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10 déc. 2014 55e ANNÉE – No 17058 – 750 F - 1



RESIDENCE ARTISTIQUE GEORGE SAND – FRÉDÉRIC CHOPIN

George Sand – Frédéric Chopin propose des séjours de 8 semaines à des artistes de disciplines diverses (littérature musique arts plastiques spectacle vivant arts des médias) au Château de Genshagen non loin de Berlin Trilatéral le programme prévoit que trois artistes allemand(e)s français(e)s polonais(e)s (un[e] par pays



RESIDENCE ARTISTIQUE GEORGE SAND FRÉDÉRIC CHOPIN

Le programme de Résidence artistique George Sand – Frédéric Chopin propose des séjours de 8 semaines à des artistes de disciplines diverses (littérature musique arts plastiques spectacle vivant arts des médias) au Château de Genshagen non loin de Berlin Trilatéral le programme prévoit que

BNP

LeMondeJob: WMQ3011--0001-0 WAS LMQ3011-1 Op.: XX Rev.: 29-11-99 T.: 11:20 S.: 111,06-Cmp.:29,11, Base : LMQPAG 44Fap: 100 N

o : 0472 Lcp: 700 CMYK

LE MONDE ...CONOMIE

aCrïer, en Europe, son entreprise aEmploi : 12 pages d'annonces classïes 55
e

ANNÖE ± N

o

17058 ± 7,50 F - 1,14 EURO FRANCE MÖTROPOLITAINEFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÖRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIMARDI 30 NOVEMBRE 1999Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 9 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 45 FB ; Canada, 2,25 $ CAN ;Côte-d'Ivoire, 850 F CFA ; Danemark, 15 KRD ;Espagne, 225 PTA ; Grande-Bretagne, 1 £ ; Grèce,500 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 2900 L ; Luxembourg,46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norvège, 14 KRN ; Pays-Bas,3 FL ; Portugal CON., 250 PTE ; Réunion, 9 F ;Sénégal, 850 F CFA ; Suède, 16 KRS ; Suisse, 2,10 FS ;Tunisie, 1,2 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.www.lemonde.fr

ACTIVE:LMQPAG:W

busy

International............. 2

France.......................... 8

R•gions........................13

Carnet...........................14

Horizons......................15

Entreprises................. 20

Communication........ 22

Tableau de bord........ 23Aujourd'hui................ 26

M•t•orologie............. 29

Jeux............................... 29

Immobilier/annonces30

Culture ......................... 31

Guide culturel............ 33

Kiosque........................ 34

Abonnements............ 34

Radio-T•l•vision....... 35

Les artistes n'ont pas

peur des critiques

LES ARTISTES n'ont rien à

craindre de la critique. Ils connaissent la phrase de

Cézanne : " Quand on sait faire,

ça ®nit toujours par se savoir. »

Est-il donc bien utile d'aligner

quelques banalités sur ce vieux couple " créateur/critique », souvent en con¯it, parfois en symbiose, voire dans l'emballe- ment lyrique ou dans l'effusion, couple promis à traverser des tempêtes, mais appelé à durer tant que la marchandise ± et les systèmes de promotion qu'elle suscite ± n'aura pas totalement remplacé la création ?

On pensait que non. On

connaissait la chanson : à chaque

époque, les créateurs novateurs

sont " assassinés » par la critique conventionnelle et défendus par quelques illuminés. Le divertisse- ment ± le produit culturel, dit-on aujourd'hui ± est d'emblée aimé par le public et encensé par ceux qui pensent que " le public d'une

époque a toujours raison » (alors

adieu Manet, Proust, Joyce, Stra- vinski, Fassbinder et les autres).

Faut-il encore rappeler que les

®lms de Jean-Luc Godard ne

sortent que dans quelques salles, qu'Aragon, entre 1926 et 1945, avait vendu environ 1500 exem-plaires du Paysan de Paris ou que, plus près de nous, le premier roman de l'Américaine Toni Mor- rison, aujourd'hui Prix Nobel de littérature, n'a pas dépassé 500 exemplaires ? On s'imaginait qu'il n'y avait rien à ajouter à une affaire que seule juge la posté- rité : qui, au bout du compte, a eu raison ? Qui a su le premier défendre Baudelaire tandis que la majorité des journalistes por- taient aux nues des gens dont les noms sont déjà oubliés ?

Mais voici que, ®n de siècle

oblige, des créateurs ont un " malaise » face à la critique. Un malaise collectif qui les conduit à publier un très long texte (Le

Monde du 25 novembre) en

forme de manifeste contre les " dérives actuelles ». Ces créa- teurs ne sont ni musiciens, ni plasticiens, ni écrivains. Ils sont cinéastes. Leur art s'exerce dans un domaine qui est, plus que les autres domaines artistiques, une industrie nécessitant l'engage- ment de sommes d'argent consi- dérables. Ce détail n'est peut-

être pas négligeable.

