donnés aux tuberculeux), un commerce bien développé, un gros marché le mercredi, une foire annuelle renommée, des banques, des écoles primaires, un Cours Complémentaire et même des bains-douches publics. D"un point de vue culturel, elle dispose d"une bibliothèque municipale, d"un cinéma, de deux hebdomadaires (le Journal de Châteaubriant et le Courrier de Châteaubriant). Protégée, mais non coupée du monde et de ses troubles, elle compte alors, selon le Sous-Préfet de l"époque, 900 ouvriers, 300 commerçants, 250 fonctionnaires (enseignement et PTT), 150 artisans et une centaine de professions libérales, contre seulement 125 exploitations agricoles. Les ouvriers travaillent essentiellement à l"usine Huard (machines agricoles et fonderie), à la fonderie Leroy et au dépôt SNCF. La vie sociale est importante : vie syndicale (forte implantation CGT à l"usine Huard, dans les fonderies et au dépôt SNCF), vie associative (harmonie municipale, groupes de théâtre, association d'Anciens Combattants, sociétés sportives et nombreuses autres associations, comme l"Amicale Laïque dont 29 militants seront victimes de la barbarie nazie), vie religieuse (Paroisses, Cercle Catholique, Voltigeurs, écoles ...). Le marché tient un rôle important, il diffuse les nouvelles et assure le lien entre ville et campagne. Chaque année en septembre, la Foire de Béré réunit tout le pays.

Les premiers réfugiés : Espagnols

(voir aussi page230) " Certains jours il y eut 60 000 habitants dans les murs » raconte Alfred GERNOUX dans son excellent livre " Châteaubriant et ses martyrs » en présentant la période 39-

45 à Châteaubriant. (ouvrage réédité, dont on en trouve encore quelques exemplaires,

notamment à la mairie de Châteaubriant) . Lorsqu"arrivent les premiers réfugiés espagnols fuyant le régime franquiste, au tout début du mois d"avril 1939, la Guerre d"Espagne retentit jusqu"à la cité de Françoise de Foix . " Je me souviens de leur arrivée, en train, à la gare de Châteaubriant, en cohortes lamentables » dit Yves Cosson. " Aussitôt, la cité devient vibrante, elle se penche vers toute cette misère humaine,

elle ravitaille cette foule qui a faim, elle réchauffe ceux qui ont froid et met de la

tendresse au coeur de ces épaves » raconte Alfred Gernoux, enjolivant les faits, dans son livre " Châteaubriant et ses martyrs ». 6 Les quelque 110 Espagnols sont regroupés en hâte au rez-de-chaussée de la mairie transformé en centre d"hébergement pour un mois, puis dans la salle Lutétia (ancienne salle de bal) et en divers entrepôts de la ville où sont installées les cuisines et les couchettes. Le Maire Ernest BREANT fait acheter des couvertures, cuisinières, batteries de cuisine. Le Sous-Préfet Raymond ARNAUD, avec son épouse, gère les denrées alimentaires que la concierge de la sous-préfecture, Madame CASSIN, va porter aux Espagnols dans sa brouette. Les Castelbriantais sont plutôt réservés voire réticents, mais sous l"impulsion du Maire et du Sous-Préfet quelques-uns apportent du linge, en particulier pour les bébés, tout en regardant d"un drôle d"air ces " rouges » sûrement partisans du communisme. Mais la dignité des réfugiés, " leur attitude pleine de sagesse » comme dit le Sous-Préfet, impressionnent favorablement la population locale. Les autorités ecclésiastiques, " Le Journal de Châteaubriant » et même Le " Courrier de Châteaubriant », s"emploient à changer le regard des Castelbriantais. Diverses manifestations de solidarité, dont des

soirées dansantes et des représentations théâtrales, sont organisées au Marché

Couvert au bénéfice de ces malheureux.

Pendant ce temps-là, les autorités s"activent à préparer des camps (des planches pour faire des lits, 620 paillasses, 600 kg de paille) aux anciennes ardoisières de Juigné- les-Moutiers et aux anciennes Forges de Moisdon. A la fin mai 1939, environ 800

réfugiés espagnols, venant de tout le département, y sont parqués et leur seule

présence (pourtant essentiellement des femmes et des enfants) effraie la population de Moisdon : dans ce milieu rural, les " rouges » ne pouvent être acceptés et, sauf exception, la population de Moisdon ne manifeste aucune sympathie pour les réfugiés (singulièrement, d"ailleurs, les habitants de Moisdon ne participeront guère, plus tard, à la Résistance contre l"Occupant). Les Espagnols ne restent pas longtemps dans la région : après l"entrée en guerre de la France, contre l"Allemagne, en septembre 1939, le gouvernement français organise l"expulsion progressive de ces réfugiés, sauf de ceux qui, comme Fernandez DIEZ, se sont engagés dans l"armée française. Les camps sont officiellement dissous à la fin du mois d"octobre 1939. Quelques Espagnols restent cependant à Châteaubriant, fréquentent ses écoles et ses clubs de football et y fonderont par la suite une famille. Certains seront enrôlés par l"Allemagne dans l"organisation Todt (qui construit le mur de l"Atlantique). D"autres réussiront à s"évader, à rejoindre les maquis et la France

Libre.