Josyane Savigneau

Lire la suite page 19

P. ROBERT/CORBIS/SYGMA

L'île de Rhum préfère le whisky et cherche des habitants

LONDRES

de notre correspondant

Le ciel n'y est pas toujours bleu, le ferry qui

l'approvisionne n'est pas toujours “ l'heure, mais la tranquillit• et l'extraordinaire beaut• du site compensent, þ combien, ces petits d•sagr•ments. Oyez, oyez, citadins fatigu•s, H•brides, recherche r•sidents. Touristes et amateurs de bronzette s'abstenir. Le projet du

Scottish Natural Heritage (SNH, propri•taire

du lieu) n'est pas de multiplier les visiteurs occasionnels, d•j“ nombreux dans ce paradis botanique d'un millier d'hectares, mais bel et bien de faire progressivement passer sa popu- lation permanente de trente habitants actuel- lement “ une cinquantaine. " L'idée,explique

Doreen Jones, la fonctionnaire •cossaise en

charge du projet “ Edimbourg, est de dévelop- per une vraie population, mixte et viable, qui ne soit pas exclusivement constituée, comme aujourd'hui, d'employés du SNH. »

Sises “ une cinquantaine de kilom˜tres “

l'ouest de la cþte •cossaise, dans les H•brides dites " int•rieures », les collines bois•es de Rhum, oŸ le whisky coule d'ailleurs plussouvent dans les gorges que l'eau de vie de canne “ sucre des Antilles, •taient plus connues, jusqu'“ ce jour, sous l'appellation ment class•e " int•r-t scienti®que sp•cial », oŸ cohabitent encore des nich•es d'aigles dor•s, quelques centaines de daims roux, des trou- peaux de ch˜vres sauvages et au moins cent mille puf®ns, ces gros palmip˜des de haute mer au plumage cendr• qui nichent sous terre, s•v˜rement r•glement•.

Bien que l'opulent Kinloch Castle, qui servit

de maison de convalescence aux soldats de la guerre des Boers au d•but du si˜cle, ait •t• transform• en hþtel de luxe ± le seul du lieu ±, nul ne peut y passer la nuit sans autorisation pr•alable. Jadis propri•t• du riche " landlord » Edwardien, Sir Georges Bullough, qui a laiss• sur place et “ sa m•moire un •trange mauso- ± l'origine de cette appellation se perd dans la nuit des temps ± comptait encore plus de quatre cents habitants au tournant du si˜cle. L'an dernier, la population •tait tomb•e “ dix- neuf "mes, dont un seul enfant pour l'•coleprimaire. Aujourd'hui, ils sont sept et ils esp˜rent de nouveaux camarades de jeu. Les candidats “ l'immigration doivent cependant savoir qu'ils ne pourront pas acheter la terre “ repeupler. Nouvellement autonome vis-“-vis de Londres, le gouvernement •cossais •tu- diera, en fonction de la demande, le type d'habitation qui sera •di®•.

Les amateurs, plus riches de paix, d'harmo-

nie et de beaut•, peuvent toujours se tourner vers les agences immobili˜res d'Edimbourg dont certaines proposent parfois “ la vente des au sud de Rhum. D•pourvue d'arbres mais oŸ se concocte le meilleur whisky d'Ecosse,

Texa et ses 57 hectares de rocaille mousseuse a

•t• mise sur le march• pour 1,2 million de francs seulement. Pour cette somme, l'heureux acheteur h•rite d'une ruine de vieille chapelle, d'un d•barcad˜re priv• et d'un petit cottage dot• d'une seule chambre, mais avec l'auto- risation garantie de pouvoir s'agrandir. Promis jur•, aucun voisin ne se plaindra...

Patrice Claude

Nouvelle formule

Le Figaro a adoptï, lundi, une nouvelle

formule aAEn d'enrayer l'ïrosion de ses ventes. ´ Nous allons ïvoluer profon- dïment sans rïvolutionner ª, explique au Monde Yves de Chaisemartin, PDG de la Socpresse. Prïsident du comitï

ïditorial du quotidien, Alain PeyreAEtte

est dïcïdï ì Paris, samedi 27 no- vembre. p. 22, et la mort d"Alain PeyreAEtte p.16 et 36Paroles de grand chef

SIR SIMON RATTLE

INVITÉ pour trois jours par la

Cité de la Musique, à Paris, le chef

d'orchestre britannique Sir Simon

Rattle est venu avec l'Orchestre de

Birmingham, qu'il a hissé au pre-

mier rang. Dans un entretien exclu- sif au Monde, il parle de son travail et de sa prochaine arrivée à la tête de la Philharmonie de Berlin.

Lire page 31

TV-STR/AFP

TERRORISME

L'ETA romptla trêve

L'organisation sïparatiste basque ETA

a annoncï dans un communiquï, dimanche 28 novembre, sa dïcision de

´ rïactiver l'utilisation de la lutte

armïe ªet de mettre ainsi AEn, ´ ì par- tir du 3 dïcembre ª, ì la trñve qu'elle observait depuis quatorze mois. Cette dïcision, unanimement condamnïe en

Espagne, provoque dïception et

inquiïtude au Pays basque franÿais (photo d'archive).p. 4

ENQUÊTE

Une guerreoubliée

1. En Sierra Leone,l'úuvre du Diable

Une horreur absolue... Pendant huit

ans de guerre civile en Sierra Leone, les rebelles du Front rïvolutionnaire uni ont semï la terreur et la mort, tuant

50 000 personnes, violant femmes et

AEllettes, coupant les bras et les mains

de leurs victimes. Notre envoyï spïcial

Rïmy Ourdan raconte cette guerre

oubliïe d'Afrique, qui s'est terminïe le

7 juillet par un traitï de paix accordant

l'amnistie aux criminels et intïgrant quatre chefs rebelles dans le gouverne- ment. p.15 et notre ïditorial p.19

ENQUÊTE

France-Serbie :

qui sont les ´ espions ª du commando

´ Araignïe ª ?

LES CINQ hommes du

commando " Araignée », emprison- nés à Belgrade et accusés d'avoir préparé l'assassinat de Slobodan

Milosevic pour le compte de la

France, ont eu un itinéraire sanglant,

de la Bosnie-Herzégovine au Congo-

Zaïre. Milorad " Misa »Pelemis

commandait une unité d'élite lors du massacre de Srebrenica en 1995 et

Jugoslav Petrusic, alias " Dominic

Yugo », était à la tête d'une phalange de mercenaires serbes à Kisangani en

1997. De nationalité franco-yougo-

slave, Petrusic a af®rmé avoir aidé

Jean-Charles Marchiani à libérer

deux pilotes français otages en Bos- nie. Les cinq hommes travaillaient pour les services de renseignement militaire du chef de l'armée des

Serbes de Bosnie, Ratko Mladic.

Lire page 6

La dissidence

Pasqua

a

LA DERNIÈRE semaine de

campagne pour la présidence du RPR, avant le second tour de vote des militants le 4 décembre, met au cúur du débat le ralliement de François Fillon à la candidature de Michèle Alliot-Marie. Alors que

Charles Pasqua, qui avait exprimé sa

sympathie pour M. Fillon, minimise l'importance du choix offert aux militants du RPR, M me

Alliot-Marie

a proposé de réunir des " assises du gaullisme » ouvertes au RPF.

L'ancien ministre de l'intérieur a

rejeté cette invitation, au moment où le candidat qu'il soutenait à l'élection législative partielle du 20 e arrondissement de Paris a obtenu, dimanche 28 novembre, un résultat supérieur à celui des élec- tions europénnes.

Lire pages 8 et 9MARDI 30 NOVEMBRE dans

l'après-midi, au nord-ouest des

Etats-Unis, la ville de Seattle

accueille les délégations of®cielles des 135 pays membres de l'Organi- sation mondiale du commerce (OMC), réunis pour débattre de l'ouverture d'un nouveau cycle de négociations commerciales. Ce " cycle du millénaire »est destiné à relancer la libéralisation des

échanges mondiaux, notamment

dans le domaine de l'agriculture et des services. Pour la première fois dans l'histoire de ce type de grand marchandage global, l'opinion publique mondiale est mobilisée.

Elle exprime ses craintes et ses

oppositions à travers des " organi- sations non gouvernementales » (ONG). En France, les anti-OMC ont manifesté, samedi à Paris et en province, réunissant plusieurs dizaines de milliers de personnes. " Le monde n'est pas une marchan- dise », proclamaient les banderoles du dé®lé parisien organisé par plu- sieurs associations anti-OMC (Attac, AC !, etc.) et auquel partici-paient notamment les dirigeants du

Parti communiste, des Verts, du

Mouvement des citoyens.

A Seattle, avant même la ren-

contre ministérielle, quelques cen- taines de militants américains ont bloqué la circulation dans la ville dès dimanche. Au même moment,

Mike Moore, directeur général de

l'OMC, plaidait devant les délégués de la Confédération internationale des syndicats libres (CISL) en faveur d'un " internationalisme »adapté à cette " nouvelle ère de la mondiali- sation ». M. Moore organise, lundi, un forum avec l'ensemble des ONG présentes. Mardi, 50 000 manifes- tants, agriculteurs, écologistes et militants syndicaux, venus du monde entier, sont attendus dans les rues de Seattle.