Des réfugiés venus de partout

2 septembre 1939 : dans toutes les communes de France retentit le tocsin.

Mobilisation générale. Dans un message au Parlement, le Président Lebrun déclare : " Par delà les destins de la Patrie, c"est la liberté du monde et l"avenir de la civilisation qui sont en jeu ». Partout en France, les femmes et les enfants pleurent. Les enfants imaginent voir des morts dès le lendemain. Hommes et femmes, avides d"informations, lisent les grandes affiches réglementaires avec soin. Nul n"a plus le coeur à la fête. Les mères et les épouses confectionnent les baluchons. Les hommes partent au combat, bravement mais sans enthousiasme, pour peu de temps croient-ils. Chacun a en mémoire les horreurs que racontent les Anciens, ceux qui ont connu " la Grande Guerre », celle de 14-18. Et les coeurs se serrent. Les femmes restées seules au

pays, savent que tout reposera sur leurs épaules : élever les enfants, assurer la

subsistance, travailler la terre, remplacer les hommes dans les usines. 7 D"autres réfugiés, fuyant la guerre, arrivent à Châteaubriant et dans les communes environnantes ; Sion-les-Mines comptera 500 réfugiés dans la période 1939-45, pour une population de 2500 habitants. Dès le 7 septembre un service d"hébergement des

réfugiés est créé à Châteaubriant. Les nécessiteux y recevront un ravitaillement en

nature contrôlé à l"aide de fiches. Il est prévu d"héberger 100 à 150 personnes à

l"école publique de Béré et autant à l"école de la Vannerie. Des cantonnements sont envisagés à l"école St Joseph. Le 9 septembre 1939, il est demandé aux habitants de loger des familles. Quelques réfugiés trouvent abri au château : Mme CASSIN, la concierge de la sous-préfecture, apporte l"aide qu"elle peut. " Ma mère n"avait rien mais je l"ai toujours vu donner quelque chose, ne serait-ce qu"un peu de bois, ou la

possibilité de venir faire la toilette d"un bébé à la maison » dit sa fille Georgette.

Noëlle MENARD se souvient que M. TRENZ, procureur général de la our d"appel de Colmar logeait chez ses grands parents LEROY avec sa famille nombreuse. Parmi les réfugiés un petit homme est si bavard que bien des gens disent " il est de la cinquième colonne ». " La cinquième colonne » est une invention du Général Franco. Alors que les troupes fascistes, réparties en quatre colonnes, convergent vers Madrid, le Général Franco, pour démoraliser ses adversaires républicains, évoque l"intervention prochaine d"une cinquième colonne se trouvant déjà dans Madrid, dit-il. Cette trouvaille, annonciatrice de la guerre psychologique, crée un climat de suspicion.

Voire de panique.

En mai-juin 1940, sur les routes de France, l"armée, engluée dans l"exode des civils,

est en déroute. De bouche à oreille, une explication du désastre circule : " La

cinquième colonne nous a vendus ! ». Les nazis, convaincus que la démolition d"un pays quelconque n"est qu"une question d"argent et d"organisation, essaient d"influencer en leur faveur une partie de la presse et de l"opinion publ ique. Selon le Sous-Préfet LECORNU, des Parisiens du 18 arrondissement arrivent fin

1939, à l"occasion de la campagne de Norvège. Un camp d"accueil est organisé en

forêt de Juigné, des maisons vides (et en piteux état !) sont réquisitionnées dans

diverses communes de l"arrondissement. Les réfugiés ont droit chaque quinzaine à une allocation mais leurs conditions de vie sont difficiles. En même temps des troupes anglaises s"installent en Forêt du Gâvre, avec armes, munitions et ravitaillement. C"est l"époque où arrive à Châteaubriant la famille juive AVERBUCH. Du personnel de santé militaire s"installe à l"école Aristide Briand, internat de jeunes filles, route de

Vitré, transformé en hôpital militaire le 18 octobre 1939 : l"internat reste à l"école

Aristide Briand, les classes sont transférées, les unes à l"école de garçons de Béré,

d"autres au château et à la poterie Roussel. Les internes se déplacent entre les

dortoirs et les salles de classes disséminées en ville. Les élèves externes sont priés,

elles, d"arriver un peu plus vite pour allumer le poêle de la classe. Des particuliers prêtent, qui leur cuisine, qui leur salle à manger, pour y assurer les classes. De jeunes scouts castelbriantais se relaient, dans l"ancienne chapelle du couvent des Ursulines, pour accueillir les réfugiés. Le 10 novembre 1939, le Conseil Municipal attribue des allocations à 130 réfugiés. Environ 250 officiers polonais arrivent en décembre 1939, fuyant l"invasion de leurquotesdbs_dbs32.pdfusesText_38
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