En France, l'agriculture, l'un des

principaux enjeux de Seattle, pour- suit sa modernisation avec la signa- ture des premiers contrats territo- riaux d'exploitation, dans les

Hautes-Pyrénées.

Lire pages 2, 3 et 13

Les citoyens du monde s'invitent ì l'OMC

bSeattle accueille, mardi, les 135 membres de l"Organisation mondiale du commerce

bLa mobilisation contre la libïralisation des ïchanges s"internationalise au mñme rythme que le

commerce b´ Le monde n"est pas une marchandise ª, ont lancï, ì Paris, les manifestants anti-OMC

LeMondeJob: WMQ3011--0002-0 WAS LMQ3011-2 Op.: XX Rev.: 29-11-99 T.: 11:11 S.: 111,06-Cmp.:29,11, Base : LMQPAG 44Fap: 100 N

o : 0473 Lcp: 700 CMYK

INTERNATIONAL

LE MONDE / MARDI 30 NOVEMBRE 1999

2

José Bové contre " les grands discours »

SEATTLE

de notre envoy• sp•cial Jos• Bov• poursuit sa tourn•e am•ricaine m•dia- tis•e. Le cofondateur de la Conf•d•ration paysanne a •t• pr•sent• dimanche comme une des six person- nalit•s marquantes de ce sommet avec Fidel Castro, Bill Clinton ou Mike Moore par le Seattle Times, qui lui a consacr• un long article plutþt •logieux, alors que, le mois dernier, le quotidien local lui avait d•- coch• un •ditorial au vitriol. Dans l'apr˜s-midi, tr˜s suivi par les m•dias, il a •chang• du roquefort bien franØais contre du búuf am•ricain garanti sans hor- mones et du saumon sauvage de l'Alaska. Lundi, il s'appr-tait “ rendre visite “ un McDo de Seattle en compagnie de paysans du cru. Jos• Bov• af®rme n'avoir pas l'intention de parti- ciper au forum des Organisations non gouverne- mentales (ONG) organis• toute la journ•e par l'OMC." Si c'est seulement pour entendre des grands discours, Øa ne sert “ rien. Tant qu'ils n'accepteront pas quelques grands principes comme celui de la s•- curit• alimentaire, le principe de pr•caution ou l'in- terdiction du brevetage du vivant, je n'aurai rien “ faire ici. »Et donc, il devrait -tre dans la rue, avec les manifestants qui se pr•parent pour le grand d•- ®l• anti-OMC de mardi. La m•t•o pr•voit de la pluie. Son adversaire Mike Moore, directeur g•n•ral de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), a •galement entam• son offensive de charme aupr˜s, lui, des multiples contestataires de la mondialisa- tion pr•sents “ Seattle. Il s'est s'adress•, dimanche

28 novembre, aux d•l•gu•s de la Conf•d•ration in-

ternationale des syndicats libres (CISL), qui f-te ses cinquante ans. C'est la pauvret•, et non lecommerce international, qui est responsable des mauvaises conditions de travail, a af®rm• l'ancien premier ministre travailliste n•o-z•landais. Le d•- bat sur les droits des travailleurs ± r•clam• par la CISL comme par la conf•d•ration am•ricaine AFL- CIO ± est un" faux d•bat », a-t-il af®rm•, mettant en garde ceux qui " diabolisent la mondialisation ».

MESSAGE REÒU POLIMENT

M. Moore a fait appel “ l'internationalisme tradi- tionnel des syndicats en •voquant " les sombres as- pects du protectionnisme. (...) La r•ponse “ la pauvre- t•, c'est plus de commerce et d'affaires, pas moins. (...) Nous devons r•inventer les id•aux de nos p˜res : internationalisme et solidarit• pour cette nouvelle ˜re de mondialisation. (...) L'OMC n'est pas parfaite, elle doit -tre am•lior•e et elle le sera, mais le monde serait plus instable et plus dangereux sans elle ».

ReØu poliment, ce message n'a pas convaincu.

" Nous sommes contre tous les protectionnistes », a r•pondu Bill Jordan, son secr•taire g•n•ral, qui a re- pris “ son compte l'exigence syndicale d'" incorpo- rer dans le mandat de l'OMC les droits de base des travailleurs »(interdiction du travail des enfants et du travail forc•, libert• syndicale et droit au travail). " Il faut •tablir un •quilibre juste entre le commerce international et l'ins•curit• dans le monde du tra- vail ».quotesdbs_dbs31.pdfusesText_37
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